Ne pas confondre impôts et taxes.
« Je n’ai pas été élu pour augmenter les impôts et je ne les augmenterai donc pas » a dit le président de la République
C’est sa volonté. Dont acte.
Mais il est intéressant de noter que depuis son accession à l’Elysée 20 nouvelles taxes ont été imaginées et appliquées pour la plupart d’entre elles :
- taxe carbone (4,3 milliards d’euros),
- taxe pour le RSA (entre 1 et 2 milliards),
- franchises médicales (850 millions),
- taxe sur les mutuelles et les assurances (1 milliard),
- taxe sur les ordinateurs (50 millions),
- taxe pour copie privée des disques durs externes et clés USB (167 millions),
- taxe sur l’intéressement et la participation (400 millions),
- hausse des cotisations retraites (150 millions),
- taxe sur la publicité des chaînes TV privées,
- taxe sur les compagnies pétrolières (150 millions),
- taxe sur les stock-options (250 millions),
- taxe pour financer la prime à la cuve (100 millions),
- taxe sur le poisson (80 millions),
- taxe sur les huiles moteurs (44 euros par tonne de lubrifiant),
- taxe sur les imprimés publicitaires,
- hausse de la redevance télévision (20 millions),
- taxe sur la téléphonie et Internet (80 millions),
- taxe sur les grosses cylindrées (malus auto annualisé : 160 euros/automobile/an),
- chèque transport,
- contribution exceptionnelle (exceptionnellement reconduite chaque année depuis 1991) sur les ventes en gros de produits pharmaceutiques (50 millions).
Soit 10 milliards d’euros pour l’essentiel prélevés sur les familles…