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AZURCOM - Page 232

  • LA 205 A BERNADETTE

    La 205 de Jacques Chirac

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    Jacques Chirac a fait sa déclaration de patrimoine, comme la loi l’exige du président sortant.

    Il possède une 205 Peugeot année 1984 et quelques bricoles.

    En tout il a déclaré 1,4 millions d’euros. Cinq ans plus tôt, il déclarait 1,7 millions d’euros.

    Comme l’indique un député socialiste de mauvaise foi, Chirac a eu pendant cinq ans un revenu de 20 000 euros par mois, et a été totalement pris en charge par l’Etat. Et pourtant, les faits sont là : il s’est appauvri.

    La preuve, en quittant l’Elysée Jacques Chirac devra loger chez un ami. Les enfants de Rafic Hariri, l’ami assassiné en 2005, vont l’héberger (gracieusement, on s’en doute). Donc, si vous voyez un vieux monsieur qui sort d’une vieille 205 rouge avec une vieille dame au volant, aux alentours du quai Voltaire, ne soyez pas trop dur, donnez-lui quelques pièces jaunes.

  • POLITIS

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  • AFFICHE

    Affichistes

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  • LA SYNTHESE DE LIBE V

    LA SYNTHESE DE LIBE

    Que serait la France de Nicolas Sarkozy s'il accédait, le 6 mai, à la présidence de la République ? Quelles sont ses volontés de réforme, ses mesures prioritaires ? En meeting, il répète que ses adversaires veulent le «diaboliser» et lui vouent de la «haine». Loin de nourrir de tels sentiments, Libération décrypte les projets du candidat UMP qui fâchent.
                      
    Voiçi une excellente  analyse des journalistes de Libération que je me permets d'emprunter car elle fait une synthèse de ce qui attend la France si Sarkozy triomphe aux présidentielels et ensuite car on l'oublie un peu trop aux législatives. Je crois que l'on peut difficilement faire mieux en la matière. Alors tant pis pour une fois je me contenterai de soumettre à votre avis ces réalités que je n'ai pas moi-même écrites. Elles devraient être en effet largement diffusées.
    Aujourd'hui :La Fiscalite les médias et le pouvoir
    LA FISCALITE
    Ce qu'il veut faire. Nicolas Sarkozy a prévu d'abaisser encore le «bouclier fiscal» (qui permet de plafonner le total des impôts payés par un contribuable) à 50 %, alors qu'il est actuellement de 60 %. Surtout il souhaite supprimer jusqu'à 95 % des «droits de donation et de succession pour tous les patrimoines petits et moyens». Or, en France, grâce à la législation fiscale existante, 80 % des patrimoines transmis en ligne directe échappent déjà à toute imposition. Avec cette nouvelle proposition, 15 à 20 % des Français les plus riches échapperaient à nouveau aux successions. L'impôt sur la fortune pourrait de fait disparaître. Le candidat promettant une déduction de 50 000 euros de l'impôt contre un tel investissement dans une PME. La politique fiscale, au final, devrait profiter aux citoyens les plus aisés.
    Ce qu'il a fait. En cinq ans, la droite a mené une étrange politique fiscale. Que jamais Sarkozy n'a désavouée. Baissant de manière drastique l'impôt sur le revenu (IR), dont le taux marginal a progressivement été abaissé à 40 %. Aujourd'hui l'IR ne représente plus que 25 % des recettes fiscales de l'Etat. Mais dans le même temps, la majorité a réussi la prouesse de faire augmenter le taux des prélèvements obligatoires : l'ensemble des taxes fiscales et sociales atteint 44,4 %. Elle a aussi inventé le «bouclier fiscal» . Autant de mesures fiscales au service des plus aisés.
    LES MEDIAS
    Ce qu'il veut faire. Il prévoit un superministère rassemblant les médias, la culture et l'éducation, et un renforcement des missions culturelles de France Télévisions. En matière de médias, le programme de Nicolas Sarkozy est maigre. Il faut dire qu'il en a déjà tellement fait...
    Ce qu'il a fait. Dernier incident en date : il pète les plomb en coulisses de l'émission France Europe Express sur France 3 parce que monsieur n'a pas de loge. Sarkozy n'aime rien tant que mettre sa patte dans les médias, où il compte beaucoup d'amis : Arnaud Lagardère, patron du groupe éponyme ­ qui a gentiment viré Alain Genestar, patron de Paris-Match coupable d'avoir publié une une présentant Cécilia Sarkozy et son nouvel amoureux ­ ou encore Martin Bouygues, qui possède TF1. Sarkozy aime aussi beaucoup passer des coups de fil. A Robert Namias (TF1) et Arlette Chabot (France 2) pour les remercier d'avoir levé le pied sur le soulèvement des banlieues fin 2005. A Bertrand Méheut, patron de Canal +, pour, en juin 2005, défendre Karl Zéro dont l'émission est menacée. A Edouard de Rothschild pour se plaindre de la façon dont Libération le traite. Le zélé Jean-Pierre Elkabbach cherche-t-il à Europe 1 un journaliste politique pour suivre l'UMP qu'il demande conseil à... Nicolas Sarkozy. «Normal, répond celui-ci, j'ai été ministre de la Communication.» 
    LE POUVOIR
    Ce qu'il veut faire. Comme souvent en la matière, les postulants à l'Elysée oublient rapidement leur promesse de partager les pouvoirs du chef de l'Etat qu'ils viennent de se voir attribuer par le peuple. Lorsqu'il dit vouloir un «président fort», nul doute que Nicolas Sarkozy le sera. Et surtout, quinquennat oblige, plus engagé dans la conduite de la politique quotidienne. Dans ce cadre, le Premier ministre ne sera plus qu'un chef d'équipe gouvernementale. Logique dans ces conditions que le Président vienne s'expliquer en personne devant le Parlement, ce qui lui était interdit jusqu'à présent par la tradition républicaine. Tout aussi logique qu'il ne puisse plus se prévaloir d'aucun «domaine réservé» (politique étrangère et défense). Pour mettre en oeuvre ces réformes, Nicolas Sarkozy a annoncé qu'il désignerait avant l'été une commission de révision de la Constitution dont les conclusions seront soumises au Parlement en septembre
    Ce qu'il a dit. L'ancien ministre de l'Intérieur défend les institutions de la Ve République : «Ce régime, avec son président fort et son gouvernement doté des moyens d'agir, est fait pour la France», expliquait-il ainsi début avril. Mais, pour lui, «le président de la République devra gouverner». S'il entend conserver l'essentiel des institutions créées par le général de Gaulle en 1958, il veut les amender sur deux points : en limitant le nombre de mandats présidentiels à deux et renforçant les pouvoirs du Parlement, qui aura un droit de regard sur les nominations dans les grandes institutions (Conseil constitutionnel, Conseil supérieur de l'audiovisuel, etc.).
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    NDLR:J'espère que cette entorse aux textes habituels d' azurcom vous premettra de vous faire une idée plus précises de l'avenir...dans une période où le débat tourne davanatage sur la forme que sur le fond.

  • IL N'Y A PAS QUE MOI QUI LE DIT

    Les 63 raisons de ne pas voter Sarkozy

    Témoignage Chrétien consacre un dossier sur les raisons de ne pas voter Sarkozy.

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    Raisons 4.pdf     Raisons 5.pdf     Raisons 6.pdf

    Raisons 7.pdf    

  • C'ETAI HIER

     

    DES SENSATIONS VIEILLES DE 39 ANS
    Le 1er mai de Charléty aura été exceptionnel à plus d’un titre. D’abord parce qu’il a rassemblé au moins autant de monde que les syndicats dans Paris. Ensuite il a retrouvé des sensations qu’il avait oubliées depuis 39 ans. Certes ce n’est pas nécessairement un excellent souvenir mais le 27 mai 1968 hante encore le lieu. Vendant quelque peu la peau de l’ours avant de l’avoir
     tué, un certain Michel Rocard se déclara prêt à servir la France et à assumer un pouvoir qu’il pensait déjà à prendre. Il était à contre temps. L’opération, où quelques milliers de supporters dont moi jouèrent, en fait, les dindons de la farce, connut le flop que l’on sait... A l'heure où Nicolas Sarkozy renouvelle ses critiques sur le mouvement estudiantin et ouvrier de mai 1968, le lieu n'a pas été choisi au hasard. Le 27 mai 1968, les étudiants non… communistes et les forces de gauche y avaient organisé un grand rassemblement, auquel avaient participé entre 30.000 et 50.000 personnes. On les a retrouvées hier autour de Ségolène Royal. Le symbole a fonctionné en cette fête du travail militant mais il faut espérer que le résultat ne sera pas le même !
    Le 1er mai 2007 demeurera donc dans l’Histoire comme étant un moment clé de la campagne des Présidentielles. Quand les stades s’ouvrent à la politique ce n’est jamais innocent car ce n’est qu’en situation de crise profonde comme ce fut atrocement le cas pour le Vel’ d’Hiv ou celui de Santiago du Chili. Charlety a pris rang dans ces lieux où se fait l’Histoire.
    Nicolas Sarkozy " n'est pas le général de Gaulle " mais il "rêve de connaître à nouveau un Mai 68 pour y remettre de l'ordre", a dénoncé dans ce stade mythique Ségolène Royal. Face à son rival UMP, elle a dit son refus de "la brutalité dans la conduite des affaires publiques, qui peut mettre en danger la paix sociale, la paix civile. Ce danger est contenu dans le programme du candidat de la droite. Je veux la paix civile dans mon pays! Doc Gyneco, ce n'est pas André Malraux. François Mauriac, ce n'est pas Bernard Tapie. M. Sarkozy, ce n'est pas le général de Gaulle", a-t-elle lâché après les critiques émises dimanche à Bercy par le candidat UMP sur Mai 68. "Quelle mouche l'a piqué, car Mai 68 c'était il y a quarante ans!", a-t-elle grincé. "Tout semblait pourtant calme autour du Palais omnisports de Bercy, mais à l'écouter à l'intérieur, ce n'était que voitures fumantes, barricades, charges de police". Pour peu on se serait cru dans l’un de ces 1er mai d’avant-guerre quand la lutte des classes n’était pas encore passée de mode. Le mot manifestation a repris tout son sens.

  • UN PEU D'HUMOUR DANS UN MONDE DE BRUTES

    Greg Norman (golfeur australien) : "Je dois beaucoup à mes parents, surtout à mon père et à ma mère. "
    Shaquille O Neal (basketteur américain) : Après qu'un journaliste lui a demandé s'il était allé au Parthénon lors de son séjour en Grèce : "Comment voulez-vous que je me souvienne du nom de toutes les boîtes de nuit dans lesquelles je suis allé..."
    Mark Draper (footballeur anglais) : "J'aimerais bien jouer dans un club italien. Comme le FC Barcelone par exemple."
    Frédéric Jaillant (football, TF1) : "56 cartons jaunes dont 5 rouges."
    Cyril Linette (commentateur de football, Canal +) : "Y'a tous les grands pays européens qui sont représentés : y'a l'Espagne, y'a l'Italie, y'a la France, y'a le Japon."
    Pierre Sled (football, France 2) : "Grosso-modo ils sont arrivés à 17h, ils sont repartis à 18h15... 3h d'entraînement ! "
    Hervé Mathoux (football, Canal +) : "Et sur ces images quasiment inaudibles..."
    Vincent Guérin (ex-footballeur français) : "Je crois que j'ai deux pieds. J'ai cette faculté depuis tout petit."
    Thierry Roland (football, TF1) : Lors d'un match de Coupe du Monde en Corée : "Puisqu'il y a deux Lee sur le terrain, on peut faire une chambre."
    Laurent Paganelli (football, Canal +) : "Il avait anticipé le coup avant ! Oui, oui... il anticipe avant ! "
    Guy Roux (consultant football, Canal +) : "Un petit qui saute va toujours moins haut qu'un grand qui saute."
    Thierry Gilardi (football, Canal +) : "Comment on fait pour choisir 5 volontaires ? "
    Bernard Thévenet (consultant cyclisme, France 2) : "Ce sont des routes assez sinueuses : il y a beaucoup de lignes droites."
    Sylvain Wiltord (footballeur français) : "Je trinque souvent très rarement."
    Thierry Roland (football, TF1) : "En 1ère mi-temps ça sentait le pâté... et maintenant, ça sent le boudin."
    Pierre Salviac (rugby, France 2) : "C'est vous dire si cet homme là sait de quoi il parle quand il parle avec ses pieds."
    David Beckham (footballeur anglais) : "Nous voulons baptiser Brooklyn (sa fille) mais nous ne savons pas encore dans quelle religion."
    Charles Biétry (football, Canal +) : "Quatre fois ils ont marqué zéro but."
    Michel Hidalgo (ex-sélectionneur, consultant football) : "Hamann, c'est un joueur qui a deux poumons ! Non, pas deux car c'est le cas de tout le monde, mais plutôt trois ! "
    Pierre Albaladejo (commentateur rugby, France 2) : "Il a des yeux au bout des godasses."
    Nelson Monfort et Philippe Candeloro (patinage artistique, France 2) : A propos de la 4ème place du couple français en danse sur glace :
    Candeloro : "C'est scandaleux !"
    Monfort : "Gardez le fair-play qui vous caractérise Philippe"...
    "Nan mais c'est dégueulasse, on s'est encore fait couillonner là ! "
    Franck Pedretti (consultant en half pipe, JO Turin, France 2) : "Vu le haut niveau de compétition, on sent bien que les Américains ne sont pas venu en Italie pour manger des paninis."
    Jean Perron (ex-entraîneur canadien de hockey) : "C'est la goutte d'eau qui a mis le feu aux poudres."
    Laurent Robert (footballeur) : "Ça remonte aux calanques grecques."
    Abdeslam Ouaddou (footballeur du Stade Rennais) : "Il ne faut pas brûler la peau de l'ours avant de l'avoir vendue."
    Pierre Salviac (commentateur de rugby, France 2) : "Chacun chez soi et les mouches seront bien gardées ! "
    Michel Platini (consultant football, Canal +) : "Quand ça va pas très bien, ça va toujours pas très bien."
    Henri Sannier (cyclisme, France 2) : "Cioni fait des petits coucou au public, il est content d'être toujours là apparemment"
    Laurent Jalabert : " Non Henri, il appelle sa voiture pour boire "
    Rémi Garde (football, Canal +) : "Surtout dans ces dernières minutes, où les minutes s'égrainent et deviennent de plus en plus courtes ! "
    Grégoire Margotton (football, Canal +) : En parlant des journalistes qui l'entourent : "C'est bien de vous avoir tous avec vos yeux."
    Grégoire Margotton (football, Canal +) : "Évidemment, ça réveille, même si on était pas du tout endormi depuis le début de cette rencontre !"

  • LA SYNTHESE DE LIBE IV

    LA SYNTHESE DE LIBE

    Que serait la France de Nicolas Sarkozy s'il accédait, le 6 mai, à la présidence de la République ? Quelles sont ses volontés de réforme, ses mesures prioritaires ? En meeting, il répète que ses adversaires veulent le «diaboliser» et lui vouent de la «haine». Loin de nourrir de tels sentiments, Libération décrypte les projets du candidat UMP qui fâchent.
                      
    Voiçi une excellente  analyse des journalistes de Libération que je me permets d'emprunter car elle fait une synthèse de ce qui attend la France si Sarkozy triomphe aux présidentielels et ensuite car on l'oublie un peu trop aux législatives. Je crois que l'on peut difficilement faire mieux en la matière. Alors tant pis pour une fois je me contenterai de soumettre à votre avis ces réalités que je n'ai pas moi-même écrites. Elles devraient être en effet largement diffusées.
    Aujourd'hui :Le logement et la santé
    LE LOGEMENT
    Ce qu'il veut faire. Alors que la France compte 1,3 million de demandeurs de HLM, Nicolas Sarkozy, entend fixer «une obligation annuelle de vente de 1 % du parc social, soit 40 000 logements» sociaux par an. Cela permettrait «de rendre le rêve de propriété accessible à beaucoup de personnes qui en sont exclues actuellement», argumente le candidat UMP. Mais ces ventes risquent de concerner les plus beaux morceaux des HLM (les immeubles les mieux situés, les mieux construits), laissant dans le champ du parc social les cités ou les bâtiments les plus excentrés, accentuant ainsi les phénomènes de ghettoïsation. La mise en oeuvre d'un tel programme risque aussi de réduire l'offre d'habitat social, au moment même où les loyers du privé flambent et deviennent inaccessibles aux ménages à petits revenus, voire moyens en région parisienne et dans les grandes métropoles régionales.
    Ce qu'il a fait. Président du conseil général des Hauts-de-Seine, Nicolas Sarkozy a décidé en 2005 de vendre 4 000 HLM dans son département en cinq ans (soit 800 par an en moyenne). Pour faire taire les critiques, il a promis de les remplacer par des constructions nouvelles, devant s'ajouter aux 3 300 logements sociaux nouveaux déjà programmés annuellement par le département. Ce qui fait un total de 4 100 logements HLM à réaliser chaque année. Mais sur le terrain ça ne suit pas : seulement 2 590 ont été construits en 2006 et à peine plus de 1 500 en 2005. Autre fait d'armes : maire de Neuilly pendant neuf ans, Nicolas Sakozy n'a jamais accordé une quelconque priorité au logement social. Sa ville compte moins de 3 % de HLM. C'est l'une des pires élèves parmi les communes de France, bien en deçà des objectifs de la loi SRU qui impose 20 % de logements sociaux dans les communes de plus de 3 500 habitants (1 500 en Ile-de-France).
    LA SANTE
    Ce qu'il veut faire. Son programme Ensemble réaffirme les grands principes du modèle français de Sécurité sociale, pour «garantir l'égalité et l'équité de l'accès aux soins pour tous». Mais Nicolas Sarkozy veut «également que chacun se sente responsable du financement de notre système de santé». Aussi propose-t-il «un système avec quatre franchises : les premiers euros annuels sur les examens biologiques, les premiers euros annuels sur les médicaments, les premiers euros annuels sur les visites médicales et même sur l'hospitalisation». Ces sommes, inscrites sur un «compte annuel», ne seraient «pas remboursées» par la Sécurité sociale. Leur montant ferait l'objet d'un «débat chaque année devant le Parlement» et serait fonction de la santé financière de l'assurance maladie. Cette logique strictement comptable de rééquilibrage des comptes de la Sécurité sociale reviendrait à rembourser de moins en moins les malades, les contraignant à souscrire des assurances complémentaires de plus en plus onéreuses.
    Ce qu'il a fait. Ministre de l'Economie en 2004, au moment où ses homologues à la Santé, Philippe Douste-Blazy et Xavier Bertrand, préparaient et faisaient voter la réforme de l'assurance maladie, Sarkozy ne leur a pas permis de puiser dans les recettes fiscales pour renflouer la Sécurité sociale. Défenseur de l'orthodoxie budgétaire et partisan d'une réduction des prélèvements obligatoires, il ne connaît que la baisse des dépenses pour équilibrer les comptes, qu'il s'agisse du budget de l'Etat ou des comptes sociaux.
    NDLR:J'espère que cette entorse aux textes habituels d' azurcom vous premettra de vous faire une idée plus précises de l'avenir...dans une période où le débat tourne davanatage sur la forme que sur le fond.

  • UN BRIN DE BONHEUR

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  • SUR VOS AGENDAS

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