Ce n’est jamais un plaisir de « tirer » sur son propre camp et pourtant Daniel Mernet ne s'en prive pas . Il fait partie de cette actuelle intelligentsia de gauche déloyale toujours plus prompt à attaquer les socialistes .
Après Jacques Chancel l’année dernière, c’est Daniel Mermet qui vient de recevoir le Grand Prix de la SCAM (Société civile des auteurs multimédias) pour « l’ensemble de son œuvre ». Décernée le 21 juin dernier, cette gratification récompense un journaliste hétérodoxe de 72 ans qui a hissé le reportage radiophonique au rang d’art sonore et battu le pavé des luttes sociales en France et à l’étranger depuis un quart de siècle. Elle distingue aussi l’émission qu’il produit et anime chaque jour sur France Inter, « Là-bas si j’y suis », l’un des rares espaces dans l’empire audiovisuel français à faire écho aux luttes sociales et aux pensées dissidentes.
Mais quand l’une des personnalités les plus influentes de l’audiovisuel « de gauche » adopte au quotidien des techniques de management dignes du patronat néolibéral le plus décomplexé, difficile de détourner les yeux.
J'ai laissé , comme d'autre, un message ce jeudi sur le répondeur de l'émission pour avoir des précisions sur les faits dénoncés çi-dessous . Pas de réponse sinon une vague accusation envers la presse de droite .
Toujours trés stalinien le camarade Mermet , il répond à une accusation par une autre accusation .
Enquête sur l’animateur un brin schizophrénique de « Là-bas si j’y suis », l’émission culte de France Inter.
http://www.article11.info/?Daniel-Mermet-ou-les-delices-de-l