Fiscalité selon Sarközy de Nagy-Bocsa
Parlons de fiscalité. La fiscalité est un témoin très important d’une politique gouvernementale. Elle ne doit pas être laissée aux seuls techniciens des ministères. Elle doit être un des leviers de pilotage de la société française.
Et cela Nicolas Sarközy de Nagy-Bocsa l’a très bien compris. Et cet homme, qui cite sans vergogne Jaures ou Blum, que propose-t-il :
- Diminuer les prélèvements obligatoires de 4 points.
Comment croire, ce candidat quand pendant cinq ans les gouvernements, auxquels il a appartenu, et, où il a été ministre de l’économie, les ont augmenter de 0.9 points de PIB et cela va coûter 68 milliards d’euros. Dépenses qui vont justifier des plans draconiens d’économie de l’état tout en creusant la dette de 4.3 points.
Qui cela pénalisera : les plus modestes des français qui ont besoins des aides étatiques. Où est la justice sociale dans cette mesure ? Il n’y en a pas puisqu’il s’agit d’une recette libérale que Mme Thatcher avait mise en pratique.
- Suppression des droits de successions
Cette mesure favorisera les familles qui ont déjà un patrimoine. Cette à dire pas les plus modestes d’entre nous. Et surtout cela ne FAVORISE pas le travail mais la RENTE.
- Abaisser le bouclier fiscal de 50% et déduire de l’ISF les sommes investies dans les PME.
Qui est concerné par le bouclier fiscal ? Qui paie l’ISF ? Pas ceux qui touchent les 4000€ net mensuel de Mr Copé et moins
On peut poursuivre en cumulant touts les cadeaux promis par le nain de Beauvau depuis janvier. La dette française ne sera pas prête de se résorber.
Nicolas Sarközy de Nagy-Bocsa est dangereux. Son programme vise à démanteler l’état aux profits des nantis. Cet homme ne sera jamais l'héritier de Jaurès mais plutôt de Mss Thatcher.