Mon ordinateur méritait une bonne révision ajouter à une absence de prés d'une semaine d'Antibes , voilà les causes de mon mutisme de la semaine passée.
Le week-end dernier fut sportif , samedi ,mon dernier Congrés Fédéral du PS qui s'est déroulé dans la joie et la bonne humeur , les temps passsent ,dimanche j'ai assisté au match de Basket entre Antibes et Nantes , victoire d'Antibes .Tout ceci aprés la journée de vendredi passée à Roland Garros
MA JOURNEE A ROLAND GARROS
Les huitièmes de finale ont débuté , les allées de Roland-Garros donnent parfois une pénible impression de surpopulation, façon grands magasins avant Noël avec les files d'attente devant tous les cours annexes en particulier le court n°2, où j'avais élu domicile , pour le huitième de finale entre Rosol et Gabashvili , ont illustré jusqu'à la caricature le calvaire que peut représenter une journée à Roland quand on n'est ni détenteur d'une place pour un grand court, ni VIP, ni journaliste, ni Rafael Nadal.
J'ai acheté une place sur le site officiel du tournoi pour les courts annexes, affichée à 30 euros , j'avais aussi le choix avec une loge à 1200 € .
Une fois ce match terminé , j'ai du sastifaire des envies naturelles et je pris une file d'attente , puis la faim , je me suis mis dans une file d'attente afin de recevoir mon déjeuner commandé par internet la veille .
A 12h45 ,voulant assisté à un autre match je choisis le court n° 7 où se déroulait la rencontre entre Mlles Beck et Kania Mauvaise pioche il est 13 h 30 quand je rentre sur les gradins . Dommage, les joueuses s'apprêtent à sortir : leur match est fini.
"UN UNIVERS ROLAND-GARROS A DEUX VITESSES"
Je retourne alors sur le court n° 2 lorsque je pénètre enfin dans l'enceinte, ce sera pour assister à la rencontre suivante, comptant pour le tournoi du double féminin : Hantuchova/Stosur - Babos/Mladenovic. "C'est pas le truc le plus funky,
Il y a quand même un problème d'organisation. Je m'étais dit :"Bon, 30 euros, on va vivre l'expérience Roland-Garros." Mais au bout de deux heures et demie, je n'ai rien vécu comme expérience sportive. J'ai été tenté de partir , mais quand ça fait une heure que t'attends, tu te dis que c'est trop bête. Tu te rattaches à des petits trucs, tu te dis que ça va être la fin du set et que les gens vont partir. Mais plus la fin du match approche, moins les gens quittent les gradins. Du coup, je suis un peu dégoûté. C'est sûr que je vais pas faire une bonne pub mais j'aurai envie d'y retourner."
Ce couplet a viré au refrain dans la queue du court n°2. Samuel, photographe, la quarantaine : "Si on se fiche, comme moi, du double dames qui suit, on a fait la queue pour rien. J'ai parlé à beaucoup de gens qui venaient pour la première fois, ils pensent qu'il y a un problème. Il y a un univers Roland-Garros à deux vitesses. J'ai eu la chance d'aller dans les loges, de nombreuses places sont vides sur le Philippe-Chatrier. Alors qu'ici, on est entassés."