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  • TRAVAIL EN HYPERMARCHE

    Travailler en hyper n'est pas toujours super


    Le travail à bout de bras est courant, notamment au rayon des fruits et légumes.
    Enseignes et syndicats ont mené une enquête ambitieuse grâce aux médecins du travail. Il y a encore du boulot pour mettre « la santé à tous les rayons ».

    Arrêts de travail à répétition, absentéisme fréquent, rotation importante des salariés... Voilà trois symptômes inquiétants pour la bonne santé sociale de la grande distribution. Syndicats et patronat, via la Fédération du commerce et de la distribution (FCD), ont voulu en avoir le coeur net. Une enquête de fond a été menée par des médecins du travail auprès de 5 000 salariés, à la fin 2005 et au début 2006. Résultat : il reste beaucoup à faire pour les conditions de travail des 640 000 salariés du secteur.

    Ils vivent mal les dépassements d'horaires (4 sur 10). Regrettent le manque de visibilité de leur planning : près d'un tiers ne connaît pas son emploi du temps deux semaines à l'avance. Les horaires atypiques les fatiguent : dans les hypers, c'est souvent tôt le matin, tard le soir, voire de nuit (près de quatre salariés sur dix).

    Trop d'accidents

    Plus de huit salariés sur dix trouvent leur travail fatigant. La presque totalité effectue des gestes répétitifs. Ils pointent du doigt les mauvaises postures qui font mal aux poignets, aux mains et au dos, le port de lourdes charges, le passage brutal du chaud au froid, la nécessité de se saisir d'objets en hauteur, les bras tendus.

    Ces contraintes sont d'autant plus mal vécues que près d'un quart des salariés travaille à temps partiel contre son gré. Enfin, tout cela se fait sous la pression d'une hiérarchie qui veut sans cesse accélérer la cadence.

    Tout n'est pourtant pas noir si l'on en croit ce personnel à dominante féminine. Les trois quarts des salariés estiment qu'ils ont une marge de manoeuvre dans leur façon de travailler, huit sur dix peuvent compter sur le coup de main de collègues et un sur deux juge sa formation suffisante et adaptée.

    Ceci dit, les conséquences physiques sont quand même là. 60 % des salariés se plaignent de maux du bas du dos. Puis viennent les problèmes de nuque (38 %), de poignets et de mains (32 %), d'épaules (30 %), etc. En dix ans, les TMS (troubles musculo-squelettiques) ont été multipliés par six, étroitement liés aux manutentions continuelles, quand ils ne progressaient que de la moitié ailleurs. Enfin, la grande distribution affiche un indice de fréquence d'accidents du travail supérieur à la chimie, à la manutention et aux transports.

    Reste aux enseignes et aux syndicats à s'appuyer sur cette étude pour améliorer la santé à tous les rayons. Avant de s'attaquer au harcèlement moral 

  • LE COMPTE EST BON

    Et un de plus à la Cour des comptes!!!

    Quand les bornes sont franchies, il n'y a plus de limites, disait le sapeur Camenbert. C'est faux! Quand les bornes sont franchies, il y a la Cour des comptes. La preuve avec cette dépêche de l'agence AP


    Le député Jean de Gaulle nommé à la cour des comptes


    PARIS (AP) -- Jean de Gaulle, député UMP du XIIe arrondissement de Paris, a été nommé mercredi en conseil des ministres conseiller maître à la cour des comptes.


    Sa nomination laisse vacante sa circonscription à six mois des élections législatives des 10 et 17 juin 2007. Le nom de l'actuelle ministre déléguée aux Affaires européennes Catherine Colonna a été avancé pour porter les couleurs de l'UMP dans cette circonscription.


    Une éventuelle candidature de Jean-Louis Borloo, qui lorgne sur la mairie de Paris, avait également été évoquée. Le ministre de la Cohésion sociale a confirmé dimanche qu'il serait candidat dans sa ville de Valenciennes (Nord). AP

    Avant Jean de Gaulle il y avait Charles de Gaulle qui n'a jamais été membre, lui, de la Cour des comptes. Son truc à lui, c'était la République des "copains et les coquins".

  • SALE TEMPS POUR LES DINDES

    En cette période de l'année,il ne fait pas bon d'etre dictateurmedium_250px-Dinde.jpgs ou dindes.Aprés Pinochet c'est le grand démocrate du Turkménistan Niazov président à vie qui l'a perdu.

    Revenons aux dindes.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Noel c'est dans pas longtemps,thanksgiving est passé mais chaque année,pour ces fetes,nos dindes sont serialkillées dans l'indiférence la plus totale.D'abord plumées puis farçies avec des marrons c'est chaque année le meme rituel(Pour les dindes pas pour les dictateurs).

    Il est temps de réagir!Je dis,n'ayons pas peur des mots,halte au génocide.La mobilisation semble prendre forme.Pour preuve les actions pour protéger la dinde se multiplient.L'avant-garde de ce mouvement naissant est occupée par les Dindes de Garde.Les autorités et le ministre de l'intérieur essayent de tuer le mouvement dans l'oeuf.

    Les Dindes de Garde-enfin celles restant- vont sensibiliser l'opinion publique en organisant une grande manifestation le 1er Janvier prochain en partant du Grand Marché de Rungis jusque devant les boucheries parisiennes au cri de "Complétement Dinde de Toi et glou et glou et glou,vous etes des notres vous etes des dindes comme les autres".

    Que faire?Dindes de tous pays unissez-vous pour mettre fin à ce massacre.Rejoignez les Dindes de Garde pour défendre vos droits becs et ongles au moment des fetes

    Avant cette manifestation j'ai interviewé Dindon Futé leader du mouvement concurrent G.A.S (Gallinaçés Antilibéraux Sauvages)

    Azurcom:Dindon futé votre avis sur ce massacre organisé des dindes?

    Dindon Futé:Ce massacre organisé des dindes m'inquiète sérieusement.Néanmoins voyons le coté positif de Noel;il y a dinde et dinde.Les fetes permettent d'éliminer le surplus des dindes d'élevage.Les dindes d'élevage sont un peu des gallinacés blondes.Or,point trop n'en faut,elles finissent par nuire à la réputation de la dinde sauvage,qui pour etre moins cruche est plus comment dirai-je,euh,imprévisible

    Azurcom:Que pensez-vous des actions des Dindes de Gardes?

    Dindon Futé:J'insisterai une nouvelle fois sur l'importance de cette discrimination positive Dinde d'élevage/Dinde sauvage.Je soutiendrais l'action des Dindes de Garde tant qu'elles prendront en compte cette disctinction Autrement le combat est vain.Contentons-nous de défendre ce qui est défendable.

    Azurcom:Pour résumer votre point de vue,vous considérez que les fetes ont des cotés positifs?

    Dindon Futé:Tout à fait tant qu'on ne touche pas à la dinde sauvage!

  • SARKO ET L'ECONOMIE ACTEII

    Les Idées Fausses De Nicolas Sarkozy sur l'économie

    Voici une note de la section PS de Portes les Valence, très pertinente

    Parti Socialiste  section de  Portes les Valence.

     

     

    medium_a_vous_de_juger.jpgNicolas Sarkozy, développe une doctrine économique reposant sur le slogan dogmatique "travailler plus pour gagner plus". Il me semble que tous ses discours reposent sur un certain nombre d'idées fausses que je me propose d'expliciter.   

     Idée fausse N°2 :  Si les gens ne travaillent pas assez, ce n’est pas parce qu’ils sont fainéants! En effet, les gens voudraient travailler plus pour gagner plus, mais ils ne peuvent pas, à cause des 35 heures. Il faut donc laisser les salariés qui travaillent dur travailler encore plus dur, comme ça les chefs d’entreprises leur donneront plus d’argent.

    Il semble facile à admettre que si quelqu'un travaille plus d'heures, il puisse gagner effectivement plus. A condition toutefois d'être strictement rémunéré à l'heure ou à la tâche. Ce qui heureusement n'est plus la situation légale, sauf à admettre que Sarkozy supprime les barrières qui ont été mises en place pour moraliser les relations employeurs/employés depuis la fin de la révolution industrielle. On peut noter que déjà le paiement des heures supplémentaires a été réduit. Ce qui signifie qu'un salarié aujourd’hui travaille plus pour gagner moins que ce qu'il aurait gagné en plus auparavant. D’autre part, l’idée de dire que si tout le monde travaille plus, tout le monde gagnera plus est absurde au niveau macro-économique si elle n'est pas abordée dans une vision globale.

    La condition sine qua non pour pouvoir travailler plus est que les chefs d’entreprises aient plus de commandes.  Il est d’abord indispensable d’identifier,  de contribuer et de promouvoir les secteurs dans lesquels les entreprises françaises voudront et seront en mesure de répondre par un accroissement de l'offre au supplément de demande. Finalement, et ce n'est pas le moindre leurre. Quel marge de manoeuvre un salarié peut-il avoir pour décider du temps  qu'il veut ou non consacrer au travail? Lorsque celui-ci signe un contrat de travail, il passe en fait une sorte de convention de subordination. Et c’est rarement lui qui décide des tâches qui lui sont confiées ou du nombre d’heures qu’il fera...

    Cette idée de travailler plus relève simplement de la remise en cause de la loi sur les 35 heures dont l’un de ses objectifs était précisément d'embaucher au lieu de permettre de faire des heures supplémentaires, et d'une manière plus générale de la remise en cause une durée légale du travail égale pour tous. Le retour aux heures supplémentaires va donc retarder ou empêcher les nouvelles embauches.

  • COMBIEN CA COUTE ? 200 000 €

    Le Canard Enchainé a révélé la semaine dernière une information qui révèle la connivence qui peut lier certains journalistes et certains hommes politiques au détriment du citoyen-contribuable.

    Cette histoire est emblématique.

     Elle a pour protagoniste un journaliste qui a fait de la mauvaise utilisation de l'argent du contribuable le fonds de commerce de son émission "Combien ça coute" et qui s'érige sans cesse en donneur de leçons. Jean-Pierre Pernaut, présentateur du journal de TF1, chantre de la dénonciation du gaspillage d'argent public mais aussi piètre pilote automobile amateur, était à la recherche d'un sponsor pour participer à des courses sur glace, au trophée Andros pour être précis. Rapidement, il est mis en relation par un ami avec le directeur de cabinet de Christian Estrosi rapporte le "Canard Enchainé" et la situation se débloque instantanément puisque 200.000 euros de fonds publics, partagés entre le Conseil Général des Alpes-Maritimes et des communes de la circonscription d'Estrosi, sont trouvés.

    Enfin il semble que cela soit plus subtil et qu'en fait ces 200 000 euros aient été payés par le syndicat des stations du Mercantour pour lesquelles le Conseil Général des Alpes-Maritimes dont le président est Estrosi votait ce mardi  une subvention de 750 000 euros.

  • SARKO ET L'ECONOMIE

    Les Idées Fausses De Nicolas Sarkozy sur l'économie

    Voici une note de la section PS de Portes les Valence, très pertinente

    Parti Socialiste  section de  Portes les Valence.

     

     

    medium_a_vous_de_juger.jpgNicolas Sarkozy, développe une doctrine économique reposant sur le slogan dogmatique "travailler plus pour gagner plus". Il me semble que tous ses discours reposent sur un certain nombre d'idées fausses que je me propose d'expliciter.   

     Idée Fausse N° 1 : Si la croissance économique de la France est faible, c’est parce que les gens ne travaillent pas assez. Pour gagner plus, il faut travailler plus. Si on travaille moins, on gagne moins.

    L’histoire des faits économiques, montre que depuis le début du 20ème siècle, l’élévation du niveau de vie s’est accompagnée d’une diminution du temps de travail. Certes, cela ne signifie pas qu’il faille attendre automatiquement d’une baisse du temps de travail une élévation du niveau de vie, mais croire que les deux sont incompatibles est tout sauf pertinent. Les travaux empiriques et théoriques sur la croissance ont montré que l’élévation du niveau de vie se nourrit pour l’essentiel de l’effort d’investissement et du progrès technique…

    D’autre part certains commentateurs se désespérent du faible taux de croissance de la France , autour de 2-2,5%, comparativement à la croissance mondiale (4 à 5%), où à la croissance de certains pays comme la Chine (8 à 9%). Il semble que dans leur esprit, tout se passe comme si tous les pays de la planète participaient à une course, le taux de croissance mesurant la vitesse de chacun. La métaphore de la course est trompeuse: en effet, dans la "course économique", il existe une relation étroite entre la position du coureur dans la course et sa vitesse. Relation complexe puisque plus on est en retard sur le peloton de tête et... plus on court vite. Dit autrement, les coureurs en retard on un avantage indéniable sur ceux qui sont en avance.

    Pour le comprendre, on peut s'en remettre aux théories du rattrapage, développées notamment par Abramovitz: L'apprentissage et l'imitation étant moins coûteux et plus rapides que la découverte et l'expérimentation initiale des technologies, les gains potentiels de productivité réalisés par un pays en retard sont d'autant plus importants que l'écart entre le niveau de productivité du pays et le niveau de productivité du ou des leaders supposés à la frontière technologique est important. Ceci explique pour une bonne part la croissance actuelle de pays comme la Chine ou les Pays d'Europe Centrale et Orientale, le rattrapage étant alimenté notamment par les investissements directs étrangers de firmes occidentales. Se désespérer des comparaisons de taux de croissance entre la France et le taux de la croissance mondiale n'a donc pas de sens, et ce d'autant moins que des pays comme la Chine ou l'Inde se développent et pèsent de plus en plus dans le PIB mondial. C'est la comparaison des taux de croissance de pays de niveau de développement comparable qui importe.

  • OXY MORT LA TERRE

    Un tsunami écologique

    D'accord, c'est un oxymore. En accolant tsunami et écologique, on associe un substantif et un adjectif tellement contradictoires qu'ils sont, théoriquement, incompatibles. L'ensemble est proche du non-sens mais l'attelage fait immanquablement son effet. A tort ou à raison.
     Les responsables politiques succombent trop volontiers à cette facilité ces derniers temps, et les journalistes ne sont pas en reste... A leur décharge, la scène de l'actualité leur offre des situations tellement surprenantes qu'ils ont de lourdes tentations. L'irruption de l'environnement dans le débat de la présidentielle, par exemple, provoque un tremblement de terre totalement inattendu. La secousse a de telles répercussions aujourd'hui qu'elle pourrait bien dévaster l'ordonnancement à première vue rassurant du combat pour l'Élysée. Comme si, intuitivement, les Français se préparaient à changer radicalement d'optique pour regarder le monde. C'est bien le résultat d'un tsunami écologique qui balaie notre pays.
     Les derniers éléments d'enquête sur le réchauffement de la planète montrent une accélération spectaculaire du phénomène à laquelle personne ne peut plus être indifférent. Tout, à côté de cette menace pesant sur les générations futures, semble brusquement si dérisoire... Le succès, dans les sondages, du très médiatique Nicolas Hulot coïncide avec ce basculement des consciences. Les uns et les autres, nous commençons à comprendre qu'une certaine période est révolue et que nous ne pourrons sans doute plus vivre « comme avant ».
     La relative facilité avec laquelle l'animateur de télévision est en train d'imposer son pacte aux ténors de la consultation de 2007 montre à elle seule, l'efficacité et le « danger potentiel » que représente l'homme de TF1. Sans aucune expérience politique, il « sort » à 10 % dans les intentions de vote, s'impose déjà à Nicolas Sarkozy, à Ségolène Royal et à François Bayrou, tous les trois signataires de son plan minimal d'action, et ne rencontrerait aucune difficulté pour trouver ses 500 signatures. Mais au delà du rôle de trouble-fête qu'il n'a pas vraiment envie de jouer, il a réussi à ramener dans le débat une réflexion écologique que les Verts - à l'exception de Daniel Cohn-Bendit en 1999 - ne sont jamais vraiment parvenus à motiver. Les candidats traditionnels, eux, planchent pour se mettre à niveau. Pour une fois, la surenchère serait la bienvenue

  • ANTI QUOI?

    Le temps passe et nous sommes déjà en décembre, l’élection décisive a lieu dans moins de 6 mois.
    Le congrès pour l’élection du candidat anti-libéral (ou la réunion de désignation, ou le symposium de choix, le libellé exact n’a pas encore été validé par les collectifs) arrive.
    Et là, à Saint Denis c’est la cage d’escalier du HLM, on se hue, on s’invective, on se justifie auprès des médias, ça fait partie du boulot aussi.
    Dans la salle, comme dans un film de Tarantino, tous les flingues sont sortis, on se toise, on s’observe. Ça n’empêche pas de s’insulter.
    On retrouve l’esprit des AG de mai 68, dommage que ça manque de CRS ça aurait au moins fait un point d’accord.
    Finalement chacun rentre dans ses lignes. Match nul. Au coup de sifflet chacun sortira des tranchées, pour quel avenir ?

     Je peux vous prédire l’avenir des collectifs « anti-libéraux », noyautés par le PC aussi proprement qu’une momie égyptienne (oui c’est de l’anti-communisme primaire), moins organisés qu’un groupuscule « anarchiste » (anarchique ?) dont la moyenne d’âge aurait 15 ans.
    Ceux qui refusent de livrer leurs voix aux PC, de prêter allégeance à la LCR ou de se convertir à LO vont faire, le printemps venu, des pique-niques tranquilles en se rappelant le bon vieux temps.
    A toutes ces personnes férues de politique mais déçues par un mouvement sans avenir, j’offre un espoir : vous avez lu le projet socialiste?  Prenez le temps de  le lire et venez en discuter, dans de vraies permanences, avec des gens ouverts et compétents, nous sommes à l’écoute

  • CA VA CHAUFFER

     

    MENACE POUR LES ECONOMIES REGIONALES
    Le réchauffement climatique "remet gravement en question la fiabilité de l'enneigement" dans les stations de ski des pays alpins en Europe et "menace les économies régionales" tributaires du tourisme d'hiver, selon une étude qu'a rendu public mercredi l'OCDE. "Les Alpes sont particulièrement sensibles aux changements climatiques et le réchauffement récent y a été près de trois fois supérieur à la moyenne mondiale", note l'étude. Actuellement, on considère que 90% des domaines skiables alpins de moyenne ou grande taille, soit 599 domaines sur 666, bénéficient d'un enneigement naturel suffisant, soit une couche d'au moins 30 cm de neige, pendant au moins 100 jours par an, relèvent les auteurs. Les 10% restants sont déjà soumis à des conditions précaires.
                                          
    Une hausse de la température de 1°C, de 2°C ou de 4°C à l'avenir pourrait ramener le nombre de domaines skiables jouissant d'un enneigement fiable à 500, 400 ou finalement à 200", prévient l'OCDE. Ce n’est pas le moment de publier de telles nouvelles alors que la France active et dynamique prépare ses skis !
    Une étude de Greenpeace intitulée "changement climatique: quels impacts en France?", publiée en 2005 aboutissait pourtant déjà à des conclusions similaires à celles de l'OCDE. Un réchauffement moyen de 2 degrés par rapport aux conditions de la décennie 1980-1990, entraînerait une diminution de la durée d'enneigement de 5 à 4 mois (entre 1500 et 2500 mètres) dans les Alpes du nord et de 3 à 2 mois dans les Alpes du sud. Dans les deux cas l'épaisseur du manteau neigeux serait réduite de 40 à 50 %. "Les études récentes suggèrent une probable remise en cause de l'existence même des stations de sports d'hiver de moyenne montagne", concluait également l'étude de Greenpeace. Des milliards d’€ d’investissements vont se révéler inutiles et donc improductifs. Et le malheur guette notre société qui consomme de plus en plus de sport… d’hiver : les bronzés ne pourront plus faire de ski et ce n’est véritablement pas le top pour le moral et pour les finances des stations n’ayant pas massivement investi dans des canons à neige artificielle. Ils n’auront même plus la possibilité d’aller se dépayser sur la banquise

  • LE P'TIT SUISSE

     
    JOHNNY LE PETIT SUISSE PREVOYANT

    optic 2007

    optic_2007

     

    L'Agité de Beauvau risque de ne plus croiser souvent Johnny Hallyday qui après avoir revendiqué la nationalité belge va s'installer à Gstaad, en Suisse, à raison de six mois - plus un jour - par an dès la fin décembre, pour des raisons fiscales.
    "L'ancien supporter de Jacques Chirac, qui avait lui aussi apporté, de manière spectaculaire, son soutien à Nicolas Sarkozy, a en effet décidé de quitter cette France que son nouveau mentor défend farouchement. Il est vrai que Johnny a de la suite dans les idées car il avait il y a quelques mois tenté d'obtenir, en vain, pour des raisons… également fiscales, la nationalité belge. En septembre dernier, le rocker avait prudemment déclaré qu'il pourrait quitter la France si Nicolas Sarkozy, "un homme d'honneur" qui "aime la France et les Français", ne tenait pas "ses promesses".
      Il a donc déjà trouvé une bonne excuse car à sa place il aurait pu aisément dire qu’il partait car celui qu’il avait antérieurement soutenu-Jacques Chirac-n’avait jamais tenu les siennes ! Il était donc fondé à aller voir ailleurs, un pays où on les tient sans attendre d’être déçu par Sarkozy !
    Interrogé lors du compte rendu du conseil des ministres, le porte-parole du gouvernement, Jean-François Copé, n'a pas souhaité faire de commentaire sur ce désir de Johnny Hallyday d'aller voir "si l'herbe est plus verte chez le voisin". Mais, a ironisé celui qui doit faire appliquer la législation fiscale française, citant un proverbe, "l'herbe du voisin est toujours plus verte que la sienne jusqu'à ce qu'on s'aperçoive que c'est du gazon artificiel." En l’occurrence c’est plutôt Sarkozy qui propose du gazon artificiel que fume Doc’ Gyneco sous l’œil bien malveillant d’un Pascal Sevran prêt à broyer du noir.