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Dziem Drobry - Page 2

  • BABKA MAKOWA

    GATEAU POLONAIS AU PAVOT (Babka Makowa)

     

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    200g de farine
    200g de fécule de pommes de terre
    150g de sucre fin
    5 oeufs
    200g de beurre trés trés mou
    1 sachet de levure en poudre
    80g de graines de pavot
    2 c à s de lait + 3 gouttes d'extrait d'amandes amères

    Préchauffer le four à 180°

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    -Mélanger beurre + sucre + 1pincée de sel, jusqu'à
    ce que le sucre soit bien fondu;
    -Ajouter les oeufs un par un en mélangeant bien à chaque
    fois ;
    -Ajouter farine+fécule+levure , mélanger;
    -Ajouter le lait parfumé puis les graines de pavot;
    -Bien mélanger;
    -Verser dans un moule en couronne beurré et fariné;
    -Mettre à cuire pour 45mn en viron (surveiller);
    -Démouler tiède.

  • IL Y A PIRE QUE BORLOO

    Le Premier ministre polonais s'est excusé d'avoir été surpris en train de jouer au football pendant un vote parlementaire sur les retraites.

    La chaîne de télévision privée TVN a surpris Donald Tusk jouant à la balle avec des amis jeudi soir, pendant ce scrutin important. Le chef du gouvernement polonais est un fan de football insatiable et il joue régulièrement avec des membres de son parti, Plate-forme civique, et des amis de sa ville, Gdansk.

    "Quel était le score" a simplement demandé son rival en politique, le président Lech Kaczynski. "Est-ce que le Premier ministre a marqué deux buts ou pas?", a-t-il voulu savoir.

    Le Premier ministre a expliqué lundi qu'il n'avait "pas spécialement de mots pour justifier" son absence à l'assemblée. Après s'être excusé, il a promis que cela ne se produirait plus. AP

  • HISTOIRE DE LA CUISINE POLONAISE

     

    En cette fin d'année, période où traditionnellement la cuisine

    occupe une place importante,nombreux sont celles et ceux qui

    partiront à la recherche des saveurs d'antan, des recettes traditionnelles

    que Babcia faisait mijoter toute la journée, d'une authenticité qui a souvent

    tendance à disparaître dans nos contrésle micro onde a depuis

    longtempsremplacé la cuisinière à charbon.

    Soupe aux concombres marinés, au pain ou à la choucroute, boudin

    aux raisins,lard cru au paprika,perche au safran …. à notre grande

    surprise nous nous apercevons rapidement de la diversité de

    lacuisine polonaise.Nous sommes surpris par la richesse de recettes

     et étonnés ou désemparésdevant de nombreusesappellations

    de plats qui comportent dans leurs titres desqualificatifs étrangers.

    Nous pouvons nousinterroger: Est-ce vraiment cela,la cuisine

    purement polonaise, autrement dit « originale, traditionnelle ». ?

     

    Est-ce que « barszcz ukrainski » ou « pierogi ruskie »,

    « fasolka po bretonsku » ou encore « gulasz po wegiersku »

    ont bien leur place dans nos livres de cuisine ?

    A cette question spontanée, il existe une explication historique.

     L’histoire de la Pologne avec ses jours heureux et ceux

    douloureux a marqué le mode de vie de ces habitants façonnant

     en passant les habitudes culinaires.
    Les influences russes, françaises, juives, italiennes,

    germaniques et autres formaient le goût culinaire de nos ancêtres.

    La cuisine polonaise paraît plus complexe encore.

    A part des tendances venues d'autres pays, la cuisine s’affine

    en fonction également des régions.
    Les spécialistes trouveront sans trop de difficultés des racines

    communes avec la cuisine slave.
    Les premiers livres consacrés à l’art culinaire qualifient la cuisine

     Du Moyen Age riche en viande et « kasza ». La consommation

    des épices était supérieure par rapport aux autres pays.

    Les plus répondus étaient : poivre, genièvre, muscade
    La Pologne située géographiquement sur la route commerciale

    vers les pays d’Orient a bénéficié des prix moins élevés que

    des contrés plus lointaines.

    A suivre...........

     

     

  • SZTUCZKI

    (Un conte d"été polonais »)

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    Il suffit de croire en quelque chose, très fort, de croiser les doigts, de lancer un défi au destin, jeter un sort….
    Mais, surtout, il faut vouloir, vouloir, vouloir… et là tout peut arriver, il suffit d’y croire, de conjurer le sort.
    Voilà la philosophie de cette petite personne, Stefek.
    Stefek vit avec sa Maman, sa grande sœur, mais sans son papa.
    Il ne le connaît pas, il ne s’en rappelle pas. Ce père inconnu les a quitté pour une autre, il y a longtemps, de ça… mais quand Stefek croise cet homme quand il le voit, au hasard d’une rencontre sur le quai de la petite gare de sa ville de province polonaise, Walbrzych, il le reconnaît toute de suite… c’est lui, aucun doute possible… Comme l’atteste la vieille photo bariolée, froissée, découpée, qu’il garde de fond de sa poche.

     

    Et le tour de passe-passe commence

    ….
    Voilà le résumé de l’histoire de ce film pas ordinaire. Voilà l’histoire de ce film attachant, drôle, réaliste, tellement vrai… de ce film émouvant, mélancolique peut être, mais pas triste, optimiste certainement, de ce film hors du commun, qui montre une Pologne crue, une Pologne qui travaille, qui s’amuse, une Pologne qui vit, une Pologne sans fard.
    Le film « Sztuczki », dont le titre français est « Un conte d’été polonais » a été tourné durant l’été 2006 et est sorti dans les salles polonaises en 2007.
    Il est l’œuvre d’Andrzej Jakimowski, un réalisateur polonais, dont c’est le deuxième long métrage et un deuxième succès.

    La liste des prix que le film a déjà raflés est tellement longue, que je vous en ferai grâce, vous la trouverez sur le site du distributeur (KMBO), ou celui du film.
    Andrzej Jakimowski en a signé la réalisation, la mise en scène et le scénario.
    Le film a été tourné dans la ville de Walbrzych, en Basse Silésie, une ville ouvrière, pas du tout attractive pour les visiteurs.
    Stefek, le héros, s’amuse à provoquer le destin, mais est-ce vraiment un jeu. Il met tout en œuvre pour guider les pas de son présumé père vers le passé. Il fait des paris avec le destin, et le destin semble être de son côté… mais pas toujours…Il utilise tous les moyens qu’il a : à commencer par croiser les doigts, lancer des pièces de monnaie, faire intervenir ses soldats de plomb, diriger les pigeons voyageurs, défier les trains…
    Résultat final – une histoire tendre, émouvante et drôle, une histoire vraie, authentique. Si vous ne devez voir qu’un film, il faut que ça soit celui-là…

    Vous sortirez de la salle totalement transformés, sous le charme. Vous serez touchés par ces personnages attachants, par ce petit garçon, adorable petit garçon, pas toujours obéissant et suivant ses propres règles… Il y a peu de films qui ont un tel impact sur le public.

    « Un conte d’été polonais » sort en salles le mercredi 22 octobre 2008.
    Il va représenter le cinéma polonais aux prochains Oscars américains.

     

     

  • C'ETAIT UN 16 OCTOBRE

    Cette semaine est marquée en Pologne par le 30ème anniversaire de l’avènement d’un Polonais au siège de Saint Pierre de Rome.
    En effet, c’était un 16 octobre 1978 que Karol Wojtyla a accédé à l’honneur suprême d’un le premier Pape polonais de l’histoire de l’humanité.
    Et aujourd’hui, c’est la Pologne tout entière qui rend hommage à cet homme et la semaine consacrée à Jean Paul II vient d’être inaugurée en Pologne le dimanche dernier.
    L’ensemble folklorique Slask  participe activement à cet hommage.
    La troupe se rend en effet à Rome dès le jeudi 16 octobre où elle présentera, à la Basilique Sainte Sabine, le nouveau disque de Slask, Santo Subito, enregistré en direct dans la Basilique de Piekary Slaskie en mai dernier .
    Le concert aura lieu le 19 octobre, sous le patronat du président de la voïévodie de la Silésie.
    Le disque Santo Subito est un hommage à la mémoire de Jean Paul II.
    Il rassemble les plus belles œuvres aimées et chantées par le Pape lui-même, liées à sa personnalité, à sa vie.
    Parmi les titres il y a le célèbre chant « Barka » que Jean Paul II aimait tant chanter et entendre chanter et que nous vous proposons en annexe, interprété par Slask.
    Dès le retour de Rome, la troupe va présenter officiellement le disque au public polonais, dans l’auditorium de la Faculté de la Théologie de l’Université de Silésie à Katowice.

    Pour écouter Barka  http://www.beskid.com/barka.m3u

  • DECES DE GEREMECK

    Bronislaw Geremek (AP) 

    Victime d'un accident de voiture, le professeur Bronislaw Geremek, agé de 76 ans, est décédé ce jour dans la ville de Lubien située entre la ville de Poznan et la frontière allemande.

    On ne sait pas encore pour qu'elle raison, sa voiture à traversé la route et est venue percuter un véhicule de livraison qui arrivait en face.

     

    De 1950 à 1968, Bronislaw Geremek avait été membre du parti communiste polonais au pouvoir, le Parti ouvrier unifié polonais. Il avait pris ensuite ses distances avec le parti communiste et avait rejoint dans les années 80 le mouvement Solidarnosc.

    Après la chute du mur, il avait été ministre des Affaires étrangères de 1997 à 2000 et il était l'un des principaux artisans de l'entrée de la Pologne dans l'OTAN et dans l'Union Européenne.

    Fin connaisseur de la langue et de la culture française il était souvent l'invité des plateaux de télévisions dans l'hexagone où il n'hésitait pas à défendre ses propres idées, mais avant tout la Pologne, son histoire, sa culture.

    Après le décès de Jacek Kuron en 2004, la Pologne perd aujourd'hui un autre grand personnage de son histoire moderne.

  • POLONAIS AU VOLANT:DANGER

    Tomasz Jankowski risque la prison pour avoir voulu descendre un escalier avec un tracteur, alors qu'il avait abusé de la vodka.

    L'accident fait suite à un pari stupide pris par Thomasz: un de ses amis l'a défié en disant qu'il ne serait pas capable de faire descendre son tracteur de deux tonnes en bas des marches du square de Tczew, en Pologne. Naturellement, il a déclaré qu'il pouvait le faire.

    Thomasz explique son acte à la police : "après quelques vodkas, l'escalier semblait beaucoup plus large, et surtout pas aussi raide. Je pensais pouvoir le descendre sans problème". Le tracteur bloqué dans les escaliers, Thomasz s'est alors enfui en courant. La police l'a retrouvé derrière un bar, avec deux fois la limite d'alcool autorisée dans le sang. (Source Zigonet.com)

     

  • MORT D'IRENA SENDLER

    Irina Sendler en mai 2007 (Sipa)

    Irina Sendler en mai 2007 (Sipa)

    Une des grandes héroïnes polonaises de la Seconde guerre mondiale, Irena Sendler, qui avait sauvé 2.500 enfants juifs du ghetto de Varsovie, est décédée, lundi 12 mai, à l'âge de 98 ans, a-t-on appris auprès de sa fille. "Elle est morte aujourd'hui", a déclaré Janina Zgrzembska.
    Assistante sociale, Irena Sendler travaillait avant la guerre auprès des familles juives pauvres de Varsovie.
    Dès l'automne 1940, elle a pris des risques considérables pour apporter de la nourriture, des vêtements ou des médicaments aux habitants du ghetto mis en place par les nazis.
    A la fin de l'été 1942, Irena Sendler a rejoint le mouvement de résistance Zegota (Conseil d'aide aux juifs).

    Condamnée à mort

    Elle a alors fait sortir clandestinement des enfants du ghetto qu'elle hébergeait dans des familles catholiques et des couvents.
    Les enfants étaient cachés dans des valises, transportés par des pompiers ou des camions à ordures, ou dissimulés sous les manteaux des personnes qui avaient le droit d'accès au ghetto.
    Elle fut arrêtée chez elle le 20 octobre 1943, puis torturée. Condamnée à mort, elle fut miraculeusement libérée par un officier allemand que la résistance avait réussi à corrompre.
    Irena Sendler continua la résistance sous une autre identité jusqu'à la libération. Après la guerre, elle travailla dans la supervision des orphelinats et des maisons de retraite.
    En 1965, elle fut décorée de la médaille Juste parmi les nations, attribuée par l'Institut Yad Vashem à Jérusalem.

  • KACZYNSKI:LA PORTE

     Les jumeaux conservateurs Kaczynski, au pouvoir en Pologne depuis deux ans, ont essuyé un cuisant échec, battus par l'opposition libérale aux législatives d'hier avec une avance de près de 13 points, selon les sondages.
    Si les résultats officiels confirment aujourd'hui ces sondages, le parti libéral Plateforme civique (PO) de Donald Tusk recueillera de 43,7 % à 44,2 % des voix. Le parti conservateur Droit et Justice (PiS) du Premier ministre Jaroslaw Kaczynski n'est crédité que de 30,4 % à 31,3 % des voix.
    Troisième, l'Alliance de centre-gauche (LiD), parrainée par l'ex-président Aleksander Kwasniewski, a obtenu de 12,2 % à 13,3 %. Le parti paysan traditionnel PSL est crédité de 7,9 % à 8,4 % des voix.

    Participation record

    Les libéraux frôlent ainsi la majorité absolue de 230 sièges sur 460 à la Diète (chambre basse). Ils ne devraient pas avoir de problème à former un gouvernement. Le PSL s'est déclaré prêt à coopérer avec les libéraux.
     Ces élections anticipées, considérées comme un référendum sur les deux années de gouvernement des Kaczynski, ont largement mobilisé les électeurs. Le taux de participation a atteint un record pour ce genre de scrutin depuis la fin du communisme en 1989 : 55,3 % selon un sondage.
    Mais cette affluence a causé des perturbations sérieuses dans le scrutin. Certains bureaux ont manqué de bulletins de vote et les opérations de vote ont été prolongées dans certains bureaux de Varsovie.
    Les quelque 30,5 millions de Polonais appelés aux urnes ont renouvelé les deux chambres du parlement, 460 députés élus à la proportionnelle et 100 sénateurs élus au scrutin uninominal majoritaire à un tour.
    Les anciens alliés du PiS au pouvoir, le parti populiste Autodéfense et l'extrême droite ultracatholique de la Ligue des familles polonaises (LPR), sont éliminés du parlement, avec moins de 2 % des voix, soit largement moins que les 5 % requis.

  • UN BEBE NAIT TOTALEMENT IVRE EN.......POLOGNE

     

    Les médecins pronostiquent des lésions irréversibles sur le cerveau du nourrisson, né avec 1,2 gramme d'alcool dans le sang. Sa mère était ivre au moment de l'accouchement.

     

    (Reuters)

    (Reuters)

     

    La police de Zabrze, une ville située au Sud de la Pologne, a annoncé la nouvelle vendredi 13 juillet : un nouveau-né est venu au monde, dans l'hôpital de la ville, totalement ivre. Sa mère était sous l'emprise de l'alcool au moment de l'accouchement.
    Un examen effectué 12 heures après sa naissance a révélé que l'enfant avait 1,2 gramme d'alcool dans le sang, ce qui correspond, pour un adulte, à la consommation d'une bouteille de vin ou de deux litres de bière.

    La mère s'est enfuie de l'hôpital

    L'enfant a immédiatement été placé en soins intensifs. Il était, vendredi, dans un état stationnaire, mais les médecins craignaient toutefois des lésions irréversibles au cerveau.
    Agée de 34 ans, la mère s'est enfuie de l'hôpital aussitôt après l'accouchement. La police l'a interpellée. Les examens n'ont pas décelé de traces d'alcool dans son sang.
    "La femme est déjà mère de cinq enfants. Leur garde est confiée aux grands-parents, puisque la mère est privée de ses droits parentaux", a indiqué Marek Wypych, porte-parole de la police locale