"Il y a trois mensonges : les mensonges, les gros mensonges et les statistiques."
W. Churchill
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"Il y a trois mensonges : les mensonges, les gros mensonges et les statistiques."
W. Churchill
LA POLICE
l’usage qu’on fait de la polie est aussi une des clés du problème après les questions de fond : éducation, travail, habitat.
La façon dont Sarkozy l’instrumentalise, la médiatise, est scandaleuse. Un chercheur, Sébastien Roché, dans un livre récent consacré aux émeutes de l’an dernier, fait une large place à ce « système de police qui ne marche pas ».Sans en faire « une potion magique », il défend fermement le principe de cette police de proximité, mise en place par la gauche (mais sans assez de cohérence, à son avis) et tout simplement supprimée par la droite dès son retour au pouvoir : « C’est une vision myope qui dirige la place Beauvau depuis des années, animant une force qui avance à tâtons : pas d’approche globale de la police dans ses relations avec le public, pas assez de réflexion sur sa mission de paix publique et abandon pour motifs idéologiques et non pragmatiques de la police de proximité. Une police est faible lorsque son pouvoir ne repose que sur la force. S’opposer durablement et efficacement aux groupes de délinquants suppose pourtant que la police se rapproche de la population. La qualité de service au public doit prendre une place plus large dans les missions et les objectifs mesurés dont il faut rendre compte. C’est le grand défi des polices françaises. »
C’est aussi le cadet des soucis de celui qu’on maintient bien légèrement à leur tête
GOUVERNEMENT DE VILLEPIN
GOUVERNEMENT VILLEPIN
Premier Ministre Dominique de Villepin
Ministre de l'Intérieur
Ministre d'Etat Nicolas Sarkozy
Ministre de la Défense Nicolas Sarkozy
Ministre de la Justice Nicolas Sarkozy
Ministre de l'Education Nicolas Sarkozy
Ministre de l'Industrie Nicolas Sarkozy
Ministre des Affaires
Européeenes Nicolas Sarkozy
Ministre de l'Emploi Nicolas Sarkozy
Ministre de l'Economie
des finances Nicolas Sarkozy
Ministre des P.M.E Nicolas Sarkozy
Ministre de la Culture Renaud Donnedieu de Vabres
Oui, ce sont bien des enfants, nos enfants, les tristes héros de cette histoire de bus cramé à Marseille.
Des enfants jouant avec de l’essence et un briquet, parce que personne ne leur a jamais appris que ça pouvait être dangereux, que ça pouvait avoir des conséquences terribles. Ce n’est pas la première fois (souvenez-vous de ces gamines qui avaient enflammé la boîte aux lettres d’une copine, pour quelque grief de mômes, et le drame qui s’en était suivi), ce ne sera pas la dernière. Parce que l’émulation, la contagion. Peut-être que le drame de Marseille, le souvenir de cette pauvre petite victime - une enfant aussi, une jeune femme - transformée en torche, le choc que ça provoque donneront un coup d’arrêt à ce jeu de petits cons : faire flamber un bus. Peut-être.
Mais il y aura d’autres jeux de cons qui prendront le relais, et d’autres drames.
Nos enfants ? J’en entends qui protestent. « Les miens ne sont pas comme ça. » Soit. Je vais vous dire : les miens non plus (enfin, mes petits-enfants, parce que mes enfants ne sont plus des enfants...). Ils ont toujours su qu’on ne jouait pas avec les allumettes. On leur a appris.
Quand je dis : nos enfants, c’est manière de parler. Je veux dire : les enfants de ce pays où nous vivons, la France. Les enfants de la République. Je veux dire que nous avons tous, collectivement, la responsabilité de ces enfants-là, qui vivent ici, dans notre pays, qui y sont nés, y resteront - même s’ils ont des origines lointaines, « exotiques », « indigènes ». Ils sont sensibles, gais, attachants, comme tous les enfants ; ils sont aussi remuants, terribles, intenables, comme tous les enfants ; mais à la puissance dix. Parlez-en avec des profs qui exercent dans des quartiers « sensibles » : ils vous diront qu’ils les aiment, ces petits, qu’ils savent être charmeurs, adorables. Mais aussi qu’il leur arrive de les détester, de les craindre. Les mêmes parfois, tour à tour. Prof dans ces quartiers, avec ces gosses-là - qui dès 13-14 ans vous dépassent parfois d’une tête -, ce n’est vraiment pas une sinécure. Il faut, pour tenir, une vraie vocation. Au bout de quelques années de carrière, beaucoup de jeunes profs, usés, demandent leur changement pour des bahuts plus calmes. Ils vont enseigner chez les enfants de bourges, c’est plus « cool », on les comprend.
N’empêche : parfois, ils les regrettent, leurs petits sauvageons
Camarade continue comme celà et je vote pour toi
Je voudrais proposer ici l'idée la plus nouvelle : qu'en 2007 le candidat désigné par le PS applique le projet socialiste.»
LA SALADE AUX LARDS : Objet de mon futur silence,retour dans une semaine aprés avoir battue la campagne ardennaise,si vous voulez la recette je la donnerai bientot
Le Crédit municipal de Paris a annoncé samedi 21 octobre que la vente aux enchères de 4.680 grands crus millésimés de la Ville de Paris a rapporté 961.030 euros entre vendredi et samedi.
Deux bouteilles de Romanée-Conti (bourgogne) de l'année 1986 ont été vendues 5.000 euros pièce.
Trois Pétrus (bordeaux) de 1989 ont été vendus chacun 4.000 euros.Un Pétrus de 1988 a également été vendu 2.500 euros, ce qui constitue un "record mondial" pour ce millésime, a-t-on précisé de même source.
C'est à la période où Jacques Chirac était maire que la Ville de Paris avait acquis ces grands crus