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AZURCOM - Page 23

  • ALLEZ LA FRANCE

    On  y a cru jusqu’au bout. Certes le but de Hummels en début de match obligea les Français à courir après le score pendant 81 minutes .

    FRANCE ALLEMAGNE 2014 EDEN spectatrices

    Une formation qui eut le mérite de réagir et, en début de seconde période, de prendre l’ascendant sur leur adversaire avant de baisser  pied. Les « Allez les Bleus » ont d’ailleurs retenti dans toute la France  chaque fois que les Français mirent Neuer en difficulté. Que dire de l’ultime tentative de Benzema repoussée de la main par le gardien allemand à la fin du temps additionnel ?

    La déception  n’avait  d’égale que la tension palpable tout au long de la rencontre.

    Depuis le coup franc victorieux de la 13e minute, dans la moiteur de la soirée, la frustration n’a fait que croître.

    Si la France quitte Rio à regrets aprés un bon parcours en coupe du monde , il en fut de même pour les supporters on y a cru jusqu’au bout.

     

  • UN VOYOU AVEC DES METHODES DE VOYOU

    Nicolas Sarkozy est un homme de droite, un homme d'argent  , un homme de mauvaises manières, un voyou. Ce sont quatre  raisons suffisantes, pour moi, de ne pas l'aimer, de le voir en prison ailleurs . J'ai combattu ses idées, je les combats encore, je ne souhaite pas son retour à la tête du pays. La justice, en le soumettant à ses règles, fait son travail, en toute indépendance. Le personnage a dépassé ses comptes de campagne, est forcément responsable dans l'affaire Bygmalion : ce qui lui arrive aujourd'hui n'étonne donc pas, quelles que soient les suites et les conclusions. Ses amis cherchent à le défendre en parlant d'"acharnement judiciaire" : oui, la justice s'acharne à découvrir la vérité et à faire appliquer la loi. Il n'y a pas d'autre "acharnement" que celui-là.

    Après avoir rappelé ces évidences, il faut déplorer ce qui s'est passé ces dernières heures : la garde à vue et la mise en examen d'un ancien chef de l'Etat. C'est catastrophique pour la République. Car ce n'est pas un simple individu qu'on traite ainsi, c'est un ex président de la République . Il a eu des fonctions tellement éminentes qu'elles marquent, à juste titre, toute une existence, comme un ministre qui ne l'est plus se fait toujours appeler "monsieur le ministre". Il ne sert à rien de se gargariser de cette formule : "Nicolas Sarkozy est un justiciable comme les autres". C'est vrai en termes de droit, mais c'est politiquement faux : Sarkozy n'est pas un citoyen comme les autres, c'est un citoyen qui pendant cinq ans a représenté l'ensemble des citoyens, c'est-à-dire l'Etat et la France. En ce sens, son statut est particulier, on ne peut pas le ramener à la commune mesure.

    C'est de politique dont il est question. Quand la tête est visée, le corps tout entier est menacé. Surtout quand c'est la plus grave des accusations en République : la corruption (Robespierre se voulait incorruptible). Depuis toujours, l'extrême droite en a fait son beurre car les événements de ces dernières heures sont catastrophiques pour la République. Je grossis le trait : Sarkozy en prison, Le Pen à l'Elysée, est-ce cela qu'on veut ? L'UMP est corrompue et endettée, le PS est impopulaire et divisé : dans ces conditions, on se prépare à une explosion du vote d'extrême droite aux prochaines élections.

    Comme l'écrivain et philosophe Régis Debray, je suis plus républicain que démocrate. Le démocrate se réjouit de voir que la loi est la même pour tous et que l'Etat de droit l'emporte en toute circonstance. Mais le républicain s'inquiète de voir l'ex premier magistrat de la République éclaboussé par le scandale, convoqué en justice, demain peut-être sanctionné par elle et ,les républicains ne peuvent pas se résoudre à avoir le choix entre le scandale et l'extrême droite (t hériter des deux

    . Un élu de la République, à quelque niveau que ce soit, doit être une personne irréprochable  et l'idéal, bien sûr, ce serait que Sarkozy ait été vertueux comme tous les élus le soient : c'est ce que souhaitait Robespierre. .

  • SARKO EN GARDE A VUE

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    J’ai eu l’information en écoutant la radio et je l’annoncée à ma femme qui a eu comme seule réaction : « ça ne m’étonne pas que Marine Le Pen fasse des bons scores ».
    Elle ne m’a même pas demandé pourquoi, tant cela semble une suite logique… A la limite, on monde s’en fout.
     
    Nicolas Sarkozy est donc en garde à vue depuis hier  matin et j'ai vraiment  envie de faire exploser ma joie .un oeu comme quand la France a marqué contre le Nigéria  . Il y est seul, sans avocat, puisqu'il n'a pas voulu appeler un autre avocat que Me Thierry Herzog, lui-même en garde à vue actuellement. C'est pratique, ça lui permet de se poser en victime d'un acharnement judiciaire où tout est fait pour l'empêcher de revenir sur le devant de la scène politique, scène qu'il avait promis de quitter au soir de sa défaite en mai 2012.
     
    Bonjour bonjour !
La géniale Camille Besse m'a fait un beau dessin ce matin.
    Si Nicolas Sarkozy est seul en garde à vue, il est aussi singulièrement seul, sans soutien à l'UMP. La tête actuelle de l'UMP tient à son silence puisque ni le triumvirat Fillon - Juppé - Raffarin, ni le secrétaire général intérimaire Luc Chatel n'ont voulu soutenir publiquement ni même s'exprimer sur le sujet. Même silence chez les candidats à la présidence de l'UMP où ni Hervé Mariton, ni Bruno Lemaire n'ont souhaité communiquer sur la garde à vue de l'encombrant ex président.
     
    Pas de bol pour Nicolas Sarkozy, quand des élus UMP prennent la parole, c'est rarement pour le soutenir. Pour le sénateur Pierre Hérisson, "il faut que ça s’arrête car Nicolas Sarkozy va foutre en l’air le parti". On a vu mieux comme encouragement ou comme soutien. D'autres, à l'image du député Thierry Solère, préfèrent faire entièrement confiance à la Justice : "Je ne veux pas laisser prospérer le sentiment qu'il y aurait une justice de droite et une justice de gauche. En France, il y a la justice, et tous les citoyens, quel que soit leur passé ou futur, quand ils sont questionnés, doivent répondre aux questions de la justice. C'est un sentiment qui est très mauvais pour la démocratie s'il se développe." Il n'est pas facile de trouver un véritable soutien à Sarkozy dans les propos de Thierry Solère qui ajoute : "Je n'ai aucun doute sur le fait que la justice soit impartiale, qu'elle juge en droit cette affaire. Si Nicolas Sarkozy est innocent, il sera innocenté. S'il est coupable il sera condamné."
     
    Ces derniers propos de Thierry Solère sont agréables à entendre. L'UMP nous avait plus habitué à une critique sans faille de l'appareil judiciaire, que ce soit quand elle en a contre des pontes de l'UMP (Stéphane Richard, Claude Guéant, Brice Hortefeux, Patrick Buisson, Guillaume Lambert, Edouard Balladur sont inquiétés pas la Justice), ou quand elle n'agit pas comme le souhaiteraient certains élus UMP dans sa gestion des faits divers.
     
    Au final, ces réactions mesurées d'une majorité de l'UMP peut redonner un espoir dans une opposition apaisée et respectueuse. Depuis 2007 (et même un peu plus tôt), Nicolas Sarkozy et ses portes-flingues nous avaient habitués à leurs excès et leurs attaques continues contre la Justice. Aujourd'hui, même l'UMP souhaite laisser la Justice faire son travail et laisse Nicolas Sarkozy répondre de ses actes. Si aujourd'hui il est en garde à vue, ce n'est que pour une question de trafic d'influence. On n'est pas encore sur les financements des campagnes électorales de 1995 (affaire Karachi), 2007 (affaires Kadhafi et Bettencourt) et 2012 (affaire Bygmallion). On risque donc d'entendre souvent parler de Sarkozy et de ses proches face à la Justice.
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  • NON AUX EOLIENNES

    Un collectif anti-éoliennes dans le sud de l’Aisne

    Publié le 30/06/2014

    Par Michel MAINNEVRET

     

    PRIEZ/COURCHAMPS (02). Les opposants ne veulent pas que ce coin tranquille ne devienne un concentré de parcs éoliens. Ils dénoncent «l’éolien de type industriel».

     

    
Pas de doute pour ces opposants, la dévaluation des biens immobiliers est en marche. 
Pas de doute pour ces opposants, la dévaluation des biens immobiliers est en marche.
    Quand on arrive de Sommelans, les éoliennes dominent déjà le village de Priez. Elles ont été installées là il y a quelques années, sur le village voisin de Hautevesnes. Habitante de Priez, Hélène le reconnaît, « ça ronronne régulièrement… ». Alors, à l’idée d’en accueillir sept nouvelles, non merci !

    Jeudi soir, avec une douzaine d’autres habitants, elle participait à la mairie à une réunion du collectif Remontvoisin-Priez-Breuil (Remontvoisin et Breuil sont des hameaux de Neuilly-Saint-Front). Et cela à l’occasion des remarques déposées lors de l’enquête publique concernant la « centrale éolienne » de l’Osière.

    Une enquête publique qui se termine à Priez (où doivent être implantées cinq éoliennes), mais qui se poursuit à Courchamps (qui recevra deux éoliennes), jusqu’au 5 juillet.

    Coin tranquille

    Philippe Leconte habite Priez, il est le porte-parole officieux du collectif. Il s’insurge contre la multiplication de ces mâts dans ce coin tranquille. « Nos villages seront encerclés par trois parcs éoliens », affirme-t-il, puisqu’un autre parc est prévu sur Neuilly-Saint-Front.

    Il continue : « Cela aura un impact sur la faune, en particulier les oiseaux migrateurs, et ça a déjà été constaté sur le parc de Hautevesnes. Du fait de la proximité de la route départementale, les projections de givre ou débris sont à craindre en hiver. Et puis, il y a les perturbations de la nappe d’eau, du fait de fondations aptes à recevoir 1500 tonnes de béton, c’est tout à fait possible ».

    Avec d’autres opposants, il considère également que cela aura un impact sur l’immobilier, « la dévaluation des biens ne fait aucun doute ».

    D’après eux, un couple qui voulait s’installer dans la région a été très récemment découragé par la présence des éoliennes.

    Globalement, les membres des collectifs déplorent l’opacité du projet.

    Un projet qui fait également émerger l’opposition villes/campagnes, l’une des lignes de fracture de la société française, et cela débouche sur un ras-le-bol profond, comme le remarque encore Philippe Leconte : « L’impact sur le paysage sera absolument déplorable. À 100 kilomètres de Paris, à la grande surprise des citadins, l’Aisne offre des paysages remarquables caractérisés par l’amplitude de ses vallonnements et l’ouverture des horizons. Les parcs éoliens industriels qui se multiplient apparaissent de ce fait comme un véritable saccage. Et nos villages sont sacrifiés ».

    Manque de conscience

    Venu en voisin de Monthiers, Pierre de Galzain va plus loin : « Cela prouve l’appropriation par le privé, ou ce qui le deviendra, de l’espace public, avec les gaz de schiste, le TGV, le centre d’enfouissement, les antennes téléphoniques. Résultat : on aura des villes propres, mais avec en effet des campagnes sacrifiées ».

    Philippe Leconte regrette « le manque de conscience des responsables politiques, leur manque de courage politique », il propose même que la communauté de communes de Neuilly-Saint-Front prenne en main la régie électricité.

    À noter que le registre de l’enquête publique sera aussi enrichi des conclusions de Philippe Grossel, docteur en sciences physiques, et enseignant à l’Université de Reims.

     

  • ANNULONS LE DEFILE DU 14 JUILLET

    SIGNER LA PETITION
     
    Il faut que les zautorités annulent ou décalent le défilé du 14 juillet .
     
    POURQUOI
     

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    Rappelons que la finale de la coupe du monde   aura lieu le 13 juillet à 22 heures.
     
    Si la France joue la finale , François Hollande va normalement  y participer   (comme spectateur, pas comme joueur !), il ne pourra pas être de retour à temps pour les cérémonies, le match finissant vers 23h30 .
     
    Si la France gagne, les Champs-Élysées seront immédiatement envahis par la foule, quel que soit le nombre de CRS déployés ! Toute la préparation du défilé sera foutue en l'air ! Sans compter les comiques qui iront visiter les tribunes présidentielles place du Trocadéro...
     
    Et je ne vous dits pas si  c'est l'Algérie qui  gagne ..... 
     
    Il faut donc que le défilé du 14 juillet soit annulé ou  se tienne, au minimum, un jeudi pour pouvoir faire le pont  et le temps de tout préparer...
     
     
  • LAICITE : IL EST TEMPS DE SE RESSAISIR

    Laïcité : il est temps de se ressaisir !
    L'appel de "Marianne"
    Magazine Marianne | Jeudi 26 Juin 2014

     

    Il y a urgence ! Les politiques se sont trop longtemps défaussés sur les juges, comme le montre l'interminable feuilleton Baby-Loup, désormais entre les mains de la justice européenne. "Marianne" publie un appel d'intellectuels, de politiques et d'acteurs de la société civile. Pour renouer avec la tradition républicaine et en finir avec trente ans de démissions. Un appel que vous pouvez vous aussi signer sur la plateforme Change.org.

     

    Dessin : Louison
    Dessin : Louison
    Hommes et femmes d'horizons philosophiques, politiques et professionnels différents, nous sommes inquiets de voir à quel point, face à l'action engagée par diverses mouvances religieuses et politico-religieuses pour attenter à la laïcité républicaine, la réponse politique demeure faible. Pour notre part, récusant autant ceux qui exploitent la défiance générale pour accentuer la fracture sociale et identitaire, que ceux qui rejettent toute analyse critique du multiculturalisme dans le camp des « réactionnaires » ou des « intolérants », notre démarche vise à défendre et faire vivre la laïcité sans blesser mais dans la clarté et la fermeté, à trouver des solutions sans heurter mais sans faillir.

    La laïcité — qui refuse les aspects politiques des religions et laisse à ces dernières toute liberté dans la vie sociale sous régime de droit commun — est globalement vécue dans notre pays comme une « tradition moderne », ce qui est parfois difficile à décrypter pour ceux venus d'ailleurs. Or aujourd'hui, la laïcité comme principe politique, code de vie collective et force morale, est remise en question par divers mouvances et groupes religieux qui rejettent « la démocratie des mécréants », la suprématie du droit civil sur les textes, à leurs yeux sacrés, avec un usage maîtrisé des radios communautaires et d'internet. Dans cet espace ainsi ouvert se rejoignent radicaux et orthodoxes issus des trois religions monothéistes pour exploiter à leur profit la crise ambiante, remettant notamment en cause les acquis du long combat pour l’égalité des sexes que l’on croyait clos et qui, à notre grande surprise, est à reprendre.

    Notre propos n'est pas de nier l'existence d'une diversité ethnique, religieuse, culturelle ou autres, encore moins de réfuter le droit d'appartenir à telle ou telle communauté à la condition, toutefois, que celle-ci ne verse pas dans le communautarisme et reste ouverte sur l'extérieur, qu'elle facilite le va-et-vient en pensées et en individus entre le dedans et le dehors. Mais plus encore à la condition que, sachant indivisible notre République de citoyens, chacun se reconnaisse dans un fonds commun en histoire, en droits, en valeurs et en normes dont la laïcité est l’une des plus éminentes. Pour autant la laïcité n'est pas un dogme, on a le droit de manifester des opinions anti-laïques, mais on n'a aucunement le droit de transgresser les lois laïques votées par le Parlement.

    Or depuis une trentaine d'années, des mouvements se développent dans notre société qui semblent aller en sens inverse, du fait d'une immersion des peuples dans la mondialisation avec perte des repères, d'une circulation accentuée de populations poussées hors de leurs pays par la misère, les révolutions et les guerres théocratiques, fondamentalistes, interethniques et nationalistes. Ont ainsi surgi des exigences en matière de rituels vestimentaires, alimentaires, cultuels ou d'expression médiatique, qui sont loin de correspondre toujours aux demandes réelles de populations hétérogènes d'un point de vue économique et identitaire. Certains pays ont expérimenté sur ce terrain une attitude permissive, comme le Canada sous le couvert d'accommodements dits raisonnables, avant de reculer face aux incohérences des revendications et au risque d'un éclatement sociétal : tribunaux rabbiniques ou islamiques, jours fériés spécifiques à chaque religion, révision multiforme des programmes scolaires, pauses pour les prières sur les lieux de travail, formation au multiculturalisme de la police et des médecins, imposition de quotas pour certains recrutements et différents concours, etc. Ces accommodements s'imposent quelquefois au niveau mondial avec, depuis peu, l'autorisation du port du voile ou du turban sur les stades.

    De plus en plus en France, le flou juridique en matière de laïcité, doublé de l'indécision politique, favorise au sein de nombreuses institutions publiques et privées des « accommodements » mal vécus par une grande partie des professionnels et des usagers. Face à ces confusions — qui alimentent les extrêmes — ce sont aujourd’hui bien souvent les décisions prises par des acteurs de la société civile, sans toujours le garant de la loi, qui montrent courageusement la voie à suivre. Ce fut ainsi le cas pour la crèche Baby-Loup comme pour l'entreprise Paprec, en Seine-Saint-Denis, qui s’est dotée d’une charte de la laïcité, acceptée à l'unanimité des 800 représentants de ses 4 000 salariés, pour imposer un devoir de neutralité sur le lieu de travail où coexistent des employés de 52 nationalités.

    Pour accueillir l'altérité, un pays se doit d'être solide sur ses pieds, confiant dans ses fondations, tout en étant capable, par ses structures d'accueil et en fonction de ses capacités, d'intégrer chacun sur la base de principes clairs expliqués et enseignés. Il appartient aux politiques et aux institutions de transmettre cette laïcité, qui reste par nature un formidable levier d'intégration puisqu'elle permet de rassembler tous les citoyens — et au-delà tous ceux qui vivent sur le territoire national —, quelles que soient leurs origines religieuses ou ethniques, qu’ils soient croyants ou non, sans la moindre distinction. Tous les citoyens et les responsables, quelle que soit leur sensibilité politique, sont concernés. Or nombre d'entre eux ne réagissent plus sur ce terrain, quand d'autres l'instrumentalisent d'un point de vue idéologique. Entre autres raisons, les résultats des dernières élections municipales et européennes ont durement sanctionné ce délaissement de nos valeurs par nombre de ceux qui avaient à les faire vivre. Ainsi de la laïcité. Il est grand temps de se ressaisir !

     

    Signataires :

    Elisabeth Badinter, philosophe
    François Baroin, ancien ministre
    Sadek Beloucif, professeur de médecine, chef de service à l’hôpital Avicenne (Seine-Saint-Denis)
    Ghaleb Bencheikh, président de la conférence mondiale des religions pour la paix
    Abdennour Bidar, philosophe
    Jeannette Bougrab, ancienne ministre
    Luc Carvounas, sénateur du Val-de-Marne
    Yolène Dilas-Rocherieux, sociologue
    Luc Ferry, philosophe, ancien ministre
    Elisabeth de Fontenay, philosophe
    Nadia El Fani, cinéaste
    Marcel Gauchet, philosophe
    Jérôme Guedj, président du Conseil général de l'Essonne
    Jean Glavany, député, ancien ministre
    Asma Guénifi, présidente de Ni putes ni soumises
    Daniel Keller, grand maître du Grand Orient de France
    Patrick Kessel, président du Comité Laïcité-République
    Catherine Kintzler, philosophe
    Jean-Pierre Le Goff, sociologue
    Catherine Lemorton, Présidente de la commission des Affaires sociales de l’Assemblée nationale
    Anicet Le Pors, ancien ministre
    Richard Malka, avocat
    Samuel Mayol, directeur de l’IUT de Seine-Saint-Denis (Paris 13)
    Abdelwahab Meddeb, écrivain
    Corine Pelluchon, philosophe
    Jean-Luc Petithuguenin, Pdg de Paprec
    Alain Seksig, inspecteur de l’Education nationale
    Malika Sorel, essayiste
    Francis Szpiner, avocat
    Michèle Tribalat, démographe
    Sihem Habchi, ancienne présidente de Ni putes ni soumises
    André Laignel, ancien ministre,
    Guy Lengagne, ancien ministre
    Christian Bataille, député du Nord
    Philippe Baumel, député de Saône-et-Loire
    Jean-Pierre Blazy, député du Val d'Oise
    André Henry, ancien ministre
    Gaye Petek, fondatrice de l’association Elele-Migrations et cultures de Turquie
    Jean-Louis Auduc, directeur honoraire des études à l'IUFM - Université Paris Est Créteil,
    Gérard Delfau, sénateur honoraire
    Philippe Esnol, sénateur des Yvelines
    Guylain Chevrier, formateur en travail social, chargé de cours à l'université
    Bernard Ferrand, Professeur honoraire, chargé de mission Laïcité à l'Université d'Evry,
    Frédérique de la Morena, maître de conférences en Droit public, Université Toulouse,
    Michèle Narvaez, Professeur en Classes Préparatoires aux Grandes Ecoles à Lyon,
    Alain Simon, haut fonctionnaire
    Georges-Marc Benamou, écrivain et producteur
    Martine Cerf, co-directrice du Dictionnaire de la laïcité
    Philippe Foussier, président délégué du Comité Laïcité République
    Philippe Guglielmi, conseiller régional d'Ile de France
    Catherine Jeannin-Naltet, grande maîtresse de la Grande Loge féminine de France
    Cindy Léoni, ex-présidente de SOS Racisme
    Michel Meley, président de la Fédération française du Droit Humain
    Odile Saugues, députée du Puy de Dôme
    Gilles Schildknecht, haut fonctionnaire pour l'enseignement supérieur et la recherche

     


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  • ILS N'ONT PAS RESPECTER LA REGLE DU JEU

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    La Coupe du monde 2014 nous passionne mais n'oublions pas que cet événement populaire se déroule dans un des temples du ballon rond : le Brésil. Au nom du football, les violations des droits humains dans ce pays se sont multipliées.

     

    La liberté d'expression et le droit de manifestation sont menacés

    La présence d’un certain nombre de propositions de loi « antiterroristes » draconiennes, actuellement devant le Parlement, témoignent de l'intention des autorités d'écraser toute manifestation, même pacifique, dans le pays. Des menaces pèsent maintenant gravement au Brésil sur la liberté d’expression et de réunion.

    Les militaires et les forces de police sont dans les favelas

    Les forces militaires et les forces de police occupent les favelas de Rio De Janeiro. De nombreuses interrogations surviennent quant à un recours excessif à la force et au contrôle des communautés par l’armée.

    Des populations ont été expulsées pour les chantiers de la Coupe du monde

    Les autorités brésiliennes ont expulsé des populations à Rio de Janeiro avec un mépris total envers les droits humains. Ces expulsions ont été réalisées pour construire les infrastructures pour la Coupe du monde et pour les Jeux Olympiques de 2016.

    La police a carte blanche pour arrêter les manifestants

    L’année dernière la police a fait usage d’une force excessive, blessant de nombreux manifestants. Au lieu de former la police à réagir de façon adéquate face à des manifestations pacifiques, les autorités brésiliennes préfèrent criminaliser l’action des manifestants.La police a alors carte blanche pour arrêter les manifestants et les placer en détention.

    La Coupe du monde 2014 aura des conséquences pour la liberté d’expression au Brésil

    Ces derniers mois, de nouveaux textes de loi qui représentent une menace pour la liberté d’expression ont été déposés. Cela ne concerne pas uniquement la Coupe du Monde : tout ceci aura des conséquences à long terme pour toute manifestation pacifique dans le pays.

    Dans 12 villes du Brésil, les autorités fédérales et des États sont en train d'adopter des mesures spéciales concernant la sécurité publique et le maintien de l'ordre pendant les événements. D'après les prévisions, des milliers de personnes devraient exercer leur droit de manifester pacifiquement et descendre dans la rue.

    Allez plus loin

    Lire notre rapport : "Brésil. « Ils utilisent une stratégie de la peur » Le Brésil doit protéger le droit de manifester"
    Index AI : AMR 19/005/2014
    Date de publication : 5 juin 2014

     

     
     
  • BONNE NOUVELLE

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    ARDENNES. C’est une première nationale. Ce mardi en fin de matinée, sur la commune d’Antheny dans l’arrondissement de Charleville-Mézières, la société Cardem Démolition a procédé au démantèlement d’une éolienne par basculement à l’explosif.

    L’équipement avait été fortement sinistrée après qu’un incendie s’était déclaré au niveau de sa nacelle le 9 janvier 2014.

    L’opération de ce mardi a mobilisé 13 sapeurs-pompiers, 20 gendarmes, une trentaine de personnes de la société en charge du démantèlement ainsi que des experts d’ERDF, de GRTGaz et de la société propriétaire de l’éolienne.

  • A MEDITER

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