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MA CAMPAGNE ELECTORALE

Sur le terrain... et pas ailleurs...

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     Réunions d'appartement ou réunions de quartier, porte-à-porte ou allées des marchés comme aujourd'hui, je n'ai qu'un seul mode : le terrain, qu'une seule méthode : la rencontre. Si j'ajoute que j'imprime ce rythme de campagne aussi bien à Antibes qu'à Biot alors ce n'est plus une manière de faire, c'est simplement la marque de mon engagement.

 

     De ces multiples rencontres, un constat revient sans cesse, toujours le même, comme un cri d'abattement de tous ceux qui désespèrent de trouver un écho à leurs paroles. Et ce constat est d'autant plus dur qu'il est à l'unisson : dans nos territoires, les difficultés pour trouver un logement, pour décrocher un travail, pour faire face à la vie chère ou tout simplement pour se déplacer se font ressentir encore plus fort qu'ailleurs et ce, quelque soit son âge, son quartier ou sa condition.

 Reste que je ne multiplie pas les échanges pour tenir une liste des choses qui vont mal. Au contraire, de ce cri, je veux faire un programme, je veux en faire mes priorités.

Permettre l'accès au logement par une meilleure offre locative ; renforcer les actions en faveur de l'emploi - en particulier auprès des jeunes et des entrepreneurs en favorisant les rapports avec les interlocuteurs financiers ; mettre en oeuvre une politique active de solidarité entre les générations ; améliorer les transports en commun  pour permettre à tous ceux d'entre nous qui travaillent à Nice

 Aller à votre rencontre, ou mieux vous voir venir à ma rencontre, me redonne chaque jour le souffle nécessaire pour dénoncer et me battre contre ce constat à propos duquel le gouvernement ne fait que trop la sourde oreille.

Parce que trop souvent, les habitants de nos territoires ne sont pas entendus, je  souhaite avant tout être le porte-parole de notre canton au Conseil Général.

Car pour moi, la proximité ne doit pas durer  le temps d'une campagne. C'est un engagement. Etre proche, cela veut dire être en contact mais être le relais de nos problèmes quotidiens, c'est-à-dire, être à la fois dans l'écoute et le retour.

Etre conseiller général, c'est, bien sûr, savoir entendre les problèmes quotidiens du canton. Mais cela veut dire aussi les prendre en compte et tout faire pour agir et essayer de les régler.

 

Alors certes la campagne est brève, cela fait partie des règles du jeu. Mais ma campagne est intense : ça, cela fait partie de ma façon de m'engager.

 

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