Je suis en manque d’écriture et celà me déplaît. La vigilance ne s’est pas arrêtée le 6 mai dernier, ni le 17 juin non plus.
Cinq années d’antisarkozysme, ça marque. J'ai écrit, tapé, fustigé, critiqué. En face, Nicolas Sarkozy criait sans cesse, donnait des leçons tous les jours, menaçait à chaque heure. Voici qu’il est parti et que l’impatience est évidente. Cinq années d’antisarkozysme ont aiguisé mon sens de la riposte, mon envie de critiquer, mon impatience d’en découdre.
Chaque faux pas entraînait une riposte immédiate. Maintenant la droite n’a plus grand chose à dire parce qu’elle est vidée de valeurs, purgée d’idées et je n'ai plus grand chose à écrire . La droite a échoué, élections après élections. Certains craignaient les pleins pouvoirs accordés au PS à l’issue du scrutin législatif. Ils vont découvrir que le premier adversaire déloyal et méprisant risque d’être plus Le Front de Gauche plus que la droite.