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  • A LA GREVE

     Toutes et tous à la manif jeudi

    Avis de grève générale et de grande manifestation partout dans le pays pour jeudi !

    Un moment déterminant : pour faire reculer le gouvernement, je veux tous vous voir à la manif jeudi !

    DÉFILÉ À NICE JEUDI 19 MARS

    RASSEMBLEMENT PLACE MASSÉNA – 10H00

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  • LE PRINTEMPS REVIENT:LES EXPULSIONS AUSSI

    L'arrivée du printemps signe également le retour des expulsions pour les locataires menacés. La trève hivernale est terminée, et la crise annonce de nombreuses expulsions pour 2009 : non seulement de nombreux foyers ne vont pas pouvoir payer leur loyer, mais en plus la construction de logements (sociaux ou pas) est en baisse . Si l'offre continue à être insuffisante, on peut être certain  que les mal logés seront article_photo_1230569624049-2-0.jpgencore nombreux dans les années qui viennent .

    Chistine Boutin, qui ne craint pas les effets d'annonce, déclare que les expulsés seront tous relogés . La Ligue des Droits de l'Homme dénonce ces propos démagogiques:

     

    En cette classique fin de trêve hivernale du 15 mars, la ministre du Logement, Christine Boutin, vient d’annoncer qu’il n’y aura « plus d’expulsions sans solution de remplacement ».

    Selon elle, c’est grâce à sa nouvelle loi qui prévoit l’obligation de la création dans chaque département d’une « commission de prévention des expulsions ». Pour la LDH, il s’agit au mieux d’une bien générale déclaration d’intention, mais plus vraisemblablement d’un faux semblant. En effet, ces commissions étaient déjà prévues dans la loi contre l’exclusion de 1998. Leur création facultative à l’époque n’a pas empêché en 2008 l’exécution à force ouverte de 10 000 expulsions ! Qu’en sera-t-il p61-1_expulsions1.jpgen 2009 avec les effets de la crise qui conduisent de plus en plus de familles à ne plus pouvoir faire face à leurs dépenses locatives ? La déclaration ministérielle (qui reprend celle de F. Fillon en septembre 2008 aux associations d’aide aux personnes les plus démunies), n’a donc guère de crédibilité.

    On n’a jamais vu une commission réaliser ce qu’une nouvelle loi ne prévoit pas. L’obligation de proposer un hébergement ou un relogement à toute personne de bonne foi victime d’une décision d’expulsion n’est donc qu’un leurre. C’est pourquoi la Ligue des droits de l’Homme, s’appuyant sur les dispositions de la loi « Droit au logement opposable » qui fait obligation à l’Etat de reloger prioritairement les personnes menacées d’expulsion, demande qu’un moratoire des expulsions soit institué en 2009 comme le préconise le collectif des associations unies pour une nouvelle politique publique du logement des personnes sans abri et mal logées dont elle fait partie.

    Ce moratoire doit être maintenu jusqu’à ce que l’Etat, par une politique de logement massivement orientée vers la demande sociale, soit en mesure de faire face à ses obligations

  • JOSEPHINE ET GABY PLEURENT....

    Nous aussi

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    Un jour il parlera moins, jusqu'au jour où il ne parlera plus,ses circuits sont niqués et y'a un truc qui a du faire masse, le courant peut plus passer.Il voulait aller vers l'irréel voir à quoi s'adonne la madonne.

      

  • LA FRANCE EN LIBERTE SURVEILLEE

    (Cliquer sur l'image pour obtenir le texte)

    L' ouvrage du Parti Socialiste, qui ressemble à un abécédaire réussi et terrifiant de la situation française. Les atteintes aux libertés publiques commencent souvent par petites touches. sans vouloir faire de parallèle osé et provocateur, les périodes sombres de notre histoire récente ont été marquées par ces restrictions de libertés sacrifiées sur l'autel tantôt de la guerre, tantôt de la crise, tantôt de l'insécurité.

    Ce "livre noir", intitulé "La France en libertés surveillées", expose en 166 pages le bilan provisoire de 20 mois de présidence sarkozyste dans le domaine. En un peu plus d'une centaine de pages, l'abécédaire est complet. Au fil des pages, le portrait d'une France sécuritaire se dessine, celle d'un pays où il est terriblement aisé au simple citoyen de basculer dans la sphère judiciaire et policière; où il ne faudrait pas grand chose pour qu'on bascule d'un régime de liberté démocratique à un autoritarisme musclé.

    La France est en "liberté surveillée". Les mots ont leur poids. Les libertés sont encore là, mais chacune a été progressivement mise sous tutelle. A la moindre incartade, la vie de chacun peut basculer.

    Le blog Sarkofrance chronique malheureusement, avec d'autres, ces manifestations sécuritaire. Une militante humanitaire en garde à vue pour avoir secouru des sans-papier; des fouilles au coprs, avec chiens renifleurs, contre des collégiens; des présomptions d'innocence bafouées au sommet de l'Etat; des services publics transformés en auxiliaires de la police; les mariages mixtes sont suspectés d'insincérité; le délit d'outrage devient la norme présidentielle, la plainte est fréquente.

    La France de 2009 est un curieux pays. On y frappe les plus faibles, les "invisibles", chômeurs, immigrés, sdf, salariés ou malades. On (re)découvre que "l'insécurité d'Etat" frappe les précaires.
  • LES COUPS D'ETAT PERMANENTS

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    Déjà trois, en moins de deux ans. Trois coups d'Etat à froid, réussis sans coup férir: institutionnel, médiatique, financier. Et un quatrième, judiciaire, qui se profile. Oui, des coups d'Etat, c'est-à-dire des ruptures profondes qui vont bien au-delà de la seule persistance des travers auxquels nous a habitués la Cinquième République, plus ou moins tempérés par la culture, la modération ou les précautions de ses présidents successifs.

    Coup d'Etat institutionnel, et ce fut, à l'été 2008, la réforme de la Constitution dont chacun peut voir, aujourd'hui, que loin d'augmenter les pouvoirs du Parlement, elle a accru ceux du Président de la République, désormais seul gouvernant, ayant ravalé premier ministre et ministres au rang d'exécutants.

    Coup d'Etat médiatique, et ce fut ensuite la réforme de l'audiovisuel public dont l'enjeu caché était bien la mainmise directe de l'Elysée sur les dirigeants de radios et de télévisions, dans le but de réduire l'indépendance et l'irrévérence de leurs rédactions et de leurs programmes.

    Coup
    d'Etat financier enfin, et ce fut, tout récemment, l'achèvement du feuilleton des Caisses d'épargne, offrant en somme à l'actuelle présidence de la République sa propre banque.

    Reste à venir, en 2009, le coup d'Etat judiciaire, annoncé dès janvier, à l'heure des vœux présidentiels où la figure indocile du juge d'instruction fut pendue haut et court.

    Et c'est sans compter le coup d'Etat territorial qui s'annonce avec le rapport Balladur, défaisant depuis Paris et l'Elysée les liens sociaux assurés par des départements et des régions majoritairement contrôlés par la gauche. Alors même que la crise sociale grandissante appellerait, à l'évidence, d'autres urgences.

  • T'AS VOULU VOIR PARIS T'AS EU LES CRS

    Entendu sur France-Inter

    Les élèves de la classe de 3ème C du collège Jean-Jaurès à Cenon ou Créon (Gironde) ne sont pas près d’oublier leur visite à l’Assemblée nationale. Accompagnés par leurs professeurs de français et d’histoire-géo, ils avaient pris le train du matin pour se rendre à la capitale. Mais à 19 heures, alors qu’ils attendaient sur les quais de la gare Montparnasse, ils se sont retrouvés acteurs malgré eux d’une opération de « maintien de l’ordre » à la mode parisienne. « Après le passage d’un groupe de manifestants étudiants qui chantaient, les CRS ont surgi très vite », a raconté l’une des enseignantes. Les élèves ont été embarqués dans le mouvement et ont eu droit au traitement de faveur réservé aux contestataires. « On criait qu’on était des collégiens mais rien à faire, explique un éléve: J’ai pris des coups de matraque aux jambes et au poignet ». Une dizaine d’enfants ont été malmenés, jetés à terre et ont pu goûter aux douceurs du tonfa. Les deux enseignantes qui tentaient de protéger leurs élèves ont aussi été bousculées ; l’une d’elles s’en sort avec une entorse cervicale.

    Les deux professeurs et les parents des collégiens n’ont pas perdu de temps. Le parquet de Bordeaux dit avoir reçu une dizaine de plaintes dont celles des enseignantes et de parents d’élèves outrés. Le Syndicat national des enseignements de second degré (Snes) a dénoncé « la violence gratuite des forces de l’ordre ». Le président de la FCPE du collège a pris l’affaire très au sérieux. Depuis lundi, il fait circuler sur internet la lettre signée par les personnels et l’ensemble des parents d’élèves. Ils y annoncent le dépôt d’une plainte collective pour coups et blessures, et leur intention d’alerter leurs autorités de tutelle. La sénatrice-maire de la commune voisine d’Artigues a interpellé le Premier ministre et la ministre de l’Intérieur. Celle-ci s’est exprimée mardi. Selon ses informations, « il n’y a pas eu au cours de cette manifestation de problème particulier ». Elle s’est même permis de morigéner les deux profs : « Je suis moi-même enseignante de formation, quand on a la charge d’un certain nombre de jeunes et notamment de très jeunes, on évite de les mettre dans des lieux où il peut y avoir des manifestations et des mouvements de foule ». Et on leur explique que des CRS qui matraquent des manifestants en pleine gare, c’est nor-mal 

  • BANOGNE FAIT LA UNE DE L'UNION

    Serge Minet atteint de collectionnite aiguë

     


    Serge Minet connaît sa « caverne » sur le bout des doigts. Chaque année, c'est le grand nettoyage. Ca lui prend… un mois.
    Les nombreux qualificatifs dont pourrait être affublé Serge Minet, de Banogne, feraient de lui un champion au Scrabble. Un collectionneur au sens premier du terme.

    Les linguistes n'en finissent pas d'inventer des nouveaux mots pour qualifier les collectionneurs des objets les plus divers. Sans doute devraient-ils se pencher sur le cas de Serge Minet qui collectionne… les collections.
    « Dans le temps, quand j'étais jeune, je collectionnais les sous-bocks de bière. C'est resté dans un carton et, 30 ou 40 ans plus tard, j'ai repris », confie Serge, 66 printemps au compteur.
    C'est donc il y a une douzaine d'années que le virus le (re) prend. D'abord en tant que cervalobélophile (collectionneur de sous-bocks de bière donc), puis rapidement avec les verres, qu'ils soient de bières (il en a plus de 2 000 aujourd'hui), de marque, de vin (plus de 1 200), en passant par les chopes, etc.
    « Dans la Somme, il y avait un collectionneur qui se faisait vieux et qui vendait ses verres. Je lui en ai acheté. Mais sinon, c'est surtout sur les brocantes que je trouve. Je peux en faire 7 par week-end ».
    Des pièces anodines à celles qui ont une certaine valeur, tout y passe. Serge Minet, ancien président d'une association de bouliste, ancien boulanger, aujourd'hui encore dans l'agriculture, s'est même construit une véritable caverne d'Ali Baba, accolée à sa maison de Banogne, à l'ouest de Château-Porcien.

    ndlr:Qui ne connait pas Banogne

    Une pièce dédiée à ses collections
    « Je n'avais plus de place dans la maison. En 1999, j'ai construit ce bâtiment. Aujourd'hui il n'y a plus que la collection de petits vases de ma femme dans la maison », raconte Serge.
    Et dans cette pièce entièrement vouée à accueillir ses collections, Serge est comme un poisson dans l'eau.
    D'un côté les verres, de l'autre les boîtes en fer ; au milieu les capsules de champagne (c'est son côté placomusophile), les petites voitures de pompiers, les 140 vinyles 33 tours de Johnny Halliday, les bouteilles de parfum, les BD de Tintin, les 30 000 cartes postales, les boîtes d'allumettes (son côté cumixaphiliste), les journaux de guerre, les briquets, les calendriers de la poste, les étiquettes de fromage (son côté tyrosémiophile),…, j'en passe et des meilleurs.
    Sans oublier tout le pan de mur réservé aux 5 000 cendriers publicitaires (son côté publitéphraphile).
    « J'en ai très peu en double, c'est ceux qu'on me donne. Sur les brocantes, au premier coup d'œil, je sais si je l'ai ou pas. Je me rappelle où j'ai eu chaque pièce », souris Serge en nous montrant des bouteilles de champagne d'une grande maison rémoise, qui à l'époque les avait bradées.
    Serge n'est pas le genre de chineur à rentrer bredouille d'une brocante. Il accumule, il accumule en se disant, avec le temps, ça va prendre de la valeur.
    « Maintenant, il y a beaucoup de gens qui collectionnent, les prix montent. Dans le temps, ce n'était pas comme ça ».
    Nul doute qu'avec ses 70 000 objets en tout genre, Serge va devoir réfléchir à agrandir sa pièce. « Il y a de la place », glisse t-il en désignant le jardin.

    E.D.

  • LA FOIRE DE NICE


    Le slogan de la foire de Nice cette année est "Tout ce qu’il faut là où il faut"

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    Et pour l’illustrer, quoi de mieux ont dû penser les publicitaires qu’une femme aux seins "généreux", et un homme noir;
    Clichets sexiste et raciste en même temps, ils ont fait très fort.

     

    Ironie du sort, la foire de Nice a débuté la veille de la journée de la femme.
    Mais il y a mieux : cette pub est affichée à quelques mètres d’une école primaire, à la vue de centaines d'enfants chaque jour.

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    Merci à la foire de Nice de compléter l’éducation de nos enfants.

  • CET HOMME EST DANGEUREUX

    Régulièrement, je m’arrête quelques instants sur le destin particulier d'une personnalité.drôle ou tragique, l'histoire vue par le petit bout de la lorgnette ne laisse jamais indifférent .J'ai relu la vie de Deschanel et brusquement je me mis à penser à Sarko.

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    Cet homme est profond-dément malade, il est incapable de se contrôler.... longtemps.
    Il arrive à des extrêmités incroyables dans le seul but, pourrait-on croire, de se faire haïr, sinon serait-il bête à ce point ?

    Le voir en caricature de président de la République devient insupportable, et dire qu'on en a encore pour 4 ans... 4ans qu'il va passer "à ne pas renoncer à ses réformes", c'est-à-dire transformer la france en un champs de bataille social, asseoir un régime sécuritaire, monter les Français les uns contre les autres, augmenter de façon exponentielle la dette de l'état, favoriser le copinage le plus abjects pour l'attribution des plus hauts postes et tout ceci au grand bonheur des établissements financiers multinationaux.

    Un véritable danger pour la France. Un instable capricieux, un ado en pleine crise de puberté, entouré d'une cour d'incompétents notoires (sauf Hortefeux, qui, lui, excellait au-delà de toute espérance dans sa spécialité...) dont tous ne sont heureusement pas au gouvernement.
    Une nuée de people gravitant autour du Roi, en quête de quelque service, poste, ou coup de pouce.

    S'il fascine (voir éthymologie...), ai-je lu quelque part, c'est parce qu'il renvoie l'image de ce que chacun voudrait être ou faire, en clair : "ce que je veux, où je veux" et qu'il est un "hypernarcissique qui tend un miroir à une société de narcisses", description on ne peut plus exacte.

    Cet homme, c'est du vent.
    Juste un charisme peut-être un peu au-dessus de la moyenne, ce qui lui a permis de remporter l'election présidentielle

    Un réseau d'amitiés dans les milieux (milieu... milieu...) financiers et industriels qui lui ont fabriqué un à un les echelons de la fonction suprême, aujourd'hui tellement dégradée...
    Je suis triste de voir cet agité mégalomaniaque eclabousser ses mentors et ses proches collaborateurs de son obscène vanité.

    Je suis étonné que personne ne rapproche le comportement de Sarko à celui de Deschanel

    Le Président Deschanel entra dans l'histoire non pour la durée exceptionnelle de son mandant, sa magistrature devant durer moins d'une année, mais parce que, à la tête de l'Etat, il fut atteint de troubles mentaux.

    Ainsi s'amusait-il à signer sous le nom de "Napoléon" les lois qu'on lui proposait de promulguer.

    De même, au cours d'un voyage officiel en train et pour une raison inconnue, il passa à travers la fenêtre en pleine nuit, et se retrouva seul le long de la voie.
    .

    A la suite de cette anecdote, Paul Deschanel fut surnommé le Président Pyjama. Plus tard, il devait accueillir ses hôtes officiels au Palais de l'Elysée en traversant le bassin au lieu de le contourner.Deschanel sauta du train Sarko possède la commande de la bombe atomique

  • A ANTIBES VU DANS NICE MATIN

     En arrivant au conseil municipal, Jean Leonetti était pris à partie par élus et militants pour le logement au sujet du cas d'une jeune mère de deux enfants qui dort à l'hôtel. « Depuis que je suis maire, je n'ai jamais laissé une mère célibataire à la rue ». :
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    1. On notait la présence des élus Michèle Muratore (PS) Pierre Aubry (Les Verts ), Cécile Dumas et Denis La Spesa (PCF), ainsi que de Jean-Pierre Cochart (secrétaire de section au PS), de la Confédération nationale du logement (CGL) et du Nouveau parti anticapitaliste (NPA).