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sarkozy - Page 2

  • CES GENS LA NOUS GOUVERNENT

    Consternation en France autour d'un clip de l'UMP

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    Nicolas Sarkozy risque d'apprécier moyennement l'initiative de ses ministres.
    Un clip de l'UMP, avec une joyeuse équipe de ministres dansant et chantant en play-back, est devenu un tube sur internet. Mais il consterne plusieurs responsables politiques, y compris dans la majorité de droite.

    «Qu'est ce que vous voulez que j'en dise de ce clip... Ah, non, il ne m'a pas fait rire!», a déclaré samedi le patron des députés UMP Jean-François Copé.

    A la question «comment autant de ministres peuvent se planter autant, ensemble, sans qu'il y en ait un qui s'en rende compte?», Jean-François Copé a répondu: «je ne sais pas dans quelles conditions tout ça a été fait. Je sais que c'est une initiative du parti», sous-entendu avec l'aval de son rival Xavier Bertrand, secrétaire général de l'UMP.

    Depuis plusieurs jours, internautes et médias passent en boucle et commentent, non sans ironie, le clip destiné à stimuler l'ardeur des jeunes militants du parti présidentiel, alors que la cote de Nicolas Sarkozy est au plus bas depuis son élection en 2007.

    Lagarde à la rythmique, Woerth en play-back

    Filmé lors de l'université d'été du parti, la vidéo montre des militants et une vingtaine de personnalités chantant en play-back sur un tube entraînant de Luc Plamondon, composé en 1976 et intitulé «Tous ceux qui veulent changer le monde».

    La ministre de l'économie Christine Lagarde y bat le rythme, le crétin porte-parole de l'UMP Frédéric Lefebvre fait un coeur avec ses mains, la ministre de l'enseignement supérieur Valérie Pécresse se trémousse en tunique blanche, alors que le ministre du Budget Eric Woerth chante, en play-back: «vivre d'amour et mourir d'espérance»...

    Désespérant

    Toutefois, quel dommage que la fonction "commentaires" ait été désactivée sur dailymotion ! Que de frustration pour tous les "fans" qui auraient tellement souhaité y déposer des messages d'amitié ou d'encouragement aux jeunes UMP et à leurs ainés qui débordent d'énergie pour nous distraire en ces temps particulièrement difficiles pour de nombreux citoyens

    Pour voir cette oeuvre cliquer sur: clip...

  • ESTROSI TOUTOU FIDELE

    Christian Estrosi : le sarkozyste zélé.

     

    Il en est des ministres comme de l'ensemble des citoyens, certains sont plus enclins à faire du zèle que d'autres. C'est assurément le cas du maire de Nice Christian Estrosi qui a donc décidé d'en rajouter une louche sur le thème de l'insécurité et de publier un de ces fameux arrêtés municipaux sur les mineurs qui font tant parler. Pourtant, il n'a sauté aux yeux de personne qu'il y avait plus de délinquances à Nice qu'ailleurs.

    Oui, mais la population aisée et vieillissante présente en masse sur la promenade des Anglais a eu légèrement tendance à voter Front National ces dernières années (comme quoi, trop de soleil, cela peut parfois être nuisible). A la veille d'élections régionales qui s'annoncent périlleuses, il faut bien donner des gages à cet électorat si on ne veut pas qu'il retourne dans les bras de Jean-Marie Le Pen. Peu importe le scepticisme des forces de police à ce couvre-feu, peu importe qu'une nouvelle fois on règle un problème de société par la force, peu importe que la menace de suppression d'aides sociales contribue surtout à enfoncer un peu plus des familles qui auraient plutôt besoin qu'on les aide. Non, Mr Estrosi a parfaitement compris que son mentor qui dirige l'Elysée voulait faire de la sécurité un thème de campagne, donc il communique sur ce sujet, montre ses petits muscles, et pour les conséquences, on verra plus tard.

    Mais ce n'est pas tout, car Mr Estrosi est vraiment un bon soldat du sarkozysme. Il ne lui a pas échappé qu'en lançant un débat sur l'identité nationale, messieurs Sarkozy et Besson avaient aussi l'intention d'instrumentaliser le dossier de l'immigration. Et comme avec le vote suisse l'actualité lui fournit une excellente occasion de s'afficher, Christian Estrosi ne s'en prive pas et déclare qu'il n'y aura pas de minarets à Nice. Voilà qui est courageux et qui va encore faire gagner quelques voix (ce qui reste à prouver). Mais, au fait, pourquoi cette déclaration soudaine ? Y a-t-il une mosquée en construction du coté de l'Arénas ? Quelqu'un a-t-il l'intention de construire un minaret dans le Vieux Nice ? Ou alors s'agit-il une nouvelle fois de jouer sur les peurs et de faire un effet d'annonce ?

    Sur ces deux exemples, on comprend mieux comment Nicolas Sarkozy tente de récupérer les voix du Front National. Tout simplement en reprenant ses idées. Malheureusement pour l'UMP, je crains fort pour ce parti que la mise en application de ces idées là n'entraîne aussi un retour des électeurs frontistes dans leur famille d'origine.

     D'aprés Nice-Matin d'aujourd'hui aucun jeune de moins de treize ans a été reconduit à ses parents vingt-huit hommes ont été déployés pour cette première soirée du couvre-feu pour mineurs de moins de 13 ans non accompagnés, créé par arrêté municipal et exécutoire depuis le 3 décembre .

     

       
  • AFFAIRE BELENGUIER A REIMS

    SARKOZY AIME LES JEUNES:Lire le message que vient de m'adresser un ami champardennais:A faire circuler

    plan_banlieue

    Bonsoir, 

     Vous recevez ce message parce que vous figurez dans mon carnet d'adresses.Mon fils Léo et trois de ses camarades ontété interpellés jeudi, placés 24 heures en garde à vue et condamnés à trois mois de prison avec sursis pour avoir participé à la manifestation devant le lycée Roosevelt Jeudi 19., lors de la visite de F. Fillion, venu présenter la réforme des lycées. Ci dessous un lien vers le site de FR3  qui donne l'info avec un premier commentaire laissé par le père de Léo. 

    http://lorraine-champagne-ardenne.france3.fr/info/champagne-ardenne/Prison-avec-sursis-pour-3-étudiants-manifestants-59049714.html 

     Si vous souhaitez soutenir Léo et ses camarades , sans aucune  obligation bien sûr, rien d'autre à faire que faire circuler à votre  tour  ce message à votre carnet d'adresses. 
     
      Mardi matin à 10 heures a lieu à Reims devant la maison des  syndicats une manifestation organisée pour le jour de grève dans l'éducation nationale. les étudiants que nous avons rencontrés hier vont s'y  joindre  pour protester contre la répression policière dont les 4 jeunes innocents  ont été victimes, c'est pour ceux qui le souhaitent et le peuvent  une  autre manière de montrer sa solidarité... 
      Merci à tous, amitiés 

     Marie-Paule et Georges Belenguier 
    mp.belenguier@sfr.fr 

     Bonjour 
      J'apporte ce jour le témoignage d'un père de famille dont le fils  est passé en comparution immédiate suite à cette manifestation  et a été condamné à 3 mois de prison avec sursis après avoir passé  24h en garde à vue. 
      Mon fils Léo Belenguier a 18 ans donc majeur et il est étudiant en  fac d'histoire à Reims. 
      Il n'est pas inscrit à un parti politique et s'est rendu à la manif  par solidarité avec ses camarades et amis du lycée Roosevelt.  Il a un casier judiciaire vierge, un attachement profond aux valeurs de justice et de solidarité doublé d'un tempérament doux et  pacifiste.Il s'intéresse à l'actualité politique en tant que personne  majeure porteur d'un droit de vote  particulièrement en ce qui concerne ses pairs.  

     Mon fils a déjà participé à des manifestations et n'a jamais commis  aucune violence ni exaction d'aucune sorte  allant même jusqu'à redresser des containers de poubelles en  déplorant ces actes susceptibles selon lui de discréditer  les actions menées. 
      C'est ce même jeune garçon qui s'est fait interpeler et menoter jeudi après la manifestation au cours d'une rafle commise  par la BAC alors qu'il attendait assis sur un plot pour reprendre son vélo garé devant le lycée,alors que la manifestation était  terminée et qu'il avait demandé aux CRS à quel moment son vélo serait  accessible. 
      Cette arrestation brutale est motivée par l' accusation d'avoir  jeté des pierres sur les policiers pendant la manifestation avec soi disant pour preuve une vidéo le montrant distinctement. Mon fils  fort de  son innocence a demandé aussitôt à voir la vidéo qui le mettait en cause. Il a été placé en garde à vue pour 24 heures, sans jamais pouvoir  visionner ce document qui était sensé l'accabler. La raison en était, d'après la police que la vidéo était sous scellés pour le tribunal. 
      Après 24 heures de garde à vue traumatisantes (refus de l'informer de notre connaissance de sa situation, annonce que sa garde à vue 
    pouvait  être prolongée s'il niait,refus de nous contacter pour que nous  communiquions aux forces de l'ordre les coordonnées de notre avocat...),il a été jugé en comparution immédiate qu'il a acceptée  pour  éviter de se retrouver en "préventive" chantage odieux qui ne lui 
    laissait d'autres choix que le procès expéditif ou la prison. Il n'a  rencontré son avocat commis d'office que quelques minutes avant  d'entrer  dans le prétoire ce qui laisse perplexe sur le temps accordé pour 
    préparer sa défense . 
    Malgré la demande des avocats et des inculpés, malgré l'absence  complète de preuves (le seul témoignage écrit est celui du policier  blessé qui disait n'avoir reconnu personne et expliquait que les  jets de pierre venant de l'arrière de la manifestation ne leur étaient pas  imputables puisqu'ils étaient sur l'avant )et malgré les dénégations  des  quatre inculpés, cette bande vidéo n'a jamais été présentée à  quiconque  et le procès s'est conclu par une peine de sursis de trois mois pour  chacun alors même qu'aucun témoin n'avait été entendu et qu'aucune  preuve 
    n'existait. 
    La conclusion de tout cela dépasse ce qu'un citoyen français peut  imaginer: la condamnation sans preuve d'un innocent pour l'exemple, 
    un traumatisme psychologique évident provoqué par une garde à vue  visant prioritairement à faire d'un innocent un coupable à coup 
    d'intimidation et de brimades de toutes sortes : autorisation  d'aller aux toilettes plus d' une demie heure après la demande, nuit passée dans 
    des conditions d'hygiène épouvantables , refus d'appeler les parents  pour le  choix de l'avocat, refus des policiers du commissariat de Reims alors que  je me suis rendu sur place sur leur conseil ,de me donner les  informations sur les suites de la garde à vue jusqu'à la comparution 
      immédiate après avoir soufflé le chaud et le froid et m'avoir donné  des  informations erronées ou contradictoires,refus du tribunal de 
    alors que  je me suis rendu sur place sur leur conseil ,de me donner les  informations sur les suites de la garde à vue jusqu'à comparution 
    prendre en  compte l'absence de preuves et au final une condamnation avec sursis  mettant directement en péril l'accès à la vie professionnelle de mon fils au terme de ses études. 
      J'espère que beaucoup de parents auront accès à cette information  pour s'alarmer des conséquences désastreuses d'une politique 
    sécuritaire  et paranoïaque capables de briser la vie d'un jeune homme jusque là  libre et heureux. 
     
    Georges Belenguier 

     

  • LES MENSONGES DE SARKOZY

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    Le discours dit " de Toulon " de Sarko restera la caricature de sa caricature usant du mensonge,de la façon la plus décomplexé qu’ils soit donnée à un président de la 5éme république.

    Le 25 septembre 2008 Sarkozy dans son discours de Toulon (qui restera dans les annales )appelait à "moraliser" le capitalisme financier ; et déclarait

    « IL faudra imposer aux banques de financer le développement économique plutôt que la spéculation. »

    et suit avec une approche de la plus value Marxiste inattendue :

    « Ne pas donner tous les bénéfices aux dirigeants et aux actionnaires en destiner une part plus grande à ceux qui par leur travail ont crée la richesse,redonner du pouvoir d’achat aux travailleurs ».

    une phrase en encense une autre qui résonne de façon plus Léniniste, sur la crise :

    « les responsabilités doivent être recherchés et les responsables de ce naufrage doivent être sanctionnés »

    et c’est au tour du logement : façon ?

    « Je veux que d’ici à deux ans plus personne ne soit obligé de dormir sur le trottoir et d’y mourir de froid »

    paroles pieuses mais creuses le discours se poursuit sur une dizaine d’autres questions, réponse sur le même registre à coté de ce qu’il fera réellement ce type est incroyable.

     Mégalo ou plaisantin il joue a fond la carte du bluff politique parce qu’il sait que la vérité le desservirait encore d’avantage qu’un mensonge qui n’est qu’un vœux pieux sans « conséquence ».

  • ENVOYER UNE CARTE AU PRESIDENT

    REFERENDUM POUR LA POSTE, ENVOYEZ UNE CARTE POSTALE AU PRESIDENT

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    Le comité national contre la privatisation de la poste, pour un débat public et un référendum sur le service public postal a arrêté le décompte des votes du 3 octobre à plus de 2,3 millions ! Sur la base de ce résultat, un courrier a été transmis au Président de la République qui est resté sans réponse.

    Cela traduit le mépris, ou au moins le peu d'égard, du Président à l'égard de l'exercice démocratique et de l'expression citoyenne.

    Une nouvelle campagne de mobilisation s'amorce pour la poste. Nous demandons aux Français d'adresser une carte-pétition, que l'on trouvera sur le site : http://www.referendumpourlaposte.rezisti.org, au Président de la République pour exiger :

    • Le respect de la votation du 3 octobre ;
    • Le retrait du projet de loi de l'ordre du jour du Sénat et de l'Assemblée nationale ;
    • L'ouverture du débat public ;
    • La tenue d'un référendum sur l'avenir du service public postal.

    Les Français qui ont voté le 3 octobre méritent mieux comme réponse que les encarts publicitaires publiés dans de grands journaux, avec leurs impôts ! ils doivent être entendus et consultés officiellement pour décider de l'avenir de La Poste. C'est une question de responsabilité démocratique et de respect des citoyens.

  • SARKO:ON T'A ENCORE VU

    Floirac(33): Arrestation de 2 garçons de 10et 6ans à la fin des cours

     Floirac, l'arrestation à la sortie des classes mardi à 16 h 30 de deux garçons de 10 et 6 ans, suspectés de vol de vélo, soulève la réprobation

    Deux enfants interpellés devant leur école

    Pour la maman d'Hicham, l'enfant de 10 ans amené au poste, il y avait d'autres façons de procéder pour vérifier si le vélo était celui de son fils ou pas.

     

    «Je suis arrivé avec ma femme à 16 h 10 pour chercher nos enfants, il y avait déjà deux voitures de police et six policiers », raconte Gérard. La scène qu'il décrit se déroule mardi après-midi, devant l'école élémentaire Louis-Aragon de Floirac. Cet établissement de la commune située sur la rive droite, dans l'agglomération bordelaise, compte huit classes pour un effectif de 193 élèves provenant pour beaucoup des lotissements voisins. Autant dire que les sorties d'école sont plutôt denses.

    C'est pourtant le moment que les fonctionnaires de la police nationale ont choisi pour arrêter deux élèves de 6 et 10 ans qui s'apprêtaient à quitter les lieux, chacun sur un vélo. « On n'a pas vraiment vu ce que la police faisait mais s'ils se mettent à traiter des enfants comme des grands délinquants, où va-t-on ! », s'emportait hier après-midi la mère d'une élève prenant à témoin un petit groupe de parents.

    « C'est honteux », disait encore plus fort Aïsha Ouachin, la maman d'Hicham, le garçon de 10 ans. « Je veux que les conditions d'interpellation de mon fils se sachent parce qu'on ne peut pas laisser faire des choses comme ça, il y avait d'autres façons de procéder pour vérifier si le vélo était le sien ou pas. »

    Minutes d'angoisse

    Mme Ouachin raconte avoir vécu quelques minutes d'angoisse. « C'est organisé comme ça, quand Hicham sort de l'école, il récupère Simon, son petit frère de 4 ans qui est à l'école maternelle juste à côté avant de rentrer ensemble. Mardi, je ne voyais personne lorsque la directrice de l'école maternelle m'a demandé de venir récupérer le petit. » L'enseignante lui apprend qu'Hicham a été interpellé. Aïsha Ouachin reconnaît avoir hurlé après le personnel de l'école élémentaire quand elle a voulu obtenir des informations. « Ils auraient dû m'informer de son arrestation », soutient cette mère de famille. Olivier Billand, le directeur d'école, que nous avons sollicité, indique : « Je me trouvais avec des élèves au moment des faits qui ont été signalés par une élève qui est revenue spécialement pour en informer des collègues. »

    Deux heures d'interrogatoire

    « Il peut se passer n'importe quoi à 10 centimètres de l'école et dix secondes après la sortie, tant que c'est à l'extérieur, ils s'en contrefichent », commentent des parents. Le directeur tempère en rappelant qu'en raison de travaux, « on ne voit rien sur l'extérieur de la salle des maîtres ».

    La mère d'Hicham s'est sentie rassurée une fois arrivée au commissariat de Cenon. « L'interrogatoire a duré près de deux heures, il a porté sur l'origine du vélo, mon fils et moi-même avons soutenu qu'il lui appartient. » Hier matin, elle a fourni une attestation sur l'honneur du donneur, un adjudant-chef de la base aérienne 106, à Mérignac, qui le lui avait offert il y a plus d'un an et demi. « C'est maintenant un vélo pourri, personne n'en voudrait », dit-elle dans un faible sourire.

    Une mère d'élève a pensé qu'il pourrait correspondre à celui qui lui a été volé en voyant Hicham arriver à l'école mardi matin. « Cette dame qui voulait me faire confisquer le vélo, ce que j'ai refusé, a finalement déposé plainte », explique le directeur d'école. Quelques instants plus tard, il était appelé par un policier, à qui il donnait le numéro de téléphone des parents d'Hicham. L'enquêteur lui disant « vouloir essayer de régler ça tranquillement ».

    Perturbés

    « Perturbé », Hicham a demandé à sa maman de ne pas aller à l'école, hier, contrairement à son compagnon d'infortune. À 16 h 30, ce petit garçon de 6 ans, accompagné de sa grande soeur, ne parvenait pas à desserrer les mâchoires lorsqu'un étranger lui demandait de ses nouvelles.

    « Si jeune, ça a de quoi traumatiser », pestaient Gérard et d'autres parents. « On a entendu des enfants dire que leurs camarades avaient été emmenés en prison, ça va très vite dans leur imaginaire », observe Olivier Billand. Le directeur envisage que les faits soient abordés dès le retour en classe de lundi.

    Toujours plus de contrôles et de gardes à vue

  • MEME PAS DROLE !

    Un_an_de_Sarkozy___l_Elys_e__de_la_rupture_au_d_senchantement

  • LOUIS LA BROCANTE BAT SARKOZY

     sarkozy perroquet guignol television sarkosi sarkosy

    Entendu sur les antennes:le feuilleton "Louis La Brocante" a fait plus d'audimat que notre Bonimenteur Sarko et vous avez reperé les erreurs et approximations de Nicolas S. lors de son oral de jeudi soir ? 

     1. Sur les déficits publics : "j'ai trouvé un pays où chaque français doit 20 000€".  A qui ? Pour l'essentiel aux français... Sur ce point et sur le discours lanscinant sur le déficit et la dette, voir ou revoir  ce billet d'Alexandre Delaigue.

    2. Sur l'immigration : "Michel Rocard l'a dit il y a longtemps, nous n'avons pas vocation à accueillir toute la misère du monde". Argument ultime souvent repris, avec l'éternel oubli de la deuxième partie de la phrase "mais elle doit savoir en prendre fidèlement sa part". Voir ou revoir le papier de Rocard.

    3. à plusieurs reprises, Nicolas S. met en regard les 1 900 000 chômeurs et les 500 000 emplois non pourvus, pour justifier notamment les sanctions annoncées à l'encontre des chômeurs. Ce chiffre de 500 000 circule souvent, sans que l'on sache vraiment d'où il sort. Peut-être des enquêtes Besoins en Main-d'Oeuvre (BMO) de l'Unedic, qui montrent qu'en gros 500 000 employeurs jugent difficiles leur projet de recrutement. Mais dire que le recrutement est difficile n'est pas synonyme d'emploi non pourvu. Voir sur ces enquêtes et les raisons des difficultés de recruter ce document du Credoc.

    Je ne prétend pas à l'exhaustivité, d'autant que, je l'avoue, j'ai souvent décroché...