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Elysée 2007 - Page 2

  • C'EST QUI QUI VA EMMENAGE

    L’Elysée et son locataire

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     Qui sera dans la salle des fêtes
    début mai 2007 
    où se déroulera la cérémonie d’investiture ?
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    Combien auront les 500 signatures ce soir ?

    Si personne ne peut répondre à cette question, il est par contre possible de connaître un peu l’histoire de ce palais,  et à travers lui , l’histoire de notre pays à travers les évolutions constitutionnelles, les habitudes de vie, les changements dans la représentation artistique ou les modes de communication.  

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    Le saviez-vous ?   Au début du XVIIIème siècle, l'actuel faubourg saint-Honoré n'était encore qu'une plaine traversée de pâturages et de cultures maraîchères, et de quelques maisons au toit de chaume.  

    Sous la Seconde République (1848-1852), le président de la République était élu pour un mandat de quatre ans, au suffrage universel direct : il n'y en eut qu'un seul, Louis-Napoléon Bonaparte. 

    L'élection présidentielle de 1965 est la première élection présidentielle au suffrage universel direct de la Vème République. Elle intervient après le premier septennat de Charles de Gaulle qui se présente à nouveau aux français et qui démissionnera 4 ans plus tard .    

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    Les tentures et tapisseries très anciennes de la Salle des Fêtes ont été tissées dans l’atelier de COZETTE. Par contre les dix portes-fenêtres  percées dans les murs est et sud et qui permettent  de retrouver le jour naturel à l'intérieur datent de...1984!  Dans le vestibule d’honneur, une sculpture d'Arman, " Hommage à la Révolution française ", est constituée de 200 drapeaux de marbre blanc à hampe de bronze doré.    

    Enfin, le Jardin d’Hiver était une serre qui abritait à l'origine des plantes vertes exubérantes. Il  a fait l'objet d'une réfection générale à l'occasion de deux campagnes de travaux distinctes confiées à l'architecte Guy Nicot en 1976, par le Président Giscard d'Estaing puis en 1984, par le Président Mitterrand.  

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    L'Elysée, les élections, l'actu, l'histoire...

    Toutes ces infos, et bien d’autres sont sur trois sites que je  vous laisse découvrir.   

     http://www.elysee.fr/elysee/francais/accueil...

     http://www.election-politique.com/presidenti...  

     http://www.ina.fr/elections/

    Et signe de l'évolution des moyens de communication,  il est possible d’accéder à une boîte aux lettres électronique pour écrire au président  et obtenir une réponse... par voie électronique ou par voie postale.

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      Toutes les photos de cette note:
    - PhotosLP  juin 2006 -      

     

  • CODE DU TRAVAIL

    François Bayrou considère que le Code du travail est un " Code de procédures ", qui organise la protection des salariés dans le moindre détail. Il veut le transformer en un " Code de principes ", qui se réfère à des principes généraux et dont l’interprétation se fera au cas par cas, selon le rapport de forces local. Mais, pour obtenir un " Code de principes " il faut démanteler l’actuel " Code de procédures ", il approuve donc la réécriture de Code du travail, entreprise par le gouvernement actuel. Sarkozy soutient cette réécriture car elle permet de gommer les procédures " tatillonnes ", " complexes ", elle conduira à laisser plus de place aux " négociations entre partenaires sociaux ", et à faire reculer les lois protectrices. Ils soutiennent tous deux le projet du Medef qui veut que les contrats permettent de faire exception à la loi.
    Sarkozy considère qu’il faut écraser le mouvement social qui nourrit la gauche et qui attend d’elle la fin de la casse sociale qu’organisent la droite et le Medef. Il reprend à son compte la stratégie que, en août 1995, Madelin avait formulée pour la droite : " il nous faut un nouveau Mai 68 et le gagner ". C’est la stratégie de Thatcher qui, en cassant la grève des mineurs, a assuré une victoire durable de la droite, y compris en ouvrant un boulevard à Blair qui, ultérieurement, allait conquérir la majorité du Parti travailliste.
    C’est cette voie qu’a voulu emprunter Juppé en novembre 1995 par sa réforme de la Sécu, Fillon au printemps 2003 par sa réforme des retraites et Villepin au printemps 2006 avec le CPE. N’ayant pu casser le mouvement social, ils ont jusqu’ici échoué. Si Sarkozy l’emportait le 6 mai, il aurait les moyens de préparer et de gagner cet affrontement central.

  • SONDAGES

    Au regarde les sondages on doit admettre que l’on trouve un écho à ce que l’on observe autours de nous au niveau extrêmement bas des votes de gauche qui y sont pronostiqués.Que vaut ces sondages puisqu’il s’agit toujours des mêmes « échantillons » de 800 personnes ? Mais ils placent à moins de quarante pour cent au premier tour toute la gauche. C’est sans précédent depuis plusieurs décennies dans cette sorte de sondage et dans ce que nous avons constaté dans les urnes. Notre étiage, vraiment bas était 42 ou 43 points.

     Il n'y a pas d'automatisme entre haut niveau de révolte contre la situation  que nous constatons tous autour de nous et conscience de gauche

     La candidate socialiste recueille la grande majorité des suffrages de gauche en tous cas plus de la moitié. Ce qui la rend majoritaire à gauche et devrait faire réfléchir ceux qui s’obstinent à bâtir leur campagne alternative sur la dénonciation des socialistes l’autre gauche est explosée en miettes et le moteur de la conscience de gauche est plus que poussif dans la société. Il ne s’agit pas ici des qualités individuelles des personnes concernées Il s’agit de leur vision de l’action politique à gauche et de leur façon de s’adresser au pays. Tous gèrent des patrimoines électoraux et se disputent les mêmes votes acquis ou supposés tels.
  • MACHINES A VOTER

    Des machines à voter dans les Hauts de Seine et les Alpes maritimes

    800 000 électeurs dans deux départements, les Hauts-de Seine et les Alpes-Maritimes, si rien ne change, n’auront pas d’autre choix, pour les prochaines élections, que d’utiliser une « machine à voter ».

    Le développement de l’usage de ces machines se réalise hors de tout débat national, hors de toute délibération du Parlement, hors du contrôle démocratique.
    Lire l’article d’Éric Loiselet sur le site de Rénover maintenant : les Hauts de Seine et les Alpes maritimes seront-ils pour Sarkozy la Floride de l’an 2000 pour Georges Bush ?

  • SI J'ETAIS DE DROITE......

    SI J'ÉTAIS DE DROITE, JE VOTERAIS À GAUCHE…"

    medium_images.jpeg Ce paradoxe commence a devenir sensé.
    Au train où vont les choses, si Nicolas Sarkozy passe…


    …, la société va donc se durcir. Dérégulation, délocalisation, concurrence partout, les riches plus riches, les pauvres plus pauvres. La société ira de plus en plus vers la règle des 80/20, c’est-à-dire, 20% qui prennent et 80% qui payent. Sinon pire. Ce qui aura deux conséquences : provoquer des tensions, des mouvements sociaux ou créer des problèmes de société coûteux car il faudra bien en fin de compte, s’occuper de ceux qui sont en bas de toute façon. On va proposer aux gens de travailler plus, pendant que… d’autres seront plus au chômage. Ce déséquilibre a un coût global… qui sera toujours plus cher que lorsque les choses sont équilibrées.
    Les tensions les événements ne favorisent jamais le commerce. Et casse la prospérité.
    Beaucoup d’électeurs de droite qui tablent sur leur prospérité améliorée avec la droite dure en pâtiront parce que leurs affaires marcheront moins bien, car ils ont toute chance de se retrouver dans les exclus. Couleront-il leur boite ?
    Alors lorsqu’on est de droite, il vaut d'être raisonnable en affaire, jouer sur plusieurs tableaux, avoir une bonne petite politique capitaliste pas trop ultra, sinon les affaires vont marcher moins bien.
    Aujourd’hui, qui représente cette droite modérée :Le nain de Beauvau,François Bayrou de plus en plus.
    En tout cas, mais si j'étais de droite et que j'ai moins de 10 ou 100 millions d'euros de fortune, je ne voterai pas Nicolas Sarkozy. Car ce ne serait pas notre intérêt. Soyons rationnel.
  • ELECTIONS ET NET

    La présidentielle vue du Net par les étudiants du CFJ

    Les élèves du Centre de Formation des Journalistes de Paris (CFJ), viennent d’ouvrir un blog d’actualité grace auquel ils “poseront leur regard sur la campagne présidentielle via les écrans high tech en tous genres”.

    “Un décryptage original de cette « netcampagne » inédite, riche en rebondissements, coups bas et coups d’éclat, jusqu’à la ligne d’arrivée, le 6 mai 2007.”

    http://www.ecrans-de-campagne.fr/

  • SEGOLENE A TF1(Chez Sarko)

    medium_10639301_p.jpgSégolène sur tf1 : avec les félicitations dela presse !

    Ségolène a passé son grand oral hier sur TF1. J'aime pas beaucoup ce terme,la politique n'est pas un jeu de trivial pursuite! Cependant, la puissance des médias télévisuel est telle que l'on peut voir l'importance capitale d'une telle émission.

    8,7 millions de téléspectateurs ont regardé hier Ségolène Royal(Sarko 8 millions)! C'était donc un très grand débat participatif...

    Ci-dessous la revue de presse faite par le Nouvel obs... On peut observer une chose, les éditorialistes, que l'on dit ségosceptique sont très enthousiastes sur la belle prestation de la candidate.

     

     J'espère qu'elle aura sû vous convaincre!

     

    Ségolène Royal sur TF1

    NOUVELOBS.COM | 20.02.2007 | 10:04

     

    De nombreux éditorialistes reviennent, mardi 20 février, sur la prestation de la candidate socialiste lors de l'émission "A vous de juger".
    LIBERATION
    Renaud Dely
    "Elle a remis sa veste blanche. En quête de la recette qui avait assuré son succès à l'automne, Ségolène Royal a ressorti sur TF1 l'uniforme qui avait accompagné cette période de félicité dans les sondages. Les participants, ces "vraies gens" dont elle prétend se préoccuper au premier chef, les thèmes, relevant du cas particulier voire de l'intime, le décor, cette agora télévisée censée copier ses forums "participatifs", tout montrait que la candidate socialiste jouait hier soir à domicile. L'émission n'était pas le "traquenard" redouté par certains de ses proches, mais plutôt une consultation au fil de laquelle la candidate a distillé avis et recommandations, érigeant la politique en médecine du quotidien. Ségolène Royal a parfaitement exécuté sa partition. Pas sûr pour autant qu'un show télé bien balisé suffise à renouer un lien fragilisé avec les Français."
    L'UNION
    Hervé Chabaud
    "La solution à tous nos problèmes est à puiser dans les recettes politiques des pays d'Europe du Nord ! Hier soir, Ségolène Royal est passée plus vite qu'à son tour par la case scandinave pour justifier sa certitude de remettre la France debout et dire son enthousiasme fondé sur la valeur ajoutée sociale. (...) Royal a déroulé son pacte présidentiel en prenant soin de rebondir sur chaque question posée pour en élargir l'assise et rappeler le maximum des propositions énumérées à Villepinte. (...) Mais se rend-t-elle compte que le ton qu'elle emploie pour répondre à certaines questions posées provoque une déperdition du fond de ses réponses ? Bien sûr, elle paraît à l'aise dans cette ambiance café du commerce et va même porter assistance avec un certain embarras à un handicapé en larmes. Bien sûr, elle est à l'écoute des personnes choisies pour l'interroger. (...) Mais son visage se durcit lorsque ses interlocuteurs prennent plaisir à la malmener et elle est alors hésitante. Preuve qu'il lui faut se blinder encore. Il lui reste deux mois pour retourner la situation."
    LA REPUBLIQUE DES PYRENEES
    Jean-Marcel Bouguereau
    "L'enjeu était énorme hier soir pour Ségolène Royal. (...) La forme de l'émission privilégiant les expériences personnelles l'a transformée dans un premier temps en une sorte d'assistante sociale. C'était Ségolène, mère de tous les Français et des plus démunis, avec ce qu'il faut de compassion et d'écoute. Une écoute dont elle a fait l'alpha et l'oméga de sa campagne. (...) L'examen a été passé avec succès. Reste à savoir s'il aura fait changer l'opinion des Français qui, dans 26 sondages consécutifs, la disent battue par Nicolas Sarkozy."
    LA REPUBLIQUE DU CENTRE
    Jacques Camus
    "Plus que jamais, hier soir, Ségolène Royal s'est comportée en "femme debout". Pendant plus de deux heures, sur le plateau de TF1, elle a gardé la posture. (...) Oui, à l'heure du "réajustement", Ségolène Royal a tenu à renouer avec ses "fondamentaux ". (...) A chaque question qui lui était posée, Ségolène Royal a commencé par remercier et répondre qu'elle était d'accord. Quitte, dans cet acquiescement consensuel, à flirter avec la démagogie poujadiste, comme en toute fin d'émission où a été dénoncé le "train de vie" des politiques. A peine interpellée sur le chiffrage de son pacte présidentiel, Ségolène Royal a plutôt bénéficié d'une bienveillante solidarité féminine. Et elle a pu, tout à loisir, insister sur les valeurs fondamentales que constituent pour elle la famille, l'éducation et la formation. En ramenant, à chaque fois qu'il était possible, le débat sur ce terrain très affectif, Ségolène Royal est redevenue la "candidate nounou" qui veut aider la France à sortir de ses souffrances. (...) Ségolène Royal a recouru hier soir à un usage immodéré du "je". Comme au temps où les sondages la poussaient à ne croire qu'en elle!"
    LES DERNIERES NOUVELLES D'ALSACE
    Olivier Picard
    "Qui, il y a seulement deux mois, aurait imaginé Ségolène Royal dans une telle situation ? Contrainte à l'exploit dans une émission de télévision pour tenter d'inverser le pronostic qui donne Nicolas Sarkozy largement gagnant contre elle au second tour, avec 10 points d'avance ? Le verdict pour hier soir? Elle a été bonne. Très bonne. Tout comme Nicolas Sarkozy quinze jours avant elle. Elle jouait sur son terrain - le débat participatif, elle connaît ça par coeur - et elle a maîtrisé l'exercice sans trac apparent, en dépit de l'énorme pression qui pesait sur ses épaules. Oui, elle a dominé l'émission avec cette espèce de naturel qui lui a permis de pouvoir concourir à la présidence de la République. Oui, avec le même talent que son rival de droite, elle a su utiliser le concept de "J'ai une question à vous poser" pour faire brillamment l'autopromotion de son programme, et d'elle même."
    suivra Imprimée par webcot AFP le 20/02/2007 à 04:16 
    L'INDEPENDANT DU MIDI
    Bernard Revel
    "Alors, Ségolène, elle a été bonne? Elle s'en est sortie? Elle a été à la hauteur? Elle n'a pas fait de gaffes? Les mauvais sondages ne l'ont pas déstabilisée? C'est curieux les questions qui se posent dès lors qu'il s'agit d'une femme. Remarquez, elle a l'habitude. "Un homme ne voit pas ses compétences mises en cause en permanence", a-t-elle dit hier soir. Une femme, oui. Elle peut en témoigner. Et c'est pourquoi, constate-t-elle, "c'est beaucoup plus dur pour une femme." On se moque d'elle. On prétend qu'elle n'a rien à dire. Mais cela ne fait que la renforcer dans sa détermination. Elle est prête, affirme-t-elle. Elle met en avant son expérience, son identité de femme, son idée moderne de la politique, son "regard nouveau". Elle a fait passer l'émotion. Elle a développé ses idées avec pragmatisme. Elle a refusé toute "polémique politicienne", hormis quelques allusions au "candidat de droite". Elle croit en elle. Alors oui, elle a été bonne."
    LIBERATION CHAMPAGNE
    Jorge d'Hulst
    "Ségolène Royal a, comme à Villepinte, laissé parler son coeur. C'est dans ces moments là qu'elle est la meilleure. Elle a retracé son itinéraire, rappelé qu'elle a été élève de l'ENA, travaillé pendant sept ans aux côtés de François Mitterrand, préparé les sommets internationaux pour lui, été trois fois ministre, a ravi le conseil régional de Poitou-Charentes à un Premier ministre. (...) Il y a assurément de la solidité dans cette femme. Au lieu de donner une inflexion dans sa campagne, elle a revendiqué sa façon de faire de la politique autrement. (...) Ségolène Royal considère qu'il faut tout simplement revenir aux fondamentaux. A commencer sur le plan économique. L'électorat de gauche a été sans aucun doute sensible à tous les gages qu'elle lui a donnés lors de cette émission. (...) Hier soir, Ségolène Royal a été fidèle à sa stratégie du départ: être concrète, proche des problèmes quotidiens des Français. Et cela lui a réussi dans la mesure où les questions ont surtout porté sur ces sujets là. De ce fait, elle n'a pratiquement jamais été en difficulté. Cette autre façon de faire de la politique qui passait jusque-là chez elle pour une faiblesse s'est transformée hier soir en force."
    LA MONTAGNE
    Alexandre Morel
    "Son " pacte présidentiel " au poing, Ségolène Royal est entrée dans une " nouvelle phase " de sa campagne plus offensive plus resserrée sur quelques idées force, comme elle s'est employée à le faire, hier soir, sur TF1 (...). Servie, dès le départ, par une formule tenant du " débat participatif " qui lui est cher (...) la candidate socialiste s'est voulue proche des gens (...). Leur évocation lui permet d'esquisser un socialisme compassionnel qui réconcilierait la protection des plus faibles et la relance de l'économie, avec pour inspiration maintes fois répétée les social-démocraties du nord de l'Europe. (...) Elle a ainsi articulé un discours qui se veut cohérent et innovant en faisant des subventions, aides et autres allégements de charges de l'État, une politique de discrimination positive pour les entreprises qui investissent, créent de l'emploi ou sont exposés à la conquête des marchés extérieurs. Une sorte de " gagnant-gagnant " qu'elle applique aussi à l'avenir politique en suggérant une ouverture d'entre deux tours (...)".
    L'EST REPUBLICAIN
    Pierre Taribo
    "La démocratie directe fonctionne de telle manière qu'une émission de télévision style " polity-show " peut vous tuer ou vous maintenir à flots. Alors on dira que Ségolène Royal, plutôt à l'aise dans cet exercice, n'a pas mal digéré ce mille-feuilles de questions. Mais sa performance sera-t-elle suffisante pour relancer la machine ? Réponse aux prochains sondages. En attendant on aura retenu l'habituelle brassée de " je et de moi " -peut-être une manière d'affirmer " je veux, donc je peux ? "-, le mélange d'engagements et d'imprécisions sur les moyens qui caractérise sa philosophie de l'action, les annonces, formules, proclamations qui n'ont jamais crée un seul emploi, les incantations sur le thème de l'ordre juste, le moment d'émotion géré avec tact et sensibilité, lorsque la situation des handicapés a été abordée."
  • CE SERA ELLE

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    Ségolène Royal propose un pacte présidentiel

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    Ce que vous m’avez dit, je l’ai entendu. Ce que je savais, vous l’avez confirmé.

    Aujourd’hui, je vous propose le Pacte présidentiel : 100 propositions pour que la France retrouve une ambition partagée, la fierté, et la fraternité.

    Plus de 6 000 débats ont été organisés sur tout le territoire. J’ai reçu par Internet 135 000 contributions. J’ai écouté les partenaires sociaux, j’ai rencontré les associations, j’ai mobilisé les experts. Vous avez été nombreux à vouloir participer à cette œuvre collective.

    J’ai souhaité ce travail d’écoute et de confrontation des idées. J’ai voulu que les citoyens reprennent la parole pour que je puisse porter leur voix : vous ne supportez plus que l’on rédige dans l’ombre des programmes aussi vite oubliés qu’ils sont écrits. Les promesses doivent être tenues, elles doivent être crédibles.Ce Pacte présidentiel, c’est ensemble que nous le mettrons en œuvre.

    Plus juste, la France sera plus forte.

    Télécharger le Pacte Présidentiel : SR_pacte_presidentiel.pdf

  • VIVEMENT DIMANCHE

    Dimanche 11 Février 2007: Fete souhaitée:Notre Dame de Lourdes

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    Le dicton du jour 

     C'est en ce jour de Notre Dame de Lourdes

     Que Ségolène ravira nos esgourdes

  • MEETING PARISIEN

    Segolene Royal pour son meeting parisien

    La France ne demande pas aux citoyens d'où ils viennent, mais où ils veulent aller ensemble.

    8.000 personnes autour de Ségolène Royal pour son meeting parisien.
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    A ses côtés Bertrand Delanoë, Dominique Strauss-Kahn, Henri Emmanuelli, député des Landes, Jean-Pierre Chevènement, président d'honneur du MRC, Christiane Taubira (PRG), l'ex-ministre Bernard Kouchner, Arnaud Montebourg, Jack Lang, Jean-Marc Ayrault, Patrick Bloche, premier secrétaire fédéral de Paris, Daniel Vaillant...

    Bertrand Delanoë demande au "candidat sortant" Nicolas Sarkozy de "rendre des comptes" de son action depuis cinq ans et d'"assumer ses amitiés politiques", citant Charles Pasqua, Patrick Balkany, Alain Carignon, qui tous ont eu des démêlés avec la justice.

    Ségolène Royal ironise "Ceux d'en face, à droite et dans leurs relais dociles dans les médias, m'avaient déjà congédiée, accablée de toutes les insuffisances et de toutes les impotences, vilipendée dans des publications sordides, à la une de publications liées au pouvoir. Il y a sans doute un peu d'argent à gagner pour ces conglomérats de la finance et des médias, mais surtout, il y en a tellement à perdre si la gauche gagne les élections". Elle ajoute que la droite n'a qu'une obsession: "la défense de ses privilèges, de ses passe-droits, de ses abus, de ses réseaux et de ses clientèles, de son impunité.

    Allons-nous accepter qu'à travers l'un des siens, cette nouvelle oligarchie prenne la tête de l'Etat républicain ?
    "

    Elle accuse Nicolas Sarkozy d'emprunter ses slogans "à la droite américaine de l'époque du Vietnam ou à la dictature brésilienne", et de n'être que le candidat d'une droite "qui se bushise".

    Elle rappelle les mots du candidat de l'UMP "s'il y en a que ça gêne d'être en France, qu'ils ne se gênent pas pour quitter un pays qu'ils n'aiment pas".

    Ce slogan, dit-elle, "est emprunté à la droite américaine du temps de la guerre du Vietnam et à la dictature brésilienne qui érigea cette phrase -+le Brésil, aimez-le ou quittez-le !+- en mot d'ordre.

    Voici quelles sont aujourd'hui les références
    " de M. Sarkozy.

    Ségolène Royal expose sa propre vision "Aimer son pays c'est le vouloir meilleur, c'est l'écouter, le rassembler, l'améliorer, le transformer, c'est assumer son histoire et l'aimer les yeux grand ouverts". La nation "ce n'est pas seulement une histoire partagée et assumée, c'est le désir de faire de grandes choses ensemble.

    La France, ne demande pas aux citoyens d'où ils viennent, mais où ils veulent aller ensemble. La France de demain comme celle d'hier se nommera diversité
    ".

    Elle ajoute "je suis toujours là et bien là, et avec vous, de plus en plus nombreux, je sens une vague, je sens un souffle.Quelque chose est en train de changer. Cette vague va s'amplifier. Le peuple doit se saisir de notre projet présidentiel.

    J'ai voulu redonner la parole au peuple
    ", a expliqué la candidate. "Je m'engage à ce qu'elle ne vous soit pas confisquée (...) Avec votre parole, j'élèverai la France".