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Que serait la France de Nicolas Sarkozy s'il accédait, le 6 mai, à la présidence de la République ? Quelles sont ses volontés de réforme, ses mesures prioritaires ? En meeting, il répète que ses adversaires veulent le «diaboliser» et lui vouent de la «haine». Loin de nourrir de tels sentiments, Libération décrypte les projets du candidat UMP qui fâchent.Voiçi une excellente analyse des journalistes de Libération que je me permets d'emprunter car elle fait une synthèse de ce qui attend la France si Sarkozy triomphe aux présidentielels et ensuite car on l'oublie un peu trop aux législatives. Je crois que l'on peut difficilement faire mieux en la matière. Alors tant pis pour une fois je me contenterai de soumettre à votre avis ces réalités que je n'ai pas moi-même écrites. Elles devraient être en effet largement diffusées.Aujourd'hui :Le social et l'individuLE SOCIALCe qu'il veut faire. Le candidat Sarkozy veut encadrer le droit de grève en imposant un vote à bulletin secret au bout de huit jours d'arrêt de travail. Dans le secteur public, il souhaite l'organisation d'un service minimum instauré par la loi dès juillet. Il veut réduire le nombre de fonctionnaires en ne remplaçant pas les départs à la retraite. Pour les salariés du secteur privé, il veut remplacer le CDI et le CDD par un contrat de travail unique, sur le modèle du contrat nouvelle embauche (CNE) ou du contrat première embauche (CPE), ce qui permettrait à tout employeur de se séparer d'un salarié sans avoir à se justifier, en contrepartie d'une indemnité de licenciement revalorisée. Sa proposition d'exonérer totalement de charges sociales et fiscales les heures supplémentaires, payées 25 % plus cher, signerait la fin des 35 heures avec un effet négatif sur l'emploi, les entreprises ayant intérêt à allonger la durée du travail plutôt qu'à embaucher.Ce qu'il a fait. Du fait de ses fonctions ministérielles, Sarkozy n'a jamais eu à intervenir directement dans le domaine social. Son passage au ministère de l'Economie, de mars à novembre 2004, fut bref. Le budget 2005, qu'il a préparé et fait voter, se traduisait essentiellement par le non-remplacement d'une partie des départs à la retraite de fonctionnaires. Il a soutenu la création du CNE à l'été 2005, mais quand Dominique de Villepin a lancé le CPE en janvier 2006, il a prudemment laissé le Premier ministre s'enferrer avant de plaider comme président de l'UMP pour un repli stratégique.Que serait la France de Nicolas Sarkozy s'il accédait, le 6 mai, à la présidence de la République ? Quelles sont ses volontés de réforme, ses mesures prioritaires ? En meeting, il répète que ses adversaires veulent le «diaboliser» et lui vouent de la «haine». Loin de nourrir de tels sentiments, Libération décrypte en 10 points les projets du candidat UMP qui fâchent.L'INDIVIDUCe qu'il veut faire. Nicolas Sarkozy pourrait revenir à la charge en proposant le dépistage des signes avant-coureurs de délinquance chez les enfants de moins de 3 ans. Il s'était déjà appuyé sur un rapport de l'Institut national de la santé et de la recherche médicale qui préconisait «le repérage des perturbations du comportement dès la crèche et l'école maternelle». A trop scruter les «susceptibilités génétiques», il risque de considérer qu' «un sujet "est" délinquant avant même d'entrer dans l'existence», comme le regrettait alors le docteur en psychopathologie Rodolphe Adam.Ce qu'il a dit. Dans un entretien avec Michel Onfray, publié par Philosophie magazine d'avril, Nicolas Sarkozy déclarait : «J'inclinerais à penser qu'on naît pédophile», et, plus loin : «Il y a 1 200 ou 1 300 jeunes qui se suicident en France chaque année [...] parce que, génétiquement, ils avaient une fragilité, une douleur préalable [...]. Les circonstances ne font pas tout, la part de l'inné est immense.»Une certaine idée du socialCe qu'il veut faire. Le candidat Sarkozy veut encadrer le droit de grève en imposant un vote à bulletin secret au bout de huit jours d'arrêt de travail. Dans le secteur public, il souhaite l'organisation d'un service minimum instauré par la loi dès juillet. Il veut réduire le nombre de fonctionnaires en ne remplaçant pas les départs à la retraite. Pour les salariés du secteur privé, il veut remplacer le CDI et le CDD par un contrat de travail unique, sur le modèle du contrat nouvelle embauche (CNE) ou du contrat première embauche (CPE), ce qui permettrait à tout employeur de se séparer d'un salarié sans avoir à se justifier, en contrepartie d'une indemnité de licenciement revalorisée. Sa proposition d'exonérer totalement de charges sociales et fiscales les heures supplémentaires, payées 25 % plus cher, signerait la fin des 35 heures avec un effet négatif sur l'emploi, les entreprises ayant intérêt à allonger la durée du travail plutôt qu'à embaucher.Ce qu'il a fait. Du fait de ses fonctions ministérielles, Sarkozy n'a jamais eu à intervenir directement dans le domaine social. Son passage au ministère de l'Economie, de mars à novembre 2004, fut bref. Le budget 2005, qu'il a préparé et fait voter, se traduisait essentiellement par le non-remplacement d'une partie des départs à la retraite de fonctionnaires. Il a soutenu la création du CNE à l'été 2005, mais quand Dominique de Villepin a lancé le CPE en janvier 2006, il a prudemment laissé le Premier ministre s'enferrer avant de plaider comme président de l'UMP pour un repli stratégiqueNDLR:J'espère que cette entorse aux textes habituels d' azurcom vous premettra de vous faire une idée plus précises de l'avenir...dans une période où le débat tourne davanatage sur la forme que sur le fond.
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AFFICHE
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AFFICHES
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CREMATION
Comment rire du changement climatique et de la mort ?
Détendons l'atmphère...
J'ai lu un rapport d'une étude scientique australienne selon laquelle la crémation humaine rejetterait directement 50 kg de CO2 sans compter le CO2 émis par la production d'énergie nécessaire.
Pour sauver la planete je propose une seule crémation par personne
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LA SYNTHESE DE LIBE II
LA SYNTHESE DE LIBE
Que serait la France de Nicolas Sarkozy s'il accédait, le 6 mai, à la présidence de la République ? Quelles sont ses volontés de réforme, ses mesures prioritaires ? En meeting, il répète que ses adversaires veulent le «diaboliser» et lui vouent de la «haine». Loin de nourrir de tels sentiments, Libération décrypte les projets du candidat UMP qui fâchent.Voiçi une excellente analyse des journalistes de Libération que je me permets d'emprunter car elle fait une synthèse de ce qui attend la France si Sarkozy triomphe aux présidentielels et ensuite car on l'oublie un peu trop aux législatives. Je crois que l'on peut difficilement faire mieux en la matière. Alors tant pis pour une fois je me contenterai de soumettre à votre avis ces réalités que je n'ai pas moi-même écrites. Elles devraient être en effet largement diffusées.Aujourd'hui :La police et l'immigrationLA POLICECe qu'il veut faire. Le ministre de l'Intérieur en avait rêvé contre l'avis de Jacques Chirac, et cette fois le candidat à l'Elysée est bien décidé à la mettre en place : une direction unique du renseignement qui réunirait Renseignements généraux (RG) et Direction de la surveillance du territoire (DST). Officiellement, il s'agit de lutter plus efficacement contre le terrorisme. Une direction unifiée aurait également l'avantage d'être plus facilement contrôlable pour le pouvoir politique avec un homme idoine à sa tête. Nicolas Sarkozy veut également faire voter une nouvelle loi de programmation afin de «combler» les poches de retard des forces de l'ordre en matière de cryptologie, de biométrie et d'équipements. Lors de ses deux précédents passages place Beauvau, Nicolas Sarkozy avait déjà largement communiqué sur les technologies (pistolet à décharge électrique, caméras...) au service de la police.Ce qu'il a fait. Dès son arrivée au ministère de l'Intérieur au printemps 2002, Nicolas Sarkozy s'est attaché à galvaniser des policiers et des gendarmes qui avaient manifesté leur blues dans la rue à l'automne 2001. Il leur a garanti moyens et effectifs dans une loi de programmation votée durant l'été 2002. Le deuxième étage de la fusée sécuritaire Sarkozy a été la mise en place de la «culture du résultat», aujourd'hui largement décriée dans les commissariats. Lors de leurs dernières élections professionnelles, les policiers ont dénoncé, la «chasse aux crânes», c'est-à-dire l'inflation des interpellations et des gardes à vue. Enfin, il est le ministre de l'Intérieur qui a enterré la police de proximité mise en place par ses prédécesseurs de gauche.L'IMMIGRATIONCe qu'il veut faire. L'objectif de Sarkozy est affiché : limiter l'immigration «subie». Le candidat de l'UMP a annoncé la création d'un «ministère de l'Intégration et de l'Identité nationale» regroupant les attributions confiées aujourd'hui à trois ministères. Il a également promis, dès juillet, une troisième loi sur l'immigration et précisé que les immigrés souhaitant venir en France au titre du regroupement familial devraient apprendre des «rudiments» de la langue française.Ce qu'il a fait. Alors ministre de l'Intérieur, il a fait adopter deux lois sur l'immigration, en 2003 puis en 2006. La première comprenait une disposition plutôt favorable aux immigrés avec la suppression partielle de la «double peine». La seconde a durci les conditions de régularisation des immigrés en situation irrégulière, et celles d'entrée et de séjour des étrangers. Hautement symbolique, la suppression de la régularisation de plein droit après dix ans de séjour, même clandestin, en France. La lutte de Sarkozy contre l'immigration clandestine s'est accompagnée d'une augmentation des reconduites à la frontière : 24 000 en 2006, un chiffre toutefois inférieur aux objectifs fixés aux préfectures. La loi de 2006 était également censée ouvrir la porte à une immigration «choisie». Malgré quelques accords signés avec des pays comme le Mali, ce système tarde à prendre forme.NDLR:J'espère que cette entorse aux textes habituels d' azurcom vous premettra de vous faire une idée plus précises de l'avenir...dans une période où le débat tourne davanatage sur la forme que sur le fond. -
L'IMAGE DU JOUR
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ALERTE
Ceci n'est pas un spam
Si cette lettre t'arrive, ce n'est pas par hasard, rien n'est dû au hasard.
Marie P. a voté Sarkozy en 2002, deux jours plus tard sa maison a brûlé et tous ses enfants sont morts de combustion spontanée.
Pierre F. a voté Sarkozy lui aussi : il s'est noyé dans la mare aux canards de sa ferme, on n'a jamais retrouvé son corps.
Catherine K. a voté UMP aux dernières législatives : une semaine plus tard, elle a dû se faire poser un anus artificiel.
Joseph D. a pensé à voter Sarkozy. Depuis, il purge une peine à vie dans les prisons turques. Le pire, c'est qu'il avait pris un billet d'avion pour Namur, il a été victime d'une erreur à l'embarquement.
Denise V. a rêvé qu'elle votait Sarkozy. Dans la semaine suivante, elle est devenue Soeur Denise au couvent de la Visitation, alors qu'elle devait épouser T.B. un jeune homme très bien membré.
Ne VOTE PAS SARKOZY, ou tu finiras comme eux.
Transfère ce message à 10 personnes que tu aimes sinon tes dents de devant tomberont et celles de derrière se feront la paire.
Si tu ne votes pas Sarkozy, tout ira bien, tout le monde te trouvera sexuellement désirable, et tu gagneras plein d'argent.
C'est bien compris ? -
LA SYNTHESE DE LIBE
Que serait la France de Nicolas Sarkozy s'il accédait, le 6 mai, à la présidence de la République ? Quelles sont ses volontés de réforme, ses mesures prioritaires ? En meeting, il répète que ses adversaires veulent le «diaboliser» et lui vouent de la «haine». Loin de nourrir de tels sentiments, Libération décrypte les projets du candidat UMP qui fâchent.Voiçi une excellente analyse des journalistes de Libération que je me permets d'emprunter car elle fait une synthèse de ce qui attend la France si Sarkozy triomphe aux présidentielels et ensuite car on l'oublie un peu trop aux législatives. Je crois que l'on peut difficilement faire mieux en la matière. Alors tant pis pour une fois je me contenterai de soumettre à votre avis ces réalités que je n'ai pas moi-même écrites. Elles devraient être en effet largement diffusées.Aujourd'hui :La justiceLA JUSTICECe qu'il veut faire. Il a promis de «lutter contre la récidive en instituant des peines plancher pour les multirécidivistes». La dernière loi visant à réprimer plus sévèrement la récidive (élargissement des critères de la récidive, limitation des sursis...) remonte à décembre 2005. Nicolas Sarkozy veut qu'au bout de trois fois le condamné écope de la peine maximale prévue. Ce qui malmène le principe de l'individualisation de la peine inscrit dans la tradition juridique, la Constitution et la Convention européenne des droits de l'homme. Tous les spécialistes estiment qu'une telle mesure fera exploser la population pénitentiaire.Sarkozy veut aussi supprimer l'excuse de minorité pour les récidivistes de plus de 16 ans, et aligner progressivement la justice des mineurs sur celle des majeurs. Il tient aussi à «expérimenter» une séparation entre les mineurs dont s'occupent les juges des enfants : d'un côté les victimes, de l'autre les délinquants. Sachant que les frontières sont totalement perméables.Ce qu'il a fait. Il a beaucoup joué avec le principe de la séparation des pouvoirs, en mettant en cause personnellement des magistrats, notamment ceux du tribunal des enfants de Bobigny, accusés de «démissionner» face aux délinquants. Au point que Guy Canivet, le premier président de la Cour de cassation, avait été reçu par Jacques Chirac, en septembre 2006, après avoir exprimé sa colère pour dénoncer «les termes provocants» de Sarkozy, alors ministre de l'Intérieur, «mettant en cause le fonctionnement de l'institution judiciaire». Le haut magistrat se montrait alors désireux d'exposer au chef de l'Etat «la gravité de ces atteintes réitérées à la répartition des pouvoirs prévue par la Constitution et le malaise ressenti par les juges».Sarkozy a aussi multiplié le fichage en étendant notamment le fichier national automatisé des empreintes génétiques créé sous la gauche pour pister les délinquants sexuels à quasiment tous les délits. Contre l'avis de la Commission nationale de l'informatique et des libertés, ce fichier ne contient pas que des condamnés mais aussi des suspects.NDLR:J'espère que cette entorse aux textes habituels d' azurcom vous premettra de vous faire une idée plus précises de l'avenir...dans une période où le débat tourne davanatage sur la forme que sur le fond. -
LES AMIS DE SARKO HORS LA LOI
source Cannes Solidaire avec Nice-Matin
La ville de Cannes est encore une fois hors la loi.
Une photo du journal Nice-Matin est révélatrice de l'amateurisme de l'équipe municipale et du maire de Cannes,ami de Sarkozy y compris pour quelque chose d'aussi rôdé que l'organisation d'une élection.
Sur cette image prise sur le vif au moment de l'ouverture de l'urne du bureau de l'Hôtel de Ville, figurent pas moins de 4 infractions majeures à la loi électorale.
Pourtant, ce bureau est présidé par le premier adjoint au maire de Cannes.
Les 4 infractions décortiquées
1. L'urne ne doit pas être retournée pour la vider : des bulletins peuvent glisser à terre ou s'éparpiller n'importe comment. Le Président du bureau doit sortir les bulletins par petites poignées et les disposer sur la table de dépouillement.
2. Personne ne doit tripatouiller les bulletins : seul le Président doit se saisir des bulletins pour les sortir de l'urne. Que fait le personnage de droite sur la photo ? Est-il en train d'échanger des bulletins ? Toutes les interprétations sont possibles.
3. Les scrutateurs doivent être assis et en place : Ils surveillent le bon déroulement du dépouillement. Sur la photo, personne n'est en place. La moitié au moins des scrutateurs ne s'intéresse pas au dépouillement.
4. La table de dépouillement doit être dégagée : Que font tous ces documents sur la table de dépouillement ? On voit les bulletins se mélanger aux papiers des scrutateurs. Cela permet toutes sortes de manipulations et de fraudes.
Le maire de Cannes, en tant que responsable de l'organisation des scrutins ne devrait pas tolérer ces infractions.
Le Parti Socialiste n'accepte pas ces entorses
aux lois de la république.
Cannes doit respecter la loi, comme le font toutes les autres villes de France.
Si le Parti Socialiste, et Apolline Crapiz, sont un jour en situation de gérer la ville de Cannes,ils feront respecter la loi en toutes circonstances.
C'est aussi cela l'ordre juste.
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COEUR A GAUCHE
Cœur à gauche ou « cœur de gauche ? »
Monsieur Sarkozy nous a fait savoir que son cœur était à gauche. Tout simplement, il nous a informé qu’il était normalement constitué, comme l’est la très grande majorité des Français. Pas de quoi pavoiser ! Hitler et Pinochet avaient le cœur à gauche ! … Et, pourtant…Je veux simplement dire à M. Sarkozy qu’il ne sort pas grandi par son assertion. Son cœur bat bien à gauche mais il n’est pas de gauche… Rien dans ses faits et gestes depuis des années ne soutient cette affirmation. Pas plus que ses citations de Jaurès et de Blum nous laisseraient croire qu’il se reconnaît comme étant de la lignée de ces hommes-là.
Pourtant ces cœurs qui battaient à gauche n’étaient pas des « cœurs de gauche », peut-être même pas « de droite ». Je ne reviendrai pas sur les idéologies de ces hommes là, ni pour quelles causes battaient leurs cœurs.Pendant des années, Jaurès s’est battu pour que la France ne se laisse pas gagner par l’entreprise d’une guerre que certains souhaitaient ; ceux-là mêmes qui voyaient là une possibilité de l’abattre, lui, le socialiste qui voulait la paix. La guerre ne venait pas assez vite à leur gré : alors le 31 juillet 1914, ils lui ont tiré une balle dans le dos. Le 1er août, la France entrait en guerre. La voix de gauche du socialiste Jaurès était éteinte ; le cœur « de gauche » de « cet homme de gauche » avait cessé de battre. La boucherie pouvait commencer.
Quant à Blum, socialiste comme Jaurès, son cœur était bien « de gauche » aussi. Il subit la seconde guerre mondiale et l’emprisonnement qui suivit avec tant d’autres.
Revenu après sa longue captivité, il mit son talent d’écrivain au service du monde du travail, en socialiste convaincu, jusqu’à sa mort.Pourquoi ne pas avoir cité Zola, l’homme des « droits de l’homme » au génie et au « cœur de gauche » et son célèbre « J’accuse » qui contribua à ramener du bagne le malheureux Dreyfus, dont la mort avait été si bien programmée par ses ennemis regroupés dans « la patrie française »?
Quant aux femmes, bien qu’interdites de monter sur le trône par la « loi salique » au XIVème siècle, l’énumération de celles qui se sacrifièrent pour sauver notre pays serait bien longue. Chaque siècle est marqué par l’une d’entre elles dans l’Histoire de France. N’en citons qu’une : une certaine Jeanne d’Arc. Une fois le pays sauvé elle devenait bien encombrante. Le roi qu’elle avait fait monter sur le trône ne la défendit même pas. A Rouen, sur la place du vieux marché, six siècles après sa mort est indiqué le lieu où elle fut brûlée vive. Des fois qu’elle aurait eu l’idée de gouverner ! … Une femme, ça peut sauver un pays mais ça ne peut pas gouverner la France, voyons ! …
Souhaitons que, très bientôt, il y ait, chez nous, une femme Présidente de notre République, et qu’elle fasse en sorte que tous les enfants de France puissent rester à l’école assez longtemps pour comprendre l’Histoire de notre grand pays. S’ils ne possèdent pas assez de diplômes pour être considérés comme de grands savants, qu’il leur soit laissé assez de temps pour apprendre, avec les meilleurs maîtres, notre « Histoire de France », le nom des grands hommes et femmes amoureux des « Droits de l’Homme » qui ont contribué à en faire un modèle . Leur histoire les passionnera et en fera des modèles où qu’ils soient et quoiqu’ils fassent à leur tour.