Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Sport - Page 9

  • MILAN/LIVERPOOL

    La finale de la ligue des champions a déçu. Milan/Liverpool II ressemble à ces films qui sont mis en chantier quand le premier numéro a fait un carton dans les salles. Souvent la suite n'égale pas l'original. Les 2 étoiles de chaque camp, Kaka et Steven Gerrard n’ont pas enflammé la rencontre comm’imaginé. Est-ce la fatigue ? Est-ce la méfiance de Milan ? L’attentisme de Liverpool ? La mayonnaise n’a pas pris. Beaucoup se sont ennuyés devant leur télévision. Dommage.

                               

    En revanche, j’ai apprécié la remise de la coupe dans la tribune. Les joueurs montent les marches vers gloire, ils sont au milieu de spectateurs, ils embrassent les présidents et le capitaine reçoit le trophée qu’il brandit à la foule. J’aime ce rituel qui se veut solennel. Il ne faut pas changer les traditions. Un protocole immuable crédibilise le champion. Ce retour à l’étiquette est une décision de Michel Platini. Plus qu’un autre, il connaît ces instants qui sont placés entre le coup de sifflet final et la remise de la coupe au vainqueur. Il soigne la mise en scène. Son expérience et son intuition l’ont convaincu de rétablir la coutume comme un pape déciderait de rechanter la messe en latin. Les Anglais ont applaudi la cérémonie. Jamais, ils n’oublient le fair-play. Le final de cette soirée a effacé l’amertume du match

  • AFFICHE

    medium_arton35.jpg

  • MINISTERE DES SPORTS

     

    J’apprends la nomination de Mme Roselyne Bachelot en qualité de Ministre de la Santé, de la Jeunesse et des Sports.

    Je prends acte avec inquiétude de la disparition de fait du ministère des Sports.

    Si les enjeux de santé publique, le caractère éducatif et le refus de la violence doivent être au cœur de toute politique sportive moderne, ils auraient dû conduire à la création d’un ministère de plein exercice et non à la dilution de celui-ci dans un grand ensemble aux contours flous et au budget incertain.

    Le mouvement sportif a besoin de voir son autonomie préservée et renforcée pour pouvoir répondre aux défis de la mutation du sport moderne. Cela pose évidemment la problématique d’un financement public ambitieux du sport en France qui ne saurait reposer exclusivement sur les collectivités locales.

    Membre de la commission nationale du sport du P.S je suis et je resterai extrêmement attentif et mobilisé afin que le sport ne soit pas un parent pauvre de la politique gouvernementale.

     

  • AFFICHE

    medium_rg_splash_0000g2.gif

  • SIMON ZIMNY

    medium_reims1953.jpeg

    197 matches en D1 avec le Stade de Reims de 1950 à 1958, Simon Zimny a fait partie de la grande équipe du Stade de Reims. Il nous a quitté ce 03 avril à l'âge 80 ans.
    Sur cette photo il y a trois joueurs qui ont été mes entraineurs.

  • ELLE A GAGNE

    SOULAGÉE ET RASSURÉE

    medium_1463_627265571_laure_manaudou6_H212949_S.jpg

    Laure Manaudou a marqué dimanche la natation française en gardant son titre mondial sur sa distance fétiche du 400 m avec le deuxième chrono mondial de tous les temps (4'02''61), mais la Française peut viser plus haut. Elle se dit décontractée et sereine pour les quatre épreuves individuelles qui lui restent (50 et 100 m dos, 200 et 800 m nage libre) et voit déjà plus loin, avec un nouveau record du monde du 400 m à Pékin.

  • IL A GAGNE

    medium_x20070323_DNA005835.jpg

    Brian Joubert s'est dit « fier » jeudi d'avoir enfin gagné un titre mondial, « la récompense de 18 ans de patinage artistique », reconnaissant que 42 ans après Alain Calmat, « c'est long ! »....

  • REIMS-CHATEAUROUX

    c
    medium_reims.jpg



    Reims-Châteauroux
    Lundi 12 mars
    20h30

    Reims-Le Havre
    Lundi 2 avril
    20h30

    C'est sur Eurosport ce soir
  • QUEL AVENIR POUR LE SPORT SCOLAIRE

    medium_1165241955.jpg    1. PROBLEMATIQUE GENERALE. L’Union Nationale du Sport Scolaire (UNSS) et l’Union Sportive de l’Enseignement du Premier Degré (USEP) comptent aujourd’hui à elles deux plus de 1 733 000 licenciés dans les associations sportives de leurs établissements. C’est pour beaucoup d’entre eux, notamment en zones difficiles et en milieu rural, l’unique possibilité de pratiquer une activité physique ou une activité sportive en bénéficiant d’un encadrement pédagogique de qualité.

    Aujourd’hui quatrième fédération sportive française si l’on considère le nombre de ses licenciés (826 422), l’USEP développe une mission de service public située à l’articulation du domaine pédagogique et de ses prolongements culturels et sportifs. L’ensemble constitue un élément important du projet de chaque d’école.

    Troisième fédération sportive nationale, l’UNSS regroupe pour sa part 907 320 élèves du second degré. Ce sont les professeurs d’éducation physique et sportive (EPS) qui assurent l’encadrement de ces activités dans le cadre de leur service d’enseignement. L’UNSS correspond donc à un prolongement des cours d’EPS obligatoire qui permet souvent une ouverture pédagogique vers des formes d’activités innovantes et un engagement citoyen . Ce « service public sportif » au collège et au lycée repose sur l’engagement des enseignants d’EPS qui y consacrent trois heures forfaitaires incluses dans leur service hebdomadaire.

    Celles-ci devraient donc être logiquement confortées pour permettre de développer encore mieux une réponse pédagogique appropriée à un réel besoin social. A l’inverse, une remise en cause de ces trois heures forfaitaires d’engagement associatif fragiliserait l’UNSS et, au-delà, le service public du sport scolaire.

    . 2. LE CONSTAT : L’EPS ET LE SPORT SCOLAIRE EN MAL DE RECONNAISSANCE POLITIQUE ET INSTITUTIONNELLE.

    Alors que depuis 25 ans l’EPS a été confortée au plan institutionnel  avec son intégration dans le cadre de l’Education nationale, avec la création de l’agrégation, celle des STAPS au plan universitaire, la re-création de l’Ecole Normale Supérieure, la suppression du corps des professeurs adjoints, les participants au débat constatent qu’elle n’est pourtant pas intégrée ès-qualité, c’est-à-dire en tant que discipline d’enseignement fondamentale, dans le socle commun des connaissances définit par le Ministère de l’Education nationale. Elle n’a qu’une place dite « contributive ». Cela pose la question de la légitimité de cette discipline en milieu scolaire.

    L’EPS peine à construire son identité scolaire car il existe une confusion dans l’esprit des femmes et des hommes politiques entre la pratique du sport, notamment la pratique en club, et la discipline éducative qu’est l’EPS. Les enseignants d’EPS s’attachent pourtant constamment à promouvoir une véritable culture scolaire des activités physiques et sportives dans le cadre défini par les programmes institutionnels. Ce qui devrait permettre de supprimer la confusion couramment admise entre « prof de gym », « prof de sport » et professeur d’EPS. Or, ce n’est toujours pas le cas aujourd’hui.

    Pourtant, l’EPS est une discipline scolaire depuis 1959 ; date de son introduction dans le programme du baccalauréat. Un demi siècle plus tard et alors même qu’elle est structurée par des programmes nationaux, elle ne bénéficie toujours pas du même statut que les autres disciplines d’enseignement. En tant qu’il se présente comme un prolongement pédagogique de l’EPS, le sport scolaire pâtit bien évidemment de cette situation.

     

    3. LA QUESTION DES MOYENS.

    Même s’il ne s’agit pas de focaliser éternellement la réflexion sur le manque de moyens, il faut constater une baisse significative du nombre d’emplois offerts aux étudiants en STAPS qui se destinent au professorat d’EPS. Dans l’avenir, il s’agira de gérer de manière républicaine les ressources mises à disposition de l’EPS par l’Etat.

     Aujourd’hui, au plan des moyens qui lui sont attribués, la question se pose de savoir si l’absence de reconnaissance institutionnelle ne contribuerait pas à sous doter l’EPS, notamment au plan des postes mis au concours aux CAPEPS et à l’agrégation. A terme, si cette tendance devait se confirmer, nous nous orienterons alors vers un appauvrissement significatif de cet authentique service public doublement identifiée : d’une part, à partir d’un « outil»  pédagogique très exceptionnel qu’est le sport scolaire et, d’autre part, d’une éducation physique porteuse de valeurs républicaines.

     

    Au final, la question se pose de savoir si cela n’entraînera pas un appauvrissement des connaissances transmises par l’école.

     4. DES ENSEIGNANTS ET NON DES ENTRAÎNEURS.

     Lauréats d’un concours portant sur l’attribution d’un « certificat d’aptitude à l’enseignement de l’EPS » ou d’une agrégation d’EPS, les « prof d’EPS » se distinguent des entraîneurs titulaires d’un brevet d’Etat d’éducateur sportif. Les uns et les autres ne font donc pas le même métier : le premier est « polyvalent » et inscrit son action dans le domaine de la formation du citoyen ; le second est « monovalent » et inscrit son action dans le domaine de la formation de l’athlète.

     Pourvu d’une « utilité sociale » qui contribue à construire un autre rapport au sport que celui reposant sur la seule performance, l’action du professeur d’EPS se distingue donc de celle de l’éducateur sportif spécialisé. Si les deux sont indispensables au développement d’une activité sportive d’intérêt général – donc considérée comme un service public, l’activité sportive scolaire, organisée dans le cadre de l’association sportive des établissement d’enseignement, se distingue donc clairement de celle développée par les clubs sportifs affiliés aux fédérations olympiques. Cette spécificité du sport scolaire n’est pas seulement à préserver, elle est à développer.

      5. POUR UNE DYNAMIQUE DE DEVELOPPEMENT ET DE PROMOTION DU SPORT SCOLAIRE. Il est vital de conserver un sport scolaire considéré comme un prolongement des cours d’EPS dans le cadre d’une ouverture pédagogique - aujourd’hui indispensable - vers des formes d’activités physiques innovantes. Ils considèrent que l’incontestable vitalité que l’on constate dans les collèges et les lycées repose sur des élèves très motivés, des professeurs d’EPS très volontaires et des chefs d’établissement qui sont majoritairement très engagés. 

    Il faut amplifier cette dynamique. Elle s’inscrit en effet dans un véritable choix de société : celui d’un sport considéré comme une pratique sociale et culturelle reposant sur des valeurs républicaines. Or, celles-ci ne sont absolument plus portées par un sport spectacle promu par les télévisions comme un simple produit d’appel et qui, de ce fait, se trouve affublé d’une connotation de plus en plus négative : dopage, affairisme, corruption.

    Le rôle de l’école est aussi de permettre aux élèves de percevoir, et donc de concevoir, le sport autrement que par le biais des seules dérives du sport business. L’association sportive scolaire est donc, et doit demeurer dans l’avenir, cet « espace de citoyenneté sportive » qui fait d’elle un outil pédagogique indispensable à la formation d’un « sportif éclairé ».

    En conclusion il faut considérer que l’Education nationale ne saurait se priver de l’existence et du développement de l'EPS et du sport scolaire associatif au sein de l’école, du collège et du lycée.

  • MURRAYFIELD

    Il faut avoir les nerfs solides pour s'imposer à Murrayfield. Dans le stade mythique, antre de la Tartan Army, le XV du Chardon en a fait trébucher plus d'un. Grâce notamment au public, "seizième homme" et à un certain Flower of Scotland, chant patriotique entonné à pleins poumons presque devenu l'hymne national écossais chanté spontanément par des dizaines de milliers de spectateurs lors des matches internationaux de rugby ou de football.

     

    A l'origine cette chanson était chantée par les supporters pour noyer le traditionnel God Save the Queen source d'embarras pour les autorités.Le sceau d'acquiescement fut finalement apporté par la princesse Anne qui l'entonna avec la foule de Murrayfield

      En 1990, match crucial à Murrayfield où l'Ecosse accueille l'Angleterre lors de la dernière journée. Grand Chelem en jeu. Les Anglais de Carling partent favoris. Mais, ce jour-là, la magie du Tournoi opère à Edimbourg. David Sole, le capitaine écossais, pénètre sur le terrain avec une lenteur extrème. Derrière lui, défile au même rythme le XV du Chardon. Les visages sont graves, la détermination est là. "J'en ai eu la chair de poule", avouera après-match Roger Uttley, l'entraîneur anglais. Des Anglais pas au bout de leurs surprises. Après avoir écouté le traditionnel "God Save The Queen", pas franchement le chant que l'Ecosse se repasse en boucle, "Flower of Scotland" sort des hauts-parleurs de Murrayfield. Sur la demande expresse de David Sole. Le public couvre bientôt de sa voie la mélodie. Sur le pré, l'équipe d'Ecosse est soudée, émue et remontée comme jamais. Quatre-vingt minutes plus tard, Ecosse : 13 - Angleterre : 7. David Sole est porté en triomphe. Le Grand Chelem est pour l'Ecosse.

    Ecouter et chanter

    Flower of Scotland
    O Flower of Scotland
    When will we see
    Your like again,
    That fought and died for
    Your wee bit Hill and Glen
    And stood against him
    Proud Edward's Army,
    And sent him homeward
    Tae think again.


    The Hills are bare now
    And Autumn leaves lie thick and still
    O'er land that is lost now
    Which those so dearly held
    That stood against him
    Proud Edward's Army
    And sent him homeward
    Tae think again.


    Those days are past now
    And in the past they must remain
    But we can still rise now
    And be the nation again
    That stood against him
    Proud Edward's Army
    And sent him homeward,
    Tae think again.


    O Flower of Scotland
    When will we see
    Your like again,
    That fought and died for
    Your wee bit Hill and Glen
    And stood against him
    Proud Edward's Army,
    And sent him homeward
    Tae think again.

    http://www.geocities.com/hornet35_2001/Flower_of_Scotland.html

    http://bagpipe.free.fr/hymne.htm