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AZURCOM - Page 2

  • RESTE A CHARGE

    Reste à charge zéro… pointé (ou comment la Ministre de la Santé découvre que les complémentaires santé ne sont pas des entreprises philanthropiques)

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  • N'OUBLIEZ PAS CHARONNE

     

    Le 8 février 1962, neuf travailleurs syndiqués à la CGT, (1), étaient tués au métro Charonne, bd Voltaire à Paris, par des éléments des brigades spéciales d’intervention lors d’une manifestation pacifique organisée par les syndicats et des partis de gauche contre les actions terroristes de l’OAS.

    Soixante mille personnes participaient à ce défilé dont mon père. Alors que la dislocation de la manifestation était annoncée, la police a chargé avec une violence inouïe. Des centaines de manifestants sont sauvagement matraqués, refoulés dans la bouche de métro et assommés par des jets de grilles d’arbre en fonte, pourchassés dans les couloirs d’immeuble, dans les cafés.

    Parmi les victimes, un adolescent de 15 ans et trois femmes. On dénombrera 250 blessés dont une centaine grièvement atteints.

    Cette sauvage répression contre une manifestation pour la paix en Algérie survenait moins de quatre mois après le massacre de plus de cent travailleurs algériens le 17 octobre 1961 à Paris et en banlieue. (1) Daniel Ferry, Hyppollite Pina, Maurice Pochard, Raymond Wintgens, Édouard Lemarchand, Suzanne Martorell, Anne-Marie Godeau, Fanny Dewerpe et Jean-Pierre Bernard

  • IL FAUT CHOISIR

    Casse sociale ou unité et action ?

    Un mouvement d’ampleur chez les surveillants de prison, une grève historique dans les Ehpad, un début de mobilisation dans la jeunesse : les vraies questions surgissent. La France, soi-disant, va mieux ; mais c’est celle du CAC 40. Pas celle des travailleurs et de la jeunesse ! Même les sondages en rendent compte : cote de popularité en baisse pour Macron et Philippe (BVA) , inquiétude majoritaire sur le pouvoir d’achat (Elabe) , et 9 français sur 10 soutiennent les mouvements sociaux (Odoxa.)

    Macron entend malgré tout poursuivre sa politique de « casse sociale » pour laquelle il a le soutien de la classe dominante. La funeste rupture conventionnelle collective en est un exemple. Ce qui fait dire à l’ancien syndicaliste Pierre Héritier : « Désormais, l’entreprise qui a besoin de qualifications nouvelles peut aller les chercher à l’extérieur et se débarrasser de celles qui lui paraissent obsolètes. Il en va des salariés comme des stocks » (*) . Et les amis de Macron osent encore nous parler de responsabilité sociale et sociétale des entreprises !

    Dans la rubrique, « je change d’avis » , Macron se dit maintenant partisan d’une finalisation rapide de l’accord de libre-échange entre l’U.E et les pays du Mercosur, alors qu’il y a quelques mois il disait ne pas vouloir se précipiter sur ce sujet. Une des conséquences prévisibles : l’ouverture du marché européen à près de 100 000 tonnes annuelles de viande sud-américaine. Pas très écologique tout cela, non ?…

    Répartir les richesses…

    La mobilisation dans les Ehpad a montré que la (mauvaise) prise en charge de la personne âgée est révélatrice des destructions engendrées par des réductions budgétaires sans fin (manques d’effectifs chroniques, fermetures de services et de structures, manque de places…) . Ni le ministre, ni le Président n’ont daigné recevoir les syndicats des salariés des Ehpad ! Il est vrai que cette question pose avec force celle de la répartition inégalitaire des richesses. Les riches amis de Macron, eux, ont très vite obtenu mesures fiscales et budgétaires en leur faveur.

    … développer le service public

    Nouvelle provocation gouvernementale : la remise en cause du statut des fonctionnaires, et l’annonce d’un recours accru aux contractuels (qui sont pourtant déjà nombreux dans la fonction publique) . Macron sort même cette énormité : un statut qui n’aurait pas évolué depuis Thorez ! Si un premier statut a été adopté en 1946, le statut actuel a été établi entre 1983 et 1986. Peu importe pour les néo-libéraux : il faut détruire ce qui protège les salariés et leur permet de résister. Et multiplier les attaques tout azimut pour donner l’impression d’un rouleau compresseur qu’on ne peut pas arrêter. Le service public c’est le patrimoine de ceux qui n’en ont pas. Il faut stopper la casse et le développer

    Et dans l’éducation ça bouge car les projets de Blanquer sont une remise en cause lourde du service public de l’éducation. Une éducation dont l’objectif ne serait plus la réussite de toutes et tous mais la sélection accrue et l’adaptation aux normes de l’entreprise.

    Unité partout !

    Macron n’est fort que des divisions syndicales, des faiblesses et de l’éparpillement de la gauche vraiment de gauche. Dans ce contexte, pour recréer un rapport de force social, il faut inlassablement expliquer la vraie nature de droite de la politique macroniste.

    Le livre de notre camarade Gérard Filoche ( « Macron ou la casse sociale » ) qui sera en librairie le 7 février est un des outils utile dans les prochains mois.

    Préparons des réunions partout pour discuter ! Unité et Action.

     

     (*) "Chez Peugeot on lance un nouveau modèle…social" Pierre Héritier (Le Monde 1er février

  • CICE ET CARREFOUR

    Selon la CGT, le groupe de grande distribution a touché 134 millions d'euros en 2016.

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  • J AI RECU UNE INVITATION

    INVITATION AUX VOEUX DU MAIRE D ANTIBES

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  • NOUVEAU DEPART

    ET SI CE BLOG REVIVAIT ?

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  • JE VEUX FAIRE MIGRANT

    Je donnerais ma vie pour être un migrant, ça a l'air tellement génial à vivre comme nouvelle télé-réalité. Je t'explique, attends.

    T'es là tranquille dans ton pays, tu entends le bruit des balles, tu te demandes qui entre toi et ton voisin sera éliminé en premier sans prime time, tu vis dans les décombres en attendant que D&Co ou l'armée viennent maroufler les murs, tu n'as rien dans le ventre à part la peur de ne pas te réveiller le lendemain, alors tu cherches de quoi manger en grattant la terre, c'est un peu Koh-Lanta, sans l'accent marseillais du candidat relou, le totem et le collier d'immunité. Alors, t'es là tranquille, prêt à tenter un Pékin-Express direction l'Europe, et c'est parti mon kiki, tu laisses derrière toi toute ta vie, ta mémoire, ta famille, ton héritage, ton identité mais ce n'est rien comparé à l'aventure, tu as bien raison de casser la routine, le quotidien c'est vraiment mortel. Alors, t'es là tranquille, entassé avec les autres participants dans la soute d'un camion, dans les cales d'un bateau, c'est un peu la Croisière s'amuse ou les Déménageurs de l'extrême mais qu'importe, au bout t'attends la gloire, la richesse européenne, les droits de l'Homme, la Liberté.

    Et puis, finalement, le rideau tombe et les corps aussi. Ce n'est pas Danse avec les Stars, mais Valse avec la Mort, ce n'est pas Rendez-vous en Terre inconnue mais

    J'irai mourir chez vous.

    Et le monde entier regarde sa télévision, tout en râlant sur le coût de la vie qui augmente, la courbe du chômage, la crise c'est la crise vivement Marine , et que franchement on n'a pas que ça à faire que de voir des gens morts au moment du repas qui de toute manière allaient nous piquer notre boulot et puis merde quoi on n'a pas de sous c'est la crise qu'elle a dit la Marine allez mets moi TF1 j'ai des secrets à deviner, mdr.

    Et pendant ce temps, des enfants font la planche dans les vagues, en silence.

    Vincent Lahouze

  • NOUVEAU DEPART

    Un trop long silence ,beaucoup de choses à dire .

    A bientot

  • cassolette de st jacques a emulsion de gigembre

    Cassolette de Noix de St Jacques à l’émulsion de gingembre.

    Cocotte de St Jacques aux petits légumes à l'émulsion de gingembreJ’aime réaliser cette petite recette, le résultat est toujours bluffant !
    Rien de très compliqué à faire et au final, un vrai délice pour une recette qui fait son petit effet !
    En entrée ou en plat principal, elle sera un vrai succès pour les amateurs de Saint Jacques ! Ne vous laissez pas rebuter par la présence de gingembre fais. Vu la petite quantité utilisée, et allié à la crème, cela releve et souligne, juste comme il faut, la saveur incomparables des Noix de St jacques et des petis légumes.

    Je ne vous laisse pas patienter plus longtemps et vous explique ce qu’il vous reste à faire…

    Ingrédients pour deux
    8 noix de Saint Jacques (je conserve le corail mais je sais qu’il n’est pas au goût de tous.)
    1 poireau
    50 gr de petits pois
    1 carotte
    5 cl de vin blanc sec
    25 cl de crème fraîche (entière pour plus de goût, légère pour moins de calories)
    1/2 cuillère à café de gingembre frais râpé
    Sel
    Poivre du moulin
    Quelques baies de poivre rose

    Un peu de beurre pour la cuisson.

    brunoise de carottesÉpluchez la carotte et coupez-la en brunoise.

    poireauxÉmincez le poireau,
    Rincez les légumes à l’eau claire.

    Dans une casserole, faites fondre les dés de carotte et les petits pois un bon quart d’heure, égouttez les puis mettez-y les poireaux émincés.
    Mélangez régulièrement afin d’éviter que les poireaux ne se colorent trop rapidement.
    Ajouter la moitié de la crème puis remettez les carottes et les petits pois.
    Mélangez sans oublier de saler et poivrer. (Goûtez votre préparation pour ajuster l’assaisonnement…)
    Dressez les légumes dans votre cassolette et réservez dans un four chaud. (2OO°C)

    st jacquesSt Jacquesnoix de st jacques

     

    Épluchez, parez et rincez vos noix de St-Jacques, où demandez à votre poissonier de vous les préparer.

    St JacquesRemettez une noisette de beurre dans la poêle et saisissez les noix de Saint Jacques nettoyées, 2 à 3 min de chaque côté.
    Déposez les dans les cassolettes, sur le lit de légumes.

    gingembreRapidement, déglacez la poêle avec le vin blanc et ajoutez le reste de crème fraîche et le gingembre râpé.
    Mélangez bien et remettez sur le feu pour environ 5 minutes.

    émulsionner une sauceEnlevez du feu et émulsionnez à l’aide d’un mixeur plongeant en penchant légèrement la casserole pour incorporer de l’air en émulsionnant.
    Arrosez généreusement chaque cassolette, de votre émulsion.

    Décorez avec une petite tuile de parmesan, un petit croûton, quelques baies de poivre rose ou un brin de cerfeuil et servez immédiatement et surtout bien chaud.
    Accompagnez les cassolettes d’un petit pain de campagne et d’un vin blanc sec. (avec modération, bien entendu)

    Et maintenant… savourez !

  • Bonjour du 03/04

    Je ne veux pas que mon compte soit supprimé