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Elysee 2012 - Page 6

  • LE PIRE PRESIDENT

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    Il y a un candidat qui est de plus en plus présent , c’est l’abstention , et j’ai bien peur qu’en 2012 il sera bien avant tous les autres!
     En France on attend les élections comme les enfants attendent le père Noël .
    Sarkozy avait pourtant apporté sa belle panoplie de Zorro ou de Robin des bois des riches ,il avait décidé de tout faire tout seul avec ses petits bras musclés , il a multiplié les pains contre les pauvres , a enrichi sa panoplie répressive en même temps que ses amis ..
    Il a apporté dans sa hotte un mégaphone pour le FN , vidé les caisses de l’état en même temps que les services publics …et il y a encore plus de 20% de Français qui croient encore en lui , et presque ( ou plus) de 45% qui lui écriront une belle lettre lui demandant de nouveaux cadeaux !
    Il n'y a pas eu pire président de la République .Etre président d’un pays n’est pas être représentant syndical ou leader d’un quelconque mouvement ou pire d’un clan , ce qu’on reproche d’ailleurs à Sarkozy !
    Certes j’aimerais qu’on aie des lendemains qui chantent , que la misère n’existe plus , mais en attendant que les citoyens se décident enfin à chasser tous ces bourgeois parvenus , j’attends actuellement d’un président qu’il protège les pauvres et les plus fragiles et tant pis s’il égratigne au passage tous ceux qui défendent leurs privilèges faramineux même s’il ne met pas leur tête au bout d’une pique !
    L’Angleterre pourtant prise en exemple depuis toujours par notre actuel pinocchio connait actuellement des grèves qu’elle n’avait jamais vues depuis Madame Thatcher !
    C’est dire si elle avait mis les ouvriers anglais à genoux pour un sacré bout de temps !
    Et chez nous , c’est ce qui nous attend , on accepte avec résignation tout ce qui nous tombe sur le coin de nez en ce disant qu’en 2012 tout va changer ….ou que tout sera pire !
    Alors on se précipite sur le dernier qui parle , celui ou celle qui l’ouvre plus que les autres , dont la loupe médiatique en a fait le héros du moment .
    On zappe, on zappe , on attend tels des frustrés que le messie veuille bien arriver , celui qui nous débarrassera de tous ces maux qui nous encombrent sans qu’on ait à faire le moindre effort que celui d’aller voter , .
    Il y a des différences fondamentales entre les idées de droite et les idées de gauche et je préfère 100 fois une gauche même “molle” à une droite très dure . Je n’ai jamais hésité une seule minute et je n’hésiterai pas non plus en 2012 ..en attendant le grand réveil citoyen ..mais çà …il me semble que le ressort reste à changer !

  • LE PIRE CHOIX POSSIBLE

    Alors c’est du creux Montebourg ! Il veut juste que la gauche gagne ? il s’en fout de quelle gauche . Peu importe les alliances, les compromissions (les compromis sont autre chose). La gauche du parti socialiste, Emmanuelli, Filoche, Benoit Hamon ont choisi Aubry. Lui, Montebourg qui se donnait pour le plus à gauche possible se rallie au plus sondagement bien placé du système .

    C’est creux Montebourg. C’est ce que je ressens de lui depuis 2005. C’est durant un meeting pour le non en 2005 que j’ai vu que le bonhomme ne voulait que se faire de la propagande personnellement, c’est pas du vrai. Il est devenu un politicard, comme les autres.

    Rappelez-vous de Hollande à la tête du Parti Socialiste : le temps des éléphants. Si vous voulez un Chirac de gauche, soit un immobilisme assuré, vous choisissez Hollande. Mais est-ce bien le temps à l’immobilisme ?

    Pourquoi je préfère Aubry  parce qu’elle a été aux affaires, qu’elle a su mettre en œuvre la CMU, les 35 heures par exemple et réorganiser la Parti Socialiste.

     Montebourg et Royal, font des choix en fonction des sondages. Je ne veux pas d’une sociale-libérale au pouvoir. La sociale-démocratie c'est Sarkozy avec la médecine gratuite . C’est l’assurance de faire grimper le FN.

    Le camp de ceux qui veulent que la gauche se retrouve, ne peut, en l’état, que choisir Martine Aubry. C’est elle qui donne des garanties de rassemblement de toute la gauche. C’est elle que soutient la gauche socialiste et qui discute avec les Verts et le Front de gauche.

     

  • REPONSE DE BENOIT HAMON A MONTEBOURG

    Les personnalités du courant socialiste « Un monde d’avance », l’aile gauche du parti emmenée par Benoît Hamon et Henri Emmanuelli, lancent un appel aux électeurs de toute la gauche, en faveur de la candidature à la primaire de la première secrétaire sortante du PS.

    Avec les primaires citoyennes, les socialistes et les radicaux ont mis entre les mains du peuple de gauche –c’est-à-dire de tous les Français qui se reconnaissent dans les valeurs de la gauche et de la République– la désignation de leur candidat en 2012. Les 9 et 16 octobre prochain se joue non seulement le choix d’une personnalité, mais aussi et surtout une stratégie et un projet politiques.

    La future majorité présidentielle n’aura ni le même périmètre ni le même contenu selon que telle ou tel sera élu(e) le 16 octobre.

    Notre appel s’adresse donc aussi aux électeurs de gauche qui ne votent habituellement pas socialiste au premier tour des élections. Vous êtes sympathisant écologiste, communiste, front de gauche, républicain… Vous êtes syndicaliste et impliqué dans les luttes et les mouvements sociaux dans votre entreprise, à l’hôpital, à la Poste, à l’Education nationale, à Pôle emploi ou dans toute autre administration ou service public. Vous êtes militant associatif, altermondialiste, humanitaire, engagé dans le combat pour les droits de l’homme et la lutte contre le recul des libertés fondamentales. Vous n’êtes pas forcément socialiste mais de gauche. Vous pouvez décider du choix du candidat qui pourrait figurer au second tour de l’élection présidentielle face à Nicolas Sarkozy.

    Les primaires vous offrent le choix de plusieurs candidats, plusieurs tempéraments, plusieurs identités politiques.

    Nous connaissons ce qui fait débat entre les partis de gauche. Nous identifions des convergences : la démocratisation des institutions, le soutien aux services publics, la nécessité d’augmenter le pouvoir d’achat, la réforme fiscale et l’augmentation des prélèvements sur le capital. Nous connaissons aussi les sujets qui font toujours débat, les priorités sociales, le nucléaire et la transition écologique, la politique salariale, certains aspects de la construction européenne.

    Voilà des années que nous sommes engagés, souvent au côté des autres forces de gauche et écologistes, mais aussi en soutien et en solidarité avec les mouvements sociaux, pour faire obstacle aux politiques de la droite, au démantèlement de notre modèle républicain, à la remise en cause des droits sociaux et des avancées issues du Conseil national de la Résistance.

    Au sein de notre parti, nous avons défendu ces exigences, proposé une voie alternative au néolibéralisme, soutenu des idées qui hier semblaient minoritaires et apparaissent aujourd’hui indispensables face à la crise : ainsi du retour assumé de l’intervention publique, de la taxation des mouvements financiers, de la hausse des salaires qui ne sont pas l’ennemi de l’emploi, de la nécessaire transition énergétique…

    Ces sujets qui font débat à gauche, font aussi débat entre les candidats à la primaire. Les priorités ne sont pas les mêmes, sur la rigueur budgétaire, les restrictions au libre échange, la lutte contre les délocalisations et les licenciements boursiers ou le non cumul des mandats.

    Nous avons participé activement à l’élaboration du projet socialiste et avons pu observer la capacité et la volonté de Martine Aubry de prendre en compte notre point de vue dans une synthèse nouvelle entre la responsabilité de gouverner et l’ambition de transformation sociale : création d’une banque publique d’investissement, sortie progressive et définitive du nucléaire civil, réduction des écarts de salaire, juste échange contre le dumping social et environnemental, réorientation radicale du projet européen, revalorisation des salaires.

    Au-delà de ses qualités de dirigeante qui fédère, ses aptitudes de femme d’Etat qui n’oublie pas qu’elle est socialiste avant d’être gestionnaire, c’est à l’aune de sa détermination à engager le pays vers un nouveau modèle de développement que nous avons décidé de lui apporter notre soutien.

    Avec nous, avec les socialistes et les radicaux, votez le 9 octobre pour Martine Aubry.

    Les premiers signataires, dirigeants nationaux du Parti Socialiste

    Benoît Hamon, Yvelines
    Henri Emmanuelli, Député des Landes
    Marie-Noëlle Lienneman, Sénatrice de Paris


    Pouria Amirshahi, Charente
    Guillaume Ballas, Paris
    Charlotte Brun, Val d’Oise
    Françoise Castex, Eurodéputée
    Jean-Jacques Chavigné, Somme
    Pascal Cherki, Maire du XIVème arrondissement de Paris
    Stéphane Delpeyrat, Landes
    Olivier Dussopt, porte-parole de Martine Aubry
    Gérard Filoche, Paris
    Jérôme Guedj, Président du CG de l’Essonne
    Razzy Hammadi, Montreuil
    Régis Juanico, Député de la Loire
    Bruno Julliard, Paris
    Georges Labazée, Président du CG des Pyrénées Atlantiques
    Renaud Lagrave, Landes
    Claire Le Flecher, Aisne
    Marianne Louis, Essonne
    Emmanuel Maurel, Val d’Oise

    Delphine Mayrargue, Paris

    Jean Michel, député du Puys de Dôme

    Germinal Peiro, Député de la Dordogne

    Nadia Pellefigue, Haute-Garonne
    Paul Quilès, ancien ministre
    Liem Hoang-Ngoc, Eurodéputé
    Roberto Romero, Bagneux
    Isabelle Thomas, Ille et Vilaine
    Eric Thouzeau, Loire Atlantique
    Michel Vergnier, Député de la Creuse

  • VICTOIRE DE LA DEMOCRATIE

     
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    Nous connaissons  maintenant les résultats du premier tour des primaires citoyennes, avec des confirmations et des surprises. François Hollande en tête, l'écart entre Martine Aubry et lui n'est pas aussi grand que les medias l'avait souhait. Confirmations aussi les scores de Manuel Valls et Jean-Michel Baylet : l'un démontre que l'existence d'une aile sociale-libérale au PS est difficile parce que peu conforme à son histoire, l'autre que le radicalisme de gauche a depuis longtemps une existence électoralement marginale.

    Les surprises, c'est évidemment d'abord la percée d'Arnaud Montebourg, mais surprise à demi : il a mené cette campagne avec talent et intelligence . 
    Vraie surprise en revanche, l'effondrement de Ségolène Royal, à un degré imprévisible : je ne m'en réjouis pas, j'ai même une forme de tristesse, d'amertume à l'égard de cette camarade dont je n'ai jamais partagé la sensibilité mais dont les lâchages qui ont plombé sa candidature m'ont heurté. Avoir été si populaire, n'avoir pas varié dans sa ligne politique et se retrouver ce soir marginalisée, c'est navrant.

    Et maintenant ? Ma crainte, ce sont les tractations qui n'auraient aucun sens politique. Les deux candidats restés en lice vont vouloir s'attirer les suffrages d'Arnaud Montebourg.  Mon espoir, c'est que la bonne tenue des primaires citoyennes se poursuive, que la mobilisation demeure dimanche prochain aussi forte.

    Pour le second tour, afin d'éviter le risque des tractations opportunistes, mon souhait serait qu'aucun candidat battu n'appelle à voter pour l'un des deux candidats qualifiés. En République, les citoyens sont suffisamment libres et intelligents sans qu'on ait besoin de leur tenir la main. Hollande ou Aubry, l'un des deux doit l'emporter sur son nom et ses idées, pas parce qu'il aurait été soutenu par une coalition d'intérêts contradictoires.

  • MA PRESIDENTE

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  • OU VOTER A ANTIBES

     

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    A Antibes :

     Ecole Prévert (bureaux : 308, 309, 215,223, 217, 218, 224, 220, 225, 304, 305, 306, 307, 312, 313).

    Salle des associations (bureaux : 101, 102, 105, 106, 107, 108, 103, 104, 109, 207).

    École Peynet (bureaux : 201, 202, 203, 111, 112, 216, 110, 204, 205, 206, 301, 302, 303).

    École Laval (bureaux : 211, 212, 213, 214, 222, 208, 209, 210, 310, 311, 221).

    École Fontonne (bureaux : 117, 219, 124, 118, 119, St Claude A et B, 120, 121, 122, 113, 114, 115, 123, 116).

     

  • ON SERA COMBIEN ?

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    Il faut se méfier des chiffres. Ils sont précis et trompeurs, ne s'oublient pas, vous glissent entre les doigts ou vous reviennent en pleine figure. Ainsi l'estimation de la participation aux primaires citoyennes de dimanche prochain : j'entends des camarades, fort imprudents, prononcer des chiffres, qui varient entre un million et quatre millions d'électeurs. Attention !

    D'abord, personne n'en sait rien. C'est une première, les contours du corps électoral sont inconnus, les sondages là-dessus ne veulent rien dire. Le chiffre de du succès s'arrête généralement au million, peut-être parce que celui-ci est tout rond, tout beau. Mais c'est totalement incertain. Quatre, c'est pour les enthousiastes, les optimistes.

    Et pourquoi s'en priveraient-ils ? Quand on aime, on ne compte pas, ou plutôt, en la circonstance, on compte trop. A moins que ça ne soit pas assez : pourquoi pas dix millions, quinze millions ? Après tout, Ségolène a réuni en 2007 dix-huit millions de suffrages ... Les chiffres s'emballent facilement, comme un compteur devenu fou. L'arithmétique est une science généreuse, puisque qu'elle brasse des quantités infinies !

    Je suis quant à moi sceptique, prudent et même méfiant. Ce sont trois qualités requises en politique. Le million, rien n'est moins sûr que nous l'atteignions dimanche. Les primaires sont une procédure excellente mais d'inspiration étrangère (ce n'est pas contradictoire !) : elles ne sont pas dans nos moeurs civiques (raison de plus pour qu'elles s'y installent !). Payer avant de voter, ne serait-ce qu'un euro, nous n'avons pas l'habitude, c'est surprenant.

    Surtout, signer une déclaration dans laquelle on affiche ses opinions politiques, ce n'est pas dans l'état d'esprit français, qui souvent se retranche derrière le secret personnel pour ne rien dire de ses votes, parfois jusqu'au sein des familles ou entre amis. Je le déplore : en démocratie, la franchise devrait prévaloir. Mais c'est ainsi. Les primaires citoyennes changeront tout ça, j'en suis certain et le souhaite. Mais il faudra du temps, et le premier essai, dans quatre jours, ne pourra nécessairement pas être parfait.

    Mais tout cela ne vous dit pas quelles sont mes prévisions pour dimanche soir. Alors ? Les chiffres n'attendent pas ... Le million, je le laisse de côté, beaucoup trop dangereux. La droite s'en servira si on ne l'atteint pas. Le parti socialiste affiche officiellement environ 280 000 adhérents. S'il y a autant de votants aux primaires, ce sera évidemment raté, puisque l'objectif est de dépasser très largement le périmètre de notre parti.

    Si nous parvenons à mobiliser deux ou trois fois plus que nous sommes, je serai personnellement et raisonnablement satisfait : entre 560 000 et 840 000 participants. Même le demi-million me conviendrait, les choses étant ce qu'elles sont. En attendant de faire mieux à la prochaine présidentielle.

    Quant au vainqueur, j'ai depuis longtemps ma petite idée, j'espère que ce sera une gagnante

  • PRIMAIRES :MODE D'EMPLOI





     

  • VOTEZ MARTINE AUBRY

    capture_decran_2011-08-22_a_18_56_29.pngLes personnalités du courant socialiste « Un monde d’avance », l’aile gauche du parti lancent un appel aux électeurs de toute la gauche, en faveur de la candidature à la primaire de la première secrétaire sortante du PS.

    Avec les primaires citoyennes, les socialistes et les radicaux ont mis entre les mains du peuple de gauche –c’est-à-dire de tous les Français qui se reconnaissent dans les valeurs de la gauche et de la République– la désignation de leur candidat en 2012. Les 9 et 16 octobre prochain se joue non seulement le choix d’une personnalité, mais aussi et surtout une stratégie et un projet politiques.

    La future majorité présidentielle n’aura ni le même périmètre ni le même contenu selon que telle ou tel sera élu(e) le 16 octobre.

    Notre appel s’adresse donc aussi aux électeurs de gauche qui ne votent habituellement pas socialiste au premier tour des élections. Vous êtes sympathisant écologiste, communiste, front de gauche, républicain… Vous êtes syndicaliste et impliqué dans les luttes et les mouvements sociaux dans votre entreprise, à l’hôpital, à la Poste, à l’Education nationale, à Pôle emploi ou dans toute autre administration ou service public. Vous êtes militant associatif, altermondialiste, humanitaire, engagé dans le combat pour les droits de l’homme et la lutte contre le recul des libertés fondamentales. Vous n’êtes pas forcément socialiste mais de gauche. Vous pouvez décider du choix du candidat qui pourrait figurer au second tour de l’élection présidentielle face à Nicolas Sarkozy.

    Les primaires vous offrent le choix de plusieurs candidats, plusieurs tempéraments, plusieurs identités politiques.

    Nous connaissons ce qui fait débat entre les partis de gauche. Nous identifions des convergences : la démocratisation des institutions, le soutien aux services publics, la nécessité d’augmenter le pouvoir d’achat, la réforme fiscale et l’augmentation des prélèvements sur le capital. Nous connaissons aussi les sujets qui font toujours débat, les priorités sociales, le nucléaire et la transition écologique, la politique salariale, certains aspects de la construction européenne.

    Voilà des années que nous sommes engagés, souvent au côté des autres forces de gauche et écologistes, mais aussi en soutien et en solidarité avec les mouvements sociaux, pour faire obstacle aux politiques de la droite, au démantèlement de notre modèle républicain, à la remise en cause des droits sociaux et des avancées issues du Conseil national de la Résistance.

    Au sein de notre parti, nous avons défendu ces exigences, proposé une voie alternative au néolibéralisme, soutenu des idées qui hier semblaient minoritaires et apparaissent aujourd’hui indispensables face à la crise : ainsi du retour assumé de l’intervention publique, de la taxation des mouvements financiers, de la hausse des salaires qui ne sont pas l’ennemi de l’emploi, de la nécessaire transition énergétique…

    Ces sujets qui font débat à gauche, font aussi débat entre les candidats à la primaire. Les priorités ne sont pas les mêmes, sur la rigueur budgétaire, les restrictions au libre échange, la lutte contre les délocalisations et les licenciements boursiers ou le non cumul des mandats.

    Nous avons participé activement à l’élaboration du projet socialiste et avons pu observer la capacité et la volonté de Martine Aubry de prendre en compte notre point de vue dans une synthèse nouvelle entre la responsabilité de gouverner et l’ambition de transformation sociale : création d’une banque publique d’investissement, sortie progressive et définitive du nucléaire civil, réduction des écarts de salaire, juste échange contre le dumping social et environnemental, réorientation radicale du projet européen, revalorisation des salaires.

    Au-delà de ses qualités de dirigeante qui fédère, ses aptitudes de femme d’Etat qui n’oublie pas qu’elle est socialiste avant d’être gestionnaire, c’est à l’aune de sa détermination à engager le pays vers un nouveau modèle de développement que nous avons décidé de lui apporter notre soutien.

    Avec nous, avec les socialistes et les radicaux, votez le 9 octobre pour Martine Aubry.

    http://bureauxdevote.lesprimairescitoyennes.fr/

    Pouria Amirshahi, secrétaire national
    - Guillaume Ballas, Paris
    - Gérard Berthiot, membre du conseil national
    - Charlotte Brun, secrétaire nationale
    - Françoise Castex, Eurodéputée
    - Jean-Jacques Chavigné, membre du conseil national
    - Pascal Cherki, membre du bureau national
    - Stéphane Delpeyrat, membre du conseil national
    - Olivier Dussopt, porte-parole de Martine Aubry
    - Henri Emmanuelli, membre du bureau national
    - Gérard Filoche, membre du conseil national
    - Jérôme Guedj, membre du bureau national
    - Benoît Hamon, membre du bureau national
    - Razzy Hammadi, secrétaire national
    - Régis Juanico, secrétaire national
    - Bruno Julliard, secrétaire national
    - Georges Labazée, Président du CG des Pyrénées Atlantiques
    - Renaud Lagrave, membre du bureau national
    - Claire Le Flecher, Aisne
    - Marie-Noëlle Lienneman, membre du bureau national
    - Marianne Louis secrétaire nationale
    - Emmanuel Maurel, secrétaire national
    - Delphine Mayrargue, Paris
    - Germinal Peiro, secrétaire national
    - Nadia Pellefigue, membre du bureau national
    - Paul Quilès, ancien ministre
    - Liem Hoang-Ngoc, secrétaire national adjoint
    - Roberto Romero, secrétaire national adjoint
    - Isabelle Thomas membre du bureau national
    - Eric Thouzeau, membre du conseil national
    - Michel Vergnier, membre du bureau national

     
     
  • PRIMAIRES :MODE D'EMPLOI

    Primaires : comment ça marche ?

    La campagne de communication sur les Primaires entre dans une phase de mobilisation massive et inédite à un mois du 1er tour

     

    Tous les citoyens français inscrits sur les listes électorales avant le 31 décembre 2010 peuvent voter. Tous les mineurs qui auront 18 ans au moment de la présidentielle, ainsi que les mineurs membres du PS ou du MJS et les citoyens étrangers membres du PS ou du MJS pourront également voter à condition de s’être inscrits sur le site www.lesprimairescitoyennes.fr avant le 13 juillet. Des modalités de votes spécifiques ont été retenues pour les Français résidant à l’étranger.

    Pour pouvoir voter, chacun devra, sur place, s’acquitter d’une participation aux frais de 1 euro et signer une déclaration par laquelle il affirmera se reconnaître dans les valeurs de la gauche. Les Primaires citoyennes se tiendront les dimanches 9 (1er tour) et 16 (2nd tour) octobre. Elles permettront de départager 6 candidatures déclarées : Martine Aubry, Jean-Michel Baylet, François Hollande, Arnaud Montebourg, Ségolène Royal et Manuel Valls.

    Sur le site dédié, www.lesprimairescitoyennes.fr, chacun peut prendre connaissance de ces différentes candidatures et des arguments qui sont échangés. Dans la liste des milliers de bureaux de vote primaires qui y apparaissent, chacun trouvera son propre bureau de vote en face de son bureau de vote des élections républicaines.