Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Actualité - Page 41

  • ON MEURT DE FROID DANS LES RUES

    Merci Sarkozy pour tes promesses 
    A l’approche de l’hiver, et par ces temps de premier grand froid, on trouve encore de nombreuses personnes qui passent la nuit dans des conditions précaires, au risque d’y perdre la vie . Dans ce système qui ne vit que pour le fric, on a que faire des malheureux et des sans logis .

    Pourtant souvenez vous, lors de la précampagne présidentielle, ce que clamait le candidat Sarkozy, le 18 Décembre 2006, devant sa cour umpiste . "Si je suis élu président de la république, d’ici à 2 ans, plus personne ne sera obligé de dormir sur le trottoir et d’y mourir de froid" .

    Combien de Sdf vont ils encore subir, les rigueurs de l’hiver et y laisser leur vie, dans le mépris et l’indifférence de celui qui faisait, une de ces innombrables promesses .

    Le froid fait une quatrième victime en deux jours


    NICODAPRES
    Quatre décès en deux jours.Les terribles conditions météorologiques ont des conséquences dramatiques pour les sans abris.
    Deux SDF ont ainsi été retrouvés sans vie, vendredi. Ce dimanche,deux autres victimes viennentt d'être annoncées par la police à Marseille et à Nice.
    Un SDF d'une cinquantaine d'années a été retrouvé « probablement mort de froid », vendredi matin, dans un garage, à Châteauroux (Indre) tandis que dans le Val-de-Marne, le corps d'un deuxième sans-abri a été découvert dans la cage d'escalier d'un immeuble de Villeneuve-Saint-Georges. Les températures très basses seraient à l'origine de ces deux décès. Ce qui est également la piste privilégiée concernant le décés d'un ressprtissant polonais d'une trentaine d'années découvert à Marseille samedi midi. enfin, une quatrième victime a également été signalée ce dimanche dans le Nord Pas-de -Calais puisqu'un homme de 36 ans a été retrouvé dans un état de raideur cadavérique dans sa caravane situé prés du domicilede sa mère. Cet homme, au chômage depuis plusieurs mois est la première victime de la vague de froid dans ce département

  • RETHEL(08):LA MATERNITE EN DANGER

    Maternité de Rethel : bientôt les décisions

    On ne parle plus beaucoup de l'avenir de la maternité de Rethel.

     

    Même le blog des personnels pour défendre leur service est très discret sur l'évolution de la situation.

    Cette absence d'informations n'est pas forcément un bon signe. Il semble en effet que les choses avancent, et pas du bon côté.Pg%2024%20bebe%20copier.jpg

    Un conseil d'administration devait se tenir la semaine dernière, mais faute de quorum il n'a pu délibérer valablement.

    On y a appris cependant que le projet d'établissement comportait bien la suppression de la maternité, et qu'au moins une partie du personnel médical soutenait cette position.

    Il est à craindre que cette fermeture volontaire fragilise le bloc opératoire, et qu'à moyen ou court terme des décisions devront  être prises pour l'avenir de la chirurgie sur le site de Rethel.

    Cette situation de disparition de services hospitaliers n'est pas, loin de là, résevée à l'hôpital de Rethel (disons site de Rethel du GHSA pour être précis).

    Le combat contre ces décisions ne peut pas se faire que localement. Il existe heureusement une coordination nationale qui lutte contre ces fermetures, et souvent avec succès.

    Une mobilisation politique nationale sera aussi indispensable à un changement de cap dans le domaine de la santé et de la gestion des hôpitaux en particulier.

  • SALES TEMPS POUR LES DINDES

    medium_250px-Dinde.jpg

    SALE TEMPS POUR LES DINDES

    En cette période de l'année,il ne fait pas bon être dindes.

      Noel c'est dans pas longtemps,thanksgiving est passé mais chaque année,pour ces fetes,nos dindes sont serialkillées dans l'indiférence la plus totale.D'abord plumées puis farçies avec des marrons c'est chaque année le meme rituel(Pour les dindes pas pour les dictateurs).

    Il est temps de réagir!Je dis,n'ayons pas peur des mots,halte au génocide.La mobilisation semble prendre forme.Pour preuve les actions pour protéger la dinde se multiplient.L'avant-garde de ce mouvement naissant est occupée par les Dindes de Garde.Les autorités et le ministre de l'intérieur essayent de tuer le mouvement dans l'oeuf.

    Les Dindes de Garde-enfin celles restant- vont sensibiliser l'opinion publique en organisant une grande manifestation le 1er Janvier prochain en partant du Grand Marché de Rungis jusque devant les boucheries parisiennes au cri de "Complétement Dinde de Toi et glou et glou et glou,vous etes des notres vous etes des dindes comme les autres".

    33117255.jpegQue faire?Dindes de tous pays unissez-vous pour mettre fin à ce massacre.Rejoignez les Dindes de Garde pour défendre vos droits becs et ongles au moment des fetes.

     Avant cette manifestation j'ai interviewé Dindon Futé leader du mouvement concurrent G.A.S (Gallinaçés Antilibéraux Sauvages)

    Azurcom:Dindon futé votre avis sur ce massacre organisé des dindes?

    Dindon Futé:Ce massacre organisé des dindes m'inquiète sérieusement.Néanmoins voyons le coté positif de Noel;il y a dinde et dinde.Les fetes permettent d'éliminer le surplus des dindes d'élevage.Les dindes d'élevage sont un peu des gallinacés blondes.Or,point trop n'en faut,elles finissent par nuire à la réputation de la dinde sauvage,qui pour etre moins cruche est plus comment dirai-je,euh,imprévisible

    Azurcom:Que pensez-vous des actions des Dindes de Gardes?

    Dindon Futé:J'insisterai une nouvelle fois sur l'importance de cette discrimination positive Dinde d'élevage/Dinde sauvage.Je soutiendrais l'action des Dindes de Garde tant qu'elles prendront en compte cette disctinction Autrement le combat est vain.Contentons-nous de défendre ce qui est défendable.

    Azurcom:Pour résumer votre point de vue,vous considérez que les fetes ont des cotés positifs?

    Dindon Futé:Tout à fait tant qu'on ne touche pas à la dinde sauvage

     

  • AMINATOU HAIDA

    Aminatou Haidar : une "étrangère" dans son pays

    Message d'Amnesty


    Les faits


    Présidente du Collectif des défenseurs sahraouis des droits de l'homme (CODESA), Aminatou Haidar a été interceptée par des responsables de la sécurité à son arrivée à l'aéroport de Laayoune le 13 novembre 2009, alors qu'elle rentrait d'un voyage d'un mois à   l'étranger, notamment aux Etats-Unis.

    Ces agents de la sécurité se sont offensés de ce qu'elle ait indiqué sur sa carte de débarquement «Sahara occidental» et non «Sahara marocain» comme lieu de résidence, et qu'elle n'ait pas fait mention de sa nationalité marocaine.

     

     


    Qui est- elle ?

    aminatou_a_paris_250_pix.gifAgée de 42 ans et mère de deux enfants, elle a reçu de nombreuses récompenses prestigieuses pour son inlassable action pour la défense des droits humains.

    Elle vient de recevoir le prix du courage civil 2009, octroyé par la "John Train Fondation" américaine.
    Elle a également reçu en 2008, le prix de la fondation Robert Kennedy , le prix Silver Rose de Solidar, une alliance internationale indépendante, (Autriche, 2007), le prix Juan Maria Bandres Humain Rights (Espagne, 2006).
    Elle a également reçu le prix Andreï Sakharov pour les droits de l'homme, de la part du Parlement européen et le prix Ginetta Sagan Fund de Amnesty International (section Etats unis).
    Elle a été proposée pour le prix Nobel de la Paix.

     


    Sa situation actuelle

     

    Le 14 novembre 2009, elle était placée dans un avion à destination de Lanzarote, aux Canaries, où elle se trouve actuellement.
    D’après les autorités marocaines, Aminatou Haidar a en fait «renoncé» à sa nationalité marocaine.


    Depuis son arrivée à Lanzarote, Aminatou Haidar n’a pas quitté l’aéroport et demande à pouvoir rentrer à Laayoune.
    Elle a entamé une grève de la faim le 15 novembre 2009 à minuit pour protester contre son expulsion forcée.
    Elle souffre d’anémie, d’un ulcère et de troubles oculaires.

     


    Recommandations d'Amnesty International



    Amnesty International demande instamment aux autorités marocaines de s'acquitter de ses obligations internationales au titre de l'article 12.4 du Pacte international relatif aux droits civils et politiques (PIDCP).
    Celui-ci précise que « Nul ne peut être arbitrairement privé du droit d'entrer dans son propre pays ».
    Le Maroc a ratifié le PIDCP.

    Aminatou Haidar doit être autorisée à regagner Laayoune immédiatement sans condition et les autorités marocaines doivent lui restituer ses documents de voyage et papiers d'identité.

     

     

    Sahara-Occidental-D%C3%A9limitation.PNG

     

  • CES GENS LA NOUS GOUVERNENT

    Consternation en France autour d'un clip de l'UMP

    45805246_p.jpeg
     
    Nicolas Sarkozy risque d'apprécier moyennement l'initiative de ses ministres.
    Un clip de l'UMP, avec une joyeuse équipe de ministres dansant et chantant en play-back, est devenu un tube sur internet. Mais il consterne plusieurs responsables politiques, y compris dans la majorité de droite.

    «Qu'est ce que vous voulez que j'en dise de ce clip... Ah, non, il ne m'a pas fait rire!», a déclaré samedi le patron des députés UMP Jean-François Copé.

    A la question «comment autant de ministres peuvent se planter autant, ensemble, sans qu'il y en ait un qui s'en rende compte?», Jean-François Copé a répondu: «je ne sais pas dans quelles conditions tout ça a été fait. Je sais que c'est une initiative du parti», sous-entendu avec l'aval de son rival Xavier Bertrand, secrétaire général de l'UMP.

    Depuis plusieurs jours, internautes et médias passent en boucle et commentent, non sans ironie, le clip destiné à stimuler l'ardeur des jeunes militants du parti présidentiel, alors que la cote de Nicolas Sarkozy est au plus bas depuis son élection en 2007.

    Lagarde à la rythmique, Woerth en play-back

    Filmé lors de l'université d'été du parti, la vidéo montre des militants et une vingtaine de personnalités chantant en play-back sur un tube entraînant de Luc Plamondon, composé en 1976 et intitulé «Tous ceux qui veulent changer le monde».

    La ministre de l'économie Christine Lagarde y bat le rythme, le crétin porte-parole de l'UMP Frédéric Lefebvre fait un coeur avec ses mains, la ministre de l'enseignement supérieur Valérie Pécresse se trémousse en tunique blanche, alors que le ministre du Budget Eric Woerth chante, en play-back: «vivre d'amour et mourir d'espérance»...

    Désespérant

    Toutefois, quel dommage que la fonction "commentaires" ait été désactivée sur dailymotion ! Que de frustration pour tous les "fans" qui auraient tellement souhaité y déposer des messages d'amitié ou d'encouragement aux jeunes UMP et à leurs ainés qui débordent d'énergie pour nous distraire en ces temps particulièrement difficiles pour de nombreux citoyens

    Pour voir cette oeuvre cliquer sur: clip...

  • VOUS VOULEZ VOTER

    Vous voulez voter ?

    Si vous souhaitez participer aux prochaines échéances électorales, il faut être inscrit sur les listes électorales de votre commune de résidence.

    Cette formalité est en principe automatique pour les jeunes qui atteignent 18 ans. Sinon, allez vous inscrire avant la fin du mois.

    urne-electorale.jpg

     

     

     

    INSCRITPION SUR LES LISTES ELECTORALES

    JUSQU'AU 31 DECEMBRE 2009.
    PIECE D'IDENTITE - JUSTIFICATIF DE DOMICILE

    EN MAIRIE

  • BESSON AVOUE

    Besson admet la "réalité" des "contrôles au faciès" 

    47276314.jpeg

         Besson a admis mercredi que les "contrôles au faciès" des jeunes par des policiers étaient une "réalité" en France, prise de position rare pour un membre du gouvernement, s'attirant aussitôt les foudres des syndicats de police.

    Le ministre de l'Immigration Eric Besson a déclaré mercredi sur RTL que les "contrôles au faciès" des jeunes étaient une "réalité", en ajoutant qu'elle est "largement combattue".

    Inspection générale des Services, est une instance qui fonctionne bien et qui sanctionne à ce titre 2.500 policiers par an", a précisé M. Besson. "L'immense majorité des policiers, gendarmes et des forces de sécurité en France sont républicaines", a-t-il précisé.(sic)Les puissants et corporatistes syndicats de police ont aussitôt dénoncé les propos du ministre.

    Jean-Claude Delage, pour Alliance (2e syndicat de gardiens de la paix proche du FN) a dit à l'AFP que M. Besson a commis "un dérapage verbal", tandis que Nicolas Comte, de l'Union SGP-FO/Unité police (1er syndicat), les a jugés "inadmissibles".

    "Ces contrôles (au faciès) sont illégaux"(sic), a ajouté M. Comte, "je ne comprends pas qu'un ministre de la République puisse laisser supposer le contraire".

    Il devrait demander pourquoi un jeune étudiant de type nord-africain se fait systématiquement contolé quand il rentre du travail au volant de sa vieille Renault 5 le soir à Antibes. 

    La prise de position de M. Besson survient après l'appel d'un collectif, "Police + Citoyens" ayant demandé mardi au gouvernement d'"agir pour en finir" avec ces contrôles.

    Le collectif, rassemblant notamment la Ligue des droits de l'Homme (LDH), le Conseil représentatif des associations noires (Cran) ou AC le feu, a évoqué le témoignage d'un jeune étudiant à Science Po disant avoir été injurié par des policiers.

    Anyss Arbib, qui célébrait à Paris la qualification de l'Algérie au Mondial de football, avait raconté dans le quotidien Libération s'être fait asperger de gaz lacrymogène par un CRS et avoir été victime de sa part d'injures racistes.

    Ce témoignage "confirme la discrimination au faciès que subissent quotidiennement des milliers de Français ou de présumés étrangers, lors des contrôles de police", a estimé dans un communiqué le collectif.

    Il a appelé le gouvernement à "adopter sans délai" sa proposition de la "remise d'une attestation" par les policiers lors de chaque contrôle. Y figureraient leur numéro de matricule, le nom de la personne contrôlée ou le cadre légal du contrôle.

    En juin 2009, une étude financée par l'Open Society Institute du milliardaire américain George Soros sur les contrôles d'identité policiers à Paris avait conclu que ceux-ci se fondent "principalement sur l'ethnicité" et non sur la base d'un comportement suspect.

    Interrogée alors par l'AFP, la porte-parole de la préfecture de police de Paris, Marie Lajus, avait déclaré que "ce que l'on recherche, c'est à prévenir des délits ou des crimes commis" dans des lieux "criminogènes, avec des paramètres qui sont policiers et empiriques".

    "Statistiquement, selon elle, vous avez plus de chances de trouver du shit sur un rasta que sur un cadre supérieur en costume."

  • BESSON ATTAQUE GUILLON

    Stephane_Guillon-9894f.jpeg
    Il fallait s'y attendre : la chronique de Stéphane Guillon va causer quelques ennuis à Jean-Luc Hees, patron de Radio France. Sa diatribe, mercredi 25 novembre, contre Éric Besson et son idée de dénoncer les "mariages gris" ont jeté le ministre de l'Immigration dans les transes au point de faire peser sur France Inter et son humoriste la menace d'un procès. Il faut dire que Stéphane Guillon a osé tourner en dérision la liaison qu'Éric Besson entretient avec une jeune femme présentée comme "une Tunisienne de 22 ans". Dans la journée du mercredi 25 novembre, Éric Besson a décroché son téléphone pour passer une soufflante à Philippe Val, patron d'Inter...

    La station publique fait bloc derrière son humoriste. "Stéphane Guillon a fait allusion à une information de la presse people. Ce n'est pas comme s'il avait commis une violation de la vie privée, explique-t-on du côté de France Inter. Il n'y a pas non plus de diffamation." Contacté par lepoint.fr, le cabinet d'Éric Besson ne souhaite faire aucun commentaire. Le procédé du recours à la vie privée pour toucher sa cible a déjà valu à Stéphane Guillon de passer un sale moment l'an passé lorsque Dominique Strauss-Kahn s'était plaint d'avoir été brocardé sur ses prétendus appétits féminins. Nicolas Sarkozy s'en était mêlé, critiquant en privé l'humoriste et plus encore, son patron, Jean-Paul Cluzel, écarté de la présidence de Radio France en mai dernier.

    Cette fois, les mêmes causes produiront-elles les mêmes effets ? On envisage difficilement comment le chef de l'État pourrait désavouer Jean-Luc Hees, sitôt après l'avoir nommé. Chez France Inter, on dédramatise : "Des pressions, il y en a tout le temps. Quand Isabelle Giordano s'en prend à Bouygues, SFR ou Orange, Philippe Val reçoit les mêmes coups de fil..." On en parle moins, cependant.

  • NOUS NE DEBATTRONS PAS

    Nous ne débattrons pas

    Par principe,je suis favorable au débat. A sa liberté, à sa pluralité, à son utilité. C'est pourquoi je refuse le « grand débat sur l'identité nationale » organisé par le pouvoir : parce qu'il n'est ni libre, ni pluraliste, ni utile.


    Il n'est pas libre car c'est le gouvernement qui le met en scène, qui pose les questions et qui contrôle les réponses. Il n'est pas pluraliste car sa formulation réduit d'emblée notre diversité nationale à une identité unique. Il n'est pas utile car cette manœuvre de diversion est une machine de division entre les Français et de stigmatisation envers les étrangers.


    Affaire publique, la nation ne relève pas de l'identité, affaire privée. Accepter que l'Etat entende définir à notre place ce qui nous appartient, dans la variété de nos itinéraires, de nos expériences et de nos appartenances, c'est ouvrir la porte à l'arbitraire, à l'autoritarisme et à la soumission.


    La République n'a pas d'identité assignée, figée et fermée, mais des principes politiques, vivants et ouverts. C'est parce que nous entendons les défendre que nous refusons un débat qui les discrédite. Nous ne tomberons pas dans ce piège tant nous avons mieux à faire : promouvoir une France de la liberté des opinions, de l'égalité des droits et de la fraternité des peuples. 

    je mets un lien sur la pétition lancée par Médiapart qui appelle au refus du débat et a en moins de 48 heures été signée par plus de 8 000 personnes, et dont curieusement personne ne parle : http://www.mediapart.fr/journal/france/021209/lappel-de-mediapart-nous-ne-debattrons-pas

     

    La liste des premiers signataires de l'Appel


    Aure Atika, actrice
    Raymond Aubrac, commissaire honoraire de la  République
    Martine Aubry, maire de Lille, premier secrétaire du Parti socialiste
    Stéphane Audeguy, écrivain

    Jean-Pierre Azéma, historien, professeur honoraire à l'IEP de Paris
    Denis Baupin, maire-adjoint de Paris, membre de l'exécutif des Verts
    Guy Bedos, comédien
    Sandrine Bélier, député européen Europe-écologie
    Tahar Ben Jelloun, écrivain
    Olivier Besancenot, porte-parole du Nouveau parti anticapitaliste 
    Jean-Paul Besset, député européen Europe-écologie
    Olivier Boitard, psychiatre des hôpitaux
    Christian Boltanski, artiste plasticienFrançois Bon, écrivain
    Yves Bonnefoy, poète, professeur honoraire au Collège de France
    Jacques Bouveresse, philosophe, professeur au Collège de FranceJosé Bové, député européen Europe-écologie
    Patrick Braouezec, député PCF de Seine-Saint-DenisMarie-George Buffet, députée de Seine-Saint-Denis, secrétaire nationale du PCF
    Pierre Buraglio, artiste plasticien
    Rodolphe Burger, musicien
    André Burguière,  historien, directeur d'études à l'EHES

    Yves Cochet, député Verts du Val d'Oise

    Daniel Cohn-Bendit, député européen Europe-écologie
    Bertrand Delanoë, maire de Paris
    Philippe Doucet, maire PS d'Argenteuil
    Jean-Pierre Dubois, juriste, président de la Ligue des droits de l'homme

    Jean-Pierre Ferrini, écrivain
    Marc Ferro, historien, directeur d'études à l'EHESS
    Hélène Flautre, député européen Europe-écologie
    Pierrette Fleutiaux, écrivain
    Dan Franck, écrivain
    Bastien François, professeur de science politique université Paris 1
    Daniel Friedmann, sociologue, chargé de recherche au CNRS
    Gérard Fromanger, artiste plasticien
    Christophe Girard,  maire adjoint à la culture de Paris
    Daniel Goldberg, député PS de Seine Saint Denis
    Roland Gori, psychanalyste, initiateur de « L'Appel des appels »
    Marcel Gotlieb, dessinateur
    François Hollande,  député PS de Corrèze, président du conseil général
    Christophe Honoré, réalisateur, écrivain
    Marie-Noëlle Lienemann, membre du bureau national du PS, ancien ministre
    Corinne Lepage, présidente de Cap21, député européen Modem
    Ariane Mnouchkine, metteur en scène
    Arnaud Montebourg, député PS de Saône-et-Loire, président du conseil général
    Bertrand Monthubert, mathématicien, professeur d'université, secrétaire national du PS
    Janine Mossuz-Lavau, politologue, directrice de recherche au CNRS
    Richard Moyon, cofondateur de RESF

    Marie NDiaye, écrivain, prix Goncourt 2009
    Vincent Peillon, député européen PS

    Paul Quilès,  président de Gauche avenir, ancien ministre


    Henri Raczymow, écrivain
    Michel Rocard, ancien Premier ministre 
    Benjamin Stora, historien, professeur à l'université de Paris XIII-Villetaneuse

    Sylvie Testud, comédienne, écrivain

    Serge Teyssot-Gay, musicien, Noir Désir
    Philippe Torreton, acteur
    Jérôme Tournadre-Plancq, politologue, université d'Orléans
    Enzo Traverso, politologue, professeur à l'université de Picardie
    Jacques Treiner, physicien, professeur à l'université Pierre et Marie Curie


    Dominique de Villepin, ancien Premier ministre

     

     

  • MISS FRANCE

    MISS FRANCE

    Tropicalboy