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  • VOUS AVEZ DIT DIVORCE MAIS QUEL DIVORCE ?

     Chappatte

    Aprés le miterrandien"coup d'Etat  permanent,nous sommes entrés dans l'état de divorce permanent.Cette situation risque bel et bien de perdurer car il subsiste un sentiment latent d'injustice et d'agitation constamment dirigée contre l'autre.

    Nicolas Sarkozy voulant vampiriser les les médias,il faut bien se rendre à l'évidence qu'il annoncera les décisions définitives au moment qu'il jugera opportun pour estomper une autre facette de son comportement.

    Hier France-Inter indiquait par exemple que l'Elysée pourrait publier dans la journée un communiqué officiel sur la situation qui hante l’esprit de tout un peuple.On n'aura comme à l'habitude deux versions de la situation:celle officielle qui diminuera l'impact des faits et celle officieuse qui en augmentera les conséquences.En fait il faudra se rendre à l'évidence;la bataille de l'opinion est bel et bien engagée.De son résultat dépendra la suite des événements et de la profondeur du divorce.J'ai écrit divorce mais quel divorce?

    Vous le verrait aux Unes des journaux et du Jité.Il va y avoir débat dans les rédactions:sur quel divorce titre-t-on?Malheureusement sans aucun doute:certainement sur celui entre les salariés du secteur public et le gouvernement mais plus surement sur celui acquis entre Cécilia et Nicolas...Vous savez ce drame humain plus capital pour des millions d'usagers des transports collectifs que le statut des cheminots. En effet que vont-ils lire dans Voiçi,Gala,Paris-Match les Pravda régionales dans le métro,le RER TER ou TGV si le couple présidentiel met fin à ses accords bilatéraux sans que ce soit médiatisé?La vie quotidienne de chacune et chacun en sera bouleversée et je suis certain que beaucoup des gens ayant voté pour Sarkozy sont prets a se mettre en grève afin d'éviter pareil drame humain.

    Personne ne fetera en effet les 40 annuités du couple

  • GRANDE BRADERIE CHEZ CECILIA

    Le 18 septembre 1984, les Martin reçoivent les Sarkozy. Cécilia tient Judith, née le 22 août. Sur les genoux de sa mère, Marie-Dominique, Pierre Sarkozy, né le 24 août".

     

    C_cilia_Martin

    En voilà une qui a tout compris et en a ras la casquette (ou le chapeau !).Quelle femme!elle se sépare en quelque jour de ses ex à l'égo surdimensionné aprés avoir mis couché le Jacques  elle se sépare du gesticulateur précosse ami du grand capital.

    Il reste aux français mariés pour un peu moins de 5 ans maintenant avec le moulin à vent le plus risé du monde pour préparer un divorce durable et définitif avec le père lafaillite de la gabegie gestionnaire (il pourra avec ce joli titre être un peu plus anobli le Nicolas Sarkozy de Nagy Bocsa !).

  • ECOLE DE BANOGNE 58-59

    J'ai aussi les noms!

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  • SARKO DE VILLEPIN:LA DIFFERENCE

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    La scène se situe le 18 juin, à 15 heures, à l'Elysée. Nicolas Sarkozy reçoit Dominique de Villepin pour discuter de son avenir. Que va bien pouvoir faire celui qui, deux ans auparavant, avait fait trembler le tout nouveau président de la République ? Magnanime, Sarkozy évoque les différentes fonctions que son rival pourrait occuper. Commissaire européen ? Vice-président du Conseil de l'Europe ? Volubile, encore enivré par la victoire, le locataire de l'Elysée semble avoir oublié la terrible guerre que se sont livrée les deux hommes. Veut-il se réconcilier ou tout simplement proposer un poste à un homme à terre qui sera désormais son débiteur ? Dominique de Villepin lui répond tranquillement qu'il ne veut rien. Il explique au président fraîchement élu qu'il est désormais sur une autre planète. Il veut prendre le large. Il a envie de se consacrer à une mission internationale liée à une activité culturelle dans le privé, dans le domaine de l'art, plus précisément.Par ailleurs, il a un désir féroce d'écrire. Il a un roman en tête, une histoire d'amour tumultueuse, forcément. Il ira l'écrire aux îles Marquises. Sur les traces de Paul Gauguin, le peintre hanté par la quête d'absolu, qui ne peut finir que dans la tragédie. Dominique de Villepin n'a jamais vu la politique autrement que comme une course effrénée vers le précipice. Dans quelque mois, il publierais Le Soleil noir de la puissance (Perrin), une plongée dans la période glorieuse de Napoléon. Derrière le travail de l'historien érudit, Villepin ne peut s'empêcher de poser sa griffe d'écorché vif. Il croit à l'inexorabilité de la chute en politique. Le président est abasourdi. Le vaincu a conservé sa superbe, comme si rien ne pouvait l'atteindre. Décidément, Nicolas Sarkozy ne comprendra jamais les ressorts de cet homme. Les «élucubrations poétiques» du dernier des Mohicans de la cause chiraquienne le laissent pantois. Entre eux, il y a un abîme insondable. L'un est un disciple de Desnos et d'Apollinaire. L'autre, un exégète de Jean-Marie Bigard et de Didier Barbelivien. La Pléiade contre Les Grosses Têtes.

  • UN CERTAIN 17 OCTOBRE

    C'était le 17 Octobre 1961 à Paris suite à une manifestation pacifique contre le couvre-feu imposé aux Algeriens un certain Papon préfet de police donne carte blanche aux forces de l'ordre,des miliers d'Algériens sont arrétés et parqués dans des stades déjà la police tire sur le cortège matraque à mort et jette des manifestants à la Seine.

    Bilan officiel 3 morts mais des témoignages feront état d'environ 200 morts cette tragédie est imputable à Papon ainsi qu'à De Gaulle et son premier ministre Debré qui ont couvert l'ex-préfet de Constantine qui s'était déjà distingué à Alger en 1956 sans compter la période de l'occupation.

  • LA PENSEE DU JOUR

     Celui qui croit qu'une croissance exponentielle peut continuer indéfiniment dans un monde fini est un fou, ou un économiste. » Kenneth Boulding (1910-1993), économiste, président de l'American Economic Association

  • ADIEU 1945 ADIEU 1968

    Défaire méthodiquement le programme du Conseil National de la Résistance c'est en regardant l'affiche derrière mon camarade Jean-Jacques Thomas maire de Hirson(O2) qui recevait François Hollande le week-end dernier que m'est revenu le texte de Kessler,à lire, pour comprendre jusqu'où veut aller Sarkozy 



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    Denis Kessler est de retour. L’ancien n° 2 et idéologue en chef du MEDEF au côté d’Ernest-Antoine Seillières de 1994 à 1998, apôtre du projet de “refondation sociale” d’alors, signe un éditorial dans le journal Challenge du 4 octobre 2007. Il éclaire avec le plus grand cynisme la cohérence globale du projet Sarkozy : liquider le modèle social construit au lendemain de la Seconde Guerre mondiale sur la base des rapports de force issus de la Résistance et de la Libération. Il s’agit bien d’une contre-révolution. Bon à savoir pour mieux combattre !



    ADIEU 1945, RACCROCHONS NOTRE PAYS AU MONDE ! 

    Le modèle social français est le pur produit du Conseil national de la Résistance. Un compromis entre gaullistes et communistes. Il est grand temps de le réformer, et le gouvernement s’y emploie.Les annonces successives des différentes réformes par le gouvernement peuvent donner une impression de patchwork, tant elles paraissent variées, d’importance inégale, et de portées diverses : statut de la fonction publique, régimes spéciaux de retraite, refonte de la Sécurité sociale, paritarisme…A y regarder de plus près, on constate qu’il y a une profonde unité à ce programme ambitieux. 

    La liste des réformes ? C’est simple, prenez tout ce qui a été mis en place entre 1944 et 1952, sans exception. Elle est là. Il s’agit aujourd'hui de sortir de 1945, et de défaire méthodiquement le programme du Conseil national de la Résistance ! A l’époque se forge un pacte politique entre les gaullistes et les communistes. Ce programme est un compromis qui a permis aux premiers que la France ne devienne pas une démocratie populaire, et aux seconds d’obtenir des avancées - toujours qualifiées d’«historiques» - et de cristalliser dans des codes ou des statuts des positions politiques acquises.

    Ce compromis, forgé à une période très chaude et particulière de notre histoire contemporaine (où les chars russes étaient à deux étapes du Tour de France, comme aurait dit le Général), se traduit par la création des caisses de Sécurité sociale, le statut de la fonction publique, l’importance du secteur public productif et la consécration des grandes entreprises françaises qui viennent d’être nationalisées, le conventionnement du marché du travail, la représentativité syndicale, les régimes complémentaires de retraite, etc.Cette «architecture» singulière a tenu tant bien que mal pendant plus d’un demi-siècle. 
    Elle a même été renforcée en 1981, à contresens de l’histoire, par le programme commun.
    Pourtant, elle est à l’évidence complètement dépassée, inefficace, datée. Elle ne permet plus à notre pays de s’adapter aux nouvelles exigences économiques, sociales, internationales. Elle se traduit par un décrochage de notre nation par rapport à pratiquement tous ses partenaires.Le problème de notre pays est qu’il sanctifie ses institutions, qu’il leur donne une vocation éternelle, qu’il les «tabouise» en quelque sorte. Si bien que lorsqu’elles existent, quiconque essaie de les réformer apparaît comme animé d’une intention diabolique. Et nombreux sont ceux qui s’érigent en gardien des temples sacrés, qui en tirent leur légitimité et leur position économique, sociale et politique. Et ceux qui s’attaquent à ces institutions d’après guerre apparaissent sacrilèges. Il aura fallu attendre la chute du mur de Berlin, la quasi-disparition du parti communiste, la relégation de la CGT dans quelques places fortes, l’essoufflement asthmatique du Parti socialiste comme conditions nécessaires pour que l’on puisse envisager l’aggiornamento qui s’annonce. Mais cela ne suffisait pas. Il fallait aussi que le débat interne au sein du monde gaulliste soit tranché, et que ceux qui croyaient pouvoir continuer à rafistoler sans cesse un modèle usé, devenu inadapté, laissent place à une nouvelle génération d’entrepreneurs politiques et sociaux. 

    Désavouer les pères fondateurs n’est pas un problème qu’en psychanalyse.

    par Denis Kessler

  • DE RETOUR DE TOULOUSE

    En conclusion des universités de rentrée du NPS Henri Emmanuelli a appelé, dimanche,le PS et les autres partis de la gauche à "réfléchir à une nouvelle dynamique" pouvant déboucher sur "un Epinay 2", en référence au congrès d'Epinay en 1971 à l'origine de l'idée de l'union de la gauche.

    Pour lui,  "ou on continue sur la lancée de ce qu'on a connu pendant 20 ans avec la gauche plurielle", des rassemblements stratégiques entre forces progressistes, "ou on commence à réfléchir (...) à la mise en place d'une nouvelle dynamique".

    "Notre responsabilité est de convaincre, dans notre parti, qui a une responsabilité relativement importante dans le camp progressiste", qu'on "ne peut pas rester dans la situation où nous sommes", a-t-il insisté.

    "On peut dire qu'Epinay c'est fini, je suis d'accord, mais ce qu'il faut c'est imaginer Epinay 2", a-t-il suggéré  devant près de 600 participants aux ateliers dont le thème était pendant trois jours "Quel PS pour le 21e siècle ?". Des débats auxquels ont pris part des représentants du Parti communiste, du PRG et des Verts.

    Pour Henry, cette dynamique pourrait avoir comme perspective "une maison commune, où l'on construit autour de la proportionnelle et où chaque sensibilité qui constitue la gauche est représentée". "Est-ce que cette nouvelle dynamique doit déboucher sur une fédération, sur une formation unique, je n'en sais rien", a-t-il convenu.

    Devant l'adjoint au maire (Verts) de Paris Denis Baupin et le porte-parole du PCF, Olivier Dartigolles,Henry Emmanuelli a souligné que "Les Français attendent des propositions lisibles et intelligibles" sur les sujets qui les préoccupent et a cité pour exemples "l'accès de tous à la santé, à la culture" ainsi qu'à un "système de retraites par répartition ou à la dignité de tous", concernant par exemple le logement social.

    "S'il n'y a pas à gauche une nouvelle dynamique il ne se passera pas grand'chose et nous sombrerons dans des ornières que nous avons déjà connues", a-t-il conclu

    Auparavant Henri Emmanuelli avait fait una analyse objective du système Sarkozy"Ce qu'a compris Sarkozy c'est que les médias ont faim tous les matins.Il y a un thème par jour,un voyage par jour,une gesticulation par jour pour fabriquer une bulle de réalité virtuelle qui ferait que la France désormais ne soit plus partagée entre progressistes et conservateurs,mais participe à l'aventure d'un homme"

     

  • L'EGLISE DE BANOGNE

     

    L'Eglise

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        Au XIII ème siècle Banogne formait une petite agglomération composée de quelques fermes avec chapelle,puit communal et problament un chateau communal le Seigneur était en 1342 Raul de Banogne dont nous reparlerons plus tard et un écuyer nommé Joffroy de Chevrière.La seigneurerie était tenue en fief par le Baron du Thour.

    Parmi les notables de cette époque signalons en 1390 une famille Cholet qui fut au XVII ème siècle une des bienfaitrices de l'église.

    La chapelle primitive,sous le vocable de Saint Simon,était une annexe à la paroisse du Thour dont le cimetière servait  également aux habitants de Banogne et de Recouvrance;ce n'est qu'en 1660 qu'on cessa d'y conduire les morts,alors qu'un cimetière avait été créé autour de la chapelle agrandie en 1663 avec la permission de l'archeveque de Reims Guillaume de Gifford.

    La chapelle qui fut l'église primitive fut brulée durant les guerres de la Fronde ainsi que le moulin à vent et le village dont il ne restait plus en 1657 que 14 maisons et 10 à Recouvrance.

    De 1662 à 1693 elle fut desservie par les religieux Prémontrés de l'abbaye de la Piscine.Ils tenaient les registres de l'Etat-Civil,dans lesquels ont été glanés quelques notes intéressantes avant leurs destruction en 1918.

    Le 3 mars 1682 le Frére Dusaussoy,assiste avec le doyen de Chateau-Porcien,Jean Tiérard maitre d'école,Jean Desjardin et toute la communauté de Banogne à la bédiction solennelle d'une chapelle ajoutée à l'église et dédiée à la vierge Marie en l'honneur de laquelle fut chanté e une messe.

    La paroisse était desormais constituée avec Recouvrance et Ruisselois qui s'étaient alors annexés à celle d'Hannogne

    Le premier curé résident fut Messire J.Harmand auquel succéda G.Meunier,mort en 1728,il fut inhumé dans le coeur de l'église.

    La paroisse comptait alors 230 habitants;sa population augmentait par la suite 562 habitants en 1875 et retomba aprés  les deux guerres à l'effectif initial.

    A suivre

  • ECOLE DE BANOGNE 1956

    Ecole en1956

      

    J'ai les noms!