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Actualité - Page 20

  • PROMESSE TENUE

    Il neige et il fait froid en hiver

    55 départements ont été placés en vigilance orange par Météo France alors que les accidents mortels se multiplient sur les routes en raison de la neige et du verglas.

     

    Et donc il neige. Les flocons bloquent sans surprise les transports de notre cinquième puissance économique du monde . 55 départements ont été placés en vigilance orange alors que les accidents se multiplient sur les routes en raison de la neige et du verglas.

  • SYRIE :LE DANGER S'AGGRAVE POUR LES CIVILS

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    Syrie : enfant blessé lors d’un bombardement © Amnesty International
    Syrie : enfant blessé lors d’un bombardement © Amnesty International

    [21/12/2012]

    Depuis le début des troubles en Syrie, qui sont apparus en mars 2011 et se sont à présent transformés en un conflit armé interne qui touche la quasi-totalité du pays, des dizaines de milliers de personnes ont été tuées. Alors que les affrontements semblent voués à se poursuivre et même à s’intensifier, les civils payent le plus lourd tribut au conflit.

     


    Les deux parties au conflit ont tué, torturé et maltraité des prisonniers. Le gouvernement syrien est responsable de bombardements aériens et de tirs d’artillerie indiscriminés sur des zones fortement peuplées, ainsi que de l’usage d’armes interdites par le droit international, telles que les bombes à fragmentation.

    Les forces d’opposition ont parfois employé des armes imprécises (telles que les mortiers) ou même des armes qui sont non discriminantes par nature (telles que des lance-roquettes artisanaux) dans des zones résidentielles très peuplées. L’opposition armée a récemment saisi, sur les positions des forces armées gouvernementales, une quantité importante d’armes lourdes. Si de telles armes sont utilisées de façon irresponsable, le risque que des civils soient blessés ou tués va s’accroître.

    Amnesty International appelle les deux camps à respecter les droits humains, à faire de la protection des civils une priorité et à se conformer strictement à leurs obligations vis-à-vis du droit humanitaire international.

    Agissez vous aussi dès maintenant EN SIGNANT LES DEUX PETITIONS !

     
     
    Message adressé au Représentant permanent de la République arabe syrienne auprès des Nations unies SIGNEZ
    Message adressé au Président de la Coalition nationale des forces de la révolution et de l’opposition syrienne SIGNEZ

     

     

     

     

     

     

  • CERCLE CONDORCET

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  • MARIAGE POUR TOUS :C'est oui

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    Ce sera la grande affaire du premier trimestre. Et "le Nouvel Observateur" entend être partie prenante de ce débat historique. La rentrée du président de la République sera largement occupée par la controverse autour du mariage pour tous.

    Une réforme que notre journal a décidé de soutenir, comme l'illustre la publication de notre manifeste "Pour nous, c'est oui !", d'ores et déjà signé par plusieurs dizaines de personnalités (intellectuels, artistes, comédiens, écrivains, psychanalystes…) homosexuelles ou hétérosexuelles. Pour signer le manifeste, envoyez votre nom et fonction à : manifestemariage@nouvelobs.com

  • L'EGLISE ET L'ETAT

    Dans une lettre aux chefs d’établissements des 8.300 établissements privés sous contrats avec l’État, Éric de Labarre, secrétaire général de l’enseignement catholique, a appelé ces derniers à prendre des initiatives "pédagogiques" contre le projet de loi sur le "mariage pour tous". Comme seule réponse à la mise en garde du ministre de l'Education Nationale Vincent Peillon, il a opposé une fin de non recevoir.

     

    Le ministre doit prendre acte de cette rupture unilatérale des contrats, qu'il l'a fasse constater par le juge et que l'État mette fin aux subventions des écoles privées qui suivraient les consignes politiciennes de Monsieur De Labarre.

     

    Liberté de conscience et séparation Église-État en danger

     Le lobby clérical va donc sans vergogne instrumentaliser les élèves qui lui sont confiés dans un débat qui ne le regarde pas ! Derrière la tartufferie des formules, il appelle en fait à soutenir matériellement une mobilisation politicienne contre le gouvernement, rêvant sans doute de rééditer l’opération de 1984 contre la loi Savary.

     L’UFAL tient à rappeler deux principes essentiels qui animent son combat laïque : la séparation des églises et de l’État, et la contestation du financement public de l’enseignement privé.

     La liberté de conscience et le principe de séparation interdisent à tout organisme cultuel d’intervenir dans la sphère publique.

     La loi de séparation du 9 décembre 1905, en proclamant que "la République ne reconnaît (…) aucun culte" a mis fin à la qualité d’établissements publics des cultes. Ni l’épiscopat, chargé de l’organisation du libre exercice du culte catholique, ni le secrétariat général de l’enseignement catholique, chargé d’organiser ledit enseignement dans le cadre de son "caractère propre" religieux, n’ont la moindre qualité à intervenir en la matière. Le débat concerne en effet, non le mariage religieux, mais le mariage civil, c’est-à-dire la "sphère publique", dont les organismes religieux sont par définition exclus.

     Bien évidemment, les catholiques, comme tous les autres citoyens, voire "l’Église", au sens de "la communauté des croyants", sont parfaitement libres de s’exprimer. Mais leurs points de vue sont forcément contradictoires et une grande partie d’entre eux n’est pas prête à soutenir l’opération politicienne de la droite. Nul organisme religieux ne peut prétendre "représenter" les citoyens. La liberté de conscience assurée par la République fait de chaque individu le seul détenteur de ses choix.

     

    Rupture unilatérale du contrat

     L’enseignement catholique viole ses obligations contractuelles : qu’il soit mis fin à son financement !

     Depuis la loi Debré de 1959, et la loi Guermeur de 1977, l’enseignement scolaire en France repose sur un système dual : d’un côté, l’école publique, gérée et financée par l’État, de l’autre, les écoles privées, dont la majorité se réclament d’un caractère confessionnel.

     Parmi ces écoles privées, une faible partie dépend des seuls financements privés. La plupart bénéficient de "contrats" (simples ou "d’association" au service public) leur permettant de faire rémunérer leurs enseignants par l’État et de bénéficier de subventions des collectivités locales.

     Certes, le Conseil constitutionnel a, en 1977, inventé le principe du "respect du caractère propre des établissements privés sous contrat". Mais les limites en ont été clairement énoncées : respect de la liberté de conscience et obligation aux maîtres d’observer un devoir de réserve.

     Aucune de ces obligations n’est respectée en l’espèce, par l’intrusion cléricale de l’enseignement catholique dans un débat qui ne concerne que les lois de la République, laquelle le finance pourtant, grâce à la complaisance de la droite, depuis 1959.

     Puisque l’enseignement catholique mord la mamelle qui le nourrit, l’UFAL appelle le ministre à prendre acte de cette rupture unilatérale des contrats et à la faire constater par le juge. Elle appelle les collectivités locales à mettre fin au subventionnement des écoles privées qui suivraient les consignes politiciennes de M. De Labarre.

     L’UFAL, héritière des engagements laïques du Serment de Vincennes de 1960 (contre la loi Debré), estime que la République a ainsi l’occasion de revenir sur les lois anti-laïques permettant le financement de l’enseignement confessionnel.

     

  • AIDEZ UN SANS LOGIS

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  • DEUX VICTOIRES

    En ce premier jour de 2013 , je me plie, comme chaque début d'année, à l'exercice traditionnel de la rétrospective , nationale et locale, pour une fois assez simple : deux victoires , à chaque fois une grande  joie , voilà ce que je retiens de 2012.

    La première victoire, c'est bien sûr celle de François Hollande, pas sûre du tout au début ! Ma joie, c'est de voir enfin le retour de la gauche française au pouvoir . L'impopularité au bout de quelques jours menée par le Front de Gauche m'attriste-t-elle ? Oui bien sur même si elle était prévisible dés le lendemain de l'élection présidentielle on a l'habitude avec ces gens là .

     La deuxième c'est bien sur la montée en première division de mon Stade de Reims aprés 33 ans de galère .

    Le parallèle entre François Hollande et le Stade de Reims , c'est bien d'assuer le maintien à l'étage supérieur.

    Petite satisfaction , le chiffre des lecteurs de plus en plus nombreux à visiter ce blog , moi qui croyait qu'aprés  l'élection de Sarkozy l'inspiration s'envolerait , il n'en ai rien , tant mieux .

    A demain  

     

     

  • BONNE ANNEE 2013

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    > Meilleurs voeux à vous tous

  • PC ET LES EXPULSIONS

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    XIVe, rue du chateau , mercredi soir. Une vingtaine de policiers ont expulsé une petite dizaine de squatteurs d’une maison appartenant au parti communiste. | (DR.)

     
    Est en lisant l'aticle  Braves donneurs de leçons...  du blogueur "Partageons mon avis " j'ai appris "que mercredi soir, vers 20h30, une vingtaine de policiers ont expulsé une petite dizaine de squatteurs d’une maison au 149, rue du Château (XIVe), propriété du Parti communiste.
     
                    
    Une plainte pour dégradation

    Vendredi matin, un maçon était déjà à l’œuvre pour « sceller les portes ». Cette petite maison de ville, ancien local de la section du XIVe, dont les pièces était jadis tapissées de la faucille et du marteau et d’affiches de la Fête de l’Huma, était vide depuis plus de trois ans. Depuis dix jours, des squatteurs, de 25 à 45 ans, s’y étaient installés. « On avait repéré la maison vide, reconnaît Thomas, l’un de ses occupants. On a tous des problèmes de logement. On a ouvert un compteur EDF. »

    Au PC, on reconnaît « avoir eu recours aux forces publiques ». Mais on avance « des raisons d’insalubrité de la maison ». Igor Zamichiei, secrétaire de la fédération du PC à Paris, dénonce dans ce squat une « opération politique ». Selon lui, les squatteurs seraient « des groupes de la tendance anarchiste ». Thomas rigole : « On ne savait même pas que la maison appartenait aux communistes. Il n’y avait pas de nom sur la boîte aux lettres. » Reste que les squatteurs du 149, rue du Château, seront poursuivis par le parquet de Paris, à la suite de la plainte déposée, pour « dégradations de biens privés en réunion ».

    Des élus murmurent que la maison devait être retapée pour être vendue. Les squatteurs auraient pu contrarier leur belle opération immobilière.

      Sergio, un commerçant voisin, commentait l’opération : « C’est quand même fort de voir les cocos expulser des SDF. » « Etonnant et décevant de la part des communistes, s’agace Celia Blauel, élue (EELV) du XIVe, venue sur place. On note une différence entre les paroles et les actes. »"

    Des squatteurs expulsés sur ordre du , une opération de police rondement menée, les matelas sortis sur le trottoir dans l’obscurité, deux jeunes interpellés et ramenés au commissariat, les autres à la rue…

     Les communistes seront toujours de braves donneurs de leçons , aprés un clip haineux voiçi les expulsions de sans logis .

    Quand font-ils preuvent de sincérité : en demandant la réquisition des logements vaccants , en demandant l'interdition des expulsions , en se  larmoyant sur le sort des ROM à Antibes  ou en expulsant des sans domiciles parisiens 

     

     

     

     

     

     

     
     
     

     

  • CHOMAGE :LES MAUVAIS CHIFFRES

    Parmi les demandeurs d’emploi tenus de faire des actes positifs de recherche d’emploi, le nombre de personnes sans emploi (catégorie A) en France métropolitaine augmente par rapport à la fin octobre 2012 (+0,9 %, soit +29 300). Sur un an, il s’accroît de 10,8 %. Le nombre de personnes exerçant une activité réduite courte, de 78 heures ou moins au cours du mois, est en hausse (+1,8 %, catégorie B). Le nombre de personnes pratiquant une activité réduite longue, de plus de 78 heures au cours du mois diminue (-1,1 %, catégorie C). Au total, le nombre de demandeurs d’emploi tenus de faire des actes positifs de recherche d’emploi (catégories A, B, C) augmente de 0,7 % (+30 400) en novembre. Sur un an, il est en hausse de 9,2 %.

    Dans la région

    Les derniers chiffres du chômage, délivrés par la Direction régionale de Pôle emploi, affichent une augmentation de 1% pour les Alpes Maritimes et de 0,2% pour le Var entre octobre et novembre 2012.

    La hausse plus forte dans les Alpes-Maritimes

    Le nombre de demandeurs d'emploi de catégorie A (n'ayant aucune activité professionnelle) s'élèvent à 57.736 personnes dans les Alpes-Maritimes et à 54.214 personnes dans le Var, fin novembre 2012.

    Par rapport au mois de novembre 2011, le chômage a augmenté sur un an de 12,1% dans les Alpes-Maritimes et de 7,4% dans le Var.

    La Côte d'Azur semble plus souffrir des effets de la crise avec une hausse bien plus importante que celle du Var et de la moyenne nationale (10,8%).

    Plus de 20.000 chômeurs en plus dans la région en un an

    En prenant la région PACA dans son ensemble, toujours pour les chômeurs de catégorie A, le chômage touchait 260.790 personnes en novembre 2011 et touche désormais 281.590 personnes en novembre 2012.

    Les chiffres régionaux du chômage suivent la tendance nationale. En France métropolitaine, le taux de chômage a augmenté de 10,8% par rapport à l'année dernière.