Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

AZURCOM - Page 246

  • HUMOUR ENCORE

    Deux titres parus ce soir ne sont pas dépourvus d'humour:

    Le 1er:Le député européen UDF Jean-Marie Cavada a affirmé lundi que le projet socialiste entraînerait entre 80 milliards et 110 milliards d'euros de déficit, selon les estimations de l'UDF. "Nous avons, notre comité économique, chiffré ce programme", a-t-il expliqué sur France-2.

    Cavada ton comité économique aurait été plus utile à Breton le roi toute catégorie du déficit du commerce extérieur

    Le 2ème:Papon est hospitalisé depuis jeudi pour une "insuffisance cardiaque"

    On vient de découvrir qu'à 97 ans Papon-condamné pour crime contre l'humanité- a une insuffisance cardiaque,lui qui tout au long de sa carrière a toujours fait preuve d'absence de coeur.

    Je déblogue....

  • LA BLAGUE A ROGER

    La blague est trop grosse Roger !

     Quand Roger Hanin raconte la chemise lilas je le trouve drôle, mais quand il explique que Sarkozy est de gauche, alors là, la blague est trop grosse Roger !

    Après les dérapages de Pascal Sevran, voilà que le beauf officiel de Tonton dévisse à son tour. C’est inquiétant, car cela signifie que ces deux-là n’ont jamais eu de pensée politique, et qu’ils ont simplement, comme Baltik, suivi Mitterand sur les contreforts de Solutré, sans réellement comprendre la pensée de leur guide (je suis sûrement trop dur avec Baltik…)

    Le vrai sujet de cette déclaration n’est donc pas que les mitterrandistes soutiennent Sarkozy, personne n’y pense sérieusement, mais que lorsqu’on n’a jamais eu de pensée politique on ne commence pas à 82 ans 

    D’ailleurs, à propos d’âge, après la charge de Nicolas Sarkozy contre les régimes spéciaux de retraite (arbres qui cachent la forêt), on se demande s’il est bien raisonnable que Navarro continue de travailler à cet âge avancé, la limite d’âge c’est 65 ans dans la fonction publique (ou deux ans de plus pour élever des enfants à charge…).

    Or, qu’ont donc en commun Sevran, Hanin et Fogiel ?

    Devinez…

    Ils passent à la télé !

    De là à penser que la télé décérèbre… il n’y a qu’un pas !

    Que je ne franchis pas bien sûr…

    Mais, sait-on jamais, peut-être qu’on va nous annoncer que Danièle Gilbert soutient VGE (si c’est possible !) ou que Patrick Poivre d’Arvor ne donne pas, avant les émissions, les questions à Sarkozy (quelle honte de penser cela, c’est comme si on l’accusait de faire une interview truquée de Fidel Castro !).

    Que Roger Hanin raconte n’importe quoi, ce n’est pas grave, mais que certains journalistes osent tenter l’amalgame entre Mitterrand et Sarkozy, pour troubler encore un peu plus le clivage droite-gauche, c’est insupportable !

    Que Roger Hanin devienne un vieux réac', c’est finalement assez logique à force de traîner dans les couloirs de TF1, même si ça fait un peu de la peine, pour celui qui se réclame du communisme…

    Certaines vedettes (je préfère ce mot à People !) jadis étiquetées à gauche, témoignent d’avoir rencontré Sarkozy et de le trouver sympathique !

    Quel joli argument politique ! Il ne manquerait plus qu’il morde !

    Sympathique… et puis, pour le cas de Roger Hanin, on se demande s’il ne traîne pas derrière tout cela un vieux relent de machisme déplacé. "Sarkozy aime la patrie" se justifie-t-il, tandis que Ségolène n’est pas "outillée" (sic).

    Roger Hanin aussi a des côtés sympathiques !

    Ca ne l’empêche pas de dire des conneries !

  • CE SERA ELLE

    medium_elysee2007.JPG

    Ségolène Royal propose un pacte présidentiel

     medium_386724530_74776776b7.jpg

    Ce que vous m’avez dit, je l’ai entendu. Ce que je savais, vous l’avez confirmé.

    Aujourd’hui, je vous propose le Pacte présidentiel : 100 propositions pour que la France retrouve une ambition partagée, la fierté, et la fraternité.

    Plus de 6 000 débats ont été organisés sur tout le territoire. J’ai reçu par Internet 135 000 contributions. J’ai écouté les partenaires sociaux, j’ai rencontré les associations, j’ai mobilisé les experts. Vous avez été nombreux à vouloir participer à cette œuvre collective.

    J’ai souhaité ce travail d’écoute et de confrontation des idées. J’ai voulu que les citoyens reprennent la parole pour que je puisse porter leur voix : vous ne supportez plus que l’on rédige dans l’ombre des programmes aussi vite oubliés qu’ils sont écrits. Les promesses doivent être tenues, elles doivent être crédibles.Ce Pacte présidentiel, c’est ensemble que nous le mettrons en œuvre.

    Plus juste, la France sera plus forte.

    Télécharger le Pacte Présidentiel : SR_pacte_presidentiel.pdf

  • VIVEMENT DIMANCHE

    Dimanche 11 Février 2007: Fete souhaitée:Notre Dame de Lourdes

    medium_306612925_82978cba81.jpg 

     

     

     

    Le dicton du jour 

     C'est en ce jour de Notre Dame de Lourdes

     Que Ségolène ravira nos esgourdes

  • CHICHI

    Il simule la débilité mentale pendant près de 40 ans  

    medium_chirac.gifCet homme a simulé la débilité mentale pendant près de 40 ans pour permettre à sa mère de toucher une pension il doit plaider sa culpabilité pour escroquerie à la Sécurité sociale vendredi devant le tribunal

    Il pourrait écoper d'une peine d'un an d'emprisonnement et être condamné à rembourser 90.717 euros au gouvernement , a précisé le procureur.

    Peu avant son 8e anniversaire, Chichi,a commencé à jouer les attardés en se montrant prostré, en voûtant le dos et s'écorchant le visage lors d'entretiens avec les psychologues et les responsables des services sociaux.Plus tard dés sa sortie d'une école spéçialisée il a prononçé des mots incompréhensibles(abracadabrantesques)a acheté beaucoup de fleurs a volé des billets d'avion et a donné des logements à ses amis qui n'en avaient pas besoin

    Sa femme Bernadette complice dans cette affaire été inculpée à l'automne dernier pour escroquerie.Elle affirmait que son mari était si handicapé qu'il ne pouvait pas prendre un bain tout seul, travailler ou conduire une voiture. Cet aprés-midi sur France 2 un grand reportage sera consaré à cet étrange couple. 
  • LA CONNERITUDE SEMAINE 6

     Les champions de la semaine 6

     medium_top3_hebdo.gif                                               

    Les champions de la semaine:Petite épreuve cette semaine,les concurrents attendent surement le grand meeting de Ségolène dimanche pour reprendre la compétition 

    Médaille d'or:Au football en général 1 mort en Italie,en France l'agression de deux arbitres a entraine l'absence de matches ce week-end dans deux départements et l'entrée en bourse de l'OL:60 points

    Médaille d'argent:A la dernière équipe du relais Sarkozy composée de Tapie Hanin Gluksmann et Boli:40 points

    Médaille de bronze:A l'acteur Michel Roux pour son manque de savoir-vivre:30 points

  • CHARONNE

     

    L’hommage aux victimes de Charonne

     
    Paris, février 1962. La perspective d’une fin de la guerre d’Algérie semble s’être éloignée depuis la suspension des pourparlers de paix, le 28 juillet 1961, entre le GPRA. (Gouvernement Provisoire de la République Algérienne) et le gouvernement français. Cependant, dans les arcanes du pouvoir, tout le monde s’accorde à dire que la seule issue possible est l’indépendance de l’Algérie. S’accrochant désespérément à leur rêve d’une Algérie française, les fascistes de l’OAS. (Organisation Armée Secrète), multiplient les attentats en Algérie et en Métropole. Cette stratégie de la terreur vise à mettre la pression sur le gouvernement français, qui se dit de plus en plus favorable à de nouvelles négociations avec le GPRA.

    Face à ce “péril brun”, les milieux de gauche se mobilisent autour du Comité Audin (Comité d’intellectuels luttant pour faire la lumière sur la disparition de Maurice Audin, militant du Parti Communiste Algérien), du PCF,de la C.G.T de l’UNEF, et du PSU. Dans les universités, des journées de grève sont organisées avec succès, ce qui pousse de Gaulle à déclarer: “Le peuple n’a pas à se préoccuper du problème de l’OAS; c’est aux forces de l’ordre d’agir”. Cependant, les forces de l’ordre ne sont pas aussi zélées dans leur lutte contre le terrorisme de l’OAS que dans la répression des sympathisants de la cause algérienne. Le 7 février 1962, dix attentats sont commis, à Paris, par l’OAS. Les cibles sont des universitaires, des élus du PCF, des officiers, des journalistes ainsi que le Ministre de la Culture, André Malraux. La bombe qui visait ce dernier blesse grièvement une enfant de quatre ans, Delphine Renard, qui perdra un œil et sera défigurée.

    Cette vague d’attentats pousse la gauche à organiser un rassemblement, le 8 février 1962, place de la Bastille à Paris. Or, suite à l’état d’urgence décrété le 21 avril 1961, un arrêté préfectoral interdit toute manifestation sur la voie publique. Cependant, selon certains historiens (dont le Professeur Brunet), le préfet de Paris de l’époque, Maurice Papon, avait envisagé de tolérer la manifestation du 8 février. C’est le Général de Gaulle lui même qui se serait opposé à ce que le rassemblement ait lieu, après l’avoir qualifié de “communiste”, ce qui, dans sa bouche, signifiait clairement “subversif”, voire “dangereux”. De plus, l’interdiction de cette manifestation flattait l’aile droite de ses partisans, en montrant que de Gaulle ne jouait pas le jeu des communistes dans la solution du conflit algérien.

    Le jour de la manifestation, les consignes sont claires: il ne faut tolérer aucun rassemblement et “faire preuve d’énergie” dans la dispersion des manifestants. Cette “énergie”, les policiers dépêchés sur place vont la fournir de façon dramatique. Le quadrillage de la manifestation est parfait; c’est en direction d’une véritable toile d’araignée policière que se dirigent les manifestants, à partir de 18h00. 2845 CRS, gendarmes mobiles et policiers sont organisés en cinq divisions entourant le quartier de la Bastille, de la gare de Lyon aux métros Filles du Calvaire et Saint Ambroise, et de la rue Saint Antoine au boulevard Voltaire.

    Côté manifestants, on souhaite un rassemblement pacifique; un communiqué radio précise, le 8 février, que “les manifestants sont invités à observer le plus grand calme”. En outre, les organisateurs prennent la décision de ne pas défiler, estimant que la police ne chargerait pas un rassemblement statique.

    A l’heure du rassemblement, les manifestants se heurtent aux forces de l’ordre. Certains sont reflués sur la rive gauche, alors que, sur la rive droite, la tension monte peu à peu. En effet, quelques affrontements se déclenchent boulevard Beaumarchais. La réponse policière est terrible. On matraque des manifestants, des passants, les hommes, les femmes et personnes âgées, jusque dans les cafés et les stations de métro. L’acharnement est tellement aveugle que même des policiers en civil seront blessés.

    Mais c’est boulevard Voltaire et rue de Charonne que la répression est la plus violente. Alors que les organisateurs donnent le signal de dispersion, les forces de l’ordre, commandées par le Commissaire Yser, chargent le cortège. En effet, sur ordre de la salle de commandement, c’est-à-dire du Préfet Papon, il faut “disperser énergiquement” les manifestants. Les policiers chargent avec une telle brutalité et de façon si soudaine, qu’un mouvement de panique s’empare des manifestants, qui tentent de fuir vers la station de métro la plus proche.

    Les premières cibles des forces de l’ordre sont des élus communistes, qu’ils frappent à la tête. Puis, c’est au tour des manifestants qui, portés par la foule, trébuchent dans les escaliers du métro et s’entassent les uns sur les autres. Au lieu d’aider les gens qui suffoquent, les policiers les frappent, les insultent, et n’hésitent pas à jeter sur eux les grilles d’acier qu’ils trouvent au pied des arbres, ou encore des grilles d’aération. Le bilan de cette agression fut de huit morts, dont un manifestant de quinze ans. Sept d’entre eux sont morts par étouffement, un des suites de blessures à la tête. Tous étaient communistes.

    Au lendemain du drame, la presse, de façon unanime, stigmatise la responsabilité des forces de l’ordre. Le Ministre de l’Intérieur, Roger Frey, rejette quant à lui toute la responsabilité sur le Parti Communiste, qu’il accuse d’avoir tenu la manifestation malgré l’interdiction officielle. Au passage, le ministre assimile les manifestants aux fascistes de l’OAS, car ce sont là, explique-t-il, “deux ennemis de l’intérieur”. De son côté, la population française est largement choquée par ce déchaînement de répression: entre 500 000 et un million de parisiens assistèrent aux funérailles des victimes.

    Cet épisode de la vie politique française témoigne une fois de plus de l’amnésie historique de l’État français, sur certains sujets. Pendant des années, le drame du 8 février 1962 sera relégué aux oubliettes de l’histoire officielle. Il faudra attendre quatre décennies pour voir la réouverture des dossiers sur la guerre d’Algérie, le début d’une prudente autocritique de la part de l’État, et pour que la lumière commence à se faire sur les événements qui ont coûté la vie aux huit victimes de cette terrible journée.

     

     

  • BULLES A LA NEIGE

    medium_resizer.2.jpeg

    Pour la 5ème année, Valberg vous offre le Festival de la Bande Dessinée "Bulles de Neige". A partir de 15h samedi et dimanche toute la journée, venez obtenir les plus belles dédicaces à l'Espace Mounier

    Entre ski et bulles, Valberg vous a concoté un plateau de folie :

    Greenson (Niklos Koda)
    Mezières (L'ordre des Pierres)
    Tebo (Captain Biceps)
    Margerin (Shirley et Dino)
    Boucq (Bouncer)
    Delitte (Les nouveaux Tsars)
    Abolin (Total Maîtrise)
    .... et bien d'autres auteurs.

    Concours, expositions, dédicaces, Course Bulle de Neige.
    Verre de l'amitié, inauguration et feu d'artifice, à partir de 18h00, samedi, Place Centrale

  • MEETING PARISIEN

    Segolene Royal pour son meeting parisien

    La France ne demande pas aux citoyens d'où ils viennent, mais où ils veulent aller ensemble.

    8.000 personnes autour de Ségolène Royal pour son meeting parisien.
    /td>
    A ses côtés Bertrand Delanoë, Dominique Strauss-Kahn, Henri Emmanuelli, député des Landes, Jean-Pierre Chevènement, président d'honneur du MRC, Christiane Taubira (PRG), l'ex-ministre Bernard Kouchner, Arnaud Montebourg, Jack Lang, Jean-Marc Ayrault, Patrick Bloche, premier secrétaire fédéral de Paris, Daniel Vaillant...

    Bertrand Delanoë demande au "candidat sortant" Nicolas Sarkozy de "rendre des comptes" de son action depuis cinq ans et d'"assumer ses amitiés politiques", citant Charles Pasqua, Patrick Balkany, Alain Carignon, qui tous ont eu des démêlés avec la justice.

    Ségolène Royal ironise "Ceux d'en face, à droite et dans leurs relais dociles dans les médias, m'avaient déjà congédiée, accablée de toutes les insuffisances et de toutes les impotences, vilipendée dans des publications sordides, à la une de publications liées au pouvoir. Il y a sans doute un peu d'argent à gagner pour ces conglomérats de la finance et des médias, mais surtout, il y en a tellement à perdre si la gauche gagne les élections". Elle ajoute que la droite n'a qu'une obsession: "la défense de ses privilèges, de ses passe-droits, de ses abus, de ses réseaux et de ses clientèles, de son impunité.

    Allons-nous accepter qu'à travers l'un des siens, cette nouvelle oligarchie prenne la tête de l'Etat républicain ?
    "

    Elle accuse Nicolas Sarkozy d'emprunter ses slogans "à la droite américaine de l'époque du Vietnam ou à la dictature brésilienne", et de n'être que le candidat d'une droite "qui se bushise".

    Elle rappelle les mots du candidat de l'UMP "s'il y en a que ça gêne d'être en France, qu'ils ne se gênent pas pour quitter un pays qu'ils n'aiment pas".

    Ce slogan, dit-elle, "est emprunté à la droite américaine du temps de la guerre du Vietnam et à la dictature brésilienne qui érigea cette phrase -+le Brésil, aimez-le ou quittez-le !+- en mot d'ordre.

    Voici quelles sont aujourd'hui les références
    " de M. Sarkozy.

    Ségolène Royal expose sa propre vision "Aimer son pays c'est le vouloir meilleur, c'est l'écouter, le rassembler, l'améliorer, le transformer, c'est assumer son histoire et l'aimer les yeux grand ouverts". La nation "ce n'est pas seulement une histoire partagée et assumée, c'est le désir de faire de grandes choses ensemble.

    La France, ne demande pas aux citoyens d'où ils viennent, mais où ils veulent aller ensemble. La France de demain comme celle d'hier se nommera diversité
    ".

    Elle ajoute "je suis toujours là et bien là, et avec vous, de plus en plus nombreux, je sens une vague, je sens un souffle.Quelque chose est en train de changer. Cette vague va s'amplifier. Le peuple doit se saisir de notre projet présidentiel.

    J'ai voulu redonner la parole au peuple
    ", a expliqué la candidate. "Je m'engage à ce qu'elle ne vous soit pas confisquée (...) Avec votre parole, j'élèverai la France".

  • JAURES IL EST DEVENU FOU!

    medium_mite.3.gifJaurès opposable

    Quand François Mitterrand est mort,je me souviens d'une émission de radio sur la chanson française traitant de prés ou de loin du socialisme .Parmi celle-ci, il y avait Les Marquises  de Jacques Brel:

    Demandez vous belle jeunesse

    Le temps de l'ombre d'un souvenir

    Le temps du souffle d'un soupir

    Pourquoi ont-ils tué Jaurès ?

    Pourquoi ont-ils tué Jaurès ?

    Il semble qu'il n'y ait pas que la belle jeunesse qui doivent se poser la question, mais également un ministre-candidat  pas gêné de le citer devant ceux qui auraient sans doute applaudit à son assassinat en 1914.Jean-Luc Porquet dans le Canard Enchaîné  a écrit un excellent  texte  qui propose un « Jaurès opposable ». Il nous rappelle entre autres que  [Jaurès] disait aussi : « tout progrès vient de la pensée et il faut donner aux travailleurs le temps et la force de penser » Il n'était pas du genre à ricaner sur les 35 heures.< Jaurès opposable ».Dans sa lançée le ministre-candidat à lintérieur va bientot citer Mitterrand . Entre Sardou,Halliday et Doc Gynéco, j'en aurais de la contrariété. Et si c'était le cas, je lancerais illico le Mitterrand opposable.