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AZURCOM - Page 234

  • LES AMIS DE SARKO HORS LA LOI

     source Cannes Solidaire avec Nice-Matin

    La ville de Cannes est encore une fois hors la loi.

    Une photo du journal Nice-Matin est révélatrice de l'amateurisme de l'équipe municipale et du maire de Cannes,ami de Sarkozy y compris pour quelque chose d'aussi rôdé que l'organisation d'une élection.

    Sur cette image prise sur le vif au moment de l'ouverture de l'urne du bureau de l'Hôtel de Ville, figurent pas moins de 4 infractions majeures à la loi électorale.

    Pourtant, ce bureau est présidé par le premier adjoint au maire de Cannes.

    Les 4 infractions décortiquées

    Présidentielles 2007 : CANNES hors la loi électorale1. L'urne ne doit pas être retournée pour la vider : des bulletins peuvent glisser à terre ou s'éparpiller n'importe comment. Le Président du bureau doit sortir les bulletins par petites poignées et les disposer sur la table de dépouillement.

    2. Personne ne doit tripatouiller les bulletins : seul le Président doit se saisir des bulletins pour les sortir de l'urne. Que fait le personnage de droite sur la photo ? Est-il en train d'échanger des bulletins ? Toutes les interprétations sont possibles.

    3. Les scrutateurs doivent être assis et en place : Ils surveillent le bon déroulement du dépouillement. Sur la photo, personne n'est en place. La moitié au moins des scrutateurs ne s'intéresse pas au dépouillement.

    4. La table de dépouillement doit être dégagée : Que font tous ces documents sur la table de dépouillement ? On voit les bulletins se mélanger aux papiers des scrutateurs. Cela permet toutes sortes de manipulations et de fraudes.

    Le maire de Cannes, en tant que responsable de l'organisation des scrutins ne devrait pas tolérer ces infractions.

    Le Parti Socialiste n'accepte pas ces entorses

    aux lois de la république.

    Cannes doit respecter la loi, comme le font toutes les autres villes de France.

    Si le Parti Socialiste, et Apolline Crapiz, sont un jour en situation de gérer la ville de Cannes,ils feront respecter la loi en toutes circonstances.

    C'est aussi cela l'ordre juste. 

  • COEUR A GAUCHE

    Cœur à gauche ou « cœur de gauche ? »

                        Monsieur Sarkozy nous a fait savoir que son cœur était à gauche. Tout simplement, il nous a informé qu’il était normalement constitué, comme l’est la très grande majorité des Français. Pas de quoi pavoiser ! Hitler et Pinochet avaient le cœur à gauche ! … Et, pourtant…
                        Pourtant ces cœurs qui battaient à gauche n’étaient pas des « cœurs de gauche », peut-être même pas « de droite ». Je ne reviendrai pas sur les idéologies de ces hommes là, ni pour quelles causes battaient leurs cœurs.
                        Je veux simplement dire à M. Sarkozy qu’il ne sort pas grandi par son assertion. Son cœur bat bien à gauche mais il n’est pas de gauche… Rien dans ses faits et gestes depuis des années ne soutient cette affirmation. Pas plus que ses citations de Jaurès et de Blum nous laisseraient croire qu’il se reconnaît comme étant de la lignée de ces hommes-là.

                      

     

     

     

     

     

    Pendant des années, Jaurès s’est battu pour que la France ne se laisse pas gagner par l’entreprise d’une guerre que certains souhaitaient ; ceux-là mêmes qui voyaient là une possibilité de l’abattre, lui, le socialiste qui voulait la paix. La guerre ne venait pas assez vite à leur gré : alors le 31 juillet 1914, ils lui ont tiré une balle dans le dos. Le 1er août, la France entrait en guerre. La voix de gauche du socialiste Jaurès était éteinte ; le cœur «  de gauche » de « cet homme de gauche » avait cessé de battre. La boucherie pouvait commencer.
                      

     

     

    Quant à Blum, socialiste comme Jaurès, son cœur était bien « de gauche » aussi. Il subit la seconde guerre mondiale et l’emprisonnement qui suivit avec tant d’autres.
    Revenu après sa longue captivité, il mit son talent d’écrivain au service du monde du travail, en socialiste convaincu, jusqu’à sa mort.

                      

    Pourquoi ne pas avoir cité Zola, l’homme des « droits de l’homme » au génie et au « cœur de gauche » et son célèbre « J’accuse » qui contribua à ramener du bagne le malheureux Dreyfus, dont la mort avait été si bien programmée par ses ennemis regroupés dans « la patrie française »?

                      


    Quant aux femmes, bien qu’interdites de monter sur le trône par la « loi salique » au XIVème siècle, l’énumération de celles qui se sacrifièrent pour sauver notre pays serait bien longue. Chaque siècle est marqué par l’une d’entre elles dans l’Histoire de France. N’en citons qu’une : une certaine Jeanne d’Arc. Une fois le pays sauvé elle devenait bien encombrante. Le roi qu’elle avait fait monter sur le trône ne la défendit même pas. A Rouen, sur la place du vieux marché, six siècles après sa mort est indiqué le lieu où elle fut brûlée vive. Des fois qu’elle aurait eu l’idée de gouverner ! … Une femme, ça peut sauver un pays mais ça ne peut pas gouverner la France, voyons ! …
                       Souhaitons que, très bientôt, il y ait, chez nous, une femme Présidente de notre République, et qu’elle fasse en sorte que tous les enfants de France puissent rester à l’école assez longtemps pour comprendre l’Histoire de notre grand pays. S’ils ne possèdent pas assez de diplômes pour être considérés comme de grands savants, qu’il leur soit laissé assez de temps pour apprendre, avec les meilleurs maîtres, notre «  Histoire de France », le nom des grands hommes et femmes amoureux des « Droits de l’Homme » qui ont contribué à en faire un modèle . Leur histoire les passionnera et en fera des modèles où qu’ils soient et quoiqu’ils fassent à leur tour.
  • GEREMEK

    Pologne : lustration ou persécution ?

       

    Malgré la menace de la perte de son mandat, l’Euro parlementaire, Bronisław Geremek, refuse de se soumettre une seconde fois à une procédure de lustration. La loi qui est censée réconcilier les polonais avec leur histoire est loin de faire l'unanimité.

    La loi sur la lustration est rentrée en vigueur depuis le 15 mars dernier. Les nombreuses personnalités qui y sont astreintes rencontrent des problèmes d’application. Le plus souvent elles expriment haut et fort leur indignation ou plus spectaculairement refusent de s’y soumettre malgré les risques qu’elles encourent.

    Le Professeur Bronisław Geremek, Euro parlementaire, ex Ministre des affaires étrangères et Président d'Union Wolnosci.  Photo LPJ-Varsovie

    L’exemple du Professeur Bronisław Geremek
    Bronisław Geremek, l’Euro député vient de faire savoir qu’il venait de recevoir le dossier de demande de lustration que lui avait transmis le Président de la commission nationale des élections.  Le document est explicite si Bronisław Geremek ne dépose pas sa déclaration il perdra le mandat qui lui a été confié. Le Professeur Geremek dans une lettre ouverte publiée par la Gazeta Wyborcza et adressée en priorité à ses électeurs a déclaré ne pas vouloir obtempérer à cette injonction. Il explique également les raisons de ce refus : "Il y a 3 ans, en tant que candidat aux élections pour le Parlement Européen, j’ai du déposer une première déclaration "lustrative". Au cours des trois dernières années qui viennent de s’écouler rien ne s’est passé qui pourrait justifier la nécessité d’une nouvelle déclaration. Je considère cette demande de renouvellement accompagnée de la menace de la perte de mon mandat comme contraire aux principes de l’état de droit, à la dignité humaine et au respect de mes électeurs". Marek Beylin de la Gazeta Wyborcza dans son commentaire écrit : "Par le suffrage universel, ce sont les électeurs qui lui ont confié ce mandat. Les auteurs et propagateurs de la lustration ont jugé qu’ils pouvaient le nier. De même ils ont nié le fondement d’un état démocratique, cette loi disparaîtra, mais restera dans l’histoire comme celle qui a privé d’un mandat l’un des Polonais les plus éminents". Le gouvernement et l'IPN, l'institut de la mémoire nationale qui est chargé de contrôler les déclarations ont déjà assoupli les procédures pour le clergé et les diplomates, ils vont devoir se pencher sur un nouveau cas d'exception ou mettre à éxécution les sanctions prévues par la loi.

    Bronisław Geremek
    Né en 1932 d’une famille juive, il perd ses parents pendant la guerre et fût recueilli et adopté par la famille Geremek. Historien de formation, il a vécu en France ou il enseigna à la Sorbonne et dirigea le centre de civilisation polonaise. Membre du parti communiste, il rendit sa carte après le printemps de Prague. Dans les année 70, il fait parti des opposant les plus actifs au régime, depuis août 1980 il s’impliqua dans le mouvement Solidarność et devint conseiller de Lech Wałęsa. Il entre à la diète en 1989 et devient ministre des affaires étrangères. Parallèlement il est Président de l’organisation  pour la sécurité et la coopération en Europe. Depuis 2004 il siège au parlement européen sous les couleurs de son parti l’union des libertés (UW). Son engagement politique ne l’empêche pas de poursuivre ses activités universitaires et dirige la chaire de civilisation européenne au Collège d’Europe de Natolin
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    Signer La pétition et consulter la liste des signataires

  • L'ELYSEE VAUT BIEN UNE MESSE TELEVISEE

    Il n’est pas certain que l’armée des ombres du centre ait envie de se confiner autour de son chef dans un donjon carré en attendant que la guerre soit terminée. Actuellement il répond à l’abri de sa neutralité rassurante que sa fortune n’est pas à vendre même pas pour… une messe, sauf si elle est télévisée. Le procédé est on ne peut plus discutable car il veut négocier en public pour éviter d’être accusé d’avoir trahi. Dans des temps anciens on prenait un témoin d’honneur. Là il souhaite se faire de la pub en rassemblant des millions d‘entre eux pour une sorte de camp du Drap d’or destiné à éviter la… guerre et des dégâts collatéraux potentiels.
    Le débat entre Ségolène Royal et François Bayrou aura  bien lieu et sera retransmis sur i-Télé, Canal+ et France Inter, a annoncé Jean-Louis Bianco, co-directeur de campagne de Ségolène.
     "Il y a eu un accord" sur l'organisation de ce débat, a déclaré l’aide de camp. Evoquant un "partenariat" entre les télés et radio organisatrices, Jean-Louis Bianco a souligné que "tous les médias pourront avoir accès aux images". Côté UDF, on demande également un accès gratuit aux images… le renard du Béarn va donc sortir, drapé dans sa dignité, de sa tanière, étendards au vent pour pourfendre les hérétiques. Le centre existera sauf qu’il ne s’appuiera plus que sur un pilier gauche ce qui risque de fortement le déséquilibrer pour l’avenir.
    Si on en croit les exégètes de Bayrou « être centriste, c'est souhaiter l'instauration dans notre pays d'un humanisme responsable et citoyen qui s'appuie sur un développement économique raisonné et équitable, pour faire progresser notre société dans le respect des valeurs de notre République, en privilégiant le bon sens pragmatique et l'intérêt de la Nation aux querelles idéologiques et aux intérêts politiques personnels et partisans qui bloquent l'action gouvernementale ».Qui peut ne pas être d’accord avec cette belle présentation ? Qui osera s’y opposer à part les députés UDF qui ont désormais un beau siège éjectable et certains socialistes qui risquent bien de se faire piquer le leur avant même d’avoir tenté de le conquérir !
    Gaston Phébus a trouvé un remplaçant capable de consolider son royaume en restant au centre. On jugera du résultat le 6 mais vers 20 heures. Pas sûr que ce soit gagnant-gagnant !

  • PHOTO DE FAMILLE

    Françine et Carlos partageant le repas familial
    medium_Sanglier.JPG
     Comprend qui peut !

  • UN EDITORIAL PREMONITOIRE

                                      

    Très nombreux sont celles et ceux qui pensent que Sarkozy est prêt à tout pour assouvir son ambition. Et l’on sait ce que cela veut dire. Tenez voici un éditorial qu’aucun journal français n’oserait publier au nom de l’impartialité des agneaux. Il a été diffusé par le journal belge Le Soir et il démonte parfaitement le positionnement de celui qui adore pêcher des voix en eaux troubles. " Cette fois, on ne peut plus rester sans le dire. Oui, Nicolas Sarkozy est dangereux. Parce que le candidat de l'UMP à l'Elysée a franchi la ligne rouge. Ses propos sur le caractère inné de la pédophilie ou de la tendance suicidaire bouleversent tous les principes de l'humanisme. La société ne servirait donc à rien ? A quoi bon alors l'éducation, la famille, l'amour, l'apprentissage de la tolérance, si le seul destin décide de faire d'un homme un héros ou un monstre ? Ses propos sur l'Allemagne, prédisposée à s'abandonner au nazisme, sont tout aussi écœurants. Et que dire de cette phrase, entendue en meeting : " La France n'a pas à rougir de son Histoire. Elle n'a pas inventé la solution finale. " Aurait-il oublié que la France a collaboré ? Que Vichy a livré des Juifs aux nazis ? Jacques Chirac a beaucoup de torts. Mais il a eu ce courage, lui, de reconnaître la responsabilité de l'Etat français pour la collaboration.
    Ce virage complète chez Nicolas Sarkozy une posture résolument populiste. Combien de fois, lorsqu'il était à l'Intérieur, n'a-t-il pas accusé les juges de ne pas en faire assez, violant ouvertement la séparation des pouvoirs ? Sa mainmise sur les médias ne laisse pas d'inquiéter, elle aussi, obtenant ici le limogeage d'un directeur dérangeant, discutant là de l'embauche d'un journaliste chargé de couvrir l'UMP(…) " Prendre des voix au Front national, est-ce mal ? ", interroge Nicolas Sarkozy. Non, bien sûr, au contraire. Mais à condition de ne pas séduire ses électeurs avec les mêmes mots. Au soir du premier tour, le candidat de l'UMP se félicitera peut-être d'avoir asséché le terreau électoral de Jean-Marie Le Pen. Mais à quel prix ? Celui, affolant, d'une lepénisation des esprits. "
    Tout sera fait non plus dans les paroles mais dans les actes pour que ces voix précieuses ne lui échappent pas. Préparez vous : à un moment où un autre surgira le rendez-vous qui déclenchera le pire ennemi de la démocratie, la peur car elle assassine de l'espoir.

  • POUR UN SARKOTON

     

    LE SARKOTON : GRANDE CAUSE NATIONALE
    Chirac avait pris l’habitude, dans le domaine de la santé de lancer des grandes causes nationales. Le SIDA, le cancer en furent les plus célèbres. Il est certain qu’après la pandémie qui a frappé la France hier soir il pourrait fort bien initier ce que l’on appelle une campagne. Elle s’appellerait le "Sarkoton" dont le principe serait on ne peut plus simple : chaque personne serait sollicitée par une grande émission sur TF1 à apporter sa voix pour empêcher que le "Sarkgnome" se répande dans le pays. On affecterait les dons de voix aux régions les plus malades afin de juguler la montée redoutée d’une maladie qui peut tuer toutes... les illusions. Préparez vous à mettre le bon bulletin dans la bonne enveloppe bleue. Les promesses de lutte contre le "Sarkgnome" sont reçues au siège du PS. Tout le monde peut faire une bonne action en aidant à lutter contre le mal qui menace.
    Avec autant d’efficacité que celle mise dans la prévention des ravages de la canicule (déjà oubliés) les épidémiologistes UMP vont aussi attaquer une vaste opération de vaccination de libéralisme . Il est vrai que l’on pensait jusqu’à présent que les Françaises et les Français avaient été… immunisés par cinq ans de piqûres douloureuses mais apparemment le résultat ne correspond pas à ce sentiment. Ils en redemandent. Ils semblent même exiger que l’un des " infirmiers " responsables des injections massives de tranquillisants, des sérums les plus brûlants, les potions les plus amères leur administre durant 5 années supplémentaires ce traitement de choc ! Drôle de comportement que celui de ces amoureux de la pharmacologue de combat qui les met à genoux et à plat.
    En fait comme tous les malades j’ai surtout besoin d’espoir aujourd’hui. Je ne veux pas voir la triste vérité en face. Je suis prêt à lutter de toutes mes forces contre ce virus du "Sarkgnome" bien connu qui paraît à la mode. Vous savez bien que, quand les médecins ne connaissent pas exactement les raisons de votre santé défaillante, il lâche avec fatalité : " c’est un virus. Il en traîne en ce moment. Soyez patient ça va passer… " Une sorte de fatalité !
    Je veux bien moi mais quinze jours d’arrêt maladie ce n’est pas dans mes habitudes… Comme les électrices et les électeurs encore patraques je préfère plus que jamais baser mon quotidien sur le principe " marche ou crève ! ". Je crains qu’il ne faille en effet, jusqu'à l'IRM du 6 mai, marcher, encore marcher, toujours marcher quitte à en crever ! De toutes les manières on n’a plus le choix : seul l'espoir fait vivre!

  • LA MACHINATION A VOTER

    La mairie  
    Depuis que je suis sur cette terre je n’ai vécu grace à mon père que dans la vie publique et syndicale. Il faut dire que toute mon enfance s’est déroulée dans la proximité d'une Mairie et dès mon enfance  j'ai participé à des nombreux scrutins syndicaux, mutualistes, associatifs ou politiques. Je me suis amusé (quand je n’ai rien à faire) à tous les répertorier et j’en suis arrivé à…pratiquement une cinquantaine. Personnellement, à ce jour je n’en ai perdu beaucoup,et gagné quelques uns,mes meilleurs souvenirs sont sans doute la victoire de la gauche aux municipales de Reims en 77 et les présidentielles de 81 gagnées par François Mitterrand et l'International chanté dans le hall de la mairie de Reims  
     Tous les votes syndicaux se déroulent par correspondance et je n’en conserve pas un souvenir aussi vivace que celui de ces journées formidables passées dans les bureaux tenus par mes proches et les conseillers municipaux locaux .Je crois avoir attrapé le virus des élections dans cette salle du conseil proche de notre maison et située sur la place du village.
    L’ambiance du dépouillement des scrutins locaux ou nationaux me poursuit encore. Le silence respectueux de celles et ceux qui déambulaient autour de la table de comptabilisation de quelques dizaines de bulletins. Les regards complices de celles et ceux qui triomphaient. La mine renfrognée de celles et ceux que les résultats attristaient. Les commentaires qui suivaient quand les acteurs s’étaient retirés. J’aimais ces moments avant que l’on ne m’expédie au lit sans que je puisse connaître la fin de l’aventure politique. Tous les épisodes de l’ère gaulliste et les élections législatives largement perdues dans des contextes trés difficiles pour les gens de gauche dans un électorat de droite mais en démocratie c'est aussi l'autre qui gagne. 

  • BZZ BZZ LES ABEILLES

    Ce n’est pas une blague

    18 avril 2007

    Selon le Parisien-Aujourd’hui en France, « les champs magnétiques émis par les mobiles provoqueraient des interférences avec le système de navigation naturel des abeilles et les empêcheraient de retrouver leur ruche. Désorientées, perdues, incapable de s’alimenter, elles n’auraient pour seule issue que la mort ». Telles sont les conclusions d’une étude allemande. Ces conclusions plutôt surprenantes ne semblent pas être prise au sérieux par Philippe Lecompte, président du Réseau biodiversité pour les abeilles. Selon lui, la baisse du nombre d’abeilles s’explique par « la modification du paysage botanique changeant le bol alimentaire des abeilles, l’apparition de nouveaux parasites au début des années 2000, et surtout depuis octobre 2005, l’arrivée d’un frelon asiatique. »

  • HOMMAGE A VAUBAN

    En mai,Antibes va rendre hommage à Vauban

    Né en 1633, mort le 30 mars 1707, Sébastien Le Prestre de Vauban, maréchal de France deson état, est connu dans toute la France pour les fortifications qu'il a menées à biendans de très nombreuses villes. Il est, à ce titre, le plus célèbre des ingénieursmilitaires de notre pays, son patronyme restant (notamment) indissociable de la ville d'Antibes.

    Le port de plaisance, d'ailleurs, tardivement baptisé Vauban, rend hommage au concepteur des remparts qui en réalisa les plans et vint superviser les travaux à la fin du XVIIe siècle.

    Aujourd'hui, la Ville souhaite réanimer encore le souvenir de ce grand homme auquel elle doit une grande partie de sa notoriété. A l'occasion du tricentenaire de sa mort, un projet d'animation et de commémoration a donc vu le jour, en partenariat avec l'Office de tourisme et la SAEM du port Vauban.

    Circuit découverte et exposition

    Monique Canova, conseillère municipale déléguée aux musées et au patrimoine historique, a expliqué l'autre jour, en conseil municipal, en quoi consistera cet événement dont le coup d'envoi sera donné au début du mois de mai... « Le projet présente un circuit découverte et des visites guidées reliant les différents sites dont l'histoire est liée à Vauban : le bastion Saint-André, les remparts, la courtine, le port, le Fort-Carré. D'autre part, une exposition sur le thème des projets de Vauban est également prévue. Il s'agit d'archives appartenant à la Ville, mais également au service des archives de l'Armée. Jusqu'à la mi-juin, cette exposition sera visible au musée d'archéologie. Pendant l'été, elle se déplacera dans le cadre du Fort-Carré et l'on pourra ensuite la découvrir au CREPS, à l'occasion du Festival du film militaire. Au total, c'est donc une animation de six mois qui est prévue avec des choses sérieuses et d'autres un peu plus légères. »

    11 500 euros pour l'opération

    Le coût de cette opération est estimé à 11 500 euros, dont le financement doit être réparti entre les trois entités organisatrices (Ville, Office de tourisme, SAEM du port Vauban). Mais des subventions vont être sollicitées par ailleurs auprès d'autres partenaires dont le conseil général, afin de financer la signalétique de la manifestation. Celle-ci inclut huit silhouettes de Vauban à taille réelle, huit cartels, douze drapeaux ainsi que 3 000 dépliants. C'est cette démarche qui a fait l'objet de la délibération adoptée lors du dernier conseil municipal