Danielle Mitterrand,a publié "Le livre de ma mémoire", un nouveau livre dans lequel elle estime que " les socialistes ont un regard beaucoup trop attendri pour l'argent ".
Interrogée sur l'élection d'un socialiste français, Dominique Strauss-Khan, à la tête du FMI, la veuve de l'ancien président socialiste répond " un Français d'accord, un socialiste, on en reparlera ". Elle estime que le PS a " à sa tête des gens qui n'ont pas l'esprit socialiste ", que " depuis quelques années, les dirigeants socialistes n'ont pas la tripe socialiste. Ils ont un regard beaucoup trop attendri pour l'argent. Ils ne réagissent pas, ne respirent pas ce désir de société que nous avons ", ajoute-t-elle. Au moins elle quand elle revient ce n’est pas les bras chargés de roses sans épines. Elle a également déclaré ne pas être inscrite au PS car " ils se sont beaucoup trop rapprochés du système dans lequel on vit. Peut-être veulent-ils l'amender, mais moi je veux en sortir ".
Danielle Mitterrand estime que " la société actuelle, repose sur des valeurs financières ", et sur l'exploitation " de l'homme par l'homme ". Elle n’a pas varié d’un pouce et elle adopte une position sans ambiguïté sur son engagement à Gauche. Elle n’est donc jamais partie et donc elle n’a aucun retour à effectuer ! Quelle femme ! Quel tempérament et surtout qu’elle intransigeance vis à vis de son idéal.
Le quotidien la questionne également sur les photos que François Mitterrand avait laissé prendre de Mazarine Pingeot, la fille naturelle et reconnue de l'ancien président, elle explique qu'il était " harcelé par les journalistes " sur un fait qui relevait de sa vie privée. Elle aimerait probablement beaucoup que la presse témoigne du même empressement pour enquêter sur les pratiques officielles de la vie publique des femmes et des hommes au pouvoir.
" Il a fini par dire: 'Foutez moi la paix et faites ce que vous voulez' ", raconte-t-elle avant d'estimer que " c'est indécent " de lui poser cette question. " Quand vous achetez votre viande, vous ne demandez pas au boucher ce qui se passe dans son lit le soir. C'est ce que vous faites avec nous ", conclut-elle lapidairement. Elle frappe fort et juste en mettant en exergue des comportements actuels en déphasage complets avec l’intérêt politique pour le plus grand nombre.
Interrogée sur l'élection d'un socialiste français, Dominique Strauss-Khan, à la tête du FMI, la veuve de l'ancien président socialiste répond " un Français d'accord, un socialiste, on en reparlera ". Elle estime que le PS a " à sa tête des gens qui n'ont pas l'esprit socialiste ", que " depuis quelques années, les dirigeants socialistes n'ont pas la tripe socialiste. Ils ont un regard beaucoup trop attendri pour l'argent. Ils ne réagissent pas, ne respirent pas ce désir de société que nous avons ", ajoute-t-elle. Au moins elle quand elle revient ce n’est pas les bras chargés de roses sans épines. Elle a également déclaré ne pas être inscrite au PS car " ils se sont beaucoup trop rapprochés du système dans lequel on vit. Peut-être veulent-ils l'amender, mais moi je veux en sortir ".
Danielle Mitterrand estime que " la société actuelle, repose sur des valeurs financières ", et sur l'exploitation " de l'homme par l'homme ". Elle n’a pas varié d’un pouce et elle adopte une position sans ambiguïté sur son engagement à Gauche. Elle n’est donc jamais partie et donc elle n’a aucun retour à effectuer ! Quelle femme ! Quel tempérament et surtout qu’elle intransigeance vis à vis de son idéal.
Le quotidien la questionne également sur les photos que François Mitterrand avait laissé prendre de Mazarine Pingeot, la fille naturelle et reconnue de l'ancien président, elle explique qu'il était " harcelé par les journalistes " sur un fait qui relevait de sa vie privée. Elle aimerait probablement beaucoup que la presse témoigne du même empressement pour enquêter sur les pratiques officielles de la vie publique des femmes et des hommes au pouvoir.
" Il a fini par dire: 'Foutez moi la paix et faites ce que vous voulez' ", raconte-t-elle avant d'estimer que " c'est indécent " de lui poser cette question. " Quand vous achetez votre viande, vous ne demandez pas au boucher ce qui se passe dans son lit le soir. C'est ce que vous faites avec nous ", conclut-elle lapidairement. Elle frappe fort et juste en mettant en exergue des comportements actuels en déphasage complets avec l’intérêt politique pour le plus grand nombre.
Elle reste dans le présent mais sans que l’on puisse lui reprocher la moindre faute personnelle et surtout la moindre adaptation au contexte. Comme elle effectuera un jour son retour Cécilia Sarkozy pourrait s’inspirer de cette première dame qui n’a jamais renié le rôle qui lui revenait mais qui l’a exercé de telle manière qu’elle n’ait jamais à rougir de ce qu’elle faisait