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Tous contre Sarko - Page 7

  • PARLEZ-ELKABBACH

     

    sarkozy elkabbach

    Merci à Le Placide

  • LA RUPTURE TRANQUILLE

    Inquietante rupture

     

     

  • CE QU'IL A DIT ET N'A PAS FAIT

    medium_ministre_interieur.JPG Le Parti socialiste publiera mercredi sur le net un long document à charge sur Nicolas Sarkozy, pour expliquer en particulier "tout ce qu'il a dit et n'a pas fait" au cours de sa carrière et dénoncer son alignement sur la "pensée néo-conservatrice américaine".

    Il s'agit d'une longue étude pilotée par le secrétaire national à l'emploi du PS, Eric Besson, et menée avec trois autres cadres du PS, a-t-on précisé mardi dans l'entourage de M. Besson.

    Selon le journal Libération, qui détaille mardi cette initiative, le document intitulé "L'inquiétante rupture tranquille de Monsieur Sarkozy" compte 106 pages.

    Il est accompagné de documents "attestant de notre bonne foi", explique-t-on au PS, concernant les promesses non tenues du candidat à l'Elysée, dans ses fonctions de ministre de l'Economie et des finances puis de ministre de l'Intérieur.

    Les grandes lignes de ce document doivent être exposées mercredi matin lors d'une conférence de presse au siège du PS, peu après sa publication sur le net (www.parti-socialiste.fr), a-t-on précisé au PS.

    Dans son introduction au document, dont l'AFP a obtenu copie, M. Besson estime que M. Sarkozy, qu'il qualifie de "néo-conservateur américain à passeport français", sera "un adversaire redoutable".

    Le texte dénonce les bilans gouvernementaux du président de l'UMP, qui "n'a pas son pareil pour masquer les piètres bilans de son action. Ceux d'un médiocre ministre de l'économie et des finances ou ceux d'un ministre de l'Intérieur survolté mais peu efficace".

    "Ce que cet ouvrage cherche à démontrer est que non seulement, ne lui en déplaise, Nicolas Sarkozy est bien libéral, atlantiste et communautariste, mais qu'il est devenu une sorte de filiale française de la Bush Cie, un néo-conservateur américain à passeport français", écrit M. Besson.

    "Plutôt que de dire explicitement qu'il souhaite revenir sur la durée légale du travail et remettre en cause le droit du travail, Nicolas Sarkozy préférera affirmer qu'il souhaite, par exemple, que +celui qui veut travailler plus et gagner plus puisse le faire+", insiste-t-il.

    Le texte dénonce encore "l'atlantisme forcené" de M. Sarkozy, reprenant les accusations de "très grande complaisance, pour ne pas dire fascination, à l'égard de la politique extérieure de George Bush".

    Il accuse encore le ministre de l'Intérieur d'être "communautariste" et de "ne pas croire au modèle républicain d'intégration".

    Concluant que "la vraie Bible de Nicolas Sarkozy réside dans la pensée néo-conservatrice américaine", M. Besson estime que son idéologie "enterre le gaullisme autant que l'héritage laïque et républicain".

  • MAIS OU EST-IL

    Trés inquiet de ne pas avoir vu aujourd'hui l'agité de Beauvau aux J.T et devant mon inquiétude j'adresse ce Mail au Ministère de L'Intérieur sur le site de Sarko et à France 2 
    Monsieur le Ministre,
    Je suis trés inquiet,j'ai regardé ce midi le journal télévisé de France 2 et pas la moindre image la moindre information vous concernant.J'ai donc regardé l'émission de Michel Drucker et là non plus pas la moindre image pas meme une information de notre dernière randonnée cycliste avec le présentateur vedette.Je regarde le J.T de 20h malgré un mort suspect dans un hopital je ne vous ai pas vu mener l'enquete et demander à la justice d'etre impitoyable.Où etes-vous?
    Mais oui je sais: je viens d'entendre que le P.S.G à gagner contre Nimes et vous deviez etre au bord du terrain en tant qu'entraineur.ette victoire est un peu la votre.Chapeau l'artiste.
    SalutationsJ.P Cochart

  • SARKO ET L'ECONOMIE ACTEII

    Les Idées Fausses De Nicolas Sarkozy sur l'économie

    Voici une note de la section PS de Portes les Valence, très pertinente

    Parti Socialiste  section de  Portes les Valence.

     

     

    medium_a_vous_de_juger.jpgNicolas Sarkozy, développe une doctrine économique reposant sur le slogan dogmatique "travailler plus pour gagner plus". Il me semble que tous ses discours reposent sur un certain nombre d'idées fausses que je me propose d'expliciter.   

     Idée fausse N°2 :  Si les gens ne travaillent pas assez, ce n’est pas parce qu’ils sont fainéants! En effet, les gens voudraient travailler plus pour gagner plus, mais ils ne peuvent pas, à cause des 35 heures. Il faut donc laisser les salariés qui travaillent dur travailler encore plus dur, comme ça les chefs d’entreprises leur donneront plus d’argent.

    Il semble facile à admettre que si quelqu'un travaille plus d'heures, il puisse gagner effectivement plus. A condition toutefois d'être strictement rémunéré à l'heure ou à la tâche. Ce qui heureusement n'est plus la situation légale, sauf à admettre que Sarkozy supprime les barrières qui ont été mises en place pour moraliser les relations employeurs/employés depuis la fin de la révolution industrielle. On peut noter que déjà le paiement des heures supplémentaires a été réduit. Ce qui signifie qu'un salarié aujourd’hui travaille plus pour gagner moins que ce qu'il aurait gagné en plus auparavant. D’autre part, l’idée de dire que si tout le monde travaille plus, tout le monde gagnera plus est absurde au niveau macro-économique si elle n'est pas abordée dans une vision globale.

    La condition sine qua non pour pouvoir travailler plus est que les chefs d’entreprises aient plus de commandes.  Il est d’abord indispensable d’identifier,  de contribuer et de promouvoir les secteurs dans lesquels les entreprises françaises voudront et seront en mesure de répondre par un accroissement de l'offre au supplément de demande. Finalement, et ce n'est pas le moindre leurre. Quel marge de manoeuvre un salarié peut-il avoir pour décider du temps  qu'il veut ou non consacrer au travail? Lorsque celui-ci signe un contrat de travail, il passe en fait une sorte de convention de subordination. Et c’est rarement lui qui décide des tâches qui lui sont confiées ou du nombre d’heures qu’il fera...

    Cette idée de travailler plus relève simplement de la remise en cause de la loi sur les 35 heures dont l’un de ses objectifs était précisément d'embaucher au lieu de permettre de faire des heures supplémentaires, et d'une manière plus générale de la remise en cause une durée légale du travail égale pour tous. Le retour aux heures supplémentaires va donc retarder ou empêcher les nouvelles embauches.

  • SARKO ET L'ECONOMIE

    Les Idées Fausses De Nicolas Sarkozy sur l'économie

    Voici une note de la section PS de Portes les Valence, très pertinente

    Parti Socialiste  section de  Portes les Valence.

     

     

    medium_a_vous_de_juger.jpgNicolas Sarkozy, développe une doctrine économique reposant sur le slogan dogmatique "travailler plus pour gagner plus". Il me semble que tous ses discours reposent sur un certain nombre d'idées fausses que je me propose d'expliciter.   

     Idée Fausse N° 1 : Si la croissance économique de la France est faible, c’est parce que les gens ne travaillent pas assez. Pour gagner plus, il faut travailler plus. Si on travaille moins, on gagne moins.

    L’histoire des faits économiques, montre que depuis le début du 20ème siècle, l’élévation du niveau de vie s’est accompagnée d’une diminution du temps de travail. Certes, cela ne signifie pas qu’il faille attendre automatiquement d’une baisse du temps de travail une élévation du niveau de vie, mais croire que les deux sont incompatibles est tout sauf pertinent. Les travaux empiriques et théoriques sur la croissance ont montré que l’élévation du niveau de vie se nourrit pour l’essentiel de l’effort d’investissement et du progrès technique…

    D’autre part certains commentateurs se désespérent du faible taux de croissance de la France , autour de 2-2,5%, comparativement à la croissance mondiale (4 à 5%), où à la croissance de certains pays comme la Chine (8 à 9%). Il semble que dans leur esprit, tout se passe comme si tous les pays de la planète participaient à une course, le taux de croissance mesurant la vitesse de chacun. La métaphore de la course est trompeuse: en effet, dans la "course économique", il existe une relation étroite entre la position du coureur dans la course et sa vitesse. Relation complexe puisque plus on est en retard sur le peloton de tête et... plus on court vite. Dit autrement, les coureurs en retard on un avantage indéniable sur ceux qui sont en avance.

    Pour le comprendre, on peut s'en remettre aux théories du rattrapage, développées notamment par Abramovitz: L'apprentissage et l'imitation étant moins coûteux et plus rapides que la découverte et l'expérimentation initiale des technologies, les gains potentiels de productivité réalisés par un pays en retard sont d'autant plus importants que l'écart entre le niveau de productivité du pays et le niveau de productivité du ou des leaders supposés à la frontière technologique est important. Ceci explique pour une bonne part la croissance actuelle de pays comme la Chine ou les Pays d'Europe Centrale et Orientale, le rattrapage étant alimenté notamment par les investissements directs étrangers de firmes occidentales. Se désespérer des comparaisons de taux de croissance entre la France et le taux de la croissance mondiale n'a donc pas de sens, et ce d'autant moins que des pays comme la Chine ou l'Inde se développent et pèsent de plus en plus dans le PIB mondial. C'est la comparaison des taux de croissance de pays de niveau de développement comparable qui importe.

  • ON NE CHOISI PAS SES AMIS......

    Pascal Sevran, nouvel ami de Sarkozy après avoir été un soutien inconditionnel de Mitterrand, qui remet l'eugénisme au goût du jour. Sans doute parce qu'après avoir beaucoup aimé la Farce Tranquille, il a beaucoup apprécié la rupture tranquille de Nicolas Sarkozy. 

    Sevran et son nouveau guide Sarkozy

    Merci à Placide

    Doc Gyneco alias Bruno Beausire a été condamné à un redressement fiscal de 700 000 euros le 8 décembre. Une paille !

    Johnny Hallyday qui s'est déjà expliqué sur son soutien à Nicolas Sarkozy va maintenant résider en Suisse pendant Six mois et un jour pour payer moins d'impôts

  • SON VRAI VISAGE

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    EXTRAITS DU DISCOURS DE SARKO ASAINT ETIENNE LE 10 NOVEMBRE 2006 

     Et ça vient par exemple du fond des tripes quand le ministre de l’intérieur s’en prend aux voyous et à "ceux qui prétendent rester en France alors qu’ils ne l’aiment pas, la France"...

    Démagogie. Sarkozy a prétendu saluer St-Etienne, "ville rongée par la mine". Curieuse, cette expression. On savait des villes rongées par la guerre, ou par la violence, ou la corruption. Mais "rongée par la mine ? Un affleurement du dégoût des aristocrates pour l’histoire ouvrière et populaire ?

    La "mondialisation", la globalisation capitaliste, Sarkozy est venu la défendre. Son objectif, c’est d’"endiguer le rejet de la mondialisation". Et pour cela, il faut être du côté des "gagnants", et pas de celui des "perdants". Un monde de "gagnants" et de "perdants", voilà des mots qui galvanisent la droite. Et pour ça, il faut être "compétitifs", donc réduire sans fin le coût du travail, bien sûr. Dans ce domaine ce ne sont pas les idées qui manquent, d’autant que ça se fait déjà tous les jours, et depuis longtemps. Allons-y, donc : supprimer les 35 heures, supprimer les charges sur les heures supplémentaires. Baisser encore les impôts et les impôts des entreprises. "Tailler dans les dépenses de l’improductivisme", supprimer les indemnités aux "chômeurs qui ne cherchent pas d’emploi ou ne suivent pas de formation", leur supprimer les allocations. Ovation !

    "Valoriser le travail"... Il va falloir démonter ce discours sur le travail. Quel culot, quand on sait combien ce n’est pas le travail qui est reconnu aujourd’hui en France. Voir la répartition des richesses entre ceux qui travaillent et les actionnaires des grands groupes, entre le peuple et la bourgeoisie.
    Sa politique, c’est l’insécurité sociale, la poursuite du démantèlement de tout ce qui est "Etat social". Et c’est parce qu’il casse l’Etat social qu’il parle d’instaurer un "Etat protecteur", mais il faut traduire : sécuritaire, policier, pénal. Un "Etat fort", un Etat au service total des capitalistes et qui fasse régner l’ordre, quand la sécurité de la vie fout le camp par tous les bouts. Ne cherchons pas les droits humains dans tout ça. Le summum est atteint avec ces mots :  "L’être humain n’est pas une marchandise comme les autres"  . Cette phrase en dit long !
    Ultra-capitalisme et totalitarisme sont les deux mamelles de sa politique.

    Comment peut-on résister à cette contre-révolution bushienne ? Bien entendu chacun-e pourra faire ce qu’il faut au moment de l’élection présidentielle pour écarter le pire. Mais attention : c’est dans les profondeurs de la société que la partie se joue. Et c’est au quotidien qu’elle se joue, et pas seulement et principalement dans 5 mois. Ce n’est pas en se jetant dans les bras de tel-le ou tel-le condidat-e à la présidentielle qu’on résistera à la menace... Délégation et attentisme sont deux fléaux qui mènent aux défaites des peuples. L’engagement citoyen quotidien pour la transformation sociale maintenant est le meilleur chemin pour barrer la route aux bushiens français.
    A travers quelles actions, quelles initiatives, quels projets ? N’est-ce pas sur ces questions que nous devrions nous concentrer ?

  • TOLERANCE ZERO

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    Le président du groupe socialiste à l'Assemblée nationale, Jean-Marc Ayrault, a fustigé mardi le projet de loi sur la délinquance de Nicolas Sarkozy, promettant une "tolérance zéro pour le bilan" du ministre de l'Intérieur.

    "Une fois de plus, nous allons assister au show médiatique de Nicolas Sarkozy sur la sécurité, c'est le 6ème texte de la législature sur la sécurité", a ajouté M. Ayrault lors d'une conférence de presse.

    "On voit bien que derrière, l'objectif de M. Sarkozy est d'imposer la sécurité comme thème central, voire unique de la campagne présidentielle", a-t-il poursuivi.

    "Nous relevons le gant, parce que c'est une opportunité que nous ne manquerons pas de saisir pour tirer le bilan, largement négatif de M. Sarkozy, faire l'évaluation réelle de ce qu'il a fait, mettre en évidence ses erreurs et présenter nos propres conceptions", a-t-il lancé.

    M. Ayrault a remplacé son traditionnel point de presse hebdomadaire par une conférence de presse avec les principaux intervenants de son groupe sur le projet de loi, dont la discussion débute mardi en fin d'après-midi, pour indiquer leur intention de livrer bataille sur ce texte.

    "L'enjeu pour nous est de sortir de l'exploitation politicienne de l'insécurité. Nous voulons bâtir une sorte de consensus républicain, un pacte de non agression pour rétablir une politique de sécurité durable", a-t-il dit. "Il faut être dur contre la délinquance mais aussi contre les causes de la délinquance", a-t-il ajouté.

    Il a aussi critiqué le rôle pivot donné par le texte au maire. "On veut que le maire devienne un délégué du procureur, un délégué de la police, c'est extrêmement grave, le maire perdrait ainsi son rôle nécessaire de médiateur", a-t-il argué.

    Jean-Pierre Blazy (PS) a estimé que "l'heure du bilan a sonné pour Nicolas Sarkozy" et a souligné que "cette inflation législative sécuritaire est le véritable laxisme".

    Il a annoncé que les députés socialistes déposeraient "une centaine d'amendements", dont certains présenteront sous forme d'articles additionnels les propositions alternatives du PS.

    Jean-Marie Le Guen a dénoncé le volet psychiatrie du texte, jugeant "scandaleux de faire l'amalgame entre maladie mentale et délinquance" et assurant que cela amènerait à "cacher la maladie mentale". Il a aussi estimé que les articles sur la toxicomanie "n'avaient rien à faire dans un texte de prévention de la délinquance".

  • LA POLICE

    LA POLICE

    medium_t-moto_sarko1.3.jpgl’usage qu’on fait de la polie est aussi une des clés du problème après les questions de fond : éducation, travail, habitat.

    La façon dont Sarkozy l’instrumentalise, la médiatise, est scandaleuse. Un chercheur, Sébastien Roché, dans un livre récent consacré aux émeutes de l’an dernier, fait une large place à ce « système de police qui ne marche pas ».Sans en faire « une potion magique », il défend fermement le principe de cette police de proximité, mise en place par la gauche (mais sans assez de cohérence, à son avis) et tout simplement supprimée par la droite dès son retour au pouvoir : « C’est une vision myope qui dirige la place Beauvau depuis des années, animant une force qui avance à tâtons : pas d’approche globale de la police dans ses relations avec le public, pas assez de réflexion sur sa mission de paix publique et abandon pour motifs idéologiques et non pragmatiques de la police de proximité. Une police est faible lorsque son pouvoir ne repose que sur la force. S’opposer durablement et efficacement aux groupes de délinquants suppose pourtant que la police se rapproche de la population. La qualité de service au public doit prendre une place plus large dans les missions et les objectifs mesurés dont il faut rendre compte. C’est le grand défi des polices françaises. »

    C’est aussi le cadet des soucis de celui qu’on maintient bien légèrement à leur tête