Quel casse-tête, l'envoi des voeux ! Et en même temps indispensables. Il faut qu'un maximum de personnes lisent le petit mot. C'est souvent le seul lien qui les relie à nous.
Je n'ai pas encore terminé il manque encore mes cousines un oncle et deux ou trois amis.Dans quinze jours tout sera fini :ouf
Je m'y prends comment ? D'abord, adopter une règle simple, compréhensible par tous, pour ne pas faire de jaloux (pas la peine de commencer une nouvelle année en se faisant de nouveaux ennemis) : les voeux de ma main, par courrier, je les réserve à la famille. Et pour tous les autres ? J'en ai une centaine à adresser, pas question de passer par la Poste. L'internet bien sûr : mes listes de diffusion sont fournies, un joli petit réseau électronique, plusieurs clics et tout est parti.
L'embêtant, c'est le côté impersonnel, que les gens n'aiment pas : la formule de politesse accompagnée par un proverbe chinois passe-partout, non merci. Je fais quoi ? Je sélectionne des événements parmi les plus importants à célébrer dans l'année et je brode autour d'eux un petit texte qui fait généralement son effet
Je l'envoie en masse, sans faire dans le détail : en période de voeux, c'est la trêve des confiseurs, plus de distinction entre amis et adversaires. Je reçois pas mal de réponses, connues ou inconnues. C'est une manière de repérer les soutiens réels ou potentiels (ceux qui ne m'aiment pas ne répondent pas, n'envoient même pas un accusé de réception).
Mais il faut bien que je fasse des choix, donc que j'élimine. Quelle comédie, tout de même ! Et quel travail ...
Jusqu'à l'an prochain