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AZURCOM - Page 117

  • ENCORE 560 JOURS A TENIR

    Déclaration des droits de l'Homme et du Citoyen de 1793
    Art 35 : "Quand le gouvernement viole les droits du peuple, l'insurrection est, pour le peuple et pour chaque portion du peuple, le plus sacré des droits et le plus indispensable des devoirs."


    A Sarkozy et à son idée très particulière de la démocratie : "Les démocraties ne peuvent pas plus se passer d'être hypocrites que les dictatures d'être cyniques." Georges Bernanos

  • LA BANDE DU FOUQUET'S

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    Un voile se lève sur la nuit fondatrice de la Sarkozy triomphante. Le 6 mai et la soirée au Fouquet's, célèbre et non moins select resto des Champs-Elysées. Un épisode marquant, symbolique du Sarkozysme. Deux journalistes se proposent de retracer la soirée et livrent la liste des invités.

    Une nuit au Fouquet's, c'est le titre du bouquin publiée par Judith Perrignon et Ariane Chemin (qui après La Femme fatale se spécialise décidement dans la narration d'événements où elle n'était pas présente. Chapeau l'artiste). C'est grâce à ce "récit" que l'on apprend la liste des invités du nouveau chef de l'Etat au soir de son sacre. Et elle donne le tournis. Du CAC 40, du CAC 40 et du CAC 40, bien sûr. Des vieilles stars du ciné français beaufisés,des sportifs sur le retour et quelques amis à plus de 100 000 Keuros l'année. Des broutilles. C'est long mais ça vaut le coup.

     2 ans après son élection, 16 personnalités de cette liste ont été décorées de la légion d’honneur dont 7 pour la première fois... Allez, ces guest-stars soigneusement choisies par Cécilia Sarkozy sont une cinquantaine, les voilà, plus ou moins classifiés.

    Liste d’invités établie

    Amis de Cécilia, l'éphémère première dame de France:

    - Mathilde Agostinelli, responsable de la communication de Prada France et Robert Agostinelli, fondateur du fonds d'investissement Rhône Capital, membre du Council on Foreign Office. Pour info, ce sont entre autres eux qui ont invité les Sarko à Wolfeboro. Et elle qui a habillé toute la petite famille lors du défilé du 16 mai. Gratis. Qu'il est doux d'avoir des copines.

    - Agnès Cromback, présidente de Tiffany France et Bruno Cromback, joaillier, PDG d'Augis 1880. C'est l'autre couple puissance invitante de Wolfeboro. On notera que ces couples là s'assemblent bien.

    - Xavier de Sarrau, avocat et ancien président d'Arthur Andersen Europe et Sylvie de Sarrau, le couple des meilleurs amis, enfin ça c'était avant Rachida Dati.

    - Patrick Balkany, député-maire de Levallois-Perret et Isabelle Balkany, premier adjoint de son mari, vice-présidente du Conseil général des Hauts-de-Seine. Ils concourent aussi dans la catégorie du couple meilleur ami, mais sont un peu trop gaffeurs pour être des prétendants fiables. Se sont répandus dans les médias après l'Annonce du 18 octobre.

    Les potes de 3ème mi-temps:

    - Basile "grandes oreilles" Boli, ancien joueur de l'OM, l'homme de la ligue des champions remportée par le club en 1993.

    - Denis Charvet, ex-rugbyman du Racing, actionnaire de casinos comme l'ancien sélectionneur du XV de France et néomisnistre Laporte, présent lui aussi lors des festivités. Qui a dit que les rugbymen ne jouaient plus?

    - Pascal Gentil, champion de taekwondo.

    - Richard Virenque, la flèche jaune du vélo français, remis de son opération.

    Les vieux pipoles et autres cautions culturelles:

    - L'ex-couple phare des Bronzés: Marie-Anne Chazel et Christian Clavier.

    - Johnny Hallyday, icône nationale et sa femme Laëtitia.

    - Jean Réno, notre Léon international et Zofia Borucka, sa femme mannequin.

    - Arthur, producteur et animateur de télévision. Pas sa femme, tiens? L'ex de David Halliday aurait-elle été blacklistée par Cécilia pour faire plaisir à Laëtitia?

    - Bernard Fixot, éditeur de best-sellers, abhorré par les germanopratins. Donc, forcément à sa place ici. Et sa femme Valérie-Anne Giscard d'Estaing, éditrice aussi, seule représentante de l'illustre lignée politique de VGE.

    - Philippe Warrin, unique photographe présent au Fouquet's. Photographe "grand écart", spécialiste de la Star ac', de la photo présidentielle et de la femme bafouée en passe de divorcer.

    - Eric Vu-an, maître de ballet au Ballet national de Marseille. Un mystère. Si quelqu'un peut m'éclairer?

    - Hugues Gall, président de l'Institut de financement du cinéma et des industries culturelles. Sûrement une incruste du précédent, non?

    La famille, bien sûr, Nicolas l'adore:

    - Guillaume Sarkozy, le frère du Président, ancien vice-président Medef, qui a beaucoup oeuvré pour l'apparition fantomatique de Cécilia place de la Concorde, après le dîner.

    - François Sarkozy, frère du Président, vice-président du conseil de surveillance du groupe Bio-Alliance Pharma

    - Andrée Sarkozy, la maman de l'omniprésident.

    Les journalistes, pour services rendus:

    - Nicolas Baverez, essayiste, chroniqueur au Point. Merci à La France qui tombe.

    - Nicolas Beytout, directeur de la rédaction du Figaro. Indispensable à une bonne campagne. Deux Nicolas, signe de l'égo hypertophié du président? C'est Eric Zemmour qui a dû mal le prendre.

    Ses amis les riches, mais les vrais, dans les très hautes sphères. De loin, la liste la plus impressionante:

    - Bernard Arnault, président de LVMH, n°1 du luxe français, première fortune de France. Avec un tel président, attiré par le luxe comme les mouches part la merde, Arnault ne pouvait pas ne pas être là. Par ailleurs, Arnault possède La Tribune et bientôt Les Echos.

    - Vincent Bolloré, PDG d'Havas, sixième groupe de communication mondial. Patron d'un tas de médias dont Direct soir, Direct 8 et Matin plus.

    - Martin Bouygues, PDG de Bouygues, boss de TF1. La boîte à con a tourné à plein régime avant la campagne, pendant la campagne et après la campagne au speedy sarko.

    - Serge Dassault, PDG de Dassault et du journal Le Figaro, l'allié inébranlable de toutes les campagnes.

    - Stéphane Courbit, ex-président d'Endemol France depuis peu, gave le temps de cerveau disponible, important pour faire tourner la boîte à cons.

    - Nicolas Bazire, secrétaire général de LVMH.

    - Antoine Bernheim, banquier d'affaires, président de la compagnie d'assurances Generali.

    - François de La Brosse, publicitaire, très proche de Nicolas Sarkozy - il lui a fait ses sites internet gloriophiles - et son épouse Conrada de La Brosse, dirigeante de la maison de l'Esprit de Château.

    - Jean-Claude Darmon, ex-président de Sportfive, ancien grand argentier du football français, grande gueule m'as-tu vu, tout comme les aime Nicolas.

    - Dominique Desseigne, PDG du groupe Barrière. Tiens, des casinos !Bernard Laporte a dû lui laisser sa carte de visite.

    - Albert Frère, première fortune de Belgique. Le patron des patrons. Il possède des actions un peu partout parmi les entreprises du CAC 40.

    - Paul Desmarais Sr, milliardaire canadien, PDG de Power Corporation, actionnaire de plusieurs groupes français lui aussi. Ancien pote de bourse d'Albert Frère. Sarkozy sait choisir ses invités étrangers.

    - Jean-Claude Decaux, PDG de JCDecaux, leader mondial de mobilier urbain.

    - Henri Proglio, PDG de Veolia, ex-Compagnie générale des eaux . Officieux compagnon de Rachida Dati.

    - Patrick Kron, PDG d'Alstom. Il était d'ailleurs convié il y a peu par Nicolas lors de sa visite d'Etat au Maroc, pour signer deux trois contrats l'air de rien.

    Les politiques, les vrais:

    - François Fillon, futur Premier ministre et actuel collaborateur.

    - Jean-Pierre Raffarin, ancien Premier ministre et actuel... pas grand-chose. Et puis c'est tout, comme dirait Philippe Lucas. Parce que des vrais politiques de droite d'envergure, Sarko les a tuer.

    Les bébés Sarko, pas trop d'expérience, c'est plus malléable:

    - David Martinon, futur porte-parole de l'Elysée et actuel "enfant imbécile".

    - Rachida Dati, future ministre de la Justice et nouvelle Cruella.

    - Christine Albanel, ex-directrice du château de Versailles, future ministre de la Culture, actuellement mangée par Georges-Marc Bénamou, c'est ignoble.

    - Roger Karoutchi, futur secrétaire d'Etat avec le Parlement, surnommé "la serpillère".

    Les porte-fligues:

    - Henri Guaino, plume du Président, on lui doit Jaurès, Blum, Môquet et aussi le discours de Dakar. Eclectique.

    - Claude Guéant, préfet, futur secrétaire général de l'Elysée et actuel homme le plus puissant de France, selon Le Point, qui ne fait jamais dans la demi-mesure.

    Et les flatteurs intéressés :

    - Pierre Giacometti, directeur général d'Ipsos France. Merci pour l'info.

    - Alain Minc, président d'Alain Minc Conseil. Se prévaut d'une influence sur la terre entière.

    Edifiant, non?

  • L'UMP VEUT CHASSER LES CASSEURS:CHASSONS L'UMP

    Aux casseurs du gouvernement et au voyou de l'Elysée : "Tout pouvoir est une violence exercée sur les gens." Mikhaïl Boulgakov 

      Depuis que le mouvement face à l'intransigeance bornée du gouvernement s'est radicalisé, les médias jamais en retard d'idéologie sécuritaire, histoire de faire peur aux petits bourgeois, en font des tonnes sur les conséquences de la grève et surtout sur les fameux casseurs.

    Pourtant, les casseurs, on sait qui ils sont : des individus un peu frustres très souvent manipulés quand ce ne sont pas des voyous directement infiltrés par la police pour discréditer un mouvement.

    la_france_d-apr-s.jpgMais les casseurs ne sont pas dans les rues de Lyon ou des grandes villes françaises. Les vrais casseurs sont d'abord au gouvernement, sous la houlette d'une racaille bling-bling ; les vrais casseurs sont aussi au MEDEF et à la Bourse,les petits porteurs  ; on les trouve aussi à l'Assemblée et au Sénat comme dans les salles de rédaction des médias où ces derniers relaient les coups bas du pouvoir. Casse sociale et humaine. Casse des outils de travail et des savoirs. Casse du système de santé et casse de l'école publique. Casse de la nature et casse de la culture. Casse de l'humain, de ce qui fait de nous des êtres civilisés.

    C'est tous ceux-là qui devraient passer devant les tribunaux du peuple et y entendre les justes sentences à la hauteur de leurs crimes.

    Quand commencera-t-on à se faire justice ?

     

     

     

     

     

     

     

  • MAI 68 OU PAS

     

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  • A propos de la situation politique et sociale, j'entends dire ou je lis que nous irions vers "un nouveau Mai 68". C'est consternant, et j'ai un tas de raisons de le penser :

    1- Depuis que je m'intéresse à la politique, c'est-à-dire depuis ..., j'ai toujours entendu dire ou lu, à la moindre mobilisation lycéenne ou étudiante un peu importante, que nous allions vers "un nouveau Mai 68". J'attends toujours ...

    2- Mai 68 se caractérisait par son surgissement imprévisible, sa spontanéité. Annoncer, prévoir ou déclencher un "nouveau Mai 68", c'est une contradiction dans les termes.

    3- Mai 68 débute par une révolte de jeunes, étudiants et ouvriers, se poursuit par une mobilisation de toute la jeunesse autour de problèmes de jeunes. Aujourd'hui, ce sont des "vieux" qui manifestent, avec des préoccupations de "vieux" (j'emploie ce mot dans le sens qu'on lui donnait en Mai 68 : tous ceux qui ont plus de 30 ans). Les étudiants restent pour le moment silencieux, les lycéens défilent pendant le temps scolaire mais ne sont guère présents dans les cortèges syndicaux.

    4- En Mai 68, l'objectif était de changer le monde, la société, la vie. Nous étions à des années-lumière de ce qui se passe ces dernières semaines, où il s'agit de préserver le système existant, la retraite par répartition et le départ à 60 ans. En 1968, on dénonçait l'exploitation, l'aliénation, l'autorité, on ne cherchait nullement à revendiquer une retraite correcte.

    5- En Mai 68, les organisations syndicales traditionnelles étaient totalement dépassées par ceux qu'on appelait alors les "gauchistes". Aujourd'hui, ce sont ces organisations qui canalisent le mouvement, les "radicaux" n'ont qu'une influence marginale.

    6- Même la violence n'est pas la même : en Mai 68, on brûlait des voitures pour contester la société de consommation et la violence ne se retournait pas contre les manifestants. Aujourd'hui, les "casseurs" ne sont que des délinquants, pas des révolutionnaires ou des rebelles. En 68, le seul exemple équivalent, c'était les "Katangais" de la Sorbonne, une poignée de voyous qui s'étaient mis au service de la révolution, mais dont le rôle était très secondaire et peu spectaculaire, à la différence des pillages et agressions d'aujourd'hui.

    7- La menace d'une pénurie de carburant est un contresens absolu quand on assimile Octobre 2010 et Mai 1968, puisque cette crainte, en juin du joli mois de Mai, signifiait la fin du mouvement : les Français ont pris peur de voir leur sacro-sainte automobile paralysée et les non moins sacro-saintes vacances menacées.

    8- Même en rêve, il ne serait pas souhaitable d'espérer un "nouveau Mai 68", puisque cette révolte a débouché, en juin de la même année, sur des élections législatives qui ont investi une écrasante majorité de droite et poussé la gauche vers une extrême gauche sans espoir ni perspective. Quant aux accords de Grenelle, ils ont été perçus, à tort ou à raison, comme une capitulation devant le patronat.

    Karl Marx a écrit quelque part que la répétition d'un événement ne pouvait se faire que sur le mode de la comédie. C'est ce qui arrive avec Mai 68, dont nous ne pourrions avoir aujourd'hui que la singerie

     

  • DELIT D'INITIE

    Nous ne sommes plus à une affaire près allez-vous die. Et vous auriez raison, une de plus ou une de moins après tout ... Certes, sauf que cette fois-ci, l'affaire en question est d'actualité. En effet, elle touche la réforme des retraites !

    Selon certaines sources journalistiques -Médiapart en tête repris par Le Nouvel Obs et d'autres médias-, il pourrait se profiler un délit d'initié qui toucherait le président Sarkozy et son frère Guillaume :

    Guillaume Sarkozy.

    Guillaume Sarkozy.


    Je m'explique. Guillaume Sarkozy est le frère du président de la République. Il est également le délégué général de Malakoff Médéric, société spécialisée dans les assurances, la mutuelle santé, l'épargne, la prévoyance et ... la retraite !

    Auparavant, Guillaume Sarkozy était spécialisé dans le textile. Mais en 2006, il a du mal à joindre les deux bouts, et son entreprise dont il était le patron connaît des difficultés. Il a donc été purement et simplement écarté de la direction. Malgré cet échec, il a su rebondir. Ses connaissances et son réseau ayant réussi à le parachuter au sein du groupe Médéric. Le groupe est financièrement puissant et Guillaume Sarkozy l'a bien compris.

    En 2008, grâce à la participation au capital que détient Médéric, Guillaume Sarkozy parvient à faire son entrée au conseil de surveillance du groupe Le Monde, conseil qu'il devrait quitter dans quelques temps suite au rachat du groupe.

    Guillaume a bien compris que sa place au sein du groupe Médéric -devenu entre temps Malakoff Médéric- était cruciale. Il a donc décidé d'en tirer avantage en créant une sorte de participation ou "co-entreprise" avec la Caisse des Dépots et Consignations (CDC) -organisme d'Etat-, et  sa filiale la Caisse Nationale de Prévoyance (CNP).

    L'ambition affichée de cette alliance entre la CNP, CDC et le groupe Malakoff Médéric est claire : jouer un rôle majeur sur le marché de la retraite complémentaire dans les années à venir. Ce sera chose réelle le 1er janvier prochain avec la création d'une société commune qui regroupera le groupe Malakoff Médéric, la CDC et la CNP.

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    Nicolas Sarkozy arrive donc à point nommé dans cette affaire avec sa réforme des retraites qu'il souhaite faire adopter à tout prix. La réforme "va conduire à l'asphyxie financière des grands régimes par répartition" et sera donc "propice à l'éclosion de ces grands fonds de pension qui n'étaient pas encore parvenus à s'acclimater en France, à quelques rares exceptions près", nous explique le site Médiapart. Le Président assècherait donc la retraite par répartition au profit d'un mode de capitalisation.

    "Cette société n'aurait jamais vu le jour sans l'appui de l'Elysée", nous explique le site du Nouvel Obs. En effet, la CDC est une institution publique présidée par un parlementaire, la CNP est une filiale de la CDC et présidée par François Pérol, ancien secrétaire adjoint de l'Elysée.

    Pour rappel, la CDC gère le fond de réserve des retraites. Une raison réelle de cette réforme des retraites ? On comprend mieux pourquoi Nicolas Sarkozy s'entête à vouloir passer en force cette réforme.  Avec quelques 40 à 100 milliards d'euros en jeu, on comprend mieux la motivation de la famille Sarkozy et de leurs intérêts...

     

    Sources : Mediapart.fr, Le Nouvel Obs.com

  • HISTOIRE D'EAU

     

    Sommaire :

    Le Pays d’Aubagne envisage la gestion publique de l’eau

    Mais aussi :

    -          Les cinq ans de l’Appel de Varages

    -          Guérini s’engage

    -          Fuveau lance le débat

    -          Brignoles : exit Veolia ?

     

    EAU (Elus, Associations, Usagers) milite pour une gestion publique de l’eau potable et de l'assainissement.

    Elle soutient que :

    - L’eau est un bien commun de l’humanité, et non une marchandise ;

    - L’accès à l’eau pour tous est un droit.

     

    Basée à Varages (83), notre structure emploie maintenant cinq salariés, dont un journaliste professionnel.

     

    Vous pourrez ainsi recevoir dans votre boîte mail des brèves, des articles, des reportages… Pour plus d’informations (notamment des vidéos, l’agenda, la newsletter ...), vous pouvez consulter notre site, www.eaupublique.fr. En cours de construction, il sera finalisé fin septembre.

     

    Nous avons besoin de vous pour nous aider dans la collecte et la diffusion de l’information. Si vous avez des suggestions, si vous pensez à des sujets qui mériteraient d’être développés, n’hésitez pas à nous contacter : mpartage@eaupublique.fr. Et n’hésitez pas non plus à faire circuler ce courriel.

     

     

    A très bientôt.

     

    Michel PARTAGE

    Président de EAU

    Conseiller General du Var

     

     

    Si vous désirez ne plus recevoir cette lettre ou si vous la recevez en plusieurs exemplaires, veuillez nous le faire savoir « mpartage@eaupublique.fr » merci

     

     

  • TOUT VA TRES BIEN

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    Rentrant d'une semaine de vacances,je fais une rapide revue de presse.Et là stupéfaction quand je tombe sur la Une du Figaro qui fait trés fort "En dépit d'une forte mobilisation contre la réforme des retraites, le chef de l'État et le gouvernement estiment que l'étau se desserre.L'Élysée sent la victoire possible, mais n'ose encore y croire. Une excitation mesurée perce, au détour des phrases. Un optimisme encore voilé, tant le combat pour la mise en œuvre des retraites soulève à droite superstition et inquiétude".

    Pas mal, non ? C'est sûr que vu de loin, l'optimiste est plus nuancé , la réalité perçue  est évidemment toute autre. J'ai cru savoir que toutes les raffineries sont à l'arrêt, du jamais vu depuis 1968, que des milliers de lycéens sont dans les rues depuis 10 jours,dont mon petit fils à Toulon , dans des dizaines de villes, les employés municpaux ont voté la grève reconductible, les routiers ont annoncé qu'ils allaient s'y mettre, sans compter tous les mouvements qui se prolongent un peu partout dans le public comme dans le privé.

    Il y a donc toutes les raisons pour que la droite soit inquiète, comme le laisse penser malgrè tout le Figaro. Et cela ne va pas s'arrêter, on n'arrête pas un train quand il est lancé. La preuve, hier, 247 manifestations  dans toutes la France. Ce chiffre à lui seul en dit long, il est même en augmentation par rapport à la journée du 2 octobre, elle aussi un samedi, et qui avait déjà battu des records.

    Je suis convaincu que tout ceci n'est qu'un début, que les Français ne lâcheront rien, parce que ce qui se joue ici, c'est bien plus que le combat contre la réforme des retraites. C'est le rejet d'un pouvoir populiste et méprisant qui ne connaît que la force et la répression comme outils de dialogue, c'est un profond sentiment d'injustice devant la crise que l'on fait payer aux victimes quand les coupables continuent à s'enrichir, c'est un désarroi immense et une inquiètude abyssale face à l'avenir, particulièrement chez les jeunes qui ont l'impression d'être sacrifiés.

    Pour toutes ces raisons, et bien d'autres encore, car la colère qui s'exprime et s'exprimera encore dans les jours qui vont venir vient de loin et à de multiples sources, pour toutes ces raisons, donc,le mouvement ne pourra que s'amplifier. Que l'on ne s'y méprenne pas, l'histoire ne bégaie pas et ne se répète jamais. Les Français ne rejouent pas 1995 (les cheminots ne semblent pas prêts à jouer les fers de lance), 1968 (l'utopie et l'envie de changer le monde ne sont pas présents) ou encore moins 1936 (qui parle de lendemains qui chantent ?). Non, le peuple Français, rebelle et frondeur, le seul à avoir décapité un roi, est en train de nous jouer Octobre 2010, une date qui fera date. N'en doutons pas !

  • LE PRESIDENT DES RICHES

    Depuis vingt-cinq ans, les sociologues Monique Pinçon-Charlot et Michel Pinçon étudient au sein de la société française une bien étrange tribu : les riches.

    Je ne saurai trop conseiller la lecture du « Président des Riches », un ouvrage très bien ficelé, très énervant de vérité,  bien écrit .

    Les deux sociologues s’attardent sur l’oligarchie sarkozyenne, la construction d’un système au profit de certains et aux détriments du plus grand nombre. Tout y passe. Les relations d’intérêts, les manifestations d’intérêts, les conflits d’intérêts.

    Sarkozy est l’incarnation la plus visible en France du pouvoir des Riches. Cela fait longtemps,  que je nous faisons ce constat.

  • LA PEINE DE MORT DOIT DISPARAITRE



    La peine de mort est condamnée à disparaitreJournée mondiale contre la peine de mort : 10 octobre 2010

    En 2003, la Coalition Mondiale contre la peine de mort, dont Amnesty International est membre fondateur, a décidé de faire du 10 octobre la Journée mondiale contre la peine de mort.

     

     

    La Journée Mondiale est consacrée cette année aux Etats-Unis, mais son potentiel va bien au-delà.

    Elle a pour but de mettre en évidence les défauts et les préoccupations qui entourent l'application de la peine de mort aux Etats-Unis et dans le monde, ainsi que de montrer la solidarité internationale avec les militants anti-peine de mort aux Etats-Unis en envoyant des messages positifs sur la tendance à l'abolition dans le monde entier.

    Beaucoup de pays maintenant la peine de mort justifient souvent son application par l’exemple des Etats-Unis, le dispositif pénal de la peine de mort y étant perçu par beaucoup comme efficace, juste et fiable.
    Cette journée internationale fournit l’occasion de montrer que tel n’est pas le cas, en combattant la tendance des décideurs politiques et du grand public des autres pays maintenant la peine de mort d’utiliser cette justification, ainsi que de continuer à sensibiliser l’opinion aux Etats Unis sur les défauts

  • C'EST LES VACANCES !

    Depart pour la Tunisie à 9h50 .A bientot,mais le blog vit toujours cette semaine.

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