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Tous contre Sarko - Page 5

  • MASCARA

    COLERE, SARKOZY ET MASCARA

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    Information Canard Enchainé

     

    La scène se serait déroulée dimanche dernier dans les locaux de France 3, juste avant l'émission de Christine Ockrent "France Europe Express". Selon le Canard, le candidat Sarkozy aurait piqué une colère en arrivant dans la salle de maquillage où aucune place ne lui était réservée, et où il a du attendre pendant de longues minutes debout !

    Selon l'hebdomadaire, Nicolas Sarkozy, très en colère aurait alors éclaté: "Je ne veux plus attendre plus longtemps, je veux me faire maquiller tout de suite" et d'ajouter: "Mais enfin, il n'y a personne pour m'accueillir ? La direction n'est pas là ? Mais que font-ils ? Qui suis-je pour être traité comme ça ?"

    Nicolas Sarkozy fait alors mine de partir. Prévenue, Christine Ockrent se contente d'affirmer: "C'est rien, il fait sa diva !" Finalement Ockrent arrive et s'occupe du candidat qui ajoute alors, toujours selon le Canard: "Il faut virer la direction de France 3 ! Je ne peux pas le faire maintenant. mais ils ne perdent rien pour attendre. Ca ne va pas tarder !"

    Qui n'est pas avec moi est contre moi ???

  • TOUT EST POSSIBLE

    Sans-papiers: une directrice d’école en garde à vue sept heures à Paris

     

    Photographe : Juliette Warlop © AFP

    La directrice d’une école maternelle du XIXème arrondissement de Paris a subi vendredi près de sept heures de garde à vue après des incidents violents mardi lors de l’interpellation d’un parent sans papiers d’élève, une affaire qui a indigné le monde éducatif et la gauche.

    A la suite de ce tollé, le ministère de l’Intérieur a annoncé avoir écrit aux préfets pour leur “rappeler” que “l’exécution des mesures d’éloignement d’étrangers en situation irrégulière ne doit en aucun cas donner lieu à des interpellations (…) de police ou de gendarmerie dans l’enceinte ou à proximité immédiate d’un établissement scolaire”.

    Convoquée vers 09h00 pour témoigner au commissariat du XIXe, Valérie Boukobza, a été placée en garde à vue pour “outrage et dégradation de biens public en réunion” avant d’être relâchée.

    Avec deux autres personnes, elle avait été appelée à témoigner sur les incidents qui avaient opposé, mardi, des policiers à des parents d’élèves qui tentaient d’empêcher l’interpellation du grand-père chinois, en situation irrégulière, d’un enfant scolarisé dans la maternelle de la rue Rampal.

    Peu avant 16h00, le parquet de Paris a ordonné la remise en liberté des trois personnes, précisant que “les suites à donner seront décidées ultérieurement en fonction des résultats des investigations à venir”.

    Selon Gérard Aschieri, secrétaire général de la FSU, principale fédération de l’enseignement, la directrice aurait “essayé de protéger les enfants” et la police lui reprocherait d’avoir “tapé sur une voiture de police”.

    La préfecture de police a fait savoir, à propos des incidents de mardi, que “des personnes ont fait obstruction (…). Un policier a été blessé et aspergé d’un liquide irritant”.

    L’annonce de la garde à vue a aussitôt suscité des réactions d’indignation dans le monde éducatif et les milieux de gauche.

    “Jamais on n’avait atteint un tel niveau. Déjà du gaz lacrymogène à l’entrée d’une école mais en plus, une tentative d’intimidation manifeste!”, a lancé Gérard Aschieri.

    Le PS avait exigé la remise en liberté de la directrice, demandant que “toute la lumière soit faite”, mais les protestations sont venues également des autres candidats de gauche à la présidentielle.

    Olivier Besancenot, José Bové, Marie-George Buffet, Arlette Laguiller, Dominique Voynet, tous s’en sont pris à Nicolas Sarkozy.

    Le maire de Paris Bertrand Delanoë a écrit au Premier ministre de Villepin, jugeant “inacceptable d’organiser des formes +d’embuscades+ près des établissements scolaires”.

    François Bayrou, candidat de l’UDF, a aussi estimé que “dans cette affaire, on a franchi des limites”.

    Le Syndicat de la magistrature (SM, gauche) a dénoncé “une tentative d’intimidation intolérable à l’égard d’une enseignante qui, d’après plusieurs témoins, n’a fait que tenter de protéger ses élèves”.

    De nombreux enseignants avaient répondu à la mi-journée à l’appel du Réseau Education sans frontières (RESF) à se rassembler devant le commissariat où la directrice était placée en garde à vue.

    Selon les témoins, mardi les policiers “n’ont pas hésité à utiliser la violence physique et à asperger la rue de gaz lacrymogène pour disperser les parents qui s’opposaient à l’interpellation”.

    Le grand-père chinois, emmené mardi au commissariat du IIe arrondissement, a été relâché mercredi, a précisé RESF.

  • CHIRAC AIME SARKO !

    Dignité ?

    Il a fait son devoir. Dans tous les sens du terme.
     Jacques Chirac avait à résoudre une équation de collégien : comment soutenir Nicolas Sarkozy sans donner l'impression de le soutenir et tout en le soutenant quand même ? Il s'en est tiré comme il a pu. Ce fut une déclaration parfaitement centriste, tiède à souhait et dénuée de toute intensité. Nous sommes nombreux, à trouver quelque similitude avec le ton employé par le candidat Chirac en 1981 quand au soir du premier tour il déclara qu'il ne pouvait « que voter pour Valéry Giscard d'Estaing ».
     Cette fois, il nous a expliqué poliment, en substance, qu'il ne pouvait que voter pour Nicolas Sarkozy, le chef du mouvement politique que le président a lui-même fondé... On se doute que ce ne fut pas une partie de plaisir et on imagine que le chef de l'Etat a probablement eu besoin d'une bonne Corona bien fraîche pour se remonter après ce morceau de bravoure

  • IMPOTS/SARKO

     Comment l'impôt sur la fortune acquitté par Nicolas Sarkozy a-t-il bien pu passer de 0 à 1 988 euros entre 2005 et 2006 ? Autrement dit, comment son patrimoine a-t-il pu gagner près de 400 000 euros d'une année sur l'autre, passant de moins de 750 000 (plancher de l'ISF) à 1 138 710 euros ?

    Les fiscalistes ont étudié cette question et n'ont trouvé qu'une seule réponse, que le journal Libération passe en revue dans son édition du 1er mars : l'actuel ministre de l'intérieur "aurait longtemps minoré son patrimoine avant de revenir dans les clous à l'approche de la présidentielle".

    Ceci expliquerait pourquoi le président de l'UMP n'a toujours pas rendu public le détail de son patrimoine, comme il s'était engagé à le faire fin janvier. Nicolas Sarkozy réagissait alors à l'annonce de Ségolène Royal qui rendait public le patrimoine de son couple pour mettre un terme à une rumeur la concernant. Relayée sur Internet par l'UMP, cette rumeur accusait Royal et Hollande d'avoir monté une Société Civile Immobilière (SCI) dans le VIIème arrondissement de Paris pour échapper à l'impôt sur les grandes fortunes.

  • SARKO A LA TELE

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  • MEME PAS REVE

    MÊME PAS UN MONTAGE !

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  • MES SONDAGES

    Sarkozy, Royal et Bayrou dans un mouchoir de poche

    La tendance des sondages est à la baisse pour N. Sarkozy, comme le montre la compilation des différentes enquêtes d'opinions, que j'ai réalisée.

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    Les 3 candidats Sarkozy, Royal et Bayrou tendent vers 25%.

    Propos révélateur tenu par C. Guéant, le directeur de campagne de N. Sarkozy, qui semble confirmer cet aterrissage en douceur :
    "25% des voix, c'est très bien. Il n'est pas nécessaire d'être à 30% pour gagner le second tour."

    On comprend mieux que Sarkozy ait sonné la charge ces derniers jours contre Bayrou. Petit florilège :

    N. Sarkozy : "Il ne s'agit pas d'une élection à la présidence d'un conseil général."

    F. Fillon : "Bayrou ne tiendra pas longtemps, en raison des faiblesses intrinsèques de sa démarche politique"

    S. Veil : "François Bayrou ne représente pas du tout le centre, il ne représente que lui-même."

    R. Karoutchi : "Le phénomène Bayrou n'est pas un feu de paille. Mais il faut rester calme et attendre que la bulle se dégonfle. Dès lors que les médias commenceront à se poser et à lui poser les vraies questions, la donne pourrait changer."

  • SARKOZY ET L'HISTOIRE

    Sarkozy confirme qu'il quitte l'Intérieur à la fin du mois

    Nicolas Sarkozy a confirmé lundi qu'il quitterait à la fin du mois son poste de ministre de l'Intérieur. "A la fin du mois de mars", a-t-il répondu à la question d'un auditeur de France Inter.

     

    Ensemble tout est possible avec Nicolas Sarkozy

    "C'est fantastique. J'ai regardé toutes les élections. Jamais un ministre candidat n'a quitté son poste ministériel", a fait remarquer le candidat de l'UMP à l'élection présidentielle. "Tous jusqu'à la dernière minute ont été en poste. Je serai donc le seul ministre qui, avant la campagne officielle, aura quitté ses responsabilités.

    Il a donné alors en exemple:Chirac,Balladur Jospin et......Mitterrand. 

    Le Nain de Beauvau a beaucoup de problèmes avec ses références à l'histoire de France,ne faudrait-il pas en tant que fils d'imigré qu'il passe des tests de nationalité? 

  • SARKO PRESIDENT !

    ...QUAND JE SERAI PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE...

    AVANT

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    APRES...

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    NOUS...

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  • BAVURES

    Violences, abus, menottage : la police nationale encore épinglée

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    La police nationale a été une nouvelle fois en 2006 l'objet de la grande majorité des plaintes déposées à la Commission nationale de déontologie de la sécurité (CNDS), selon le rapport annuel publié hier.

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    La commission nationale de déontologie de la sécurité,chargée de veiller au respect de la déontologie par les personnes d'une mission de sécurité  publie hier un rapport qui accable la police nationale. Dans son rapport, la commission indique qu'il y a eu au total 140 plaintes enregistrées en 2006 soit 30 % de plus qu'en 2005. Une hausse qu'elle explique par sa « notoriété croissante », six ans après sa création par une loi de 2000.
    Du côté des dossiers traités, la progression sur un an est plus forte encore (+50%). Si en moyenne un quart des plaintes se révèlent injustifiées, elles continuent de mettre en cause majoritairement la police nationale. L'autorité administrative indépendante déplore lors des interpellations ou dans les commissariats une « fouille à corps trop souvent banalisée », un « menottage systématique » qui ne s'imposait pas forcément, ainsi que « huit cas de violences illégitimes graves », d'après le rapport.
    « Traînée sur la chaussée »
    « Personne ne doute que les forces de l'ordre doivent utiliser la force et la contrainte, mais les utiliser à bon escient, de manière proportionnelle », a déclaré lors d'une conférence de presse Philippe Léger, le magistrat qui préside la CNDS depuis fin 2006.
    Cela n'a visiblement pas été le cas lors d'une manifestation à Lyon en 2005, où une femme avait été « traînée sur la chaussée » par des fonctionnaires de la BAC (Brigade anti-criminalité) et s'était vu administrer des coups de pieds et des décharges de pistolet Taser.
    Selon l'avis de la CNDS, « l'interpellation fut empreinte de brutalité, sans respect des règles élémentaires de la déontologie policière et de la dignité humaine ». La Commission relève aussi « des fautes de commandement » ayant permis à ces policiers d'intervenir sans signe distinctif.
    Concernant les fouilles, elle évoque le cas d'un réfugié politique algérien (Habib Souaïdia, auteur du livre « La sale guerre »), « violemment interpellé » par des policiers du poste de police des Halles à Paris, « fouillé, totalement déshabillé dans un couloir ».
    Même si elle s'était déjà exprimée sur le sujet cet été, la Commission revient sur le drame de Clichy-sous-Bois qui avait déclenché les émeutes en banlieue à l'automne 2005. Elle « réprouve les conditions de l'interrogatoire du jeune rescapé (..) entendu dans un cadre juridique flou » alors qu'il était encore alité après avoir été grièvement brûlé.
    « Meilleure formation »
    La CNDS peut être saisie par tout citoyen s'il passe par l'intermédiaire d'un parlementaire ou de la Défenseure des enfants s'il s'agit d'un mineur. Depuis six ans, elle a enregistré un nombre de saisines sans cesse croissant (19 en 2001, 70 en 2003, 108 en 2005).
    Pour le député PS Bruno Le Roux, un des quatre parlementaires y siégeant (sur 14 membres au total), ces plaintes en hausse constante s'expliquent par une « meilleure information » sur la CNDS plutôt que par des bavures en plus grand nombre. Toutefois les saisines sont la confirmation que des dérives existent, a fait valoir le Syndicat de la magistrature (SM, gauche), se disant « content de voir que la CNDS joue son rôle ».
    Pour Emmanuelle Perreux, présidente du SM, la « vraie question » est la suivante : « Quand l'institution dysfonctionne, que fait-elle pour éviter que ça recommence ? ».
    Les syndicats de police se sont montrés à nouveau très critiques sur la CNDS, que Synergie (officiers de police) a accusé d'être « un cercle de déontologues autoproclamés et issus de milieux préservé