Sport
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OUI LE FOOT A DES VALEURS
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WEEK END SPORTIF
Mon ordinateur méritait une bonne révision ajouter à une absence de prés d'une semaine d'Antibes , voilà les causes de mon mutisme de la semaine passée.
Le week-end dernier fut sportif , samedi ,mon dernier Congrés Fédéral du PS qui s'est déroulé dans la joie et la bonne humeur , les temps passsent ,dimanche j'ai assisté au match de Basket entre Antibes et Nantes , victoire d'Antibes .Tout ceci aprés la journée de vendredi passée à Roland Garros
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LA HONTE
Samedi j'étais devant mon téléviseur pour regarder le match de foot PGS Quatar contre le FC Nantes . J'ai tenu 1/4 d'heure . J'ai apprécié le but de Nantes à la 11ème minute mais aprés quelle honte . Un tacle assassin d'un Quataris qui métité 1 carton rouge puis au moins 3 mois de suspension ( l'action Brandao est moins agressive ) par la commission de discipline puis un deuxième but nantais refusé par l'arbitre pour je ne sais quoi .
J'accuse ! Oui j'accuse le PSG de corruption passive pour obtenir grâce à un arbitrage conditionné le titre de champion de ligue 1 qu'il ne mérite en aucune façon dans le jeu .
Jusqu'à quand l'arbitrage va t-il favoriser le PSG? Comment l'arbitre, dans son rapport, va -t-il pouvoir justifier de ne pas avoir accordé le 2ème but nantais. Comment va-t-il justifier le simple carton jaune pour l'agression délibérée du boucher Quatari qui n'a rien à faire sur un tarrain de foot .
Toutes les décisions du corps arbitral sont en faveur de l'équipe "parisienne" que ce soit penalty , expulsion but refusé .
Paris club de la capitale qui arrive à faire jouer sur le terrain jusqu'à onze joueurs étrangers .
Jusqu'à quand va-t-on accepter que les joueurs du PSG et en particulier Abramachin contestent systématiquement les décisions de l'arbitre .
Le mieux serait de donner le titre au PSG et de laisser les autres équipes jouer entre elles la deuxième place suivant les règlés établies .
La honte
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IL A GAGNE
Belle victoire du Stade de Reims contre Bastia hier soir , 7eme match sans défaite et on attend le prochain match à Lyon ce jeudi .
Buts de N'Gog et Moukandjo notre goleador cette année à la manière de Ibrahimachin -
STADE DE REIMS :BIENTOT LE 2000ème BUT
SdR. Bientôt le 2000e but
Par pour L'union-L'Ardennais, Publié le 16/10/2014
Par
Ce samedi, à Nantes, le Stade de Reims pourrait inscrire son 2 000e but en Ligue 1. Seuls, quatorze clubs de l’Hexagone ont atteint ce seuil symbolique.
Ce sera ce samedi, dans l’enceinte jaune des Canaris nantais. Ou le samedi suivant à Delaune face au Montpellier Hérault du tandem Nicollin – Courbis. Tout est programmé, on n’arrête pas le train de l’histoire.
1998 + 2, ça fera 2 000. Le Stade de Reims qui véhicule avec fierté les vestiges d’un passé glorieux, n’est qu’à deux unités d’un tournant symbolique : son 2 000e but en Ligue 1. Un nouveau morceau d’histoire pour ce club modèle des années 1950, précurseur du jeu offensif en mouvement, appelé communément le football champagne.
Entre le 25 août 1945, date d’un Reims – Red Star (1-0, 2e journée de la saison 1945-1946), et le 3 octobre dernier celle de la courte mais précieuse victoire face à Bordeaux (1-0, 9e journée de la saison 2014-2015), le Stade de Reims aura fait trembler les filets adverses à 1 998 reprises en championnat de Ligue 1. Dans deux buts, l’équipe rémoise atteindra donc le seuil 2000e but dans l’élite, un cap symbolique atteint seulement par 14 clubs de l’Hexagone.
S’ils sont nombreux les illustres finisseurs ayant sévi à la pointe de l’attaque stadiste, le curseur de l’histoire s’attardera un instant sur le nom de l’auteur de ce 2 000e but historique. Ce pourrait être le Congolais Prince Oniangué ou le Morbihanais Gaëtan Courtet, les deux seuls buteurs en activité figurant dans la prestigieuse liste des Rouge et blanc dominée par le fameux quatuor Fontaine – Sinibaldi – Bianchi – Piantoni.
De 2,11 à 1,14 buts par match
L’histoire rappelle aussi qu’il a fallu 472 matches de Ligue 1 au Stade de Reims pour inscrire son millième but à ce niveau. Ce qui, au passage, représente l’effarante moyenne de 2,11 buts par match. Pour aller de mille à deux mille, le chemin a été beaucoup plus long : 664 matches (au minimum), et une petite moyenne de 1,14 but par match.
Il s’agirait presque d’un condensé de l’histoire du club rémois qui, dans les années 1940-1950, comptait dans ses rangs quasiment tous les meilleurs joueurs français. Hormis l’exception Appel, la représentation étrangère était réduite à sa plus simple expression. Elle s’installa dans les années 1970, lorsque la filière argentine fut exploitée pour tenter de relancer un jeu stadiste démodé au profit des Verts de Saint-Étienne.
Lorsque le Stade tenta de se réinstaller en L1 avec ses modestes moyens, il se heurta à un football devenu démesure, sans frontières ni garde-fous. Aujourd’hui, il s’agit avant tout de grandir et de pérenniser le club à ce niveau, en s’appuyant sur des buteurs d’un autre acabit que ne l’étaient les Flamion, Akesbi, Onnis, Leblond ou même un certain Robert Bérard, l’auteur du 1 000e but stadiste en L1, le 15 février 1959 à Strasbourg (2-0).
Les buteurs rémois en Ligue 1
1. Just Fontaine (1956-1962), 122.
2. Pierre Sinibaldi (1945-1953), 115.
3. Carlos Bianchi (Argentine, 1973-1977), 107.
4. Roger Piantoni (1957-1964), 106.
5. Abraham Appel (Pays-Bas, 1949-1954), 96.
6. René Bliard (1951-1959), 81.
7. Raymond Kopa (1951-1956 puis 1959-1967), 75.
8. Jean Vincent (1956-1964), 68.
9. Pierre Flamion (1945-1950), Léon Glovacki (1952-1957 puis 1960-1962), 65.
11. Hassan Akesbi (Maroc, 1961-1964), 48.
12. Francis Meano (1949-1953), Pierre Bini (1946-1949), 45.
14. Santiago Santamaria (Argentine, 1974-1979), 41.
15. Delio Onnis (Argentine, 1971-1973), 39.
16. Alain Richard (1966-1976), 34.
17. Armand Penverne (1949-1959), 33.
18. Jean Templin (1950-1956), 32.
19. André Petitfils (1945-1951), 31.
20. Michel Leblond (1950-1961), 30.
21. Bernard Lech (1971-1976), 25.
22. Michel Hidalgo (1954-1957), 23.
23. Paul Sauvage (1960-1964), 22.
24. Jean Paluch (1947-1950), 20.
25. Albert Batteux (1945-1952), Lucien Muller (1959-1962), Claude Dubaële (1959-1963), 19.
28. Milan Galic (Yougoslavie, 1970-1973), 18.
29. Robert Siatka (1955-1963), 17.
30. Jean Prouff (1948-1950), César Laraignée (Argentine, 1972-1977), 16.
32. Christian Coste (1977-1978), 13.
33. Abdallah Azhar (Maroc, 1958-1962), Robert Bérard (1958-1960), Robert Rico (1971-1973),Prince Oniangué (2013-), 12.
37. Robert Lamartine (1957-1959), Louis Bourgeois (1963-1967), Jean-François Jodar (1970-1975), Didier Simon (1972-1976), Jacky Vergnes (1975-1976), Gaëtan Courtet (2012-), 11.
43. Pierre Ranzoni (1945-1947), 10...
En rouge les joueurs avec qui j'ai joué
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LE SPORT FEMININ VEUT CREVER L ECRAN
Le sport féminin veut crever l’écran
Après le succès des 24 heures du sport feminin, nous vous demandons de continuer la mobilisation pour que le sport feminin ait toute sa place dans les grands medias.
Pour que le sport féminin soit plus visible dans les médias, Signez et diffusez la pétition : Le sport féminin veut crever l’écran
Le sport féminin veut crever l'écran: Une pétition lancée par des sportives : MARION BARTOLI, Christine ARRON, Céline DUMERC, Nelson MONFORT, Barbara LAVERROUX, Béatrice BARBUSSE, Pauline GARIN........ pour que le sport féminin soit diffusé autant que le sport masculin dans les médias.
Signez et diffusez massivement cette pétition http://sportfeminin.wesign.it/fr
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UN ANCIEN DU STADE
MON AMI ANDRE BETTA
Mon ami l'ancien joueur du Stade de Reims a choisi la Côte d'Azur pour sa retraite.
GREGORY BETTA , son fils notaire à Puteaux, l'assure : son père, André, a été l'idole de François Hollande quand ce dernier, adolescent, assistait aux matches du FC Rouen à Robert-Diochon : « Il l'a dit à une radio. Lorsqu'il était premier secrétaire du PS, je lui ai envoyé des photos de mon père. Il a répondu et m'a remercié ».
Cette révélation ne trouble pas plus que cela André Betta, qui coule une retraite tranquille à Peymeinade, à 30 kilomètres de La Bocca à Cannes, à 50 du Stade du Ray à Nice et à 172 du Vélodrome de Marseille. « Je ne vais pas voir de match. Je suis devenu casanier. A un moment, le nom de Carlos Bianchi a circulé à l'OM. Là, j'y serais allé volontiers ! », affirme-t-il.
André Betta vénère le goleador : « Un phénomène. L'un des meilleurs attaquants au monde. Il m'appelait M. Caviar. Avec moi en n° 10, il a terminé deux fois meilleur buteur de D1 ».16 ans de D1, pas un centime
Le foot, l'ancien Stadiste ne le regarde plus « que de loin » : « Je n'ai plus de contacts ». La pratique qu'il a connue n'a qu'un lointain rapport avec celle d'aujourd'hui. « Seize ans de D1, deux sélections en équipe de France et je n'ai pas gagné un centime. Maintenant, il suffit de faire deux ou trois bons matches, explique-t-il. A notre époque, il n'y avait pas d'argent dans les clubs. Les droits télé n'existaient pas. Les clubs ne vivaient que des subventions municipales ».
« Dédé » se souvient « des rats » qu'il croisait à l'entraînement, à Rennes, quand il pleuvait : « Le terrain, c'était un mélange de sable et de cailloux. Quand je vois ce que sont devenus des stades où j'ai joué, comme ceux de Reims, Bordeaux ou Rennes… »
« De toute façon, pour moi, c'était l'usine ou le football ». Il n'y a pas de franche aigreur chez André Betta. Parti au soleil, sur la Côte d'Azur, en 1998 pour répondre au souhait de son épouse, il préfère juste profiter de ses « 2 000 m2 de terrain » : « J'ai des oliviers, j'ai tout. C'est du travail forcément ».
La remontée du Stade de Reims - il fut l'un des derniers pros d'avant la descente en D2 - est un sujet sensible : « Il a fallu attendre 33 ans. Il faut absolument qu'ils tiennent le coup ».
Aisance technique et professionnalisme absolu : « Dédé » est exactement le type de joueur qu'il faudrait au Stade 2012-2013. L'alcool, les cigarettes, connaît pas. L'intéressé a toujours marché à l'eau et au coca-cola :Personnellement « Je ne l'ai jamais vu arriver une seule fois en retard. C'était le genre Masclaux », ce que confirme Patrice Buisset, son jeune coéquipier, finaliste de la Coupe de France 1977, lui aussi.
« Jusqu'à 48 ans »
Cette vie d'ascète explique pourquoi celui qui a habité à Bétheny, puis à Mouzon, a joué « jusqu'à 48 ans », mi-meneur, mi-entraîneur (à Epernay, Châlons, Bétheny). Auparavant, « Dédé » avait dirigé le Centre de formation du Stade de Reims, période qu'il zappe un peu : « Il n'y avait pas les dirigeants qu'il fallait ».
Cette longévité est d'autant plus étonnante que le milieu de terrain a souffert de deux fractures de la jambe, la première sur le terrain, à Rouen, « le jour de mes 34 ans », la seconde dans un terrible accident sur l'autoroute vers Chartres, crash dont « Dédé » est sorti broyé de partout.
Curieux pour quelqu'un qui n'a jamais passé son permis de conduire (« Il n'y a qu'Onnis et moi »). A Metz, même par temps de grand froid, il se rendait à l'entraînement « en solex » : « A Reims, j'ai fait l'effort de m'acheter une mobylette ».
Rennes et Metz sont les deux clubs qui ont le plus marqué « Dédé » : « A Rennes, j'ai gagné la Coupe de France. A Metz, nous étions une équipe de potes et avions la meilleure attaque ».
Bien avant le foot désormais, les courses sont le dada du retraité. Déjà joueur, « Dédé » arrivait avec Paris-Turf sous le bras. Aujourd'hui, il est un spectateur assidu de la chaîne Equidia qui lui permet de parier en direct : « Je joue tous les jours. Je surveille les cotes sur Geny Courses ».
Le Ch'ti de Leffrinckoucke - comme Michel Hidalgo et Christian Synaeghel - n'est plus « le gueulard » qu'il était : « Quand j'avais tort, je savais le reconnaître mais quand j'avais raison, j'allais jusqu'au bout ». La conséquence peut-être des sangs algérien et polonais qui coulent dans ses veines.
Grégory Betta a une anecdote qui le touche au plus près concernant ce franc-parler : « Quand j'avais 9 ans, je jouais au Stade de Reims. Mon père a assisté à un match. Il m'a dit : Toi tu vas faire des études ». Dur mais bien vu…Match des anciens du Stade en juin 2000 à Antibes Andre Betta en bas à gauche Dario Grava venu en renfort 4ème en bas à droite et le 5èmè en haut depuis la gauche : devinez.........
Article largement inspiré de Jean-Pierre PRAULT journal L'UNION
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STADE DE REIMS : 1 AN DE PLUS
FOOTBALL (L1). Grâce à une 10e victoire obtenue hier face à Lorient, le promu Stade de Reims est parvenu à conserver sa place en Ligue 1. Retour sur les faits du match et analyse.
Ils l'avaient rêvé, ils l'ont fait ! Les Rémois feront toujours partie des vingt clubs de l'élite en août prochain. A l'issue d'une belle partie d'échecs avec un élégant adversaire lorientais, l'équipe d'Hubert Fournier a finalement bien négocié son dernier virage à domicile. Il n'y a pas eu de dérapage, la trajectoire fixée a été respectée.
Son succès, le 8e à domicile, le 5e sur la plus petite des marges (1-0) cette saison à Delaune, associé à la défaite de Nancy face à Bastia (1-2), lui permet de conserver son rang dans un championnat qu'elle a traversé de façon certes irrégulière, mais globalement réussie. Un bon point pour un promu au budget insignifiant, qui aurait bien pu se retrouver, avant la dernière journée, dans l'inconfortable position de Brest et même de Troyes.
Il lui reste maintenant à bien exploiter l'expérience accumulée, pour mieux gérer son deuxième exercice dans l'élite.
x LE CONTEXTE
Stressant beaucoup, serein un peu. « On sait ce qu'on a à faire », répétait-on dans le camp rémois. Le Stade, sans victoire depuis quatre matches, souffre d'un manque d'efficacité offensive. Sans objectif précis et décimé par les blessures, Lorient - et son jeu ouvert - semblait être l'adversaire adéquat pour une soirée d'adieu.x LA STRATEGIE
Plutôt que son 4-4-2 habituel, le FCL se présentait dans un 4-4-1-1, avec Jouffre en attaquant de soutien derrière Monnet-Paquet. Chez les Rouge et Blanc, De Préville débutait sur la droite, poussant Ayité, titulaire espéré, sur le banc.x LA PHYSIONOMIE
Le Stade voulait démarrer à fond. Objectif atteint. Sous la pression, Lorient reculait et offrait des espaces dans lesquels s'engouffraient Diego et Courtet.
C'est seulement grâce au brio de leur portier que les Merlus restaient dans un match parfaitement maîtrisé par leurs hôtes. Le penalty transformé par Krychowiak concrétisait cet élan offensif stadiste. Une dynamique qui allait malheureusement être stoppée par la grave blessure (rupture du tendon rotulien) de Diego.
En lançant Robert et Giuly dès la reprise, Christian Gourcuff précisait son intention de ne pas lâcher l'affaire. D'ailleurs, la seconde période était lorientaise. Les Merlus appuyaient sans cesse sur l'accélérateur à partir d'un vif trio d'attaque et un Corgnet gérant parfaitement le tempo. Ils s'exposaient aussi aux contres rémois, malheureusement mal assurés tant à cause de mauvais choix que de la fatigue.x LE TOURNANT
La sortie de Diego (45e), forcément. Sur le plan sportif, elle a privé l'équipe d'un accélérateur de jeu et de percussion sur le côté gauche. Sur le plan psychologique, elle a complètement inhibé l'équipe. « Les joueurs étaient traumatisés à la mi-temps d'entendre pleurer leur coéquipier dans la pièce d'à-côté », a admis Fournier.x LE CHIFFRE : 6
Comme le nombre de penalties dont ont bénéficié les Rémois cette saison. Avec 50 % de réussite. Ghilas (Sochaux), Courtet (Toulouse) et Diego (Paris) ayant raté leur tentative.x PAROLES DE COACHES
Hubert FOURNIER (Reims) : « Ce n'était pas évident, mais l'essentiel est fait. Nous avons fait le match que nous souhaitions, notamment en première mi-temps où, sans un grand Audard, nous aurions pu faire la différence. C'est quelque chose de grand que nous venons de réaliser. Se maintenir en L1, avec un seul joueur, Devaux, qui évoluait l'an dernier à ce niveau. Bravo aux joueurs qui ont su élever leur niveau de jeu pendant 37 journées. La saison a été difficile, avec beaucoup de tension, mais l'objectif est atteint et c'est le plus important ».
Christian GOURCUFF (Lorient) : « On ne méritait pas de gagner après notre première mi-temps insipide. Mon équipe était très diminuée, mais ce n'est pas une excuse. En seconde période, nous avons mis plus de rythme, plus d'intensité. Ce qui est dommage, c'est que l'arbitre intervient dans le scénario en accordant un penalty imaginaire à notre adversaire et en oubliant de siffler un en notre faveur. Ça fait beaucoup. » -
COMMISSION NATIONALE DES SPORTS
Hier j'ai assisté à la commission nationale des sports du Parti Socialiste où la Ministre des sports Valérie Fourneyron nous a informé de son travail parlementaire puis du projet de décentralisation et de réforme de l'action publique et conséquences sur le militantisme territorial dans le domaine du sport.
Vue partielle de l'assistance ,au siège du PS rue de Solférino
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REIMS 1 LYON 0
31e journée de Ligue 1 :
Reims – Lyon : 1-0
Buts : G. Krychowiak (53e sp)
En venant logiquement à bout de Lyon (1-0), les Rémois continuent de briller à domicile face aux grosses écuries de la Ligue 1. Victoire face au PSG, victoire à présent face à Lyon, ce Stade de Reims aime les défis. Les locaux s'imposent sur un petit score, mais au terme d'un match très largement dominé, face à des Gones toujours aussi fragiles.
Lyon à la traîne L'OL, qui a certainement dû observer la victoire de l'ennemi juré, Saint-Etienne, face à l'ETG, qui est passé devant au classement à la différence de buts se retrouve donc avec cette défaite chassé du podium et désormais 4e de Ligue 1.Face à l’Olympique Lyonnais, les Rouge et Blanc attaquent la rencontre pieds au plancher. Une succession de corners frappés par le pied gauche de Diego, abouti à une tête cadrée de Mohamed Fofana aux 6 mètres que Vercoutre peut repousser d’un arrêt réflexe (6e). Sur leur lancée, les Rémois emmenés par Diego ne baissent pas le rythme. Un centre en retrait du brésilien trouve Gaëtan Courtet, heureusement pour Lyon, le numéro 18 dévisse sa reprise (10e). L’arrière garde rhodanienne n’a pas le temps de souffler puisque Christopher Glombard, ailier droit d’un jour, est servi en profondeur et déclenche un tir puissant que Vercoutre détourne encore une fois en corner (12e).
Après cette période intense en occasions rémoises, le rythme retombe entre les deux formations. A la 30e minute, le Stade de Reims est encore à l’attaque. Sur un centre venu de la droite, Gaëtan Courtet déclenche une reprise de volée au point de pénalty mais Vercoutre réussi une énorme parade.
A la mi-temps ce sont les joueurs d’Hubert Fournier qui ont imposé leur rythme, malheureusement les nombreuses occasions n’ont pas pu être concrétisées. (0-0, 45).
1-0, score maison
Dès la reprise, le Stade de Reims est présent dans les duels et affiche une volonté importante. Diego crochète Gonalons à l’entrée de la surface puis enchaine d’une frappe surpuissante qui vient heurter la barre de Vercoutre. Lyon s’en sort bien sur cette action (50e). Mais ce n’est que partie remise, sur une nouvelle accélération Diego est retenu par le cou par Bisevac dans la surface. Sanction immédiate pour l’OL, Bisevac est exclu et surtout pénalty pour Reims ! Grzegorz Krychowiak se saisit immédiatement du ballon et plein de sang-froid, transforme le pénalty ! (1-0, 53e). Le Stade de Reims mène 1-0 et les 20.300 supporters peuvent laisser paraître leur joie.
Malgré les entrées de Briand, Mvuemba et Ghezzal, les joueurs de Rémi Garde ne se créent que trop peu d’occasions et voient toutes leurs tentatives repoussées par la défense rémoise. A la 68e minute, l’Olympique Lyonnais est proche de l’égalisation. Un coup-franc de Grenier aux 30mètres prend la direction du but mais Kossi Agassa se montre impérial ! Obligés de se découvrir, les visiteurs souffrent défensivement et Antoine est tout proche du break mais sa frappe est repoussée par les gants de Vercoutre (75e). La fin de match est parfaitement maitrisée par des Rémois solidaires et conquérants, repoussant toutes les tentatives. Au terme des trois minutes de temps additionnel, tout le monde peut souffler quand l’arbitre donne le coup de sifflet final. Le Stade de Reims s’est imposé, pour la troisième fois consécutive à Reims sur le score de 1-0 !
Ces trois points font un bien fou au Stade de Reims et ne seront pas de trop dans la lutte pour le maintien. A l’issue de ce match, les Rouge et Blanc occupent la 15e place en affichant 34 points au compteur. Prochain match samedi prochain avec un déplacement important à Brest.