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Banogne-Recouvrance

  • WOINIC A 7 ANS

     

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    Woinic est le sanglier géant réalisé par le sculpteurardennais Éric Sleziak entre le 1er janvier 1983 et le 15 décembre 1991. Il s'agit du plus grand sanglier au monde, une œuvre monumentale en petits rectangles de fer soudés (10 cm × 10 cm) entre eux. Elle mesure 8,5 mètres de haut, 5 mètres de large et 14 mètres de long pour un poids de 50 tonnes. Onze années et plus de 12 000 heures de travail furent nécessaire à sa réalisation, ainsi que 430 bobines de fil et 325 bouteilles de gaz.

    Le nom Woinic est la contraction des prénoms des parents du sculpteur, Woidouche et Nicole. Il représente un sanglier, l'emblème du département français des Ardennes.

    Le prix de l'acquisition par le conseil général des Ardennes a été définitivement fixé à 600 000 euros hors taxes, soit tout juste 2,07 euros par Ardennais. À ce prix s'ajoutent les coûts de déplacement et d'installation sur sa plate-forme pivotante, pour un total avoisinant 200 000 euros hors taxes.

    Woinic a quitté l'atelier de Bognye sur Meuse de son créateur Éric Sléziak au bout de 15 ans d'attente, pour être implanté le 7 aout 2008 à 21h sur l'aire d'autoroute de l'A34, à 10 km au nord de Rethel et 30 km au sud de Charleville Mézière, près du hameau de Saulces aux Tournelles dans la commune de Saulces Monclin. Cette installation marquait le 8 aout 2008 , journée du département des Ardennes (08). Cette aire baptisée « aire des Ardennes » symbolisant la porte du département est ouverte depuis le 1er décembre 2009 .

  • CA FAIT DU BIEN

     

    Récit d'un petit pèriple de 8 jours dans les Ardennes

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    Tout a commencé le vendredi 7 juin par un accueil ensoleillé à Banogne petit village ardennais , berceau de la famille Cochart où mon père est né  a été maire pendant 24 ans , où mes parents ont travaillé avant d' être enterrés au cimetière communal auprés de mes grands parents et arrières-parents.

    FETE ET BANQUET 

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     Dans ce village tel celui de Babaorum  tout commence et finit par la fête  et ce du samedi au lundi ce  musique , animation , pétanque et pour conclure , le banquet . Immense joie et parfois émotion de retrouver anciens amis et connaissances perdus de vue jamais pas oubliés .

    CULTURE

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    La région Champagne Ardennes est dotée d'une grande richesse  culturelle , nous avons fait découvrir à nos petits enfants , la cathédrale de Reims , bien sur , mais aussi Charleville , le musée Rimbaud et sa maison , la Place Ducale dont l'architecture ressemble à la place des Vosges , et petite escapade dans la Thiérache voisine , sans oublier Woinic l'emblème des Ardennes   

    GATRONOMIE

    Aprés un passage obligé par une visite de Caves d'une grande maison de Champagne , nous nous sommes régalés  autours des plats typiquement locaux:

    Salades aux lards

    Boudins blancs rethélois

    Paté en croute

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    Tarte au sucre ( suc en Ardennais)

    Gateau Mollet

    Tarte au Maroilles

    Asperges récoltées le matin dégustées le midi

     

    FAMILLE

    Rencontre agréable avec neveux et nièces en particulier une agréable reception chez Didier qui nous a parlé de sa tentative intérrompue du Tour de France handibike qui compte reprendre bientot .  

     

    MILITANT

     

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    Un militant même en vacances n'aspire pas au repos. N'ayant pu participer aux manifestations anti-fachistes vendredi dernier à Cannes et Nice , je me suis rendu à celle organisée par les partis de la Gauche à Reims . Je n'y étais plus habitué à Antibes mais à ma grande surprise j'ai pu parler débattre avec des militants communistes rémois présents  sans haine , sans insultes , sans agréssivité de leur part . Que de changement quand je pense que le responsable CGT d'Antibes ne voulait pas que les socialistes assistent à la manifestation du 1er mai et nous l'a fait vertement savoir .

    Ca fait du bien...............

  • DE RETOUR DE TOULOUSE

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    A Toulouse j'ai revu Claudine Ledoux Maire de Charleville-Mézière et , lui ai apporté la photo qu'elle m'avait demandé de lui remetrre où elle figure , le jour de le cérémonie de décoration à l'Ordre National du Mérite de mon Père en 1998.

    Grand moment d'émotion partagé en souvenir de ce Grand Homme.

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    J'ai rencontré aussi le Ministre de l'Intérieur et je l'ai informé directement de la situation des Roms de Juan-les-Pins .

    Il m'a écouté , ce qui s'est dit sera transmis aux intéressés , avec qui j'ai pris rendez-vous . 

     

  • LE CLOS DE LA FORGE

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    Belles prestations à la ferme du « Clos de la forge » à Banogne-Recouvrance (Ardennes), chez Sophie et Sébastien Loriette propriétaires des lieux qui ont su convaincre bon nombre de citadins, que la campagne offre bien de trésors cachés.
    Sous un soleil radieux, le week-end du 15 septembre dernier a connu une influence dans ce village de 154 habitants au cœur du festival à la ferme Sème la culture qui se poursuit jusqu'au dimanche 23 septembre, à travers le département.

    Banogne 20120915 011.JPGA l'entrée de la ferme, on a pu constater de magnifiques sculptures de paille confectionnées par les élèves du Lycée Verlaine de Rethel.
    Sous un hangar, on a pu apercevoir des badauds assis sur des sièges de paille contemplant la prestation des élèves du Lycée agricole de Rethel qui ont interprété une pièce de d'André Mandarino et de Sibille Planques « Manuel de l'homme et la femme comme il faut ! ».
    Des expositions mais aussi des ateliers ont su apporter une sensation de liberté à l'expression artistique, afin que le public puisse s'imprégner du monde agricole.
    Enfin, cidre et crêpes au sarrasin sont venus chatouiller nos papilles, rappelant un goût inimitable avec un retour dans notre enfance.
    Banogne 20120915 013.JPGUn message fort que veut adresser Sébastien Loriette : « Le but est de faire découvrir les fermes au public afin qu'ils puissent se rapprocher de la réalité de la culture »
    Un mélange d'agriculteurs et d'artistes qui a su offrir un brin de connaissance, pour le bonheur des petits et des grands.

    D'aprés L'UNION  REIMS

  • LA MAISON FORTE DE WIGNACOURT

     

    La Maison Forte de Wignacourt Chateau Porcien 08

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     La maison forte de Wignacourt  est construite en briques avec tourelles et encorbellement . Elle était décrite dans un acte de 1479 par lequel jean d'Ivory la vendit à un seigneur picard , Rasset de Wignacourt , lequel l'offrit à Isabelle d'Auboncourt en récompense de ses" amours , douceurs , plaisirs et courtoisies espérées "

    Cette maison forte située en plein centre de la ville  est actuellement occupée . D'un style original avec sa tour montée sur un contrefort et ses différents niveaux de batiment elle possède un batiment avec toit à la Mansart ,  percée de meutrières carrées. 

    Sa situation dans l’enceinte du bourg la préserva de toutes les guerres.Elle est située juste en bas de l’impressionnante falaise qui portait jadis une forteresse possession des comtes de Château-Porcien.

     

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  • LE CLOS DE LA FORGE

     

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    Cet été , nous avons passé la première semaine de Juillet dans les Ardennes , à Banogne et inauguré un des deux nouveaux gites que Sophie et Sébastien ont aménagé dans l'ancienne forge du village . Batiment plein de souvenirs pour moi et ma famille , c'est dans ce même batiment rénové que j’ai vécu ,enfant  , où mon père a appris et plus tard exercé le métier de maréchal ferrant. pendant prés de 20 ans
    C’est donc avec beaucoup d’émotion que je découvrais le remarquable travail d’aménagement et de décoration que les nouveaux maîtres des lieux avaient accomplis dans ce lieu initialement  peu destiné au repos et à la détente
    Grand confort intérieur décoration recherchée matériaux innovants calme détente sans oublier la piscine et son jacuzzi intégré bref un séjour réussi .

    Nous ne pouvons que vous encourager sans hésitations à venir vous reposer et visiter ce beau département des Ardennes .

    Pour visiter et reserver

    Voir les photos jointes

     

     

     

     

  • 1940 :LES JUIFS DE LA WOL

    1940, année terrible Les Juifs de la WOL

     

     
    La famille Huet de Frénois qui a sauvé la petite Monique Pisam, au centre sur les genoux de Mme Huet.

    La famille Huet de Frénois qui a sauvé la petite Monique Pisam, au centre sur les genoux de Mme Huet.

    Soixante-dix ans après les tragiques événements qui marquèrent notre département d'une empreinte indélébile, qu'il s'agisse des combats acharnés d'une armée encore trop souvent présentée comme un ramassis de fuyards ou de l'exode qui jeta sur les routes des dizaines de milliers de civils désemparés, L'Ardennais et l'union s'associent aux historiens de Terres Ardennaises pour vous présenter, chaque mois, une page entière consacrée au souvenir de cette douloureuse période.

    1940 : lors de l'exode, le département est légalement déclaré « prise de guerre » et placé par l'occupant en zone interdite, destinée à l'annexion en cas de victoire, dont la frontière est la rivière Aisne, avec un seul point de passage très contrôlé à Rethel.
    Les agriculteurs, indésirables, sont refoulés, ou mis en rétention dans les camps de Tagnon et de Maison-Rouge.
    La WOL, filiale de l'Ostland, entreprise influente à Berlin, a confisqué les terres agricoles. Elle emploie 3 000 prisonniers de guerre en congé de captivité ou « prisonniers libres », 3 500 ouvriers étrangers présents avant la guerre, 4 000 prisonniers nord-africains, 5 000 civils français et, en mars 1943, 3 500 Polonais catholiques déportés de Pologne.
    La main-d'œuvre juive est recrutée dès novembre 1941 par l'U.G.I.F., organisme créé par Vichy, parmi les Juifs étrangers de la région parisienne réfugiés en France suite aux persécutions en Europe de l'Est.
    Ils sont à 70 % polonais, le reste constitué de 21 nationalités différentes. Ils seront presque 700 au total, entre le 11 novembre 1941 et le 4 janvier 1944, répartis dans 53 communes ardennaises.
    Ils viennent souvent en famille, les enfants sont scolarisés, les vieillards suivent, car à Paris la vie est impossible : interdiction de travailler, de fréquenter les lieux publics, rafles quotidiennes et difficultés pour se nourrir.
    L'U.G.I.F. enrôle les juifs étrangers contre la promesse de la protection des biens et des personnes…
    Les Ardennais leur font bon accueil. On échange des services contre de la nourriture : ressemelage ou confection contre œufs, lait ou beurre.
    Des amitiés se nouent, des amours aussi : une fillette sauvée dans le Rethélois reviendra après-guerre épouser le fils de ses sauveteurs.
    Malgré cela, les conditions de vie sont très dures : le froid, la faim, le travail pénible sous le joug des chefs de culture, et le pressentiment d'un sort pourtant inimaginable hante beaucoup d'esprits.
    Le 4 janvier 1944, c'est la rafle : 223 Juifs de la WOL, 12 du Judenlager des Mazures et 9 Juifs ardennais sont déportés à Auschwitz dans le convoi 66 du 20 janvier 1944.
    Parmi eux, 41 enfants dont un bébé de 5 mois et demi : René Kornberg.
    110 Juifs sont alors sauvés par des Ardennais, certains Allemands et quelques gendarmes français, Ce sont des Justes qui, reconnus ou à jamais anonymes, ont « sauvé l'Humanité en sauvant une vie ».

    Christine DOLLARD-LEPLOMB (Terres ardennaises

  • SARKO DANS LES ARDENNES MARDI :LE RETOUR

    Ardennes. Alors que les syndicats prévoient de manifester à Vivier, les élus de gauche appellent à boycotter le président, en visite mardi prochain...

    Les principales unions syndicales du département, réunies lundi soir, ont décidé de (se) manifester à l'occasion de la visite du président de la République Nicolas Sarkozy, mardi 19 avril, dans les Ardennes. Un déplacement du chef de l'État dont le principe même (agenda et actualité internationale obligent) et a fortiori les détails n'ont toujours pas été confirmés par les autorités… Mais si l'on en reste aux confidences des élus ardennais proches ou membres de la majorité (nos éditions du 6 avril), le président débuterait son voyage officiel par une visite de l'unité de La Fonte ardennaise à Vivier-au-Court avant de gagner Renwez pour y rencontrer les maires du département à l'invitation de l'association ADMF. Suivrait un buffet.

     

    sarkozy,les ardennes

    « Impossible évidemment de ne rien faire. Il faut absolument faire entendre le mécontentement des salariés, des chômeurs, des précaires, des retraités », expliquaient hier différents responsables, avant vraisemblablement un communiqué officiel d'ici le week-end. Mais devinant que le dispositif de sécurité sera sans nul doute assez imposant, et le périmètre « interdit » élargi, les syndicats (CGT, CFDT, FO, Solidaires, FSU - auxquels l'Unsa devrait se joindre -) ont des marges de manœuvre réduites.
    Le principe qui a été retenu est de manifester à Vivier en matinée (l'étape « ouvrière » de la visite). Pour le reste, il faudra sans doute une discussion serrée en préfecture…
    Est-ce réellement une surprise ? Du côté politique, l'association Unimair, qui réunit essentiellement des élus locaux de sensibilité socialiste et divers-gauche, a publié pour sa part un communiqué appelant « les maires et élus ardennais à ne pas participer à la réunion de campagne électorale de Nicolas Sarkozy le 19 avril à Renwez »…
    Et d'argumenter : « Nicolas Sarkozy a annoncé sa venue non pas dans la vallée de la Meuse, inquiet de la situation de l'industrie ardennaise comme on aurait pu s'y attendre, mais à… Renwez. »


    Le souvenir de 2006


    Or, poursuit Unimair, que préside Claudine Ledoux, maire du chef-lieu, « les Ardennais se souviennent de la venue de Nicolas Sarkozy à Charleville-Mézières le 18 décembre 2006 pour sa précédente campagne électorale. Que sont devenues les promesses mirifiques qu'il avait adressées alors à ''la France qui souffre'' et aux Ardennes ''exemple du renouveau français'' ? Il avait ajouté, sans doute pour faire bonne mesure : ''Ici, nous inventerons la métallurgie du futur''… Alors que son mandat touche à sa fin, son bilan est accablant pour l'industrie et l'emploi ardennais. Fin 2009, l'emploi salarié a perdu 3 351 salariés sur 10 ans, il atteint son niveau le plus bas depuis fin 1994. Le secteur industriel a perdu 20,4 % de ses effectifs, la métallurgie a perdu à elle seule près du quart de ses effectifs. Cette chute s'est poursuivie en 2010 par une liste de fermetures d'entreprises et de suppressions de postes qui ont frappé l'ensemble du département et des secteurs industriels. En janvier 2011, l'annonce de la fermeture prochaine de l'usine ex-Porcher de Revin et du licenciement de ses 148 salariés a résonné comme un glas. »
    Et de conclure en fustigeant « les coupes budgétaires. Les dotations de l'État sont gelées pour cette année et les deux suivantes. Le conseil général est en proie à de graves difficultés financières et supprime ses concours à de nombreux projets […]. Les suppressions de postes et les restrictions de moyens imposées aux services publics […] touchent d'abord les populations les plus fragilisées et concourent à aggraver le dépérissement de territoires entiers. »

     

    sarkozy,les ardennes

    Erik Pilardeau, maire de Bogny, conseiller général PS, y est allé lui aussi d'un communiqué où il précise : « Nous avons porté, lors d'une récente réunion au ministère de l'Industrie, une série de 11 propositions spécifiques pour sauver le bassin d'emploi de nos Vallées en souhaitant la mise en place d'un ''contrat de revitalisation'' au sein duquel actions et engagements des différents partenaires pourraient être déterminés. Cela nécessite, entre autres, sans aucun doute un investissement conséquent au niveau de la solidarité nationale ! »
    Enfin, il fallait s'en douter, au nom de la fédération du PS, Annie Florès a ajouté : « La venue de Nicolas Sarkozy n'est pas une bonne nouvelle […]. Rien n'a été fait, le bilan économique et social ne faisant que s'alourdir. S'il va à la rencontre des élus UMP, rien n'est prévu dans les bassins d'emploi les plus sinistrés du département. Les Ardennais ont certainement besoin d'autre chose qu'un simple ''show'' médiatique organisé par ses troupes à seule fin électorale. Notre département est en attente d'un véritable sursaut par des engagements concrets dans le domaine économique. »

     Texte : Ph. M. L'UNION L'ARDENNAIS

  • WOINIC

    Au cours de mon périple adennais je me devais de rendre visite à Woinic.Mais qui est Woinic ?

    Banogne 11202010 024.JPGWoinic est un sanglier géant réalisé par le sculpteur ardennais Éric Sleziak entre le 1er janvier 1983 et le 15 décembre 1991. Il s'agit du plus grand sanglier au monde, une œuvre monumentale en petits rectangles de fer soudés (10 cm × 10 cm) entre eux. Elle mesure 8,5 mètres de haut, 5 mètres de large et 14 mètres de long pour un poids de 50 tonnes. Onze années et plus de 12 000 heures de travail furent nécessaire à sa réalisation, ainsi que 430 bobines de fil et 325 bouteilles de gaz.

    Le nom Woinic est la contraction des prénoms des parents du sculpteur, Woidouche et Nicole. Il représente un sanglier, l'emblème du département français des Ardennes.

    Le prix de l'acquisition par le conseil général des Ardennes a été définitivement fixé à 600 000 euros hors taxes, soit tout juste 2,07 euros par Ardennais. À ce prix s'ajoutent les coûts de déplacement et d'installation sur sa plate-forme pivotante, pour un total avoisinant 200 000 euros hors taxes.

    Woinic a quitté l'atelier de Bognye sur Meuse de son créateur Éric Sléziak au bout de 15 ans d'attente, pour être implanté le 7 aout 2008 à 21h sur l'aire d'autoroute de l'A34, à 10 km au nord de Rethel et 30 km au sud de Charleville Mézière , près du hameau de Saulces aux Tournelles dans la commune de Saulces Monclin. Cette installation marquait le 8 aout 2008 , journée du département des Ardennes (08). Cette aire baptisée « aire des Ardennes » symbolisant la porte du département est ouverte depuis le 1er décembre 2009 .

    A suivre

  • BANOGNE:MASSACRE A L'EOLIENNES

    Un projet à 600 millions

     http://www.lunion.presse.fr/index.php/cms/13/article/422046/Un_projet_a_600_millions

     

    RETHEL/VOUZIERS (Ardennes). De l'Asfeldois à l'Argonne, cinquante éoliennes de 6 Mégawatts pourraient hisser leurs pales à 200 mètres de haut. Si le projet aboutit, il pourrait bien s'agir du plus grand parc éolien d'Europe.

     

    ATTENTION, il ne s'agit que d'un projet,mais la société Wind Vision, qui s'est positionnée sur le territoire du Junivillois, envisage la construction de 90 éoliennes de 2 mégawatts dans le Porcien. Des machines semblables à celles qu'on voit tourner dans le ciel du Rethélois depuis quelques mois.

    A la lecture de cet article paru dans la Pravda champenoise,mon sang n'a fait qu'un tour car les machines de taille classique seraient remplacées par des géantes dont les turbines se dressent à 140 mètres de haut et les pales à 198 mètres.
    Étant donné l’envergure du projet, le dossier est forcément lourd à digérer pour les amoureux du plateau de Condé.
    Si les élus municipaux des communes concernées ont déjà été informés du schéma d’implantation envisagé… il reste de nombreux obstacles à lever et des manifestations à organiser pour ce que projet ne voit pas le jour..
    Imaginez si les machines doivent clignoter nuit et jour pour leur visualisation aérienne ! S’ajoutent à cela des modifications à apporter sur la puissance de raccordement affectée au secteur…

    Pas facile de disséminer autant de machines quand on connaît les contraintes paysagères, environnementales ou patrimoniales de tout projet éolien !

     Neuf permis de construire ont été délivrés en novembre 2009 pour une puissance de 166,4 mégawatts.

     Le plus grand parc actuel est celui d'Écly - Saint-Fergeux (10 machines) porté par Wpd Énergie 21, raccordé en mai dernier. Celui de Barby - Sorbon est en chantier, il comprendra 8 éoliennes classiques (2 MW).

     Les trois plus importants chantiers à venir se situeront à Leffincourt (32 MW), Saint-Germainmont (25 MW) et Sévigny-Waleppe (18 MW).

    Si le premier parc ardennais en service a été celui de Vaux-lès-Mouzon, en septembre 2009, c'est bien le Rethélois qui a le vent en poupe en matière d'énergie éolienne.

     À noter que douze permis ont actuellement été déposés en préfecture (pour une puissance de 213,5 MW), par une dizaine de porteurs de projet différents et que quinze autres sont à l'étude, selon nos sources.

     Dans les Ardennes, au 31 décembre dernier, 23 éoliennes étaient installées, pour une puissance de 41,9 MW. 64 étaient autorisées pour une puissance de 152 MW.

     Je ne suis pas contre les éoliennes mais pour la dispersion des éoliennes sur toutes les crêtes d'une région entière suite à la réglementation des 12 Mw.

    Avec la région du massif du Porcien les industriels s'attaquent à un environnement unique à plus d'un titre. Pouvons nous accepter que les crêtes autour de ce patrimoine naturel exceptionnel et unique se transforment en autant d'îlots d'éoliennes dispersées dans l'environnement ? Aucune crête, aucun point de vue sera exempt de pylônes de 140 m de hauteur ! Non seulement les éoliennes vont dégrader nos paysages, n'empêcheront pas la construction de nouvelles centrales nucléaires mais nous assurent dans certains cas, une augmentation des émissions de gaz à effet de serre !!

    Je ne suis pas pas pour une production d'énergie tout nucléaire mais pour une consommation mieux maîtrisée et l'installation de moyens de production d'énergie renouvellables (solaire, éolien, ...) intégrées à l'architecture existante et à taille humaine ou en off-shore.

    Pourquoi produire plus d'electricité ? Il est certainement plus judicieux, moins couteux et plus rentable de subventionner l'économie d'électricité.
    Ne produisons pas plus mais consommons moins !

     

     

     

     

    !

     
    Le tout-éolien sous le feu des critiques (résumé de l'article paru dans Le Figaro du 16/11/2001), rapport des députés Claude Birraux et Jean-Yves Le Déaut. Pour parvenir à produire 40 TWH (térawatts-heure) d'électricité à partir d'énergies renouvelables la France mise à fond sur le tout-éolien. Mais explique J-Y Le Déaut ce n'est pas la solution miracle qui résoudra les problèmes de CO² dans la mesure où il faut prévoir des usines thermiques capable de  prendre le relais pendant les periodes sans vent. Mais les deux parlementaires redoutent qu'en se focalisant trop sur l'électricité et sur l'éolien en particulier, on masque les problèmes posés dans deux secteurs très sensibles : le résidentiel tertiaire (chauffage, eau chaude) et le transport routier (voir aussi la page "arguments"), dont la consommation énergétique a explosé au cours des trente dernières années (+ 51% et +65% !).

     La Commission de Régulation de l'Electricité (CRE)

    Pour une quantité installée de 5000 MW , le coût total cumulé à la charge des consommateurs d'électricité serait dans le meilleur des cas de l'ordre de 7 milliard d'€uro. Si 12000 MW sont installés ce surcoût approchera 17 milliards d'€uro !

    La hausse correspondante sur le pric de l'électricité consommée en France pourrait représenter plus de 3 €uro/MWh en 2010, soit environ 15% du prix de l'électricité pour les plus gros consommateurs industriels, et 3% pour les particuliers.

     Au vu de l'ensemble des éléments qui précèdent, la CRE considère que le tarif proposé entraîne des rentes indues aux producteurs éoliens qui se traduit par une augmentation significative des prix de l'électricité en France, et représente un moyen exagérément coûteux pour la collectivité d'atteindre l'objectif de développement de la filière que c'est fixé le gouvernement.

     

    J'émets, en conséquence, un avis défavorable sur ce projet d'arrêté.