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Sport - Page 6

  • LE STADE DE REIMS S'OXYGENE

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      • Reims prend une dose d'oxygène
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      • Réduits à dix au tournant de la demi-heure de jeu, les Rémois sont ensuite parvenus à marquer par trois fois contre Brest. Une grosse performance qui leur permet de sortir la tête de l'eau pour la première fois depuis août dernier,les Stadistes prennent une bouffée d'oxygène et repoussent le premier relégable à deux longueurs.
        Aussi rusé qu'influent, Luis Fernandez est en passe de gagner son pari. Si les Dieux de football sont cléments, nous ne serons pas condamnés à suivre les matches sur France Bleu Champagne le saison prochaine.

  • TOURNOI DES VI NATIONS

    MURRAYFIELD

    logo de l'équipe d'Écosse

    Le Pays de Galles devra avoir les nerfs solides pour  s'imposer cet aprés-midi à Murrayfield. Dans le stade mythique, antre de la Tartan Army, le XV du Chardon en a fait trébucher plus d'un. Grâce notamment au public, "seizième homme" et à un certain Flower of Scotland, chant patriotique entonné à pleins poumons presque devenu l'hymne national écossais chanté spontanément par des dizaines de milliers de spectateurs lors des matches internationaux de rugby ou de football.

     

    A l'origine cette chanson était chantée par les supporters pour noyer le traditionnel God Save the Queen source d'embarras pour les autorités.Le sceau d'acquiescement fut finalement apporté par la princesse Anne qui l'entonna avec la foule de Murrayfield

      En 1990, match crucial à Murrayfield où l'Ecosse accueille l'Angleterre lors de la dernière journée. Grand Chelem en jeu. Les Anglais de Carling partent favoris. Mais, ce jour-là, la magie du Tournoi opère à Edimbourg. David Sole, le capitaine écossais, pénètre sur le terrain avec une lenteur extrème. Derrière lui, défile au même rythme le XV du Chardon. Les visages sont graves, la détermination est là. "J'en ai eu la chair de poule", avouera après-match Roger Uttley, l'entraîneur anglais. Des Anglais pas au bout de leurs surprises. Après avoir écouté le traditionnel "God Save The Queen", pas franchement le chant que l'Ecosse se repasse en boucle, "Flower of Scotland" sort des hauts-parleurs de Murrayfield. Sur la demande expresse de David Sole. Le public couvre bientôt de sa voie la mélodie. Sur le pré, l'équipe d'Ecosse est soudée, émue et remontée comme jamais. Quatre-vingt minutes plus tard, Ecosse : 13 - Angleterre : 7. David Sole est porté en triomphe. Le Grand Chelem est pour l'Ecosse.

    Ecouter et chanter

    Flower of Scotland
    O Flower of Scotland
    When will we see
    Your like again,
    That fought and died for
    Your wee bit Hill and Glen
    And stood against him
    Proud Edward's Army,
    And sent him homeward
    Tae think again.


    The Hills are bare now
    And Autumn leaves lie thick and still
    O'er land that is lost now
    Which those so dearly held
    That stood against him
    Proud Edward's Army
    And sent him homeward
    Tae think again.


    Those days are past now
    And in the past they must remain
    But we can still rise now
    And be the nation again
    That stood against him
    Proud Edward's Army
    And sent him homeward,
    Tae think again.


    O Flower of Scotland
    When will we see
    Your like again,
    That fought and died for
    Your wee bit Hill and Glen
    And stood against him
    Proud Edward's Army,
    And sent him homeward
    Tae think again.

    http://www.geocities.com/hornet35_2001/Flower_of_Scotland...

    http://bagpipe.free.fr/hymne.htm

  • LA STADE DE REIMS ENFIN

    Le Stade de Reims a mis fin à une série de cinq défaites consécutives contre Strasbourg (4-1) en match en retard de la 19e journée. Le club champenois reste lanterne rouge à cinq points du premier non-relégable, Châteauroux, tandis que les Alsaciens quittent le podium pour la première fois depuis la première journée.

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    Il est encore un peu tôt pour assurer que l'effet Luis Fernandez suffira à éviter au Stade de Reims la relégation, mais de ce qu'ils ont montré contre Strasbourg (4-1), Cédric Fauré et ses équipiers peuvent légitiment espérer une fin plus heureuse. Pour le premier match de leur nouvel entraîneur au Stade Auguste-Delaune, les Champenois ont sans aucun doute livré leur meilleure prestation de la saison. Ils se sont comportés comme des morts de faim sur chaque ballon et auraient même pu maquiller davantage le score avec un peu plus de réussite. De quoi satisfaire un Luis Fernandez enchanté par le spectacle proposé par ses joueurs. «On était relativement attendu après notre défaite contre Ajaccio (1-2). Ce soir, je suis content et fier de la performance de mon groupe»

    Du point de vue comptable, ce premier succès en six matches ne changent pas grand-chose aux affaires du club champenois. Reims reste lanterne rouge, mais il revient à cinq longueurs du premier non-relégable, Châteauroux. Du point de vue du jeu, les protégés de Fernandez ont prouvé qu'il y avait certainement moins d'écart avec Strasbourg que ces 19 points de retard qui les séparent actuellement. Encourageant pour la suite, mais inquiétant pour les Alsaciens;

    Le terrain rendu difficilement praticable par la pluie aurait pu expliquer en partie le déficit technique dont Strasbourg a fait preuve, mais la facilité avec laquelle les Rémois ont fait circuler et remonter le cuir suffit à discréditer cette thèse. Dominateurs de bout en bout, les Champenois s'en sont remis à trois coups de pied arrêtés conclus par Fontaine (26e), Barbier (34e) et Fauré (37e) pour prendre le large. Zenke a cru relancer Strasbourg avant la pause (42e), mais Kermorgant a vite éteint les espoirs alsaciens juste après la pause (50e). Sans le gardien strasbourgeois  Cassard présent sur sa ligne (31e, 69e, 72e), la démonstration se serait transformée en correction. -

  • STADE DE REIMS:L'AMER DU NORD

    Rien ne plus au Stade de Reims ,battu hier soir en coupe de France par Dunkerque club de CFA 2 (2-1) la situation est sans doute pire qu’on osait décemment imaginer la crise ne couve plus elle va éclater.

    Le Président Jean-Pierre Caillot raconte à qui veut l'entendre qu'il démissionnera si l'équipe se maintient en L2, mais qu'il restera si elle descend en National.

    Le moins que l'on puisse dire, c'est qu'il ne prend aucun risque à relever ce challenge de dupes. Pourtant, un choc psychologique sans précédent est nécessaire pour espérer sauver ce qui peut l'être encore

     

     

     

  • LE STADE DE REIMS:ET DEMAIN

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    Christine Michel, Maire-adjointe en charge des sports,s'est dit avant la rencontre Reims-Lens,  très préoccupée par la situation sportive du Stade de Reims. De toute évidence, il apparaît que la municipalité sera très attentive aux décisions prises par la direction du club en janvier, afin que "Reims n'ait pas le plus beau stade en National 1" .
    Pour ce qui concerne le partenariat entre le club et la Ville, la responsable des sports insiste sur les aspects "sport pour les jeunes rémois et centre de formation" qui seraient mis en grand péril en cas de descente en National.
    Désormais, Jean-Pierre Caillot n'a plus les coudées franches. Les supporters ne sont plus les seuls à lui demander des comptes

  • STADE DE REIMS :TOUJOURS PAREIL

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    TOUS coupables, et certains un peu plus que d'autres. Forcément. Il y a eu certes la parenthèse décontractée et exotique de la Coupe de France à Villeneuve-Saint-Germain. Le temps d'oublier provisoirement ses soucis domestiques. Et c'est déjà la rechute. Au Stade de Reims, les mêmes causes produisent les mêmes effets. Ce club au riche passé n'a plus de mémoire. L'étourderie est devenue la qualité principale de ses joueurs. Ces derniers l'exploitent avec régularité et talent et c'est toute une institution qui en pâtit. Vendredi soir à Troyes, Didier Tholot semblait las.

    Le responsable technique rémois a délivré son discours habituel. Il aurait pu l'enregistrer deux mois plus tôt et distribuer la bande aux poseurs de questions qui lui faisent face. « Encore un but sur coup de pied arrêté. On a beau insister, travailler sur cet aspect du jeu… Un manque de concentration, de méchanceté et d'expérience nous coûte encore le match. » Expliquer, répéter, argumenter, provoquer même. Tholot a tout essayé. La volonté et l'envie ne manquent pas à ses joueurs, mais c'est encore très insuffisant pour s'extirper du bourbier dans lequel ils ont précipité le club. Douze points en seize matches, c'est consternant mais justifié.

     Entre les paroles et les actes il y a parfois plus d'un océan de contradictions. On pourrait avancer que sur la pelouse du stade de l'Aube, l'enjeu a paralysé le jeu. Que l'Estac, moins à l'aise dans ses crampons depuis quelques semaines, avait la tête près du bonnet, facilitant l'expression de son voisin. Ce dernier, sans génie, tenta de mieux faire circuler le ballon, et s'en est arrêté là. « On a connu des derbies plus pétillants », expliquait un avisé observateur. « Nous avons été trop timides pour aller de l'avant, on s'est arrêtés en cours de route », confirmait un Didier Tholot à la colère contenue. Liébus : « Il va falloir cravacher » Pour autant, ce pâle Reims aurait pu, avec un brin de jugeotte, repartir avec le minimum syndical, ce point qui lui tendait les bras. Mais manifestement, il avait décidé d'aider son adversaire à reconquérir son public.

    Pourtant, après des heures de travail spécifique et de vidéo, les défenseurs stadistes n'auraient pas dû se laisser surprendre sur ce corner de Faussurier, qui suivait un très beau coup franc de Kébé, claqué par Liébus. « Eh oui, encore un coup de pied arrêté. C'est toujours pareil, je suis dégoûté, regrettait Yann Kermorgant. On sait qu'il faut faire preuve de plus de rigueur, ça commence à faire beaucoup. » « C'est comme d'habitude, renchérissait Johan Liébus. Ce but nous a tué le match, alors qu'on avait su être sérieux et appliqué. C'est compliqué parce que c'est comme ça depuis le début. Sur le corner, on a mis trop de temps à se mettre en place et on était un peu loin au marquage. » Le portier stadiste, très présent vendredi, a toujours l'analyse juste. Sa mise en garde est d'autant plus intéressante : « Il va falloir cravacher car on est au fond du trou. Plus les matches avancent et moins il y a de points à prendre. » Une évidence qui échappe encore à certais membres de sa « famille ».

  • VANNES- REIMS 1-0


    Cette fois, il n'y a plus grand chose à ajouter. Il suffit de consulter le classement pour comprendre que le Stade de  Reims a bel et bien réservé sa place dans le wagon pour le National, alors que nous venons de virer au tiers du championnat.
    D'ailleurs, c'est un symbole, les joueurs voyagent maintenant en TGV, ce qui (accessoirement) leur évite de rentrer trop vite en Champagne.
    Rien n'est évidemment joué, mais toutes les statistiques plaident en notre défaveur. Bien sûr, on peut espérer un légitime sursaut vendredi prochain contre Châteauroux, mais il ne permettra même pas de sortir de la zone de relégation avant d'aller la semaine suivante à... Nîmes. Les Gardois, rois de la poisse, ont encore été battus dans les arrêts de jeu après avoir dominé toute la rencontre. Il y a pire que nous dans le championnat à l'endroit.

  • SEDAN-REIMS



    Thomas Gamiette qui devance ici Loties, a été la seule satisfaction rémoise vendredi dernier.

     A ma gauche, Sedan : 18e, 6 points (-8). A ma droite, Reims : 19e, 6 points (-11) - Nous y voilà ! Et, une fois n'est pas coutume, ce derby entre sous-doués de la Ligue 2 intéresse davantage les joueurs et les staffs que les supporters.
    Alexis Allart, le killer de l'attaque sedanaise (un but !) est déjà à bloc et percute ses lieux communs aux abords des micros. "Nous sommes deux équipes mal classées. Il faudra absolument gagner ce match pour sortir de la zone rouge. Contre Reims, il faudra absolument marquer, en premier si possible car tout est plus simple alors".
    On ne peut pas lui reprocher de prendre ses précautions, en délivrant ses analyses au ras du gazon avant le match. Ce goleador qui conjuge ses buts au singulier est rarement sollicité après...

    Côté rémois, on sait qu'il y aura au moins un supporter à Dugauguez, puisqu'il a été recruté à ce titre au sein du groupe. C'est Stéphane Samson, le footballeur qui ne joue que sur sa PS3. « Je vais les encourager, leur dire de ne pas lâcher, mais ils le savent déjà. Que dire de plus, alors que je n'ai quasiment pas joué depuis trois mois ? Sedan jouera chez lui et aura plus la pression que nous. S'il la transforme en positif, on va souffrir. A nous d'essayer de retourner le public, de le faire taire plutôt que de le voir s'enflammer. »
    Facile à dire des tribunes ! Car ce n'est pas demain que l'on verra Samson se traîner à la pointe de l'attaque stadiste. "Je n'avais jamais enchaîné autant de blessures en début de saison", affirme-t-il. C'est vrai, c'est généralement à partir d'octobre qu'il disparaît des pelouses...

    Dans l'histoire de ce derby, le plus stressé sera évidemment le président rémois JP Caillot depuis qu'il ne dort plus, il pense. Il vient tout juste de découvrir que Reims était considéré comme le "PSG de la Ligue 2"
    et a l'air de s'en étonner. Ca fait pourtant quelques années que ça sent le soufre... Il est bien le seul à ne pas s'en être rendu compte.
    Quoi qu'il en soit, la crise des "sous-primes" (les primes de match ne grèveront pas le budget du club cette saison) a au moins du bon sur un point : dans ce derby, il ne pourra être question de petits arrangements entre amis. Cette fois, chacun va devoir essayer de sauver sa peau...
    Nous saurons ce soir s'il y a des ascenseurs au fond des précipices.


  • PAUVRE STADE DE REIMS

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    Aprés la dernière défaite contre Dijon (1-4) les Rémois ont bel et bien disjoncté.Et ce, au moment même où Delaune retrouvait enfin le visage d'un vrai stade.
    Assez de paroles en l'air ! Il est grand temps que chacun prenne ses responsabilités...
    Après avoir lentement sombré dans l'anonymat ces dernières années, le Stade de Reims nous fait maintenant honte et c'est infiniment triste.

    La situation est tellement alarmante qu'elle se résume à cette seule question. Quand on voit ce qu'ont fait depuis cinq ans des clubs comme Le Mans, Grenoble, Le havre, Angers, Boulogne et même Vannes, on se dit que l'état de grâce consécutif au retour du stade dans le monde pro est bel et bien terminé. Reims entame sa cinquième saison de suite en L.2 et en est encore à se demander s'il pourra se maintenir ( il vrai que la question se pose plus que jamais). Les dirigeants qui avaient promis monts et merveilles semblent etre à l'origine de ce fiasco après des recrutements hasardeux depuis des années. Quand Le Mans recrutait Hantz et Garcia,entraineurs inconnus et novices au plus haut niveau,le Strade de Reims recrutait  Tholot, connu pour ne rien reussir. Il faut dire qu'auparavant avait été recruté à la va-vite Lozano dans un hall d'aéroport, alors qu'aucun club digne de ce nom ne songeait à engager cet entraineur de CFA. IL y a donc un moment, qui semble venu, où il faut se poser la bonne question.Le président actuel Caillot et ses collaborateurs doivent -ils abandonner le club à des gens capables de le faire grandir quand eux-mêmes ont atteint leurs limites depuis longtemps. Les résultats dans tous les domaines le prouvent. Sinon , il ne faudra pas pleurer sur le descente en national qui nous tend les bras...Il est encore temps d'agir mais il faut faire vite!!

  • LA DEFENSE FRANCAISE A VALSE

     

     

    fus_oefb_wm_quali_popup1_b_aSi la moitié des joueurs qui ont perdu le match de samedi soir à Vienne (3-1) n'étaient ou n'ont presque pas joué à l'Euro alpin, les mêmes manquements sont pointés à commencer par les coups de pied arrêtés et la détermination.

    Ah les années 1970, quelle belle époque ! Le sommet des trente glorieuses,le col en V giscardien à la mode mais le néant total au niveau de l'équipe de France de football. C'est en 1970 (le 7 octobre) que les Bleus ont perdu pour la dernière fois face à la sélection autrichienne (1-0). C'était déjà à Vienne, mais dans feu le Prater Stadion.
    Samedi soir, au Ernst Happel Stadion, l'équipe de France a une nouvelle fois sombré. Cette fois-ci c'est face à la 101è équipe la FIFA, c'est-à-dire calée entre le Congo et l'Albanie. Il y a deux ans (deux années lumières en terme de football), on louait encore la faculté des Bleus à ne pas prendre de buts sur coup de pied arrêté. À Vienne, la bande à Domenech a pris trois buts de cette façon. Et si le penalty est sournoisement compté comme coup de pied arrêté, c'est sur corner qu'il est sifflé. D'ailleurs, le second but  Autrichien (à la 42è par Aufhauser) est le copier-coller du premier (à la 8è par Janko, enfin Mexès en csc selon Henry). C'est en cela que la défense de l'équipe de France inquiète énormément. Au-delà de la pitoyable performance de Philippe Mexès qui remplaçait le suspendu Éric Abidal, c'est le placement de la défense française sur la ligne des 6 mètres lors des deux coups francs Autrichiens à plus de 30 mètres du but de Mandanda qui pose problème. La défense commande les attaquants adverses et pas l'inverse. Si les Autrichiens veulent être 5 hors-jeu au point de penalty, ça les regardent... Et là, ce n'est pas Mexès que l'on doit pointer du doigt, mais Gallas qui commande cette ligne, voire Mandanda qui aussi bon soit-il sur sa ligne doit s'imposer dans ce genre de situation. Lilian Thuram se fait remarquer par son absence, une place de patron est à prendre.