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AZURCOM - Page 233

  • MAI 68 J'Y ETAIS

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     Il faisait chaud, dimanche 29 avril à Bercy, et Nicolas Sarkozy transpirait beaucoup. LCI diffusait en direct les images du dernier grand meeting du candidat UMP. "Mai 1968 nous avait imposé le relativisme intellectuel et moral. Les héritiers de mai 1968 avaient imposé l'idée que tout se valait, qu'il n'y avait donc désormais aucune différence entre le bien et le mal, le vrai et le faux, le beau et le laid. Ils avaient cherché à faire croire qu'il ne pouvait exister aucune hiérarchie des valeurs. D'ailleurs, il n'y avait plus de valeurs, plus de hiérarchie. Il n'y avait plus rien du tout !", disait-il. L'air est connu. Mai-68, voilà l'ennemi ! Tout cela, c'est chienlit et compagnie ! L'école de Jules Ferry est tombée par terre.Soudain, il n'y a plus eu de respect pour le savoir, plus de classement, et même plus de notes. C'était la revanche du mauvais élève sur le bon. Jusque-là, pas de surprise. Mais, à cette vieille chanson, Nicolas Sarkozy a ajouté dimanche des couplets nouveaux. Et là, il fallait se pincer pour le croire. L'orateur transpirait toujours autant. "L'héritage de mai 1968 a introduit le cynisme dans la société et dans la politique. Voyez comment le culte de l'argent roi, du profit à court terme, de la spéculation, comment les dérives du capitalisme financier ont été portées par les valeurs de mai 1968", disait-il. La spéculation boursière fille de Mai-68, il fallait oser cette filiation. Les manifestants de ce lointain mois de mai étaient allés à la Bourse pour y mettre le feu .

    Il est interdit d’interdire

    Dessous les pavés, c’est la plage !

      Soyez réalistes, demandez l’impossible !

      Désirer la réalité, c’est bien ! Réaliser ses désirs, c’est mieux !

      Le rêve est réalité

      L’imagination prend le pouvoir

      Nous ne voulons pas d’un monde où la certitude de ne pas mourir de faim s’échange contre le risque de mourir d’ennui

      Je suis marxiste tendance Groucho

      Déboutonnez votre cerveau aussi souvent que votre braguette

      Les utopistes sont ceux qui croient qu’en changeant les structures sociales, on changera l’esprit des hommes

      Je décrète l’état de bonheur permanent

      Vivre sans temps mort, jouir sans entraves

      L’économie est blessée, qu’elle crève !

      L’œuvre d’art à venir, c’est la construction d’une vie passionnante

      Consommez plus, vous vivrez moins

      Ce n'est qu'un début, continuons le combat !

    Comment peut-on penser librement à l'ombre d'une chapelle ?

    Cours, camarade, le vieux monde est derrière toi.

    Elections, piège à cons !

    Etes-vous des consommateurs ou des participants ?

    Faites l'amour pas la guerre !

    Fermons la télé, Ouvrons les yeux.

    À bas la charogne stalinienne

    L'alcool tue.  Prenez du L.S.D.

    L'art est mort, libérons notre vie quotidienne.

    L'art est mort, ne consommez pas son cadavre.

    À bas les groupuscules récupérateurs

    L'agresseur n'est pas celui qui se révolte mais celui qui affirme

    À bas la société de consommation.

    Crier la mort c'est crier la vie

    À bas la société spectaculaire-marchande.

    C.R.S. qui visitez en civil, faites très attention à la marche en sortant

    Examens = servilité, promotion sociale, société hiérarchisée.

    Avant donc que d'écrire, apprenez à penser.

    Abolition de l'aliénation

    Faites l'amour et recommencez

    À bas le crapaud de Nazareth

    Je ne veux pas perdre ma vie à la gagner.

    La beauté est dans la rue.

    Les murs ont des oreilles. Vos oreilles ont des murs.

    C.R.S, S.S.

    Le monde est de taille moyenne.

    Un flic dort en chacun de nous, il faut le tuer

    N'ayez pas peur du bonheur : il n'existe pas.

     

     

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  • FUTURE PHOTO !

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  • LA SYNTHESE DE LIBE III

    LA SYNTHESE DE LIBE

    Que serait la France de Nicolas Sarkozy s'il accédait, le 6 mai, à la présidence de la République ? Quelles sont ses volontés de réforme, ses mesures prioritaires ? En meeting, il répète que ses adversaires veulent le «diaboliser» et lui vouent de la «haine». Loin de nourrir de tels sentiments, Libération décrypte les projets du candidat UMP qui fâchent.
                      
    Voiçi une excellente  analyse des journalistes de Libération que je me permets d'emprunter car elle fait une synthèse de ce qui attend la France si Sarkozy triomphe aux présidentielels et ensuite car on l'oublie un peu trop aux législatives. Je crois que l'on peut difficilement faire mieux en la matière. Alors tant pis pour une fois je me contenterai de soumettre à votre avis ces réalités que je n'ai pas moi-même écrites. Elles devraient être en effet largement diffusées.
    Aujourd'hui :Le social et l'individu
    LE SOCIAL
    Ce qu'il veut faire. Le candidat Sarkozy veut encadrer le droit de grève en imposant un vote à bulletin secret au bout de huit jours d'arrêt de travail. Dans le secteur public, il souhaite l'organisation d'un service minimum instauré par la loi dès juillet. Il veut réduire le nombre de fonctionnaires en ne remplaçant pas les départs à la retraite. Pour les salariés du secteur privé, il veut remplacer le CDI et le CDD par un contrat de travail unique, sur le modèle du contrat nouvelle embauche (CNE) ou du contrat première embauche (CPE), ce qui permettrait à tout employeur de se séparer d'un salarié sans avoir à se justifier, en contrepartie d'une indemnité de licenciement revalorisée. Sa proposition d'exonérer totalement de charges sociales et fiscales les heures supplémentaires, payées 25 % plus cher, signerait la fin des 35 heures avec un effet négatif sur l'emploi, les entreprises ayant intérêt à allonger la durée du travail plutôt qu'à embaucher.
    Ce qu'il a fait. Du fait de ses fonctions ministérielles, Sarkozy n'a jamais eu à intervenir directement dans le domaine social. Son passage au ministère de l'Economie, de mars à novembre 2004, fut bref. Le budget 2005, qu'il a préparé et fait voter, se traduisait essentiellement par le non-remplacement d'une partie des départs à la retraite de fonctionnaires. Il a soutenu la création du CNE à l'été 2005, mais quand Dominique de Villepin a lancé le CPE en janvier 2006, il a prudemment laissé le Premier ministre s'enferrer avant de plaider ­ comme président de l'UMP ­ pour un repli stratégique.
    Que serait la France de Nicolas Sarkozy s'il accédait, le 6 mai, à la présidence de la République ? Quelles sont ses volontés de réforme, ses mesures prioritaires ? En meeting, il répète que ses adversaires veulent le «diaboliser» et lui vouent de la «haine». Loin de nourrir de tels sentiments, Libération décrypte en 10 points les projets du candidat UMP qui fâchent.
    L'INDIVIDU
    Ce qu'il veut faire. Nicolas Sarkozy pourrait revenir à la charge en proposant le dépistage des signes avant-coureurs de délinquance chez les enfants de moins de 3 ans. Il s'était déjà appuyé sur un rapport de l'Institut national de la santé et de la recherche médicale qui préconisait «le repérage des perturbations du comportement dès la crèche et l'école maternelle». A trop scruter les «susceptibilités génétiques», il risque de considérer qu' «un sujet "est" délinquant avant même d'entrer dans l'existence», comme le regrettait alors le docteur en psychopathologie Rodolphe Adam.
    Ce qu'il a dit. Dans un entretien avec Michel Onfray, publié par Philosophie magazine d'avril, Nicolas Sarkozy déclarait : «J'inclinerais à penser qu'on naît pédophile», et, plus loin : «Il y a 1 200 ou 1 300 jeunes qui se suicident en France chaque année [...] parce que, génétiquement, ils avaient une fragilité, une douleur préalable [...]. Les circonstances ne font pas tout, la part de l'inné est immense.» 
    Une certaine idée du social
    Ce qu'il veut faire. Le candidat Sarkozy veut encadrer le droit de grève en imposant un vote à bulletin secret au bout de huit jours d'arrêt de travail. Dans le secteur public, il souhaite l'organisation d'un service minimum instauré par la loi dès juillet. Il veut réduire le nombre de fonctionnaires en ne remplaçant pas les départs à la retraite. Pour les salariés du secteur privé, il veut remplacer le CDI et le CDD par un contrat de travail unique, sur le modèle du contrat nouvelle embauche (CNE) ou du contrat première embauche (CPE), ce qui permettrait à tout employeur de se séparer d'un salarié sans avoir à se justifier, en contrepartie d'une indemnité de licenciement revalorisée. Sa proposition d'exonérer totalement de charges sociales et fiscales les heures supplémentaires, payées 25 % plus cher, signerait la fin des 35 heures avec un effet négatif sur l'emploi, les entreprises ayant intérêt à allonger la durée du travail plutôt qu'à embaucher.
    Ce qu'il a fait. Du fait de ses fonctions ministérielles, Sarkozy n'a jamais eu à intervenir directement dans le domaine social. Son passage au ministère de l'Economie, de mars à novembre 2004, fut bref. Le budget 2005, qu'il a préparé et fait voter, se traduisait essentiellement par le non-remplacement d'une partie des départs à la retraite de fonctionnaires. Il a soutenu la création du CNE à l'été 2005, mais quand Dominique de Villepin a lancé le CPE en janvier 2006, il a prudemment laissé le Premier ministre s'enferrer avant de plaider ­ comme président de l'UMP ­ pour un repli stratégique
    NDLR:J'espère que cette entorse aux textes habituels d' azurcom vous premettra de vous faire une idée plus précises de l'avenir...dans une période où le débat tourne davanatage sur la forme que sur le fond.

  • AFFICHE

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  • AFFICHES

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  • CREMATION

    Comment rire du changement climatique et de la mort ?

    Détendons l'atmphère... 

    J'ai lu un rapport d'une étude scientique australienne selon laquelle la crémation humaine rejetterait directement 50 kg de CO2 sans compter le CO2 émis par la production d'énergie nécessaire.

    Pour sauver la planete je propose une seule crémation par personne

  • LA SYNTHESE DE LIBE II

    LA SYNTHESE DE LIBE

    Que serait la France de Nicolas Sarkozy s'il accédait, le 6 mai, à la présidence de la République ? Quelles sont ses volontés de réforme, ses mesures prioritaires ? En meeting, il répète que ses adversaires veulent le «diaboliser» et lui vouent de la «haine». Loin de nourrir de tels sentiments, Libération décrypte les projets du candidat UMP qui fâchent.
                      
    Voiçi une excellente  analyse des journalistes de Libération que je me permets d'emprunter car elle fait une synthèse de ce qui attend la France si Sarkozy triomphe aux présidentielels et ensuite car on l'oublie un peu trop aux législatives. Je crois que l'on peut difficilement faire mieux en la matière. Alors tant pis pour une fois je me contenterai de soumettre à votre avis ces réalités que je n'ai pas moi-même écrites. Elles devraient être en effet largement diffusées.
    Aujourd'hui :La police et l'immigration
    LA POLICE
    Ce qu'il veut faire. Le ministre de l'Intérieur en avait rêvé contre l'avis de Jacques Chirac, et cette fois le candidat à l'Elysée est bien décidé à la mettre en place : une direction unique du renseignement qui réunirait Renseignements généraux (RG) et Direction de la surveillance du territoire (DST). Officiellement, il s'agit de lutter plus efficacement contre le terrorisme. Une direction unifiée aurait également l'avantage d'être plus facilement contrôlable pour le pouvoir politique avec un homme idoine à sa tête. Nicolas Sarkozy veut également faire voter une nouvelle loi de programmation afin de «combler» les poches de retard des forces de l'ordre en matière de cryptologie, de biométrie et d'équipements. Lors de ses deux précédents passages place Beauvau, Nicolas Sarkozy avait déjà largement communiqué sur les technologies (pistolet à décharge électrique, caméras...) au service de la police.
    Ce qu'il a fait. Dès son arrivée au ministère de l'Intérieur au printemps 2002, Nicolas Sarkozy s'est attaché à galvaniser des policiers et des gendarmes qui avaient manifesté leur blues dans la rue à l'automne 2001. Il leur a garanti moyens et effectifs dans une loi de programmation votée durant l'été 2002. Le deuxième étage de la fusée sécuritaire Sarkozy a été la mise en place de la «culture du résultat», aujourd'hui largement décriée dans les commissariats. Lors de leurs dernières élections professionnelles, les policiers ont dénoncé, la «chasse aux crânes», c'est-à-dire l'inflation des interpellations et des gardes à vue. Enfin, il est le ministre de l'Intérieur qui a enterré la police de proximité mise en place par ses prédécesseurs de gauche.
    L'IMMIGRATION
    Ce qu'il veut faire. L'objectif de Sarkozy est affiché : limiter l'immigration «subie». Le candidat de l'UMP a annoncé la création d'un «ministère de l'Intégration et de l'Identité nationale» regroupant les attributions confiées aujourd'hui à trois ministères. Il a également promis, dès juillet, une troisième loi sur l'immigration et précisé que les immigrés souhaitant venir en France au titre du regroupement familial devraient apprendre des «rudiments» de la langue française.
    Ce qu'il a fait. Alors ministre de l'Intérieur, il a fait adopter deux lois sur l'immigration, en 2003 puis en 2006. La première comprenait une disposition plutôt favorable aux immigrés avec la suppression partielle de la «double peine». La seconde a durci les conditions de régularisation des immigrés en situation irrégulière, et celles d'entrée et de séjour des étrangers. Hautement symbolique, la suppression de la régularisation de plein droit après dix ans de séjour, même clandestin, en France. La lutte de Sarkozy contre l'immigration clandestine s'est accompagnée d'une augmentation des reconduites à la frontière : 24 000 en 2006, un chiffre toutefois inférieur aux objectifs fixés aux préfectures. La loi de 2006 était également censée ouvrir la porte à une immigration «choisie». Malgré quelques accords signés avec des pays comme le Mali, ce système tarde à prendre forme.
    NDLR:J'espère que cette entorse aux textes habituels d' azurcom vous premettra de vous faire une idée plus précises de l'avenir...dans une période où le débat tourne davanatage sur la forme que sur le fond.

  • L'IMAGE DU JOUR

    • Dans une semaine 

  • ALERTE

    Ceci n'est pas un spam


    Si cette lettre t'arrive, ce n'est pas par hasard, rien n'est dû au hasard.

    Marie P. a voté Sarkozy en 2002, deux jours plus tard sa maison a brûlé et tous ses enfants sont morts de combustion spontanée.
    Pierre F. a voté Sarkozy lui aussi : il s'est noyé dans la mare aux canards de sa ferme, on n'a jamais retrouvé son corps.
    Catherine K. a voté UMP aux dernières législatives : une semaine plus tard, elle a dû se faire poser un anus artificiel.
    Joseph D. a pensé à voter Sarkozy. Depuis, il purge une peine à vie dans les prisons turques. Le pire, c'est qu'il avait pris un billet d'avion pour Namur, il a été victime d'une erreur à l'embarquement.
    Denise V. a rêvé qu'elle votait Sarkozy. Dans la semaine suivante, elle est devenue Soeur Denise au couvent de la Visitation, alors qu'elle devait épouser T.B. un jeune homme très bien membré.

    Ne VOTE PAS SARKOZY, ou tu finiras comme eux.


    Transfère ce message à 10 personnes que tu aimes sinon tes dents de devant tomberont et celles de derrière se feront la paire.

    Si tu ne votes pas Sarkozy, tout ira bien, tout le monde te trouvera sexuellement désirable, et tu gagneras plein d'argent.

    C'est bien compris ?

  • LA SYNTHESE DE LIBE

    Que serait la France de Nicolas Sarkozy s'il accédait, le 6 mai, à la présidence de la République ? Quelles sont ses volontés de réforme, ses mesures prioritaires ? En meeting, il répète que ses adversaires veulent le «diaboliser» et lui vouent de la «haine». Loin de nourrir de tels sentiments, Libération décrypte les projets du candidat UMP qui fâchent.
                      
    Voiçi une excellente  analyse des journalistes de Libération que je me permets d'emprunter car elle fait une synthèse de ce qui attend la France si Sarkozy triomphe aux présidentielels et ensuite car on l'oublie un peu trop aux législatives. Je crois que l'on peut difficilement faire mieux en la matière. Alors tant pis pour une fois je me contenterai de soumettre à votre avis ces réalités que je n'ai pas moi-même écrites. Elles devraient être en effet largement diffusées.
    Aujourd'hui :La justice
    LA JUSTICE
    Ce qu'il veut faire. Il a promis de «lutter contre la récidive en instituant des peines plancher pour les multirécidivistes». La dernière loi visant à réprimer plus sévèrement la récidive (élargissement des critères de la récidive, limitation des sursis...) remonte à décembre 2005. Nicolas Sarkozy veut qu'au bout de trois fois le condamné écope de la peine maximale prévue. Ce qui malmène le principe de l'individualisation de la peine inscrit dans la tradition juridique, la Constitution et la Convention européenne des droits de l'homme. Tous les spécialistes estiment qu'une telle mesure fera exploser la population pénitentiaire.
    Sarkozy veut aussi supprimer l'excuse de minorité pour les récidivistes de plus de 16 ans, et aligner progressivement la justice des mineurs sur celle des majeurs. Il tient aussi à «expérimenter» une séparation entre les mineurs dont s'occupent les juges des enfants : d'un côté les victimes, de l'autre les délinquants. Sachant que les frontières sont totalement perméables.
    Ce qu'il a fait. Il a beaucoup joué avec le principe de la séparation des pouvoirs, en mettant en cause personnellement des magistrats, notamment ceux du tribunal des enfants de Bobigny, accusés de «démissionner» face aux délinquants. Au point que Guy Canivet, le premier président de la Cour de cassation, avait été reçu par Jacques Chirac, en septembre 2006, après avoir exprimé sa colère pour dénoncer «les termes provocants» de Sarkozy, alors ministre de l'Intérieur, «mettant en cause le fonctionnement de l'institution judiciaire». Le haut magistrat se montrait alors désireux d'exposer au chef de l'Etat «la gravité de ces atteintes réitérées à la répartition des pouvoirs prévue par la Constitution et le malaise ressenti par les juges». 
    Sarkozy a aussi multiplié le fichage en étendant notamment le fichier national automatisé des empreintes génétiques ­ créé sous la gauche pour pister les délinquants sexuels ­ à quasiment tous les délits. Contre l'avis de la Commission nationale de l'informatique et des libertés, ce fichier ne contient pas que des condamnés mais aussi des suspects.
    NDLR:J'espère que cette entorse aux textes habituels d' azurcom vous premettra de vous faire une idée plus précises de l'avenir...dans une période où le débat tourne davanatage sur la forme que sur le fond.