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AZURCOM - Page 259

  • TOUS EN TOLE

    Six employés de l'aéroport, dont les habilitations ont été supprimées, ont saisi les tribunaux. Les autorités les soupçonnent d'entretenir des liens avec l'islam radical.

    « JE PRÉFÈRE qu'on ait le risque d'un contentieux devant un tribunal parce qu'on aura été trop sévère pour une habilitation, plutôt qu'on se retrouve avec un drame parce qu'on n'aura pas été assez sévère. » L'Agité de Beauvau a réagi samedi à la polémique naissante sur le retrait d'habilitation d'employés travaillant à l'aéroport de Roissy-Charles-de-Gaulle pour leurs liens présumés avec la mouvance islamiste
  • MATCH CONTRE LE RACISME

     

    Ce n'est pas qu'une association de mots. Foot citoyen, ça sonne politique et social, et ça l'est. Quand le journaliste Didier Roustan s'est piqué d'aller à la rencontre du football amateur pour s'attaquer à la violence et au racisme ainsi qu'à la formation des éducateurs bénévoles pour faire des terrains un lieu d'apaisement des tensions plutôt qu'un nid d'exaspération, il faisait mouche. Il éclairait l'invisible du milieu, où les «coups de boule» à la Zidane ne sont pas exceptionnels.
    Au départ, son projet de donner une fenêtre médiatique ­ un mensuel, disponible par abonnement (1) ­ à l'adresse des petits clubs et des gamins aurait pu paraître naïf, mais en deux longues années de travail, Roustan et son équipe sont parvenus à tisser des liens entre «petits licenciés», sociologues, psys, formateurs, arbitres ou joueurs pros pour revenir à la raison d'être du sport : un plaisir partagé. L'association a deux parrains de chocs, Arsène Wenger et Lilian Thuram, et c'est avec eux que Roustan a présenté à Paris sa dernière généreuse folie : organiser le 25 mars 2007 des matchs, de Marseille à Paris en passant par Lyon, sous le signe de l'antiracisme. Des internationaux de tous les continents, mais aussi des enfants participeront à «Frères de sang», le nom de l'opération que Foot citoyen entend pérenniser. Pour donner plus de force à son idée, Foot citoyen a su intéresser des partenaires, dont la SNCF, et d'autres assos ou institutions locales. «Que fait la fédération ?» me direz-vous. La question est entière.
    Pour ce qui est des trois matchs contre le racisme, Arsène Wenger explique son indéfectible implication : «Le football, dans ces occasions, peut favoriser la tolérance. Il peut montrer les mauvais côtés de la société mais aussi ses meilleurs. Je suis manager d'une équipe qui compte des joueurs de 14 nationalités et ça marche. J'ai la chance d'expérimenter cela toutes les semaines. On ne se pose pas la question de l'origine, mais des valeurs communes.» 
    Cette fête du foot tombera à quelques semaines du premier tour de l'élection présidentielle, mais Roustan se défend d'y avoir pensé et invoque les faveurs du calendrier sportif.
    (1) www.footcitoyen.org
  • SARKOZY MENTEUR PPDA COMPLICE

    de Olivier Bonnet

    Incroyable culot que celui de Nicolas Sarkozy, invité du journal de 20 heures de TF1 ! Devant un Patrick Poivre d’Arvor impassible, le ministre de l’intérieur ose affirmer : “la délinquance a reculé dans chacun des départements de la région parisienne, y compris la Seine-Saint-Denis, et elle a reculé fortement“.

    Et la note du préfet Jean-François Cordet, publiée par Le Monde du 20 septembre, qui signale que les violences aux personnes ont augmenté dans ce département de 14% et les vols avec violences de près de 23% au premier semestre ? Quand le candidat UMP profère un mensonge aussi énorme, le présentateur de TF1, censé exercer la profession de journaliste, n’émet pas la moindre réserve.

    Par incompétence, n’ayant pas eu connaissance de la lettre du préfet au ministre, qui a pourtant fait la “Une” de l’actualité ? Evidemment pas. Alors quoi ? Par couardise, tremblant de s’attirer les foudres du président de l’UMP ? Ou par volonté politique de favoriser sa conquête de l’Elysée ? Indigne et scandaleux dans les deux cas

  • 1er DEBAT

      

     medium_debat.jpgFranchement, ce fut éprouvant. Des crampes en prime time. Celles des compétiteurs plantés pendant deux heures derrière leurs pupitres comme des premiers communiants. Celles, maxillaires, des téléspectateurs dans leurs canapés, luttant bravement contre l'engourdissement à s'en décrocher la mâchoire.
     Le premier débat entre les trois candidats socialistes n'avait pas grand-chose à faire à la télévision,même sur les chaînes parlementaires. Bien sûr, on a entendu des démonstrations intelligentes, patiemment construites et parfois instructives. Mais tout cela tenait plus du grand oral dont on avait soigneusement raboté toutes les aspérités que de l'effervescence démocratique dont cette émission se réclamait. A qui s'adressait-on vraiment ? Aux militants socialistes, aux Français ou au microcosme parisien invité à jouer au Qui dissimule Quoi ? Hélas, c'est cette troisième catégorie qui a été privilégiée, consciemment ou non, par les trois champions du PS.
     La fausse spontanéité, la prudence généralisée et la franchise rhabillée en politesse précautionneuse n'ont laissé aucune chance aux spectateurs de discerner les différences, ni même les nuances, entre les trois rivaux. Un objectif qui, faut-il le rappeler, était celui de ce programme...
     Nous avons assisté à une espèce de 100 minutes pour convaincre sans réelle contradiction qui, inévitablement, a donné une image plutôt figée, plutôt poussiéreuse de la politique, imprégnée d'une logique à la fois dirigiste - le dirigeant politique peut vous apporter le bonheur - et consumériste : au lendemain de la présidentielle de 2007, tout va changer, citoyens. Laissez-nous faire, on se charge de tout. Chacun de ces trois VRP de la politique était venu avec son catalogue type:généralisation des 35 heures pour les uns, augmentation du SMIC « tout de suite » de 100 euros, etc,  Il ne restait qu'à tourner les pages des bonnes résolutions.
     De généralités en considérations floues, tronçonnées par grands thèmes, on est finalement resté dans un brouillard aimable, totalement inoffensif et parfait pour préparer sa nuit.
     Ségolène Royal a peut-être été plus didactique, DSK plus technique, Laurent Fabius plus vendeur. Qui a gagné ? Qui a perdu ? Ni l'un, ni l'autre, ni le troisième. Après tout, c'était peut-être le but de cette 1ere opération.

  • L'APRES 17 OCTOBRE

      

    On ne parle guère de cette nuit de la mort car, le 8 février 1962, quelques mois après la manifestation des Algériens, le Parti Communiste Français organise une manifestation pour exiger que soit mis fin à la Guerre d'Algérie. Les policiers chargent et huit personnes trouvent la mort. A leurs obsèques se rassemblent plusieurs dizaines de milliers de personnes. La mémoire des martyrs de Charonne sera entretenue avec constance par l'ensemble de la gauche française. Cette nuit restera pour tous le symbole de la violence de l'Etat pendant la Guerre d'Algérie.
    On aurait pu penser que cette répression sanglante en rappellerait une autre, encore récente et permettrait de mobiliser contre l’un des plus grands massacres perpétré par des policiers français dans l’exercice de leurs fonctions. Dans les faits, c'est le contraire qui se produit : le 17 octobre 1961 est entièrement occulté par Charonne ! Les témoins se raréfient. Les acteurs disparaissent. Les faits sont totalement oubliés. Ce fut rapide.
    Dès le début de l'année 1962, avant donc que ne commence le travail collectif d'oubli et d'amnistie des crimes de la guerre, il semble en effet que la manifestation des Algériens ait déjà disparu de la mémoire collective. Il est bien difficile d’admettre que ce qui distingue les manifestants de 1961 et ceux de 1962 ne peut être que la… couleur de peau et les droits qui y étaient attachés. La commémoration régulière de Charonne constitue une manière d'oubli volontaire du 17 octobre. Elle permet aussi une confusion persistante entre les deux événements : dans des livres d'histoires, au cours d'un journal télévisé, les photos du 17 octobre ont, par exemple, servi à illustrer les violences… de Charonne.
    Il existe donc au moins un génocide pour lequel on ne sera pas obligé de légiférer contre ceux qui voudraient le nier. Ce ne sera pas, dans ce cas là, la loi qui fera l’Histoire mais bien l’Histoire qui ne veut pas d’une loi. Qui a célébré hier les 45 ans de la nuit du 17 octobre ?

  • UN 17 OCTOBRE

     Il faut choisir à la Seine ou à la rue

     90 personnes réparties en 22 familles ont passé la nuit sur des lits de camp, place du Capitole,à Toulouse suite à leur expulsion lundi d'un lieu d'hébergement provisoire...

    "Qu'ils soient étrangers ou non, on ne jette pas des enfants dans la rue pour qu'ils y dorment. A chacun, dont l'Etat et la mairie de Toulouse, de prendre ses responsabilités", a déclaré Yvette Benayoun-Nakache, conseillère municipale de l'opposition.

    A la suite du désengagement financier de l'Etat le 21 août, la Ville de Toulouse et le Conseil  Midi-Pyrénées ont pris le relais financier de l'opération avant de l'interrompre lundi, provoquant l'expulsion des familles.

    La majorité des 48 enfants sont scolarisés normalement dans des établissements de Toulouse, selon les associations.

    Tout en se refusant à réagir officiellement, la préfecture  a déclaré lundi que "ces familles ont vocation à quitter le territoire français

    C'était le 17 Octobre 1961 à Paris suite à une manifestation pacifique contre le couvre-feu imposé aux Algeriens un certain Papon préfet de police donne carte blanche aux forces de l'ordre,des miliers d'Algériens sont arrétés et parqués dans des stades-déjà-la police tire sur le cortège matraque à mort et jette des manifestants à la Seine.

    Bilan officiel 3 morts mais des témoignages feront état d'environ 200 morts cette tragédie est imputable à Papon ainsi qu'à De Gaulle et son premier ministre Debré qui ont couvert l'ex-préfet de Constantine qui s'était déjà distingué à Alger en 1956 sans compter la période de l'occupation. 

     

     

  • ACTIONS DU RÉSEAU 06

    medium_nowa_EF.jpgLa joie de Nowaï dont l'arrêté de reconduite à la frontiére a été annulé par le tribunal administratif de Nice lundi 16 octobre

    Le TA a considéré qu'il y avait eu une erreur d'appréciation de la part du Préfet de la Côte d'Or, notamment du point de vue des conséquences de cette reconduite à la frontière vis-à-vis de la situation personnelle de Nowaï, qui effectue ses études avec assiduité et succès en France depuis son entrée en France il y a 4 ans, et qui est actuellement en Terminale Professionnelle à Beaune. En conséquence de quoi, Nowaï peut désormais rentrer chez elle à Dijon et poursuivre sa scolarité en toute quiétude pour obtenir son Bac

  • SEMAINE DU GOUT

    medium_t-ogre_de_beauvau.jpgAujourdhui ouverture de la semaine du gout .

    Demain journée du refus de la misère.

    S'agirait-il de faire en sorte que pour beaucoup les pommes de terre à l'eau n'aient pas encore gout de pommes de terre à l'eau

  • VA Y AVOIR DU SPORT

    medium_t-valeurs_du_sport.3.jpg

    A six mois de la présidentielle, le ton monte entre le camp Sarkozy et les chiraquiens qui refusent de se ranger derrière le président de l'UMP tandis qu'à gauche, les trois candidats à l'investiture socialiste préparent sereinement leur premier débat télévisé.

    A l'UMP, Dominique de Villepin, Michèle Alliot-Marie ainsi que Jean-Pierre Raffarin évoquent de plus en plus ouvertement une autre candidature que celle de P'tit Nico.

    "Si d'autres" que lui "avaient le sentiment de pouvoir jouer un rôle, ce choix pourrait être le leur", a déclaré le Premier ministre. Il a salué le "grand talent" de la ministre de la défense et répété que l'élection présidentielle, "c'est d'abord la rencontre entre un homme, une femme, et le peuple français".

    Reprenant cette vision gaulliste, tout en souhaitant une candidature unique, Mme Alliot-Marie a redit qu'elle se prononcerait début 2007, encouragée par "de nombreux militants (qui lui) demandent d'être candidate ou (lui) disent qu'elle est la seule à pouvoir battre Ségolène Royal".

    Le camp Sarkozy a vertement répliqué.

    "S'il veut être candidat, qu'il le dise", a lancé M. Sarkozy, à propos de M. de Villepin.

    "Si elle est candidate, qu'elle le dise, les militaires ont horreur des tireurs embusqués", a déclaré Christian Estrosi, se chargeant de la ministre de la Défense, Brice Hortefeux ironisant sur les militants "en tenue camouflée".

    "Que chacun qui veut porter une alternative ait le courage de le faire! Mais ça se passe à l'intérieur de l'UMP, pas à l'extérieur", a affirmé M. Sarkozy.

    Une candidature hors UMP serait "suicidaire", a estimé François Fillon, qui suggère Alain Juppé pour "calmer le jeu" et "empêcher des aventures personnelles". Facilement réélu à Bordeaux, M. Juppé s'est dit "disponible".

    Le ministre Xavier Bertrand s'est dit "persuadé" que "deux candidats de l'UMP au premier tour, c'est aucun candidat au second".

    Autre pomme de discorde: la "rupture", que M. Sarkozy a de nouveau défendue, après que M. de Villepin lui a fait la leçon en matière de politique étrangère et dénoncé ses "actions spectacles" dans les banlieues.

    "Non seulement j'en parle, mais je la fais", a-t-il dit. "J'essaie de tirer les conséquences du tsunami politique de 2002. C'est mon devoir d'arrêter de ronronner, de faire des discours où on fait du bruit avec la bouche sans rien dire, sans rien proposer".

    "Je défends mes idées avec franchise, loyauté, sans aucune hypocrisie, c'est exactement le contraire du populisme", a-t-il assuré.

    La tension au sein du gouvernement inquiète les députés UMP. Leur chef de file Bernard Accoyer a demandé "solennellement au Premier ministre" de faire respecter "l'unité" du gouvernement.

    A gauche, la campagne interne au PS a commencé par un petit temps mort, avant le premier débat télévisé le 17 octobre entre les prétendants Ségolène Royal, Dominique Strauss-Kahn et Laurent Fabius.

     

  • LE CAC 40 EST A 5361,51 pts

    medium_faim1.5.jpgAu Kenya un enfant attendant sur ration alimentaire