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GLAÇANT ! : MARIANNE RÉVÈLE « LE VRAI SARKOZY ».

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 Ce que les grands médias n'osent pas ou ne veulent pas dévoiler : le vrai Sarkozy ». Certes, le titre est accrocheur. Cependant, l'enquête, sans concession, réalisée par Jean-François Kahn, avec Serge Maury, Philippe Cohen, Laurence Dequay et le service « France », de « Marianne » a le mérite du courage.

Les douze pages consacrées au candidat de l'UMP ont de quoi glacer le sang et « Marianne » sait ce qu'il peut lui en coûter. Du reste, l'hebdo l'assume :

« S 'il est élu, nous savons que nous pourrions en payer le prix. Nous l'acceptons. »

Il est vrai que l'enquête basée sur des témoignages, souvent choisis dans les rangs de ses partisans, dans ceux de l'UMP ou à partir de déclarations de membres du Gouvernement ou de personnalités se termine par cette conclusion :

« Voter Sarkozy n'est pas un crime. C'est même un droit. Nous ne dirons pas, nous, que ce candidat représente la fraude, la délinquance, l'anti-France et la faillite morale.

Nous voudrions simplement qu'on se souvienne plus tard - quitte, ensuite, à nous en demander compte - que nous avons écrit qu'il représente pour la conception que nous nous faisons de la démocratie et de la République un formidable danger. »

Des journalistes d'autres titres le disent après les dithyrambes grotesques de « Paris Match », des rédacteurs avouent qu'ils en « auraient pleuré de honte », mais qu'on ne peut rien contre un ordre d'en haut.

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Les « Si je suis élu, je vous fait virer » sont légions. La presse internationale, elle, ne se cache pas pour dire ce que de plus en plus de responsables pensent « Sarkozy fait peur ».

« Marianne » d'ajouter :
« Le problème Sarkozy, vérité interdite est ailleurs … c'est ce constat indicible : cet homme quelque part est fou ! Et aussi fragile. Et la nature même de sa folie est de celle qui servit de carburant dans le passé à bien des apprentis dictateurs.

Les médiateurs savent, les décideurs le pressentent. Mais, les uns et les autres ont comme signé un engagement : on ne doit pas, on ne doit sous aucun prétexte, le dire ».

Marianne brise l'omerta. Courageusement !

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