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GERARD FILOCHE ET LES RETRAIRES

Membre de la direction nationale du PS et signataire de cet appel « Faire entendre les exigences citoyennes sur les retraites », je tiens à faire remarquer que le PS est représenté aussi par Liem Hoang Ngoc député européen, Marie Noëlle Lienemann, ancienne ministre du logement, Régis Juanico, député de la Loire et trésorier national du PS, Razzy Hammadi, Delphine Meyrargue, secrétaires nationaux du PS, et une trentaine d’élus, de syndicalistes qui sont aussi socialistes... Je rappelle que le Bureau National du PS s’est prononcé pour la défense de la retraite à 60 ans, j’ajouterais “à taux plein”, je dirais “pas un mois de plus, pas un sou de moins”. La France est largement assez riche pour payer nos retraites. Il n’y a pas un problème de déficit mais de recette. Le COR lui m ême a calculé qu’avec 0,37% de hausse des cotisations patronales et salariales par an, on pouvait financer nos retraites comme elles étaient avant les 6 contre réformes de la droite, avant celles de Balladur en 1993, de Juppé en 1995, contre l’Arcco et l’Agirc en 1996, celle de Fillon en 2003, de Bertrand en 2007 et celle qu’ils annoncent en 2010.

Si l’espérance de vie s’est allongée c’est grâce à la retraite à 60 ans ! Entre 60 et 65, ce sont les plus belles années de la retraite, ce seraient les pires années au travail ! Faire travailler plus sur la vie, ce serait augmenter cruellement le chômage de masse, celui des jeunes notamment. Il faut travailler mieux, moins, pour travailler tous. Je suis très heureux de l’unité autour de cet appel et de cette campagne nationale, comme d’autres que nous avons déjà faites ensemble, avec 200 meetings d’ici l’été, que nous engageons unitairement ici.

 


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