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stade de reims - Page 3

  • LES 80 ANS DU STADE DE REIMS

     

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    CHAMPIONNATS DE FRANCE :
    - 6 titres de champion de France de Division 1 : 1949, 1953, 1955, 1958, 1960, 1962
    ( le titre obtenu en 1942, championnat de « guerre », Zone occupée, n’est pas comptabilisé dans les titres nationaux)
    - 1 titre de champion de France de Division 2 : 1966
    - 1 titre de champion de National : 2004
    - 3 titres de champion de France Amateurs : 1935, 1939* et 1948*
    (* titres gagnés en tant que réserve « pro »)

     

    COUPE DE FRANCE :
    - 2 Coupes de France remportées : 1950 et 1958,
    - Finaliste : 1977

     

    COUPE DRAGO :
    - Vainqueur : 1954

     

    COUPE GAMBARDELLA :
    - Vainqueur : 1964
    - Finaliste : 1956, 1968 et 1977

     

    COUPE DE LA LIGUE :
    - Coupe de la Ligue remportée : 1991**
    (** coupe de la ligue ancienne formule, ou Coupe d’été. Seuls les clubs de Division 2 y participaient)

     

    COUPE LATINE :
    - Vainqueur : 1953

     

    COUPE D’EUROPE :
    - 2 finales de la coupe d’Europe des Clubs Champions : 1956 et 1959

     

  • GEORGES LECH

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    Aujourd'hui je voudrais souhaiter à ma manière un bon anniversaire à un copain:Georges Lech un footballeur remarquable que les moins de 40 ans ne peuvent pas connaitre.Un super footeux nait trop tot ou trop tard comme il me l'a confié plusieurs fois entre la génération Kopa et Platini ,un talent extraordinaire le Zidane des années 70

     Enfant des corons de Montigny, lorsque Georges Lech, accompagne son père au stade Félix-Bollaert, il ne sait pas que quelques années plus tard, il sera la vedette du RC Lens. Henri Trannin, le recruteur des sang et or, le décide très tôt à venir parfaire son jeu au RC Lens et à 17 ans, il fait ses grands débuts à Marseille. Convoité par Valenciennes il signe à Lens qu'à la condition que son son père , déjà malade , quitte la mine pour un emploi plus sain. Son père entrtiendra alors la pelouse de stade de Lens

    A 19 ans, il découvre l'Equipe de France avec laquelle il signera un bail de dix ans mais il n'a pas la chance de participer à la seule grande aventure bleue de l'époque, la Coupe du Monde 1966. Ces succès précoces, Georges Lech les doit, certes, à ses qualités de buteurs, et son drible chaloupé , il est souvent classé parmi les 5 premiers en championnat de France, mais aussi à une génération de jeunes Lensois (Krawczyk, Hédé ou son frère Bernard) qui crée une énorme surprise en finissant troisième en 1964. Les dirigeants lensois ne réussissent pas à bonifier cette performance et en 1968, l'équipe descend en D2. Georges Lech rejoint Sochaux puis Reims, où j'ai apprécié l'homme , puis le tennismann , deux clubs en perte de vitesse qu'il ne peut sublimer à lui seul. A moins de trente ans, il abandonne sa carrière suite à une entorse du genou mal soignée. La société Adidas l'embauche comme représentant avant de le licencier vingt ans plus tard. Aujourd'hui, Georges Lech est président d'honneur des anciens du Stade de Reims .

    Sa plus grande fierté est d'avoir permis à son père de quitter la mine grâce à ses talents de footballeur. 
    Bon anniversaire Jojo
     

  • NICE A SABRE REIMS

    stade de reimsAu terme d’une partie magnifique, le Stade de Reims s’est incliné face à l’équipe de Nice en quarts de finale de la Coupe de France mardi soir.

    Cela faisait dix ans que le Stade de Reims n’avait pas atteint le dernier carré de la plus populaire des compétitions nationales.
    Malgré la déception, nous devons rendre hommage à cette équipe et à son entraîneur Hubert Fournier pour le parcours extraordinaire qu’ils ont accompli dans cette compétition, les joueurs, pugnaces et déterminés, ont été à la hauteur de l’événement et nous les félicitons .

    Près de 20 000 personnes étaient présentes au Stade Delaune hier soir, un stade entièrement rouge et blanc, vibrant et s’enthousiasmant pour son équipe.

    C’est à travers ce genre de match que l’on se rend mieux compte de la capacité du Stade de Reims à fédérer autour de lui le public rémois, un public souvent exigeant parce que connaisseur et passionné.

    C’est maintenant un autre défi que le Stade va devoir relever : celui de se maintenir en Ligue 2, tant il est impensable qu’une équipe capable de produire le jeu proposé mardi soir puisse être reléguée en National !

    stade de reimsL’identité même de cette ville s’est forgée autour du sport, et plus particulièrement du football. Mon club a contribué à écrire une page importante de l’Histoire du football français, comme le rappelait il y a quelques semaines encore Michel Platini lors de la remise du trophée du Président de l’UEFA à Raymond Kopa.

    Reims est une ville qui respire le football, et c’est la raison pour laquelle elle a besoin d’une équipe performante et compétitive, comptant parmi l’élite du football français.
     La Ville et sa Maire Adeline Hazan soutiennentt plus que jamais le Stade de Reims dans son projet sportif.

    A l’image des dizaines de milliers de supporters présents hier soir au Stade Delaune, nous attendons maintenant avec impatience le retour en Ligue 1, une ambition à laquelle Reims peut et doit légitiment aspirer

  • STADE DE REIMS : L'EXPLOIT

    La Coupe de France a délivré une nouvelle surprise mardi soir avec la qualification pour les quarts de finale de Reims aux dépens du Stade Rennais à l'issue d'un match complètement fou. La formation champenoise, qui menait 3-1 à vingt minutes de la fin, a créé la sensation en s'imposant finalement après prolongation (4-3 a.p.). Les joueurs de Ligue 2 peuvent dire un grand merci à leur gardien Kossi Agassa, lequel a repoussé deux penalties en Bretagne.

    Les Rémois poursuivent leur route en Coupe de France. (Maxppp)
    Les Rémois poursuivent leur route en Coupe de France. (Maxppp)

    Un match complètement fou et une surprise au bout. Voilà résumé en quelques mots le 8e de finale de Coupe de France disputé entre Rennes et Reims ce mardi soir en Bretagne. Le club de Ligue 1, puni à Sochaux (1-5) trois jours plus tôt, voulait repartir du bon pied avec la réception d'une formation hiérarchiquement inférieure. Loupé. Déjà tombeurs de Montpellier dans l'épreuve début janvier, les Rémois ont coupé la tête d'une autre équipe de l'élite à l'issue d'une rencontre complètement folle qui s'est terminée en prolongation (4-3, a.p.). Une partie au cours de laquelle les deux équipes auront eu leurs chances mais qui a finalement souri aux plus petits.

    Totalement décomplexés au moment d'entrer sur la pelouse du stade de la Route-de- Lorient, les Rémois, 17e de Ligue 2 et dont l'objectif prioritaire demeure le maintien dans l'antichambre de l'élite, n'ont jamais fermé le jeu. S'ils ont concédé l'ouverture du score sur une réalisation du néo-Rennais Rezak Boukari (1-0, 37e), les hommes d'Hubert Fournier ont ensuite fait des misères à une défense aux abois, égalisant d'abord juste avant le repos par Morgan Amalfitano qui piquait merveilleusement bien son ballon devant Johann Carrasso (1-1, 40e). Les visiteurs ne s'en contentaient pas et, au retour des vestiaires, jetaient un gros coup de froid sur le public rennais qui voyait ses protégés concéder deux nouveaux buts en l'espace de dix minutes. C'est d'abord Julien Toudic qui se jouait de la défense rennaise (1-2, 54e) puis Gaëtan Courtet qui plaçait une magnifique reprise de volée hors de portée des gants de Carrasso (1-3, 64e).

    Agassa repousse tout

    Le plus dur semblait fait pour les Champenois mais Frédéric Antonetti, privé de nombreux cadres, avait la bonne idée de lancer Jérôme Leroy dans le bain. En huit minutes, le milieu de terrain du Stade Rennais remettait les siens à flots en signant un doublé (2-3, 71e et 3-3, 78e). A trop reculer, le Stade de Reims s'était fait punir. Mais à la 90e minute, suite à une mauvaise relance d'un Carrasso en difficulté, Toudic enchainait une frappe lointaine qui lobait le portier rennais avant d'heurter la barre transversale (90e)... Cruel. Dans la foulée, la balle de match était dans les pieds de Brahimi. Fauché dans la surface de réparation, l'international Espoirs obtenait un penalty et voulait se faire justice lui-même. Mauvaise idée, sa frappe trop molle était repoussée par Kossi Agassa (91e). Le gardien togolais, le même qui avait fait face à l'équipe de France lors de la Coupe du monde 2006, envoyait les deux équipes en prolongation.

    Et refaisait des siennes deux minutes plus tard. Suite à une main de Michaël Tacalfred dans ses dix-huit mètres, Rennes obtenait un deuxième penalty. Cette fois l'expérimenté Leroy se présentait face à Agassa mais le gardien était une nouvelle fois à la parade (92e) ! L'occasion était pourtant belle pour l'ancien joueur du PSG d'être le héros de la soirée. Un échec d'autant plus difficile à digérer que trois minutes plus tard le Stade de Reims reprenait l'avantage grâce à un but de Maxime Thonnel qui, d'une frappe en pivot, trompait Carrasso (3-4, 95e). Complètement fou, le match s'emballait encore mais les Rennais ne trouvaient plus la réussite. Brahimi frappait sur le poteau (105e), Alexander Tettey voyait sa frappe lointaine détournée somptueusement par Agassa (108e) et enfin Jean-Armel Kana-Biyik croyait avoir marqué le but de l'égalisation mais celui-ci était refusé puisque le ballon était sorti des limites du terrain juste avant (114e)...

    Assiégés, les Rémois résistaient jusqu'au bout et décrochaient avec la manière leur qualification pour les quarts de finale de l'épreuve. Quatorzième club de Ligue 1 à tomber, le Stade Rennais devra vite se relever. "Une grosse déception", analysera Frédéric Antonetti devant les caméras d'Eurosport. Dans le camp des vainqueurs, le rêve se poursuit. "On va aller au bout !", s'enthousiasmait Toudic avant de quitter le terrain. Vue le plateau et les qualités démontrées en Bretagne ce soir, le Stade de Reims aurait en effet tort de se fixer des limites.

    d'aprés le nouvel obs

  • LE STADE DE REIMS:RETOUR EN L.2

    Stade de Reims / Les voilà en L2. Ouf!

    Odaïr Fortes, en fin technicien, a trompé la vigilance de Ludovic Gregori pour porter le score à 2-0 à la 65e minute.

    Odaïr Fortes, en fin technicien, a trompé la vigilance de Ludovic Gregori pour porter le score à 2-0 à la 65e minute.

     

     

    Contrat rempli pour les Stadistes, vainqueurs à l'énergie de coriaces Ariégeois. Les voilà en L2. Ouf !

    ET Alban Hung mit son sifflet à la bouche pour faire retentir trois coups secs. Delaune vida alors son trop- plein d'impatience. Ivre de bonheur, il se leva comme un seul homme.
    Brièvement, Marc Collat et son staff se regroupèrent en cercle comme pour remercier cette force divine qui venait de hisser leur équipe à l'étage supérieur.
    « Qui ne saute pas n'est pas rémois », chantait l'enceinte de la Chaussée Bocquaine. Et tout le monde sauta sans trop savoir pourquoi. Que c'est beau un stade heureux…


    Souffrance
    Dix mois d'une dure bataille avec ses déplacements au long cours, insolites et piégeux. Plus de 4 240 minutes à ferrailler avec des adversaires au niveau technique inégal, mais à la fierté en bandoulière dès qu'il s'agissait de faire un croc-en-jambe à ces bourgeois rémois, relégués médiatisés de L2 et prétendants déclarés à la remontée immédiate. Tant de souffrance pour en arriver à cette issue heureuse, à cette soirée enfiévrée, d'abord stressante puis festive. « Rien n'a été facile », a dit un Jean-Pierre Caillot à peine détendu. « Ce fut difficile, mais nous avons réussi », a poursuivi un peu plus tard Marc Collat tout en retenu.
    Le vestiaire stadiste était lui, en ébullition, les joueurs se libérant de leur angoisse en aspergeant d'eau tous ceux qui s'approchaient d'eux, président et journalistes en tête.
    Cette soirée de délivrance aurait pu se transformer en vendredi de cauchemar tant le Stade, une fois de plus, s'amusa à se faire peur. Les démons de Beauvais et de Plabennec, rôdaient encore dans les parages. Près de 40 minutes d'hésitation, d'étourderie, avant le coup d'éclair.
    Un coup franc réussi du jeune Nguyen, symbole d'une jeunesse revigorée. Ce prénommé Johnny qui met le feu…
    À la Hinault
    1-0, puis 2-0 et puis… Un adversaire qui se rebiffe, la fébrilité qui change de camp et un public devenu aphone. « On a encore souffert, ce match est à l'image de notre saison », reconnaîtra un président encore traumatisé.
    Mais il était dit que ces diables de Luzenacois, coriaces et incisifs, ne devaient pas gâcher la fête champenoise. Tout était prêt, acrobates, confettis, pancarte « Ligue 2 », et même ce bon vieux Charles Aznavour et sa rengaine d'un autre temps.
    En serrant les dents comme le faisait ce « blaireau » de Bernard Hinault (*), à l'attaque dans les Pyrénées, les Stadistes ont fini par faire plier les Ariégeois. C'était le dernier obstacle menant dans l'antichambre de l'élite.
    La victoire en tremblant, mais la victoire quand même.
    La tête dans les étoiles en ce frais vendredi printanier, ils s'enivrèrent de félicitations et de belles promesses.
    Gérard KANCEL
    (*) Le quintuple vainqueur du Tour de France a donné le coup d'envoi.

     

  • STADE DE REIMS:L'AMER DU NORD

    Rien ne plus au Stade de Reims ,battu hier soir en coupe de France par Dunkerque club de CFA 2 (2-1) la situation est sans doute pire qu’on osait décemment imaginer la crise ne couve plus elle va éclater.

    Le Président Jean-Pierre Caillot raconte à qui veut l'entendre qu'il démissionnera si l'équipe se maintient en L2, mais qu'il restera si elle descend en National.

    Le moins que l'on puisse dire, c'est qu'il ne prend aucun risque à relever ce challenge de dupes. Pourtant, un choc psychologique sans précédent est nécessaire pour espérer sauver ce qui peut l'être encore

     

     

     

  • STADE DE REIMS :TOUJOURS PAREIL

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    TOUS coupables, et certains un peu plus que d'autres. Forcément. Il y a eu certes la parenthèse décontractée et exotique de la Coupe de France à Villeneuve-Saint-Germain. Le temps d'oublier provisoirement ses soucis domestiques. Et c'est déjà la rechute. Au Stade de Reims, les mêmes causes produisent les mêmes effets. Ce club au riche passé n'a plus de mémoire. L'étourderie est devenue la qualité principale de ses joueurs. Ces derniers l'exploitent avec régularité et talent et c'est toute une institution qui en pâtit. Vendredi soir à Troyes, Didier Tholot semblait las.

    Le responsable technique rémois a délivré son discours habituel. Il aurait pu l'enregistrer deux mois plus tôt et distribuer la bande aux poseurs de questions qui lui faisent face. « Encore un but sur coup de pied arrêté. On a beau insister, travailler sur cet aspect du jeu… Un manque de concentration, de méchanceté et d'expérience nous coûte encore le match. » Expliquer, répéter, argumenter, provoquer même. Tholot a tout essayé. La volonté et l'envie ne manquent pas à ses joueurs, mais c'est encore très insuffisant pour s'extirper du bourbier dans lequel ils ont précipité le club. Douze points en seize matches, c'est consternant mais justifié.

     Entre les paroles et les actes il y a parfois plus d'un océan de contradictions. On pourrait avancer que sur la pelouse du stade de l'Aube, l'enjeu a paralysé le jeu. Que l'Estac, moins à l'aise dans ses crampons depuis quelques semaines, avait la tête près du bonnet, facilitant l'expression de son voisin. Ce dernier, sans génie, tenta de mieux faire circuler le ballon, et s'en est arrêté là. « On a connu des derbies plus pétillants », expliquait un avisé observateur. « Nous avons été trop timides pour aller de l'avant, on s'est arrêtés en cours de route », confirmait un Didier Tholot à la colère contenue. Liébus : « Il va falloir cravacher » Pour autant, ce pâle Reims aurait pu, avec un brin de jugeotte, repartir avec le minimum syndical, ce point qui lui tendait les bras. Mais manifestement, il avait décidé d'aider son adversaire à reconquérir son public.

    Pourtant, après des heures de travail spécifique et de vidéo, les défenseurs stadistes n'auraient pas dû se laisser surprendre sur ce corner de Faussurier, qui suivait un très beau coup franc de Kébé, claqué par Liébus. « Eh oui, encore un coup de pied arrêté. C'est toujours pareil, je suis dégoûté, regrettait Yann Kermorgant. On sait qu'il faut faire preuve de plus de rigueur, ça commence à faire beaucoup. » « C'est comme d'habitude, renchérissait Johan Liébus. Ce but nous a tué le match, alors qu'on avait su être sérieux et appliqué. C'est compliqué parce que c'est comme ça depuis le début. Sur le corner, on a mis trop de temps à se mettre en place et on était un peu loin au marquage. » Le portier stadiste, très présent vendredi, a toujours l'analyse juste. Sa mise en garde est d'autant plus intéressante : « Il va falloir cravacher car on est au fond du trou. Plus les matches avancent et moins il y a de points à prendre. » Une évidence qui échappe encore à certais membres de sa « famille ».