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  • LE FOND DU DEBAT

    Je ne résiste pas à l'envie de vous proposer  un papier paru dans Libération du vendredi 4  qui résume avec talent ce dont je suis persuadé depuis de très longues semaines et même de longs mois. Cette campagne n'aura pas été politique mais très largement influencée par le système médiatico-économique. Dimanche soir on sablera le champagne dans bien des lieux du pouvoir jusque là éloignés de la vie électorale.
    Cette analyse de Schneidermann très différente des autres mérite d'être lue par le maximum de personnes car elle met en évidence la réalité du fonctionnement de notre société réputée démocratique.
    LE FOND DU DEBAT
    Enfin ! Enfin eux deux, seuls face à face, avec deux chronomètres, et deux arbitres potiches. Eux seuls, sans la gangue de sondages, d'éditoriaux, de bandes-annonces, de seconds couteaux, d'invectives, de sarcasmes, de manipulations, de déformations, d'effroi, de rumeurs, qui obscurcissent l'atmosphère depuis le début. Cette fois, c'est fait. Tous les PPDA, tous les Chabot, Boyon, Lagardère, Bouygues, Sylvestre, tous les Sofres-Ipsos-Ifop-BVA-CSA ne pourront plus empêcher que la France entière les voie, ces deux-là, au fond des yeux, pendant plus de deux heures d'horloge.
    Elle joue l'attaque : elle n'a pas le choix. Il se défend : surtout, ne pas s'énerver. Elle attaque bien, mais il défend efficacement. Il est meilleur, plus clair, plus convaincant, dans les longs monologues de fond de court, les développements, les plaidoyers. Elle y apparaît plus filandreuse. Mais à chaque montée au filet ­ et elle les multiplie, face à un adversaire alors paralysé par le risque de la faute ­, elle le hache menu, et marque le point. Offensives, retraites : que retiendra l'électorat, en ses mystérieuses profondeurs, de la musique de ce spectacle-là ? De ce débat, que restera-t-il ? Sa "saine colère" à elle, peut-être, sur le sujet inattendu de l'accueil des enfants handicapés à l'école, qui prend l'adversaire à contre-pied. C'est l'extrait qui nourrit les gloses du lendemain matin, que rediffuse en boucle la télé, que place à sa une l'édition en ligne du Figaro.
    Et un mystère, aussi, sans doute : ces regards, qu'il ne cesse de lancer aux deux arbitres. On dirait presque qu'il souhaite débattre avec eux, et seulement avec eux. N'est-ce pas, " Mdame Chabot " ? N'est-ce pas, " Msieur Poivre d'Arvor " ? Comme s'il était en train de se tromper d'émission. Comme s'il pensait se trouver à un entraînement avec les sparring-partners habituels. Mais Chabot et Poivre ne sont d'aucun secours. Ils n'existent plus dans le débat que par ces regards-là. Dès les premières secondes, ils ont perdu pied. Ils avaient dessiné un beau cadre, pour un beau débat bien ordonné, en plusieurs parties. Elle l'a fait voler en éclats dès le début, en piétinant les plates-bandes, mélangeant tout, convoquant d'emblée la policière violée de Bobigny, pour le mettre hors de lui d'entrée, le pousser à la faute sur le terrain de la sécurité. Tant pis, tant mieux. Le voilà dès lors obligé, en permanence, de galoper d'un coin à l'autre du terrain. Et on dirait qu'il les prend à témoin, les arbitres, les copains, les partenaires habituels. Eh ! Camarades ! Vous ne voyez pas que ça part dans tous les sens ? Vous ne voudriez pas faire quelque chose pour moi ? On aurait presque envie de le recadrer : mais enfin, aujourd'hui, ils n'ont pas le droit Nicolas ! Ils n'ont pas le droit de chuchoter avec toi. Ils n'ont pas le droit de recueillir tes confidences. Aujourd'hui Nicolas, il faut faire semblant de ne plus les connaître. Tu es dans la cour des grands, Nicolas. Tout seul face à elle, la martienne, l'imprévisible. Tu vas sûrement y arriver, depuis le temps que tu t'y prépares.
    Et derrière l'épaule de Chabot et PPDA, c'est toute la grande armée médiatique que semblent aller chercher, en filigrane, les regards du candidat. Ah ! le beau rêve ! Les voyez-vous, les hussards, les dragons, la garde ! Quelle belle armée, qui lui fit une si jolie campagne. Ah ! les croissants avec Elkabbach et Lagardère, entre hommes, entre amis, entre frères d'armes, après l'interview du matin sur Europe 1. Ah ! les consensus réconfortants d'après interview sur la nullitude de la concurrente. Ah ! la bienveillante neutralité du Monde tout au long de la campagne, son indulgente surdité après les dérapages sur le ministère de l'Immigration et de l'Identité nationale, sur la génétique, ou sur l'Allemagne. Ah ! la tendresse complice de l'ami Giesbert, les belles photos songeuses en couverture du Point, et ces graves questions au dos des kiosques : "Peut-il perdre ?" Ah ! la vigilance sourcilleuse des gardiens du CSA, qui savent toujours si bien comprendre sans qu'il soit besoin de rien leur demander. Ah ! l'immense armée des humbles de la presse, des circonvenus à coups de tutoiement, d'embrassades, de confidences, d'attentions. Ah ! les complicités du matin, au départ de l'avion ou de l'autocar. Ah ! les attentes partagées, les fous rires.
    Bien sûr, aussi, les coups, la dureté du combat. Ce directeur de Match, à qui il fallut bien faire payer l'affront d'avoir publié une photo sacrilège. Les mouches de Plantu, jusqu'alors réservées à Le Pen. La cruauté quotidienne des Guignols de Canal +. Les mesquines investigations immobilières du Canard enchaîné, heureusement promptement étouffées par le reste de la presse. Les portraits chargés de Marianne, heureusement désamorcés par leur excès. Les escarmouches avec Demorand, le matin, sur France Inter, heureusement apaisées après le round d'observation. Les coups de fil à Edouard de Rothschild, qui se retrouvent sur Internet. Et Internet, justement, espace incontrôlable, anonyme, espace de tous les traquenards, heureusement incapable de se hausser (mais pour combien de temps ?) jusqu'à l'audience des "grands médias".
    Voilà, peut-être, à qui s'adressaient les mystérieux regards de Nicolas Sarkozy, pendant que son adversaire, elle, ne le lâchait pas des yeux. Et maintenant que roulent les dés...
    Daniel SCHNEIDERMAN

  • LA SYNTHESE DE LIBE

    Que serait la France de Nicolas Sarkozy s'il accédait, le 6 mai, à la présidence de la République ? Quelles sont ses volontés de réforme, ses mesures prioritaires ? En meeting, il répète que ses adversaires veulent le «diaboliser» et lui vouent de la «haine». Loin de nourrir de tels sentiments, Libération décrypte les projets du candidat UMP qui fâchent.
                      
    Voiçi une excellente  analyse des journalistes de Libération que je me permets d'emprunter car elle fait une synthèse de ce qui attend la France si Sarkozy triomphe aux présidentielels et ensuite car on l'oublie un peu trop aux législatives. Je crois que l'on peut difficilement faire mieux en la matière. Alors tant pis pour une fois je me contenterai de soumettre à votre avis ces réalités que je n'ai pas moi-même écrites. Elles devraient être en effet largement diffusées.
    Aujourd'hui :La justice
    LA JUSTICE
    Ce qu'il veut faire. Il a promis de «lutter contre la récidive en instituant des peines plancher pour les multirécidivistes». La dernière loi visant à réprimer plus sévèrement la récidive (élargissement des critères de la récidive, limitation des sursis...) remonte à décembre 2005. Nicolas Sarkozy veut qu'au bout de trois fois le condamné écope de la peine maximale prévue. Ce qui malmène le principe de l'individualisation de la peine inscrit dans la tradition juridique, la Constitution et la Convention européenne des droits de l'homme. Tous les spécialistes estiment qu'une telle mesure fera exploser la population pénitentiaire.
    Sarkozy veut aussi supprimer l'excuse de minorité pour les récidivistes de plus de 16 ans, et aligner progressivement la justice des mineurs sur celle des majeurs. Il tient aussi à «expérimenter» une séparation entre les mineurs dont s'occupent les juges des enfants : d'un côté les victimes, de l'autre les délinquants. Sachant que les frontières sont totalement perméables.
    Ce qu'il a fait. Il a beaucoup joué avec le principe de la séparation des pouvoirs, en mettant en cause personnellement des magistrats, notamment ceux du tribunal des enfants de Bobigny, accusés de «démissionner» face aux délinquants. Au point que Guy Canivet, le premier président de la Cour de cassation, avait été reçu par Jacques Chirac, en septembre 2006, après avoir exprimé sa colère pour dénoncer «les termes provocants» de Sarkozy, alors ministre de l'Intérieur, «mettant en cause le fonctionnement de l'institution judiciaire». Le haut magistrat se montrait alors désireux d'exposer au chef de l'Etat «la gravité de ces atteintes réitérées à la répartition des pouvoirs prévue par la Constitution et le malaise ressenti par les juges». 
    Sarkozy a aussi multiplié le fichage en étendant notamment le fichier national automatisé des empreintes génétiques ­ créé sous la gauche pour pister les délinquants sexuels ­ à quasiment tous les délits. Contre l'avis de la Commission nationale de l'informatique et des libertés, ce fichier ne contient pas que des condamnés mais aussi des suspects.
    NDLR:J'espère que cette entorse aux textes habituels d' azurcom vous premettra de vous faire une idée plus précises de l'avenir...dans une période où le débat tourne davanatage sur la forme que sur le fond.

  • ENIGNE A NEUILLY SUR SEINE

    Les liaisons dangereuses de Sarkozy  
    Enterrée, l’affaire de l’appartement du candidat de l’UMP ? Ou seulement étouffée, le temps d’une campagne électorale ? Olivier Toscer revient sur ce dossier troublant, où l’on découvre une promotrice octogénaire murée dans le silence, un mort tombé d’un toit et quelques combines douteuses

    Elle n'a opposé grande résistance. A 85 ans, Denise Lasserre, l'ancienne légende des belles années de l'immobilier à Neuilly, n'a plus aujourd'hui la force de se battre. L'émissaire de Nicolas Sarkozy a facilement obtenu ce qu'il était venu chercher, jusque chez la vieille dame. Arrivé en voiture officielle et reparti avec le certificat de bonne conduite qu'il cherchait pour son patron : un communiqué public de Denise Lasserre assurant avoir vendu un appartement au candidat UMP à l'Elysée sans la moindre remise sur le prix, ni largesses sur les travaux. Un témoignage censé démentir les informations avancées avec force détails par « le Canard enchaîné »du 28 février.
    Depuis, Denise Lasserre, ex-dirigeante de la plus prestigieuse entreprise immobilière de Neuilly dans les années 1990, s'est recluse chez elle. Barricadée derrière sa porte blindée, entourée des souvenirs de sa splendeur passée. Celle d'une petite architecte juive roumaine, diplômée de l'université Ion-Mincu de Bucarest, arrivée en France en 1967. Elle a construit son empire immobilier à la force du poignet. Une réussite exceptionnelle, accomplie à l'ombre de la riche mairie de Neuilly et de son maire, Nicolas Sarkozy.

     Il y a encore quelques années, Denise Lasserre possédait l'un des plus beaux carnets d'adresses de la place. On y voyait des artistes cotés comme le sculpteur Arman, des people comme Jacques Martin, l'ex-mari de Cécilia, des hommes de presse comme Yves de Chaisemartin, alors patron du « Figaro ». Mais également du monde politique. Un éventail éclectique de personnalités de droite : de Jean-Pierre Denis, ex-secrétaire général de l'Elysée, à Martine Lehideux, membre de la hiérarchie du Front national. Denise, membre du Rotary Club, fraie aussi avec Didier Schuller, personnage clé de l'affaire des HLM des Hauts-de-Seine, l'un des scandales politico-financiers les plus retentissants des années 1990. La promotrice venue des bords du Danube fréquente la compagne de l'époque de Schuller, Christine Delaval. Denise est au coeur du pouvoir dans les Hauts-de-Seine. Elle peut joindre, à tout moment, Nicolas et Cécilia sur leurs portables et entretient même des relations amicales avec Andrée, la mère du premier magistrat de la ville

    Avec une quarantaine de vendeurs, le cabinet Lasserre roule sur l'or. «Le groupe travaillait beaucoup sur Neuilly, assure Jacques Havard-Duclos, le directeur des services techniques de la mairie. Lasserre était une référence dans le secteur des immeubles de standing.» Une bonne trentaine d'immeubles haut de gamme portent la marque de la reine Denise

    LA SUITE PLUS TARD.......

  • PESTICIDES

     

    Fabrice NICOLINO et Francis VILLERRETTE, viennent de publier chez Fayard, un livre intitulé « pesticide, révélations sur le scandale Français »

    La révolution productiviste agricole des années d’après guerre, fait qu’aujourd’hui, une partie des terres agricoles est mise en jachère, et que les rendements après avoir explosés, se sont stabilisés. Malheureusement il n’y a pas que les rendements qui aient explosés, l’emploi des pesticides à suivi une courbe plus importante encore, et aujourd’hui un certain nombre de scientifiques nous alertent sur le sujet.

    Corinne Lepage (ex future candidate à l’élection présidentielle) disait dans l’une de ses dernières interventions, « nous parlons du réchauffement climatique, mais une autre catastrophe nous menace, c’est les problèmes de santé dues aux pesticides et autre adjuvants agricoles »…

    En mai 2006, le tribunal de Clermont Ferrand sur plainte d’un agriculteur , reconnaissait sa maladie de parkinson, comme maladie professionnelle…

    En juin 2006, le journal « annals of neurology »publiait une étude réalisée après l’observation de plus de 140 000 personnes. Cette étude démontrait que l’exposition aux pesticides augmente le risque de parkinson de 70%.

    Hors, un rapport de l’IFEN, en 2006 toujours, constate que 96% des eaux de surface et 61% des eaux souterraines sont polluées par un pesticides au moins, souvent deux ou plus.

    En 2005, un rapport de la CEE relevait que 50% des fruits portaient des traces de pesticide. A titre d’exemple, les pommes sont traitées en moyenne 27 fois avant d’arriver sur notre table.

    Les cancers en France, ont augmenté de 68% de 1978 à 2000. D’après le professeur Belpomme(ça na s'invente pas), 60 à 70 % de ceux–ci sont liés à l’environnement, le seul cancer de la prostate à augmenté lui de 271%.

    Après le sandale de l’amiante, interdite en 1997 alors que les pouvoirs publics étaient alertés depuis 50ans, va-t-on subir une « affaire des pesticides » ?

     

     

  • C'EST QUI QUI VA EMMENAGE

    L’Elysée et son locataire

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     Qui sera dans la salle des fêtes
    début mai 2007 
    où se déroulera la cérémonie d’investiture ?
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    Combien auront les 500 signatures ce soir ?

    Si personne ne peut répondre à cette question, il est par contre possible de connaître un peu l’histoire de ce palais,  et à travers lui , l’histoire de notre pays à travers les évolutions constitutionnelles, les habitudes de vie, les changements dans la représentation artistique ou les modes de communication.  

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    Le saviez-vous ?   Au début du XVIIIème siècle, l'actuel faubourg saint-Honoré n'était encore qu'une plaine traversée de pâturages et de cultures maraîchères, et de quelques maisons au toit de chaume.  

    Sous la Seconde République (1848-1852), le président de la République était élu pour un mandat de quatre ans, au suffrage universel direct : il n'y en eut qu'un seul, Louis-Napoléon Bonaparte. 

    L'élection présidentielle de 1965 est la première élection présidentielle au suffrage universel direct de la Vème République. Elle intervient après le premier septennat de Charles de Gaulle qui se présente à nouveau aux français et qui démissionnera 4 ans plus tard .    

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    Les tentures et tapisseries très anciennes de la Salle des Fêtes ont été tissées dans l’atelier de COZETTE. Par contre les dix portes-fenêtres  percées dans les murs est et sud et qui permettent  de retrouver le jour naturel à l'intérieur datent de...1984!  Dans le vestibule d’honneur, une sculpture d'Arman, " Hommage à la Révolution française ", est constituée de 200 drapeaux de marbre blanc à hampe de bronze doré.    

    Enfin, le Jardin d’Hiver était une serre qui abritait à l'origine des plantes vertes exubérantes. Il  a fait l'objet d'une réfection générale à l'occasion de deux campagnes de travaux distinctes confiées à l'architecte Guy Nicot en 1976, par le Président Giscard d'Estaing puis en 1984, par le Président Mitterrand.  

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    L'Elysée, les élections, l'actu, l'histoire...

    Toutes ces infos, et bien d’autres sont sur trois sites que je  vous laisse découvrir.   

     http://www.elysee.fr/elysee/francais/accueil...

     http://www.election-politique.com/presidenti...  

     http://www.ina.fr/elections/

    Et signe de l'évolution des moyens de communication,  il est possible d’accéder à une boîte aux lettres électronique pour écrire au président  et obtenir une réponse... par voie électronique ou par voie postale.

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      Toutes les photos de cette note:
    - PhotosLP  juin 2006 -      

     

  • CIRCUIT DE GUEUX

    Un Conservatoire Automobile pour le Circuit de Gueux

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     Les Amis du circuit de Gueux ont proposé l’idée de créer une structure culturelle destinée à l’histoire de l’ancien circuit de Reims-Gueux. Plusieurs projets ont été suggérés au travers d’articles de presse ou de mémoire d’étudiant. Nous pouvons nous remémorer en particulier le travail réalisé en 2000 par Eric Dhôtel alors élève architecte sur la captation de la lumière dans les bâtiments. Souvenez-vous, il avait présenté la maquette de son projet aux 12 Heures de Gueux 2005. Il s’agissait d’un immeuble futuriste situé derrière les paddocks sur la zone utilisée actuellement pour la concentration de véhicules anciens et sportifs des 12 Heures de Gueux. Le projet de piste voulant faire de cet emplacement un parking pour les visiteurs, il suffirait de déplacer l’infrastructure sur une terre mitoyenne. Eric Dhôtel envisageait dans sa thèse le déplacement sur les terres du circuit de Gueux du Musée automobiles de Reims Champagne qui est actuellement avenue Clemenceau à Reims. Le projet consisterait en la concrétisation de cette structure à des fins un peu différentes puisqu’il ne s’agirait pas d’un musée mais d’un conservatoire destiné à l’histoire du circuit de Reims-Gueux et à l’histoire régionale de l’automobile. Le conservatoire serait doté d’un fonds contenant d’une part des documents écrits et photographiques fournis par l’ACG, des mécènes ou des partenaires et d’autre part des pièces mécaniques automobiles fabriquées dans les centaines de fabriques sous-traitantes de la région. Le Conservatoire du circuit de Reims-Gueux bénéficierait de salles de conférence destinée au partage du savoir à la fois théorique et pratique au sein de formations en accueillant les écoliers, les collégiens, les lycéens, les étudiants et les employés de la branche automobile, d’une salle de lecture mise à disposition en particulier des historiens dont les sources de documentation sont souvent dispersées dans les réserves des archives publiques et dans les collections privées. Une grande salle d’exposition permettrait la présentation de matériel mécanique didactique comme des moteurs écorchés tels qu’ils étaient conçus au XXème siècle. L’industrie automobile est en pleine mutation et il est probable que la conception de l’auto de demain soit radicalement très différente faisant passer rapidement le moteur à explosion de votre voiture dans les musées. Soyons présents sur le front de la conservation historique. Des expositions thématiques et interactives pourraient mettre en valeur quelques véhicules caractéristiques d’une marque ou d’une époque, dans ce cas le Musée automobiles de Champagne-Ardenne serait un collaborateur privilégié par son fonds qui ne ferait que grandir en synergie avec la notoriété d’un tel conservatoire. Un office de tourisme matérialiserait les renseignements sur toute la région Champagne Ardenne. Un tel ensemble permettrait d’organiser des séances dédicaces d’auteurs ou de pilotes, des actions rétrospectives. La grande salle pourrait servir de galerie d’art afin d’exposer les artistes contemporains régionaux. Le Conservatoire public constituerait un atout touristique essentiel et un site incontournable pour notre région. Actuellement l’A.C.G. soumet ce projet à l‘approbation des collectivités locales qui sont les garantes de notre patrimoine et de notre culture. L’alternative en cas de renoncement pourrait être la création d’une fondation privée mais c’est une autre histoire. Gérard CUIF (avril 2006)

  • SI L'ON CHANTAIT.....

    nouveau_sarko

    Posté par tropicalboy  

    Après avoir illustré certaines des revues de presse de Christophe Alévêque dans l'émission "On a tout essayé" de Laurent Ruquier, des montages  se trouvent à présent dans le video clip d'un groupe de joyeux drilles surnommés "Les Musclés"...

    Voici donc que la bande de joyeux recycleurs font recette avec le mixage d'une chanson de Dorothée pour la chanson, et de nombreuses images "marrantes"  ! Le hasard a même voulu que la première promo télé soit réservée à la bande à Laurent Ruquier cette semaine ! On y apprit que le clip visible à : http://www.dailymotion.com/visited/search/muscl%C3%A9s/video/xy96y_nicolassegolene-les-muscles était déjà un véritable carton sur le net ! Ecoutez

    !