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Gastronomie

  • LA BOUTEILLE DE LA SEMAINE

    MAS DE VALERIOLE

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    En visitant La Camargue j'ai découvert les excellents  vins produits par les frères Patrick et Jean-Paul Vincent du Mas Valériole à Gagneron .

    Le vignole cultivé en agriculture biologique  constitué des cépages Chardonnay , Vermentino , Merlot, Cabernet-Sauvignon , Calladoc et Marselan se situe au coeur du Parc Naturel Régional de Camargue , tout prés de l'Etang de Vaccarès.

    Les raisins sont vendangés au petit matin afin de préserver au maximum les aromes grâce à la fraicheur de la nuit , les grappes sont entièrement éraflées pour ne conserver que les baies .

    Vins attachants dans les trois couleurs qui accompagneront avec bonheur la cuisine méditerranéenne , prix trés sages , excellent accueil .

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    Nombreux prix et récompenses mérités , vous l'avez compris , aucune hésitation , une visite s'impose , ne pas oublier le riz de la propriété proposé à la vente .

    Patrick et Jean-Paul Michel

    Mas de Valériole

    Gagneron Camargue

    13 200 Arles

    www.valeriole-saint-vincent-camargue.fr

    hpmichel@wanadoo.fr

     

     

     

  • LA FIN D'UNE EPOQUE

     

    nm-photo-283928.jpgC'est une partie du patrimoine niçois qui s'apprête à être dispersée. Des pièces de mobilier, un chariot à incendie des sapeurs-pompiers datant de 1872, une voiture à bras du rémouleur qui sillonnait autrefois les rues de la ville pour aiguiser les couteaux des ménagères... Autant d'objets insolites, témoins du temps passé et des métiers d'antan aujourd'hui disparus, qu'Hélène Barale, l'icône de la cuisine niçoise, avait réunis patiemment dans son célèbre restaurant-musée du 39, rue Beaumont.

    Quatre ans après sa disparition, ses collections acquises auprès des puces du Paillon, antiquaires et brocanteurs seront vendues aux enchères, vendredi et samedi, sous le marteau du commissaire-priseur Boisgirard. « J'ai essayé de sauvegarder ce patrimoine, faire perdurer ce musée, écrit Paule Laudon, l'une des filles d'Hélène Barale, dans la brochure de cette vente aux enchères. Je n'ai pas réussi. Il faut vendre. Ma mère meurt une deuxième fois. »

    Une caverne d'Ali Baba hallucinante

    Pour les amateurs de brocante, cette vente, qui se déroulera dans ce restaurant-musée aujourd'hui fermé - seule une aile est toujours exploitée par le petit-fils d'Hélène Barale - représente une occasion d'acheter des pièces issues du patrimoine de l'ancien Comté de Nice. Et la visite des lieux, qui se déroulera jeudi, mérite le coup d'oeil.

    En effet, la vaste salle du restaurant a été transformée en une caverne d'Ali Baba hallucinante. Ici, mobilier ancien côtoie cougourdons séchés, bannière d'une bataille de fleurs de 1910, maquettes de carnaval et divers objets hétéroclites qu'Hélène Barale avait l'art et la manière de transformer en objets de décoration.

    Comme ces monumentales balances piémontaises détournées en luminaires, une gamme d'alambics de toutes formes, des « perroquets de bar », portemanteaux de bois travaillés, gramophones et phonographes à pavillons d'un temps révolu, soufflet géant ou encore toute une série de baignoires sur pied en cuivre.

    Bien sûr, dans ce drôle de musée de l’ambassadrice de la « raïola à la daube », l’art de la table et surtout de la cuisine tient une place royale. Trônent en vedette toute une batterie de casseroles en cuivre, plateaux de socca, mortier à pistou, baratte pour travailler le beurre, machines à trancher le jambon… Et des piles d’assiettes à soupe, tasses à café estampillées « Bar Paulin », nom du restaurant acheté en 1906 par le père d’Hélène Barale, où elle restera toute sa vie.

    400 lots à saisirs !
    Dans ce bric-à-brac de souvenirs fleurant bon l’ail, le pistou et les senteurs du « païs », Patricia Perrier, clerc de l’étude Boisgirard Provence Côte d’Azur, a passé des journées entières. Pour trier cette montagne d’objets, les rassembler en 400 lots à saisir à tous les prix. Mises de départ : de 80 à 100 e pour le lot d’assiettes à soupe du restaurant Paulin, jusqu’à 2 000 e pour le piano mécanique des frères Nallino, une institution niçoise fondée en 1872…
    Ici, tout est à vendre.
    Depuis le tableau noir où Hélène Barale écrivait à la craie la liste des plats typiques de ses « merenda » et le bar en bois massif, jusqu’à ses célèbres nappes à petits carreaux rouge et blanc qui feront le bonheur des acquéreurs, épris de culture et de cuisine niçoises.

    Article et photo de Nice-Matin du 27 septembre 2010

  • CAMEMBERT AU LAIT CRU

    Pierre_Vautier
    Ne faisons aucun triomphalisme mal placé ni la moindre trace d'orgueil vindicatif, mais l'arret de la production de l'usine Lepetit, où le groupe Lactalis fabriquait ses faux camemberts, sonne comme la victoire définitive de la cause du lait cru.
    1998-2008. Dix années d'une lutte  menée, avec les producteurs et les fromagers, mais aussi avec les responsables de l'INAO et, surtout, avec les citoyens consommateurs, pour la défense de l'AOC, cette précieuse appellation d'origine contrôlée qui désigne et codifie la spécificité gastronomique française, mais aussi pour la sauvegarde de notre patrimoine agricole et alimentaire, à l'heure où la banalisation néolibérale globalisée parvient à désidentifier chaque jour un peu plus de ce qui fait la France.

    Tout a commencé le 14 septembre 1998, avec ce « Aux armes citoyens, le camembert est en danger ».Personne n'imaginait que cette guerre contre un géant de l'industrie agroalimentaire durerait autant et, surtout, que nous la gagnerions aussi totalement, sur le fond, et sur la forme. En effet, 18 septembre 2008, paraissait au journal officiel de la République Française, sous la signature du Premier ministre, un décret confirmant l'obligation de l'usage exclusif du lait cru pour l'élaboration du camembert de Normandie AOC. Huit jours plus tard, le 26 septembre, victime d'une baisse massive des ventes de ses camemberts industriels de la marque Lepetit, Lactalis annonçait l'arret de sa production du site de Saint-Maclou, dans le Calvados. La preuve que lorsque le consommateur est informé comme il se soit, il sait se mobiliser. Cette victoire n'est pas seulement celle de la presse libre, elle est surtout celle du citoyen responsable.
                                          
    La révision du cahier des charges de l’AOC « Camembert de Normandie » qui a été approuvée par l’INAO, le 4 juin 2008, met fin à une guerre sans merci au cours de laquelle les groupes industriels ont montré leur vrai visage, convaincus que leur puissance et leur moyens de pression suffiraient à faire basculer l’opinion en leur faveur. C’était sans tenir compte du pouvoir des médias qui se sont emparés à raison de ce débat de société, en mettant sous les feux de la rampe des pratiques d’un autre temps. C’était également ignorer les évolutions de notre société, qui, malgré les contraintes d’un marché de masse en croissance et d’une augmentation des prix galopante, est de plus en plus sensible à la notion de terroirs. Tant mieux ! Que cela serve de leçon à ceux qui tenteraient de mettre la main sur une AOC, ou même, sur un simple fromage traditionnel qui certes n’a pas l’aura et les systèmes de défense d’une AOC, mais bénéficie de l’attachement de nos concitoyens... ! Je pense au Saint-Marcellin ou au Brie... et à tous ces fromages à pâtes molles qui ravissent nos palais en toute saison. Le bon sens est de retour.

  • FROMAGES AU LAIT CRU EN VOIE DE DISPARITION

    ATTENTION, Fromages en voie de disparition

    Bleu de Termignon, vacherin des Bauges, vacherin d’Abondance, persillés de Tignes des Aravis ou de Semnoz, reblochon du Mont-Cenis, colombier des Aillons, galette du Mont-d’Or, ... et une multitude d’autres fromages dont on a oublié le nom ont complètement disparus ou sont en passe de s’éteindre... En 30 ans, plus d’une cinquantaine de fromages ont ainsi été rayés de la carte et des rayons de nos supermarchés assassins ! Alors que la proportion des fromages industriels ne cesse de croître, celle des fromages au lait cru diminue pour ne représenter aujourd’hui qu’environ 7% de notre consommation. Si les Français sont les 2ème consommateurs de fromages au monde avec 25 kg par personne et par an, ce chiffre cache pourtant une réalité cruelle pour les fromages de terroirs. Les causes de ce désastre en marche : une uniformisation du goût galopante qui laisse de moins en moins de place à l’expression et à la diversité des goûts, des productions artisanales qui jettent l’éponge faute d’encouragements, des pressions sanitaires sporadiques qui laissent planer des dangers chimériques... et aussi, une confusion des genres savamment entretenue dans laquelle on y perd son latin.

    Saviez-vous que seulement 13 % des fromages consommés sont des AOC (Appellation d’Origine Contrôlée) et, que malheureusement, près de la moitié d’entre eux, est fabriquée avec du lait pasteurisé ? Un véritable coup de canif dans le contrat dont tous les amateurs de fromages et gastronomes devraient s’émouvoir. Cantal, maroilles, munster, bleu d’Auvergne, morbier, bleu de Gex, fourmes d’Ambert et de Montbrison, chaource, langres ... fabriqués au lait pasteurisé, ont le droit à l’étiquette AOC ! Si l’étiquette est trompeuse, le goût, quant à lui, ne peut faire illusion... Nul besoin d’être un gastronome averti pour faire la différence. Un fromage au lait cru, fabriqué et affiné dans les règles de l’art, est incomparable en goût et en saveur. Comme un vin, il révèle le caractère et l’identité de son terroir ; il émerveille nos sens. D’ailleurs, les jeunes enfants ne s’y trompent pas : ils préfèrent spontanément les fromages typés au lait cru... !

    Alors pourquoi s’en priver. On a même tout à y gagner ! Côté santé, l’apport nutritionnel d’un fromage au lait cru est sans commune mesure avec une pâte industrielle vidée de toute substance vivante. Côté porte-monnaie, il est fort à parier que tout compte fait, une création industrielle « marketée » à grand renfort de publicité soit plus chère. II suffit de regarder le prix au kilo ! Enfin, côté plaisir, vous serez comblés ! À toutes ces bonnes raisons vient s’ajouter celle du geste citoyen qui rend hommage au travail de ceux qui respectent le terroir et luttent, contre vents et marées, pour maintenir des savoir-faire millénaires et des secrets de fabrication qui se sont transmis de père en fils. Si tous les amateurs éclairés, les amoureux de bonne chère et les jeunes générations ne prennent pas en main notre mémoire collective, notre « exception fromagère » unique au monde, sera dans peu de temps de l’histoire ancienne !

  • LE FARFADET

    FARFADET:lutin esprit follet c'est la définission du dictionnaire,pour un marseillais c'est un jooobastre mais pour d'autre c'est un gateau suisse dont voici la recette.Qui peut confirmer la véritable origine de ce gateau?
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    LE FARFADET
    Pesez et tamisez 100grs d'amandes en poudre et 125grs de sucre enpoudre.
    Clarifiez 5 blancs d'oeufs et battez les en neige tres ferme.
    Mélangez l'appareil auquel vous ajoutez 1 pincée de sucre vanillé avec les blancs battus en neige.
    Beurrez et farinez deux plaques et tracez un cercle d'environ une assiette.
    Garnissez avec l'appareil une poche munie d'une douille de 5 a 7 mm de diametre.
    Dressez avec la poche un fond sur le rond tracé en commencant par le milieu et en elargissant la spirale.
    Cuisez 15 mn a four doux .
    Décollez les fondset laissez refroidir sur une grille .
    Garnissez un fond avec une creme au beurre au café(bien parfumée).
    Superposez le deuxieme cercle et saupoudrez de
    sucre vanillé.
    Il va de soi que le parfum peut etre changé suivant le gout de chacun.Attention à la cuisson qui est tres delicate

  • BIEN FAIT DU VIN

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  • FRAISE ESPAGNOLE

    PROMOTION DU JOUR

    medium_images.3.jpgPrenez garde à la FRAISE ESPAGNOLE... Vous êtes gourmand d'accord mais retenez vous s'il vous plait d'acheter cette saleté de fraise espagnole qui envahit depuis deux semaines les rayons de vos grandes surfaces (malheureusement preférées). D'ailleurs pour être honnête : elle est INFECTE et INSIPIDE et il faut la recouvrir sous un tas de sucre et de crème chantilly pour satisfaire nos papilles en folie...Mais surtout elle a un impact catastrophique sur l'environnement comme en témoigne l'étude récente de WWF: trop d'irrigation qui assèche toutes les rivières du secteur, utilisation massive d'un pesticide pourtant interdit par l'UE (le bromure de méthyle...180 tonnes par an) et 4500 tonnes de résidus de plastique laissés en vrac sur le secteur pollué par la culture de cette fraise. La région entière du Parc national de Donana (inscrit au patrimoine mondial de l'humanité) est touchée par cette pollution. TOUT CA POUR BOUFFER DE LA MERDE  SANS GOUT...c'est un peu fort, alors retenez vous et attendez patiemment l'arrivée sur les étals de nos joyeuses gariguettes (un peu moins polluantes tout de même)!!!!!!

  • LES ARDENNES

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    LA SALADE AUX LARDS : Objet de mon futur silence,retour dans une semaine aprés avoir battue la campagne ardennaise,si vous voulez la recette je la donnerai bientot