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  • CONTRE LA FERMETURE D'ELECTROLUX

     

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    Messieurs les dirigeants et actionnaires d’electrolux
    La qualité de l'industrie ardennaise n'est-elle pas un atout pour votre groupe ? Jusqu'où va l'appétit de vos actionnaires pour que vous décidiez de sacrifier 400 familles ?

    Votre décision pèse et pèsera longtemps sur nos communes qui s’appauvrissent aux fils de vos plans sociaux et de vos licenciements boursiers.

    Vous n'avez encore démontré à personne, et notamment pas aux salariés, que leur usine fait peser un risque à Electrolux. C'est avec la plus grande indignation que nous vous exprimons notre colère devant le projet de fermeture d'Electrolux Revin."

     

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  • DE RETOUR DE TOULOUSE

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    A Toulouse j'ai revu Claudine Ledoux Maire de Charleville-Mézière et , lui ai apporté la photo qu'elle m'avait demandé de lui remetrre où elle figure , le jour de le cérémonie de décoration à l'Ordre National du Mérite de mon Père en 1998.

    Grand moment d'émotion partagé en souvenir de ce Grand Homme.

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    J'ai rencontré aussi le Ministre de l'Intérieur et je l'ai informé directement de la situation des Roms de Juan-les-Pins .

    Il m'a écouté , ce qui s'est dit sera transmis aux intéressés , avec qui j'ai pris rendez-vous . 

     

  • SOLIDARITE AVEC LE PEUPLE CUBAIN

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    L’ouragan « Sandy » qui vient de balayer le sud-est de Cuba a semé mort et désolation. Malgré les dispositions prises par les autorités avec notamment l’évacuation de 55.000 habitants, les vents dépassant 180 km/h et les pluies diluviennes ont provoqué, selon un bilan provisoire, la mort de 9 personnes à Santiago de Cuba et 2 à Guantanamo.

    Des centaines de maisons ont été détruites. Des champs de canne à sucre et d’autres cultures ont été écrasés par les vents. Des inondations sont signalées en plusieurs endroits de la région alors que des vagues énormes ravagent le littoral et ont fait monter de deux mètres le niveau de la mer, signalent des observateurs.

    CUBA1.pngPas une minute à perdre. La solidarité avec le peuple cubain, particulièrement avec les habitants du sud-est de l’île, doit être rapide et efficace.

    Cuba Si se met immédiatement en relation avec ses partenaires cubains et lance une grande souscription :

    « Avec le peuple cubain, victime de l’ouragan ».

    Adressez vos dons de toute urgence à :

    Cuba Si France "Cyclone SANDY" 94, bld Blanqui, 75013 Paris.

    http://www.lesamisdecuba.com/

     

  • RETOUR DE TOULOUSE

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    Dureté de la crise économique, situation politique “épouvantable”, “éléments qui se déchaînent”… Les membres du gouvernement et responsables du PS réunis à Toulouse ont appelé hier les militants à “garder la nuque raide” au terme d’une semaine éprouvante pour l’exécutif.

    “Oui, c’est dur, mes camarades. […] Oui, l’héritage de Sarkozy nous plombe et nous engage. Oui, nombre de nos concitoyens doutent. Oui, la machine médiatique s’emballe”, affirmait Claude Bartolone, le président de l’Assemblée nationale. Un PS déprimé ? “Sûrement pas”

    “Bien sûr, notre mission est […] extrêmement difficile, mais aucun d’entre nous […] ne réclamait des satisfecit, des concerts de louanges, des commentaires compatissants”, a affirmé le ministre de l’Intérieur Manuel Valls.

    Déprimés les socialistes ? “Sûrement pas”, a répondu M. Bartolone, préférant les qualifier de “concentrés”. “Soyez fiers de ce qu’on a fait et de ce que fait le gouvernement”, a scandé Martine Aubry dans son plus beau discours politique avant de supplier ses camarades de ne pas mettre eux-mêmes des bâtons dans les roues de l’action gouvernementale : “Arrêtons de parler dans la presse”, de “répondre à des petites phrases”, “essayons nous-même de ne pas créer les difficultés”.

    Il s’agissait donc de convaincre les militants que la ligne du gouvernement est la bonne et qu’il ne déviera pas d’un iota. Jean-Marc Ayrault a ainsi assuré qu’il “assumait” et “revendiquait” sa méthode, celle du dialogue social et de la “mobilisation”, même si cela doit prendre “du temps” et “au risque d’être critiqué sur le rythme des réformes”. Son “nouveau modèle français” et les réformes structurelles qu’il nécessite “ne peuvent se faire à la hache” car “l’heure est trop grave pour que nous ne cherchions pas en permanence la solidarité dans l’effort”. Promettant d’accélérer sur la compétitivité, il “arrêtera ses décisions “le 6 novembre prochain : “Je vous garantis que des décisions seront prises parce que le pays en a besoin”.

     

  • VU DANS L'UNION

    Remois , qui n'a pas connu la Brasserie Du Boulingrin et son amblématique patron René chez on pouvait se présenter à point d'heure pour manger (j'en ai fait plusieurs fois l'expérience).

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    À quelques jours de la fermeture de la brasserie du Boulingrin qui devrait renaître dans un autre local, Pierre Leleu nous raconte l'histoire de la brasserie créée par son grand-père.

    C'est non sans une émotion certaine que Pierre Leleu, 65 ans, a retrouvé l'ambiance des halles Boulingrin il y a quelques semaines. Un peu navré pourtant ce samedi-là de ne pas pouvoir aller boire une coupe au bar de la brasserie du Boulingrin, bientôt condamnée à quitter les lieux, il nous a parlé de ce temple qu'il a bien connu et où il est né. Une brasserie créée en 1925 par ses grands-parents.

    « C'est mon grand-père Elie Leleu, qui, en 1925, a créé « Le Boulingrin » avec son épouse Claire, soit quatre ans avant l'ouverture des halles. C'était un bar à l'origine où les gens pouvaient manger sur commande et qui organisait tous les dimanches un concert symphonique avec apéritif et soirée. »

    C'est leur fils unique, René qui a repris l'affaire en 1940. « Si c'est lui qui avait de la gueule, comme on dit, homme de contact, jovial, qui offrait une petite coupe de l'amitié aux parents et une grenadine aux enfants ; c'est grâce à ma mère, née Marguerite Cortet, courageuse et volontaire, un vrai chef, que la brasserie s'est développée. Au départ, en effet, ils se contentaient de réchauffer les plats amenés par les commerçants des halles qui leur achetaient seulement des frites vendues dans une baraque donnant sur la rue et tenue par Elie. Assez vite, ma mère a commencé par proposer un plat du jour puis un menu avant de constituer une vraie brigade de cuisine avec un chef, André Jacobé, avant de retourner à la caisse. »

    Dans l'établissement, René et Marguerite étaient aidés de leurs trois enfants : Jacqueline, Madeleine et Pierre. Ils faisaient jusqu'à 300 couverts.

    Restaurant le midi et le soir, le Boulingrin nommé « Chez Leleu-Brasserie du Boulingrin » redevenait bar le matin avec casse-croûte dès 6 heures du matin et même soupe à l'oignon gratinée dès 3 heures à la sortie des cabarets.

    Pas question de lambiner

    Né dans la brasserie, Pierre Leleu y a passé son enfance. « Quand je rentrais de l'école Jeanne-d'Arc, j'avais mon petit coin de table pour faire les devoirs. Quand j'avais bien travaillé, on m'emmenait faire les courses aux halles. Un émerveillement. Les poissonniers faisaient revivre poissons et crustacés au milieu des algues et d'une épaisse couche de glace formée de mille glaçons. Les bouchers suspendaient derrière eux à des crochets des morceaux de viande. Les fromagers envahissaient leurs vitrines de fromages de tout l'hexagone sans oublier les maroilles aux vendanges. Les maraîchers présentaient leurs fruits et légumes comme un peintre avec sa palette de couleurs. Il y avait la souriante Mado avec les fleurs de son jardin… »

    Pierre Leleu se souvient aussi des hurlements de son père qui interpellait Larue de l'autre côté de la rue pour qu'il vienne répondre au téléphone ; les conversations sans fin avec le père Eugène Budes le poissonnier qui passait presque plus de temps chez Leleu que dans son commerce juste en face. Il se rappelle aussi qu'ayant terminé l'armée un 30 novembre à 8 h 05, il n'eut même pas le temps de dire bonjour. On lui a demandé de se mettre au boulot immédiatement.

    Au chapitre des souvenirs, le fils de René Leleu se rappelle encore le bon temps quand les cirques Pinder, Zavatta et Jean Richard stationnaient sur le Boulingrin. Ou quand, en 1978, Claude Lamblin (PCF) et Jacques Kosciusko-Morizet (RPR), tous les deux candidats aux législatives, étaient en même temps dans la brasserie et qu'il fallait faire comme si de rien n'était.

    Pour la famille Leleu, l'histoire s'est arrêtée en 1979 avec le départ à la retraite de René et la reprise par M. Allias qui fit rapidement faillite, l'établissement restant alors fermé pas mal de temps.

     

     

    Alain MOYAT

  • GRATUITE DES TERRAINS

    Gratuité des terrains publics pour construire des logements sociaux

     

    Le changement, c'est permettre aux collectivités locales d'accéder gratuitement aux terrains de l'Etat pour construire des logements sociaux, et relever l'exigence de la loi SRU de 20 à 25% de logements sociaux par commune.
     
    Mercredi 5 septembre 2012, la ministre de l’Égalité des territoires et du Logement, Cécile Duflot a présenté en Conseil des ministres son projet de loi de mobilisation générale pour la construction de logements.
     
    Ce texte est la traduction des engagements 22 et 23 pris par François Hollande pendant la campagne :
     
    Le gouvernement prévoit d’ici à 2016 la cession de 930 sites, qui représentent 2 000 hectares de terrains publics. Cet inventaire des terrains mobilisables, qui a vocation à être enrichi au fil de l’eau est public.
     
    Il constitue le premier jeu de données du compte OpenData de ce nouveau ministère qui a pour souci de développer un égal accès des citoyens à l’information publique. Car c’est aussi par là que passe l’égalité des territoires.
     
    Cette contribution du foncier public à l’offre globale est d’autant plus importante qu’il s’agit souvent d’un foncier situé au cœur des agglomérations. Or la construction de logements locatifs sociaux bien insérés est un élément indispensable pour favoriser la mixité sociale et l’égalité territoriale. D’ici à 2016, sur ces terrains, 110 000 logements pourraient être construits (dont près de la moitié en Ile-de-France).
     
     
     
  • VU DANS LIBE

    Par Adeline Hazan Maire de Reims et secrétaire générale adjointe de l’Association des maires des grandes villes de France (AMGVF)

    Le géant Hersant Média s’enrhume, la presse locale tousse, la France reste indifférente. Paru Vendu, Paris Normandie, l’Union : tous ces plans sociaux s’inscrivent de façon presque évidente dans un contexte de crise économique globale, et de la presse en particulier. Tout se passe comme si la mort des médias locaux était inexorable, les plans de licenciement inévitables, la fin de la presse écrite…

    Cette réalité économique, l’élue locale que je suis en fait l’expérience douloureuse. A Reims, l’avenir d’un titre créé à la Libération par des résistants, l’Union, est menacé par un plan social touchant 270 postes, dont 37 journalistes. Le fatalisme ambiant voudrait que les différents rachats des titres de Presse quotidienne régionale (PQR) par de grands groupes, parfois bien éloignés des réalités du journalisme, ne soient qu’une étape vaine pour retarder l’agonie de la presse. Mais rendons-nous à l’évidence, la PQR n’est pas la seule touchée par cette crise.

    La presse quotidienne nationale accuse elle aussi le coup à l’heure où Internet impose le culte de la transparence et de l’immédiateté. Les tribulations du Monde, du Nouvel Obs et de Libération ont fait la une du tout petit monde médiatique parisien. Car le possible rachat du Monde alerte jusqu’au sommet de l’Etat, quand la fin d’un titre local tel que l’Union, ancré dans un territoire, n’émeut pas au-delà du plan social qui l’accompagne. Evidemment, puisque c’est «inévitable». Et pourtant, à l’heure où le rôle politique des régions s’affirme dans la république comme au sein de l’Europe, comment peut-on faire si peu de cas de la disparition des médias régionaux ?

    La PQR fait partie de la vie de la région, de son identité culturelle, de ses repères. Bien sûr, on ne peut fermer les yeux sur la réalité des problèmes économiques. Ceux qui pensent que les médias ne sont pas liés aux fluctuations de l’économie se trompent. Un journal est une entreprise comme les autres, soumise aux mêmes impératifs de rentabilité. La qualité de l’information s’en ressent-elle ? Non, tant que les journalistes travaillent pour remplir leur objectif premier : enquêter, décrypter, informer. Le modèle de l’entreprise capitalistique est-il compatible avec la production d’une information libre et pluraliste ? L’inféodation des grands quotidiens régionaux aux baronnies locales est-elle la condition de survie d’un titre ? Telles sont les questions essentielles qui n’ont été qu’effleurées ces dernières années à longueur d’«états généraux» sur l’agonie de la presse écrite.

    Il n’y a pas de démocratie locale sans presse régionale libre. L’autonomie économique de l’entreprise de presse, la souveraineté des rédactions sur leur ligne éditoriale, la capacité à innover, conditionnent la liberté des médias régionaux. Les Français ne se désintéressent pas de l’actualité : ils vont la chercher par d’autres canaux. Internet a bousculé la manière dont le grand public s’informe et compose «son propre journal», de sorte que Twitter devient une source d’information au même titre que le JT de 20 heures. Comment rendre attractifs des titres qui appartiennent au patrimoine d’une région, que nos grands-parents lisaient déjà ? Tout d’abord en renouant avec les lecteurs, en retournant à leur rencontre sur le terrain, en leur donnant la parole. Internet est un réel espace démocratique dans lequel s’exercent des pratiques d’alerte et de vigilance de la part de l’opinion publique. L’information ne peut plus être descendante : il faut qu’elle intègre cette perturbation de la parole critique du grand public, à une époque où les citoyens doutent de la parole officielle - et c’est heureux.

    Les médias régionaux doivent renouveler leur modèle économique pour conquérir les jeunes. Près de la moitié des moins de 35 ans commentent les articles sur le Web et les relaient sur les réseaux sociaux. Les titres régionaux ont souvent utilisé la Toile comme vitrine de leurs éditions papiers. Prises dans un étau, tiraillés entre la qualité de l’information et la rentabilité économique qui exige de la produire «vite», la PQR et la PQN ont du mal à faire valoir leur plus-value. Quelle peut être cette plus-value, quand l’information brute est retransmise sans recul sur le Web ? Le fond. L’investigation, l’enquête, le reportage : tout ce que les médias et les journalistes d’aujourd’hui n’ont plus le temps, plus l’argent de faire. Le pire n’est pas certain. La presse écrite régionale n’est pas encore morte. C’est à nous, élus locaux et pouvoirs publics, d’aider nos médias à franchir ce cap, de soutenir les nouvelles initiatives, de secourir ces titres qui parfois nous égratignent. C’est à nous de soutenir leur indépendance, de protéger la liberté de la presse, de veiller à la diversité des canaux d’information, de garantir dans nos territoires les conditions d’exercice d’un journalisme restauré dans sa vocation première : informer un public qui ne croira pas sur parole. Car quand la presse s’enrhume, c’est toujours la démocratie qui tousse.

  • ELECTROLUX REVIN

     
    MERCI DE PARTAGER A FOND EN SOUTIEN AUX OUVRIERS D'ELECTROLUX AFIN DE SAUVER NOS ARDENNES ET MONTRER A CES GENS QUE LES ARDENNAIS SONT AVEC EUX !!!

cette photo doit faire le tour des Ardennes et si vous avez des politiques dans vos contacts, n’hésitez pas a partager la photo sur leur mur afin de les faire réagir aux problèmes des Ardennes !!

Pour une fois que vous pouvez agir sur le problème de la fermeture
d'ELECTROLUX, voici l'adresse où envoyer un petit courrier de protestation.....
contre la fermeture du site de revin
ELECTROLUX HOME PRODUCTS FRANCE
43 Avenue Félix Louat
60300 SENLIS

et faites sauter les boites mail.....
ehp.consommateur@electrolux.fr
serviceconsommateurs.electrolux@electrolux.fr
AGISSEZ !!!!
    MERCI DE PARTAGER A FOND EN SOUTIEN AUX OUVRIERS D'ELECTROLUX AFIN DE SAUVER NOS ARDENNES ET MONTRER A CES GENS QUE LES ARDENNAIS SONT AVEC EUX !!!

    cette photo doit faire le tour des Ardennes et de la France et si vous avez des politiques dans vos contacts, n’hésitez pas a partager la photo sur leur mur afin de les faire réagir aux problèmes des Ardennes !!

    Pour une fois que vous pouvez agir sur le problème de la fermeture
    ...
    d'ELECTROLUX, voici l'adresse où envoyer un petit courrier de protestation.....
    contre la fermeture du site de revin
    ELECTROLUX HOME PRODUCTS FRANCE
    43 Avenue Félix Louat
    60300 SENLIS

    et faites sauter les boites mail.....
    ehp.consommateur@electrolux.fr
    serviceconsommateurs.electrolux@electrolux.fr
    AGISSEZ !!!!
     
     
    COMMUNIQUE DE PRESSE

    FERMETURE ELECTROLUX REVIN

    La Fédération du PS des Ardennes réagit fortement dès l’annonce de la fermeture du groupe ELECTROLUX à Revin.
    ...

    Une fois encore, le bassin de l’emploi de la Vallée de Meuse et du département des Ardennes est frappé par une nouvelle fermeture d’usine Electrolux à Revin. C’est une véritable catastrophe dans un territoire déjà très durement touché par le chômage.

    Alors même que le groupe suédois publie des résultats supérieurs aux attentes, avec un bénéfice net de 19 % au 3ème trimestre, force est de constater, qu’une fois encore, la finance et les actionnaires sont seules prioritaires.

    La Fédération du PS est solidaire de l’ensemble des salariés de cette entreprise et prend part à toute manifestation de soutien.

    Annie FLORES, Première Secrétaire Fédérale, fait part aujourd’hui de cette situation auprès du Ministre du Redressement Productif, Arnaud MONTEBOURG.

    Annie FLORES
    Première Secrétaire Fédérale

  • ELECTROLUX REVIN

    REVIN (Ardennes). Electrolux a annoncé ce matin son intention de fermer ou céder dans les deux ans à venir son usine de lave-linge qui emploie 419 personnes à Revin, dans les Ardennes. Dans la Vallée, c'est la colère, la consternation et l'appel à la mobilisation générale.

    Après le coup de bambou, la colère. L'annonce du fabricant suédois d'électroménager a surpris tout le monde. Les syndicats du site revinois avaient planché durant près de neuf mois sur le projet ARdennES pour produire une nouvelle machine et relancer l'usine.

    Non seulement le projet a été balayé du revers de la main, mais le sort d'Electrolux à Revin est désormais scellé. Dix-huit mois après la fermeture de Porcher l'avenir de la Vallée hante tous les esprits.

    Une décision d'autant plus difficile à comprendre que le bénéfice d'Electrolux a grimpé de 19%.

    Mis au pied du mur, salariés et politiques n'ont pas tardé à réagir.

     

    "Les actionnaires seuls prioritaires"

    La Fédération du PS des Ardennes  parle d'une "véritable catastrophe dans un territoire déjà très durement touché par le chômage". "Avec un bénéfice net de 19 % au 3ème trimestre, force est de constater, qu’une fois encore, la finance et les actionnaires sont seules prioritaires" , souligne la fédération socialiste par le biais de sa première secrétaire fédérale Annie Flores.

  • SARKOZY : REVIENS

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     Honnêtement, je regrette le garçon. On s'amusait bien dans nos malheurs. Il était mauvais, agressif, clivant, inconstant, inégal, bravache, narcissique, agité. Pour un blogueur , c'était un régal.

    La Fabrique de l'Opinion avait mis quelques temps à le réaliser; puis tout le monde s'était rallié à l' anti-sarkozysme.

    Au moins le temps d'une campagne et d'une défaite. Depuis l'été, les médias conservateurs s'amusent à régulièrement titrer sur l'éventuel retour de Nicolas Sarkozy (Et s'il avait raison ? Et s'il revenait ? Et s'il se déclarait ? etc...).

    J'espère bien que Nicolas Sarkozy n'est pas loin. Comme Richard Nixon en son temps, il  a encore  quelques casseroles pour lui. Comme Valéry Giscard d'Estaing en son temps, je suis  prêt à m' amuser de sa rancoeur philosophale.

    Pour l'heure, je préfère relire l'édition de l'hebdomadaire Marianne. Elle prolonge une analyse déjà faite . Toutes celles et tous ceux qui célèbrent l'ancien monarque à tire-larigot n'espèrent qu'une chose: qu'il ne revienne jamais.

    Et oui.

    Ami sarkozyste transi d'adoration et de regrets, il faut te faire à cette cruelle idée: les meilleurs ennemis de Nicolas Sarkozy sont dans son propre camp. Un éventuel retour contredirait trop d'ambitions.

    C'est pour cette raison que je suis assez confiant sur le sort judiciaire de Nicolas Sarkozy; ça va balancer à droite à chaque fois que Sarkozy fera mine de pointer son bout de nez.

    Ami sarkozyste, console-toi , les pires ennemis de François Hollande sont dans le camps de la Gauche et des 4 millions de personnes qui prétendent avoir voté pour lui.