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Antibes Juan les Pins Autrement - Page 2

  • UN PREMIER PAS

     CA FAIT DU BIEN

    La lutte n'a pas été vaine , mais le combat continu

     

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     Voiçi le message que je viens de recevoir du collectif RESF.

     

    Les élus qui nous soutiennent ainsi que JP Cochart secrétaire section PS Antibes n'ont pas ménagé leurs efforts pour interpeller les autorités toute la journée (ministère intérieur, sous-préfète etc..) par téléphone, mails etc... suite à l'alerte d'expulsion qui avait été lancée (voir en pièces jointes les courriers adressés)
    Plusieurs représentants du DAL 06 auquel s'est joint Viorel COSTACHE représentant Rrom sur la région ont été reçus en fin d'après-midi à la préfecture grâce entre autres actions à une mobilisation la veille devant la mairie du vieux Nice
    D'après Viorel que j'ai eu au téléphone, c'est un succès: une solution est recherchée par la préfecture qui donnera sa réponse sous 48 h pour la centaine de Rroms atteints par la montée des eaux du Var. Pour ce qui concerne le squat de Juan les Pins, pas d'expulsion pour Vendredi une solution sera recherchée pour le relogement avant toute mesure contraignante.
    Merci au DAL06 de préciser ou rectifier le cas échéant ces dernières infos.

    A bientôt

    Jean S...
    RESF Antibes

  • DE RETOUR DE TOULOUSE

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    A Toulouse j'ai revu Claudine Ledoux Maire de Charleville-Mézière et , lui ai apporté la photo qu'elle m'avait demandé de lui remetrre où elle figure , le jour de le cérémonie de décoration à l'Ordre National du Mérite de mon Père en 1998.

    Grand moment d'émotion partagé en souvenir de ce Grand Homme.

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    J'ai rencontré aussi le Ministre de l'Intérieur et je l'ai informé directement de la situation des Roms de Juan-les-Pins .

    Il m'a écouté , ce qui s'est dit sera transmis aux intéressés , avec qui j'ai pris rendez-vous . 

     

  • FEUX DE LA SAINT JEAN

    On dit souvent aujourd’hui que les traditionnels feux de la Saint-Jean marquaient autrefois le début de l’été. Mais d'où vient réellement cette tradition?

    Le 21 ou le 24 juin ?

    On dit souvent aujourd’hui que les traditionnels feux de la Saint-Jean marquaient autrefois le début de l’été. En fait, ils avaient lieu dans la nuit du 23 au 24 juin ou du 24 au 25 juin selon les lieux, le 24 juin étant le jour de la Saint-Jean, donc en léger décalage avec le solstice d’été.
    S’ils ont toujours été peu fréquents dans le Maine, la Bourgogne, la Franche-Comté, la Champagne et les Ardennes, ces feux de joie étaient réalisés chaque été dans la plupart des communes du reste de la France. Ils se sont maintenus jusqu’à la Première Guerre mondiale, parfois jusqu’à la Seconde, qui leur a donné un coup d’arrêt définitif.

    Un grand feu à voir de loin !

    Dans certaines régions, chaque ferme faisait son petit feu. Mais la règle générale était la réalisation d’un grand feu de joie commun qui devait se voir le plus loin possible. Dans les plus humbles villages, la veille ou le jour de la Saint-Jean, tous les gens de la commune apportaient le soir venu, à l’endroit désigné, des fagots de brindilles, des branches mortes, des combustibles divers que l’on empilait en tas, dans la gaieté générale.
    Parfois, on entassait tous ces matériaux autour d’un grand arbre coupé et fiché là depuis quelques semaines. Le sommet en était alors souvent décoré de fleurs en bouquet, en couronne ou en croix.

    Qui allumait le feu ?

    L’Eglise a toujours eu une regard mitigé sur ces feux qui datent de la nuit des temps. Tantôt elle s’en sert pour organiser des processions et christianiser cette fête populaire à travers le culte de Jean le Baptiste, tantôt elle tente d’interdire les feux de la Saint-Jean comme “entachés de superstitions”. Dans certains lieux, c’était donc le curé qui allumait le bûcher. Dans d’autres en revanche, c’était celui qui l’avait construit, ou bien le maire, le syndic, la personne la plus âgée du village, une jeune fille (les familles se battaient parfois pour que leur fille ait cet honneur), ou bien encore les derniers mariés de la commune…

    Que faisait-on autour du feu ?

    Des danses bien sûr, car cette fête était d’abord l’occasion pour la jeunesse du pays, garçons et filles, de se retrouver et de se plaire… Mais tourner autour du bûcher avait un sens quasi magique, variable selon les régions. Dans l’Oise, les mamans tournaient trois fois autour avec leur nouveau-né dans les bras pour lui porter chance. En Bresse, quatorze fois “pour être assuré de ne jamais avoir mal aux reins”. Dans la Creuse, on en faisait le tour neuf fois si on voulait trouver femme ou mari. “Aussitôt que les flammes pétillaient, tous les assistants, jeunes et vieux, se prenaient par la main et se mettaient à danser des rondes autour de la jônée. Les jeunes filles surtout se livraient à cet exercice avec beaucoup d’entrain, car elles savaient qu’en dansant ainsi neuf fois autour des feux de la Saint-Jean, elles se marieraient infailliblement dans l’année.

    Les rites magiques autour des feux de Saint-Jean

    Des superstitions et croyances magiques étaient liées à ces feux de joie. Dans la Creuse et le Poitou par exemple, on jetait des pierres dans le brasier pour les récupérer ensuite et de les placer dans les champs de raves : plus grosses étaient les pierres, plus grosses seraient les raves ! En Touraine, en Limousin ou dans le Haut-Poitou, on y jetait des pierres marquées d’une croix pour que “la bonne Vierge vienne s’asseoir sur la plus jolie des ces pierres, de sorte que le lendemain on y voit de ses beaux cheveux d’or”. A Metz, on faisait brûler des bouquets d’armoise pour éviter les maux de reins des moissons. Pour obtenir le même résultat, on pouvait dans certaines régions se faire balancer au-dessus du feu. Dans les Charentes, balancer son petit enfant au-dessus du feu neuf fois, c’était lui assurer une croissance rapide. En Gironde, celui qui voulait avoir de l’argent toute l’année devait tourner autour du feu de la Saint-Jean en y jetant une pièce, qu’il lui fallait retrouver dans les cendres une fois le feu éteint et conserver précieusement. En Bretagne, pays où les morts sont toujours plus présents qu’ailleurs, des sièges étaient posés autour du feu pour que les ombres des défunts viennent s’y placer, écouter les chants et contempler les danses.

    Le saut par-dessus le brasier

    Sauter par-dessus le feu de la Saint-Jean était aussi un rite très fréquent. On disait tantôt que le saut permettrait de se marier dans l’année, tantôt qu’il préservait des furoncles ou des sortilèges, tantôt encore qu’il portait bonheur ou qu’il “donnait force aux os et préservait des rhumatismes”… Les vieillards qui ne pouvaient plus sauter par-dessus le feu se contentaient d’enjamber une braise !
    On faisait aussi sauter ou plutôt passer les troupeaux à travers le brasier presque éteint ou bien on menait les bêtes à travers la fumée ou les cendres du feu de la Saint-Jean pour les protéger des épidémies le reste de l’année.

    Et après ?

    Une fois le feu éteint, chacun rentrait chez soi avec un tison. La tradition populaire affirme qu’on pouvait le saisir sans risque car “le feu de Saint-Jean ne brûle pas”. Enfermé dans une armoire ou placé près du lit des parents, conservé jusqu’à la Saint-Jean prochaine, il devait préserver la maison de l’incendie, de la foudre et de certaines maladies. On pouvait aussi en placer un morceau dans son champ pour protéger ses récoltes de la grêle, parfois aussi (disait-on) des chenilles et des limaçons. On utilisait jusqu’aux cendres de ce feu de joie, cendres auxquelles on attribuait des vertus bienfaisantes.
    Quant à l’origine de ces feux de Saint-Jean elle-même, elle reste aussi inconnue que les propriétés magiques de ses cendres puisque, selon le grand folkloriste français Arnold Van Gennep, il ne peut s’agir ni d’une résurgence celtique, ni d’un culte romain ou germanique christianisé… Le mystère demeure.


    Texte : Marie-Odile Mergnac

  • DEANTIBULATIONS 2012

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    CE WEEK END A ANTIBES

    La rue comme lieu d’investigation, une place publique pour se rencontrer, échanger, se divertir, des compagnies de spectacles de rue pour servir quelques représentations propices aux voyages intérieurs.

    L’ACLA propose des déambulations culturelles pour spectateurs experts, public occasionnel ou passants peu pressés, un festival qui se veut le reflet d’un art vivant, un art diversifié et créateur.

    Nous nous sommes fixé comme objectif d’offrir aux arts de la rue un espace, des lieux, une ville d’accueil dans laquelle s’entremêlent théâtre, danse, nouveau cirque, marionnettes, musique …

    Fidèles à notre engagement orienté vers une culture à la portée de tous, nous faisons à nouveau le choix de la gratuité pour l’ensemble des représentations.

    Au détour des ruelles et des voies piétonnes des instants d’émotion, de plaisirs ponctuels ou durables guettent le spectateur.

    « Déantibulations » c’est l’espoir d’une longue et belle balade à travers la vieille ville d’Antibes envoûtée par une ambiance chaleureuse et dynamique, avec le souhait d’inclure le spectateur à l’œuvre qui est en train de se jouer, de s’élaborer, de se découvrir…

    Une manifestation pour tisser un lien étroit entre les comédiens et le public.

    Trois jours durant, le spectacle vivant se répand dans ces brèches antiboises, ces lieux de rencontres que sont les rues et les places transformées pour l’occasion en espaces de jeux et de spectacles à ciel ouvert.

     

    Olivier RIOUFFE,

    Président de l’Association Culture Loisirs Antibes

    Le programme

  • VU DANS NICE MATIN

    Les 10 et 17 juin, le secrétaire national à l’action militante du parti de Chevènement sera candidat aux législatives. Rencontre avec un garçon ambitieux

    Dans la 7e circonscription, il y avait Jean Leonetti (UMP), Cécile Dumas (Front de gauche) et Mathilde Viot (FN). Il y a désormais aussi Eric Martin (MRC-PS). Il a failli y avoir Jean-Pierre Cochart. Le socialiste antibois était investi par les militants qui en avaient assez de garder la 7e gelée en vertu d'un hypothétique accord avec le Front de gauche. Finalement d'accord il n'y a pas eu. Enfin si mais avec le MRC. Suite au ralliement de Jean-Pierre Chevènement à François Hollande, cette circonscription a finalement été laissée au MRC et donc à Eric Martin. Cet attaché d'administration de 38 ans basé à Paris et né à Béthune (Nord) est par ailleurs secrétaire national à l'action militante. Aujourd'hui, il sera aux côtés de François Hollande à Nice.

  • VU DANS NICE MATIN

    7e circonscription: PS et Front de gauche sont à cran

     
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    Jean-Pierre Cochart et Cécile Dumas : il n’est pas encore acquis que la 7e soit réservée au Front de gauche. (Photo C.D. et V.R.)
     

    Les législatives ont lieu les 10 et 17 juin 2012. Entretemps on votera pour la Présidentielle. Mais avant, la gauche devra trouver un accord sur un ou des candidats à la députation

    Y aura-t-il un ou plusieurs candidats à gauche le dimanche 10 juin, premier tour des élections législatives sur la 7e circonscription ? Aujourd'hui, seule Cécile Dumas pour le Front de gauche est officiellement en lice. Et la direction nationale du PS a laissé la 7e libre… pour son partenaire. Les négociations sont en cours à Paris. Mais rien n'est fait. Car le PS local, lui, ne l'entend pas de cette oreille. « Contrairement à ce qu'évoque Cécile Dumas, la réunion des adhérents PS de la 7e circonscription a décidé à l'unanimité qu'une candidature socialiste devait être présentée à cette prochaine législative » précise Jean-Pierre Cochart, le secrétaire antibois. Élue PS du conseil municipal antibois et siégeant à quelques mètres de Cécile Dumas, Michèle Muratore est en pétard : « c'est pas honnête de dire qu'ici on n'est pas engagé par les accords nationaux et qu'on se présentera partout. On demande à ce que la situation soit éclaircie. Si cette position est maintenue alors on aura un ou une candidat(e) sur la 7e ».

    Le PS 06 rappelle que la décision sera nationale

    On sait que depuis plusieurs années, PCF et PS locaux ne font pas vraiment bon ménage. Et visiblement, les choses ne s'arrangent pas. Face à la position du PCF 06 de présenter un candidat partout, le porte-parole du PS des AM, Xavier Garcia répond : « La fédération du PS 06 prend acte de la position de son homologue du PCF 06 concernant les élections législatives des 10 et 17 juin 2012. Nous rappelons que, concernant les élections législatives, il ne relève pas de notre compétence de discuter avec les partenaires locaux, l'intégralité du processus étant gérée par notre direction nationale ». Et le parti de refuser de laisser au second tour un choix uniquement UMP-FN. In fine, le PS des AM laisserait bien les choses en l'état… sauf si le PCF se maintient partout.

    Dumas : « Je serai candidate jusqu'au bout»

    Cécile Dumas, elle, est en campagne : inauguration de permanence, tractage, rencontre avec les habitants… « Je n'ai aucun contact avec le PS mais je suis flattée qu'enfin on reconnaisse que la gauche c'est nous dans la 7e ». Petite banderille adressée au PS qu'elle accuse de ne pas jouer son rôle d'opposition à la Casa en votant tout ou presque comme la majorité UMP.

    « On ne rentrera pas dans des discussions de couloirs, s'il doit y avoir une discussion ce sera après le premier tour de la Présidentielle. Il faut qu'on débatte publiquement du contenu pour sortir de cette crise, on n'échangera pas un réacteur contre une circonscription. On ne veut pas non plus aller dans les querelles du PS. Je serai candidate jusqu'au bout ! On prendra nos responsabilités en temps voulu face au FN. Nous ne sommes fâchés avec personne mais quand Hollande fait un clin d'œil à Bayrou, ça ne nous va pas. Le peuple a besoin d'autre chose que de la rigueur molle. Ils parlent rigueur quand on parle partage des richesses ».

    Daunis : « J'ai moi-même montré l'exemlpe »

    Marc Daunis, seul parlementaire de gauche du département et maire de Valbonne située dans la 7e p ourrait-il être un médiateur ? Peut-être. « Modestement, si je peux contribuer à cela, je le ferai. Le PS a pris ses responsabilités en gelant la 7e, j'ai moi-même montré l'exemple, je n'ai pas exigé de candidat PS dans cette circonscription. Surtout dans notre département, il faut éviter de laisser aux électeurs de gauche le choix entre l'UMP et le FN au second tour. Le PS en tant que premier parti de gauche a ce devoir de rassemblement et il en a pris la responsabilité avec ce gel ». Le sénateur reconnaît que la position de Cécile Dumas ne va pas vraiment en ce sens et lui aussi explique : « sans accord, il y aura un candidat ou une candidate PS ». Quand à l'autre Valbonnais Philippe Mussi pour Europe-Ecologie les Verts, ancien candidat en 2007, il reste en retrait : « notre esprit est de respecter l'accord dans le département avec la 2e et la 8e, même si on n'est pas satisfait, car il nous écarte de Nice notamment». Les écologistes seraient donc eux aussi partants pour laisser la 7e au Front de gauche mais attention seulement si le parti de Mélenchon partage aussi les circonscriptions et ne se présente pas partout. Dans le cas contraire « on verra». Bref rien n'est réglé.

    Et tout ceci est encore bien flou. Si la scission se confirme à gauche avec deux candidats, en face Jean Leonetti, très probable candidat, (UMP, déjà vainqueur au 1er tour en 2007 avec 63,99 %) peut être encore plus serein !

     
     
  • GERARD PIEL EST UN DROLE DE COCO

    UN DROLE DE COCO ET UN MENTEUR PAR OMISSION

    Dans sa boite à mensonges notre communiste local affirme "Malgré 4000 signatures recueillies par les militants du PCF, d'Agauche vraiment , du NPA , des Alternatifs Jean Léonetti a relancé la DSP de l'eau à Antibes "

    Il oublit tout simplement de citer la section du Parti Socialiste qui a pris une part importante dans cette action menée il y a plus d'un an , il oublit aussi de dire qu'il a sabordé le Collectif de l'eau d'Antibes en essayant de s'approprier les retombées de l'action commune .

    VOIR L'ARTICLE CI-DESSOUS

     

    03.11.2010

     

    VU DANS NICE MATIN

     

     

     

    Eau nice matin 20100129 001.JPG.

    Le PS défend une gestion publique de l'eau

    Des militants socialistes sont allés à la rencontre des Antibois afin de faire signer une pétition demandant de mettre fin à 130 années de gestion privée de l'eau et l'assainissement dans leur commune.

    Cette pétition est menée par un large panel à gauche:AGV,les alternatifs ,Europe écologie ,PCF, Gauche unitaire ,MRC , NPA,PCF,parti de gauche et PS.

    Cette demande n'est pas nouvelle pour les socialistes.

    Le 11 septembre dernier Danielle Mitterrand est notamment venue à Antibes apporter son soutien à cette démarche elle a rappelé:"l'eau n'est pas une marchandise mais un bien public nécessaire à la vie."

    Plus de cent signatures ont été recueillies.D'autres actions de ce genre se dérouleront courant novembre , elles seront engagées par tous les initiateurs de cette pétition.Les signatures seront remises au député maire au prochain conseil municipal le 26 novembre.Ce dernier aura à l'ordre du jour ce fameux débat entre public et privé.

     

     

     

     

     

  • IL JOUE DU PIANO DEBOUT

     

    keith jarrett

    Pendant le festival de Jazz à Juan je me rends tous les soirs écouter le jazz off ou les " balances " d'avant concert .Samedi je suis allé à la Pinède écouter la répetition du trio Keith Jarrett . 

     Keith Jarrett est apparu samedi en fin d'aprés-midi sur la scène de la pinède Gould de Juan Les Pins vetu d'une vieille chemise bleue et d'un jean . Il était rayonnant souriant. C'est  bon signe.

     Il a rejoint le contrebassiste Gary Peacock et le batteur Jack De Johnette qui avaient échangés leurs instruments juste avant la venue du Maître . Jarrett a tout vécu à Antibes ,la pluie , les incencies , les feux d'artifice et souvent le vent.C'était encore le cas samedi.

    Il en faut plus pour perturber le trio qui pendant prés d'une heure permet au public d'écouter gratuitement, quelques standards joués au fil de l'inspiration du moment. Un spectacle de trés haute qualité .  Jarrett offre une  pause pour les photographes . Jusqu'à ce que son agent estime que les professionnnels ont assez de cliché."Maintenant laissez le tranquille ,laissez le travailler" (merci à mon voisin traducteur)

     

  • DEANTIBULATIONS

     

    Publié par Nice-Matin le samedi 28 mai 2011 à 07H05
     

     

     
    Deux jours de Déantibulations_1
     
     Premier spectacle de ces Déantibulations avec la Compagnie Appel du pied. CYRIL DODERGNY
     
    Un petit changement de programme est intervenu au dernier moment dans ces 8es Déantibulations organisées par l'association Culture Loisirs Antibes. La troupe « Piano C », qui a ouvert la manifestation a été remplacée par le Compagnie Appel du pied qui vient de l'Hérault. Un spectacle acrobatique qui a ravi, hier après midi, les enfants des écoles Guynemer, Paul-Arêne, Juan-Gare, Paul Doumer et Le Ponteil invités à ce premier spectacle. La formation très drôle, se produit à nouveau cet après-midi à 16 h 15 place des Martyrs.

    Voici le programme de ces deux prochains jours.

    Aujourd'hui samedi

    15h15 : Collectif Microfocus (école Paul Arène)

    16heures : Li falabracs (dans les rues de la ville),

    16h15 : Appel du pied (place des Martyrs)

    17 heures : P'tit bras (place de Gaulle)

    18h15 : Mains d'oeuvre (place Mariéjol)

    18h15 : Kitschnette (place Nationale)

    19 heures : Battucada (boulevard d'Aguillon)

    20h15 : Le duo e un quarto (école Paul Arène)

    20h30 : Prise de pied (école Paul Arène)

    20h50 : Immo (école Paul Arène)

    21 heures : Li falabracs (boulevard d'Aguillon)

    21h40 : Le duo e un quarto (école Paul Arène)

    22h05 : Le mystérieux art du Stulugatnuch (espace Saint-Jaume)

    22h45 : Bestiaire à pampilles (école Paul Arène)

    Demain

    11 heures et 14 heures et 16h30 : Thé ou café (théâtre Antibea)

    11h30 : Mabrun (marché provençal) et 14h30 : école Paul Arène

    15 heures : Kitschnette (école Paul Arène)

    16 heures : Opéra autrement (place Mariéjol) et P'tits bras (place de Gaulle)

    17 heures : Appel du pied (place des Martyrs) et Cri du Choeur (école Paul Arène)

    18 heures : Prise de pied (place Audiberti)

    18h15 : Escarlata Circus (école Paul Arène)

    18h30 : Le mystérieux art du Stulugatnuch (espace Saint Jaume)

    19h15 : Escarlata circus (école Paul Arène).

  • VU DANS NICE MATIN

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    Marc Daunis, le sénateur et maire socialiste de Valbonne-Sophia Antipolis, souhaite que la Casa mène à titre expérimental une politique volontariste en matière de loyers.

    C'est parti de quelques phrases lâchées en ouverture de la journée de l'habitat de la Communauté d'agglomération Sophia Antipolis (Casa). Marc Daunis, maire socialiste de Valbonne et vice-président d'une agglo largement dirigée par des maires UMP, rappelait les efforts réalisés en matière de logement social et d'accession à la propriété au sein de la Casa.

    Mais il ajoutait aussi : « Si nous n'avons pas une politique volontariste sur les loyers, nous n'y arriverons pas. À Valbonne, nous travaillons actuellement à l'encadrement des prix du locatif privé. Je précise que nous n'avons pas encore pris cette décision au sein de la Casa. »

    Interrogé ultérieurement sur les modalités de cet encadrement, Marc Daunis, répond que cela ne peut passer que par la loi. « Aujourd'hui, l'encadrement des loyers existe au moment du renouvellement d'un bail mais pas lors d'un premier bail ni lors d'un changement de locataire. Pour agir efficacement, il faut marcher sur deux jambes : la construction de logements sociaux et l'encadrement des loyers dans le privé [c'est l'une des 30 propositions du Parti Socialiste pour l'élection présidentielle N.D.L.R.]. »

    À ce titre, Marc Daunis espère « décrocher » au plan local une expérimentation à valeur nationale.

    Note d'Azurcom:Enfin un politique qui s'attaque aux causes plutot qu'aux conséquences problématiques du logement sans misérabilisme ni démagogie.

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