"J'ai l'honneur,au nom du gouvernement de la République,de demander à l'Assemblée nationale l'abolition de la peine de mort"
Robert Badinter le 17 Septembre 1981
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"J'ai l'honneur,au nom du gouvernement de la République,de demander à l'Assemblée nationale l'abolition de la peine de mort"
Robert Badinter le 17 Septembre 1981
LA LISTE DE GAUCHE "ALPES-MARITIMES SOLIDAIRES"
La liste Alpes-Maritimes Solidaires conduite par Marc Daunis est composée de Marc Vignal , maire de La Penne d’Evelyne Rigouard maire de Cuebris , de José Garcia-Abia conseiller municipal du Cannet et deux suppléants : Rosalba Nicoletti-Dupuy conseillère municipale de La Trinité et Marc Orsatti conseiller régional et conseiller municipal de Saint-Laurent-du-Var.
Le 28 septembre prochain auront lieu les élections sénatoriales dans la moitié des départements qui permettront la désignation de 178 sénateurs sur les 348 que compte la Haute Assemblée : en effet, les sénateurs sont élus pour 6 ans et renouvelables par moitié tous les trois ans.
Les sénateurs ne sont pas élus au suffrage universel direct. Ils sont élus par ceux que l’on appelle « les grands électeurs » à savoir les élus locaux : conseillers régionaux, généraux et municipaux , et dans les grandes villes, les conseillers municipaux doivent en plus désigner un certain nombre de délégués supplémentaires .
J'ai donc été désigné grand électeur pour cette élection dont l’enjeu est important pour la gauche tant sur le plan national et local.
Sur le plan local, parce que le département des Alpes-Maritimes est concerné par ce scrutin du 28 septembre : les grands électeurs auront ainsi à désigner au scrutin de liste et à la proportionnelle à un tour cinq sénateurs pour remplacer les sortants. Or, il y a parmi eux Marc Daunis , sénateur qui est le seul parlementaire de gauche sur les quatorze que compte notre département (neuf députés et cinq sénateurs).
Nous ne pouvons pas nous permettre de n’avoir dans ce département que des représentants de l’UMP-UDI. . Malheureusement, elle va, une fois de plus et de façon suicidaire, partir dispersée , PS les Verts et le Front de Gauche dont l'ambition affichée est " de sanctionner le PS au pouvoir " donc de le faire perdre .
.Vaste programme
Et Méluche , qui a vraiment besoin de prendre du recul , compare son invité à.... Alfred Dreyfus, déclarant, en substance, que la Gauche doit défendre cet ex trader comme elle a défendu le Capitaine Dreyfus à la fin du 19ème siècle. Mélenchon qui se targue d'avoir une connaissance approfondie de l'Histoire a tout bonnement oublié qu'Alfred Dreyfus fut injustement condamné parce qu'il était innocent comme ont contribué à le démontrer, avec courage, Emile Zola, Jean Jaurès, entre autres .
Ils ont fait science po, passé ou non un concours de l’administration, regardé autour d’eux… Et finalement trouvé un poste d’attaché parlementaire ou encore un job dans une collectivité et, pour les plus chanceux ou les plus habiles, dans un « Cabinet ».
Dans ces milieux un tantinet confinés, ils ont pris le virus. Rien à reprocher : la densité d’intelligence y est grande, les sujets d’intérêt nombreux et variés, l’endogamie forte et l’impression d’appartenir à une sorte d’élite pensante, bougeante et agissante, porteuse. L’envie vient d’aller plus loin, de fabriquer soi-même de l’immédiat au lieu de travailler à façon celui des autres, de projeter, d’échafauder, de bâtir ou du moins de le croire.
Cinq ou dix ans ont passé, ils entrent à leur tour dans la piscine. Grand bain pour les museaux les plus fins (tenter une élection uninominale, cantonale le plus souvent), moyen bassin pour la plupart (figurer sur une liste municipale ou régionale), pataugeoire pour les encore timides (tenir un rôle dans une équipe de campagne). Ils gagnent ou ils perdent, mais ils demeurent dans cet entre-soi réconfortant où l’on partage les mêmes idées avec, bien souvent, l’impression d’avoir raison.
Ceux qui gagnent du premier coup sont les plus à risque : ils n’ont plus seulement le virus, mais la maladie. Grand air, bobine sur le journal après l’avoir eue sur de grandes affiches, ils sont quelqu’un, c’est à dire déjà plus tout-à-fait eux-mêmes. Les autres retenteront. Ce sera plus ou moins long, plus ou moins brillant, quelquefois péniblement stationnaire, mais ils arriveront quelque part, même si pas toujours où ils voulaient.
Le danger maximum vient avec le succès dans une élection où l’on a été parachutée, voire même que l’on a sélectionnée sur la carte si on a eu la chance d’être dans les instances du Parti, d’avoir un mentor de grand renom ou de grand pouvoir, d’être choisi par un qui ne voulait/pouvait pas se représenter.
S’il est élu, le parachuté devient un conquérant. Nul, sur le terrain, ne le connaissait avant, ne sait vraiment quelles études il a faites ou s’il a eu jamais la moindre responsabilité. Son document électoral est son passeport. « Engagé dès mon plus jeune âge, j’ai fait mes études de droit, tout en travaillant pour financer mes études » (nombreuses variantes : sociologie, écoles de commerces…). Pas d’autre précision sur le « travail » pour financer les-dites études. Il n’est pas rare, mais pas obligatoire, qu’il s’agisse d’un stage dans le cabinet d’avocat paternel.
J’éxagère, évidemment, du moins dans la généralisation. Un nombre non négligeable de ces « porteurs de virus » viennent d’un « milieu modeste » (expression détestable mais que ceux qui sont devenus immodestes utilisent souvent). Ils ont réellement fait effort, passé des concours : ils resteront plus longtemps porteurs sains et pour quelques rares n’auront pas, ou très peu, de signes de la maladie. Le manichéisme n’est pas mon fort : même de milieu immodeste, quelques rares passent à travers les gouttes. J’en connais.
Après trente ans d’entre-soi, les voilà à leur tour à la tête d’une écurie : député entouré de ses trois assistants parlementaires et de quelques dizaines de congénères faits au moule; maire à la tête de son Conseil et de son Cabinet. .. Beaucoup demeurent au coeur du mouvement qui les a formés. Au PS, cela s’appelle des courants, après avoir été des motions. A l’ump, cela n’a d’autre nom que celui du mentor, généralement candidat potentiel à la prochaine présidentielle.
Dans cette période, ils apprennent à tuer le père, si ce n’est déjà fait, un exemple récent qui a défrayé la presse en témoigne. Ils s’agitent aussi pour peu que leur Parti soit celui du Président pour devenir ministre ou secrétaire d’Etat. Peu y arrivent, mais les remaniements sont aussi faits pour ça : élargir le champ des élus.
Dans cet éxercice, deux choix : s’opposer à peine un peu plus qu’il ne faut pour qu’il soit bénéfique de vous enrôler. Être au contraire toujours présent dans la sphère du pouvoir, se rendre souvent au ministère auquel on croit pouvoir prétendre, envoyer des notes, rencontrer les conseillers. Bref, être là, se faire connaître, tout cela n’ayant en soi rien de très grave.
Ce texte n’a d’autre objet que de répondre à un questionnement que j’entends plusieurs fois par jour depuis quelques semaines : comment cela est-il possible ?
« Cela » ? Perdre tout pied dans la réalité, n’avoir plus le sens commun. Agir comme si l’on était au-dessus de la règle la plus élémentaire, ne plus savoir entendre raison ou n’en plus avoir. Je n’ai besoin ni de noms, ni d’exemples : ils ne sont que trop nombreux.
L’explication la plus plausible est la plus simple : ces élus n’ont jamais connu la vie réelle. Entrés tôt dans le tunnel, ils n’en sont jamais ressortis. Compter pour savoir si l’on pourra payer ses deux employés à la fin du mois, si l’on aura soi-même assez pour assumer la scolarité du petit, le loyer… . Suivre de près météo, récoltes et prix des matières premières pour maintenir son exploitation agricole, répondre aux appels les nuits de garde en faisant entre deux la revue des traitements qu’on aurait pu oublier, toutes ces heures et ces jours où le réel est dur comme ciment et ou il faut le coltiner sans échappatoire possible, tout cela, ils n’en savent rien.
J’ai pour voisin à l’Assemblée un des deux seuls exploitants agricoles qui y siègent. Il s’y sent sur une autre planète et raisonne d’une manière différente à tous les autres. Pour sûr, il sait ce que payer une facture veut dire ou répondre à une échéance.
On dit bien souvent qu’il faut des jeunes en politique pour régénérer les pratiques et on juge trop souvent les Assemblées ou les Gouvernements à leur moyenne d’âge. Il faut des jeunes, c’est une évidence, comme il faut des femmes et plus encore, des élus issus de milieux différents, ayant des expériences différentes. Les jeunes pourtant, entrés tôt dans le tunnel et le gravissant sans interruption, sont plus à risque de comportements « hors sol ». Ils sont dépendants de la politique à tous les sens du terme, y compris financier.
La loi sur la parité a eu plus d’un mérite, mais un surtout : faire entrer dans le sérail des personnes qui, par définition, n’en venaient pas. C’est à vrai dire la seule explication pour celles qui « pratiquent la politique (un peu) autrement ». Les pas-jeunes, de même, n’ont pas a priori tous les mérites. L’histoire que j’ai racontée est valable pour des élus à mandat répétitif et le non-cumul dans le temps (pas plus de 3 mandats identiques successifs) devra bien finir par s’imposer.
Il n’empêche que… Dans le choix que vous aurez à faire de l’un ou l’autre candidat à l’une ou l’autre élection, il peut n’être pas inutile de regarder s’il est passé par la case Réalité.
Michele Delaunay . Députée de la Gironde , Conseillière Municipale de Bordeaux
AVANÇON (08). Une association s’est créée cet été pour protester contre l’installation d’éoliennes à proximité du village. « Bougeons à Avançon » ne veut pas accepter le fait accompli.
Tous les automobilistes qui passent par Avançon le constatent par les pancartes. Dans le village, on n’aime pas les éoliennes. À l’origine de cette levée de boucliers une association qui vient de se créer « Bougeons à Avançon » et qui lutte contre l’implantation d’éoliennes à proximité des habitations.
« La création qui remonte à 2007 de la zone de développement éolien autour de la commune est à l’origine de notre mouvement. Ensuite, il y a eu deux projets d’implantation. En 2011, Avançon dans le premier projet n’était concerné que partiellement par contre en 2013-2014, un deuxième projet prévoyant trois éoliennes sur le territoire de la commune nous a interpellés. Nous voulions plus de communication sur le sujet, car il y en avait très peu » explique Renée Mayot, présidente de l’association. Le projet en question « Mont Saint-Loup 2 » a été retoqué par l’administration, mais la détermination des anti-éoliennes est farouche.
Avoir une vision à long terme
« Dans le projet qui a été soumis, les éoliennes étaient trop proches du village. L’une d’elle était à 550 mètres, une autre à 669 mètres. Certes, le projet est pour l’instant ajourné, mais nous restons vigilants », avertit la présidente. Et l’association de dénoncer les nuisances induites par ce projet. « Notre inquiétude persiste car les éoliennes peuvent être implantées sur tout le territoire du village. Toute nouvelle implantation restera proche du village et présentera des nuisances sonores et visuelles. L’impact est désastreux, les éoliennes installées à Tagnon enlaidissent déjà le paysage. Il y aura des nuisances financières, car en général, on note une baisse de 5 à 20 % sur l’ensemble d’un parc immobilier situé à proximité d’éoliennes, sans compter les autres nuisances pour la faune et les réseaux de communication », argumente Renée Mayot qui plaide pour une vision à long terme. « Qui nous dit que les éoliennes vont rester rentables ? Aujourd’hui, on arrive à saturation. Les gens en ont marre. Il n’y a pas que la manne financière. L’éolien c’est du rapport immédiat, mais on remet en cause l’espace vital de toute une communauté.» C’est pourquoi l’association qui compte déjà une cinquantaine de membres se montre déterminée. « Nous ferons des pétitions, des manifestations s’il le faut. Les éoliennes, ce n’est pas une fatalité, chacun a son mot à dire.» Le maire d’Avançon, Hubert Launois, reste prudent : « Je n’ai pas d’avis pour l’instant. Je n’ai pas fait voter mon conseil pour savoir s’il est contre les éoliennes ou pas, mais il faudra bien qu’on se positionne.»
Le projet éolien qui a suscité la grogne des riverains a été retoqué en janvier 2014. « Un courrier a été envoyé aux développeurs en juillet pour qu’ils révisent le dossier », explique le sous-préfet Olivier Ginez. Le refus porte sur une incompatibilité avec le radar de la BA112. Le projet qui concerne Avançon « Mont Saint-Loup 2 », n’a rien à voir avec le parc éolien du mont des Quatre Faux. Pour Renaud Averly, président du Pays rethélois, « l’éolien constitue un levier fiscal important pour le territoire, 10 000 euros par mégawatt. Ce sont aussi des emplois de maintenance avec la perspective de la création d’un centre de maintenance sur le territoire. Maintenant, on ne pourra plus installer des éoliennes partout, il faut ressentir le seuil d’acceptabilité de la population ».
Journal L'Union L'Ardennais
La question de la confiance au gouvernement Valls II est posée. Le Premier ministre a choisi de développer une orientation qui prend le contrepied des attentes de 2012 ainsi que du projet socialiste et des engagements de F. Hollande. Nombre de députés de gauche ne voteront donc pas la confiance.
Cette question de la confiance ne concerne pas que les députés. Elle concerne l’ensemble des socialistes. Pour que ça pousse vraiment dans le sens d’une réorientation, d’un retour aux attentes et aux engagements de 2012, il faut qu’une majorité des socialistes s’engagent en repartant du projet adopté (à l’unanimité) en 2011.
L’enjeu dépasse les seuls socialistes, c’est un enjeu pour la gauche toute entière. C’est pourquoi, au-delà du projet socialiste, du débat entre socialistes pour réaffirmer une orientation majoritaire conforme aux attentes de 2012, il faut une mobilisation de toute la gauche.
Cette mobilisation suppose un accord sur quelques questions centrales dans la situation :
Enfin la question de la confiance suppose la mobilisation citoyenne et sociale.
Les citoyens doivent avoir leur mot à dire. La question d’une nouvelle république représentative doit être posée. Il est temps de passer à la VIe République.
Dans l’immédiat une mobilisation, avec le mouvement syndical, associatif, mutualiste doit être à l’ordre du jour pour peser dans le débat sur le financement de notre protection sociale avant que le débat n’arrive à l’Assemblée.
Avec ce triptyque : mobilisation des socialistes, rassemblement de la gauche sur des propositions communes, mobilisation sociale… la confiance peut changer de camp. La majorité rose, rouge, verte peut représenter l’alternative à la crise politique actuelle. La solution ce n’est surtout pas la dissolution ! Il faut changer de cap, et donc de Premier ministre et gouverner sur la majorité PS-PCF/Fdg-EELV qui existe à l’assemblée.
Cette mobilisation peut s’amplifier avec une campagne nationale de réunions nationales démultipliées partout sur le territoire avec un collectif unitaire pour le porter qui regroupe toutes les forces politiques disponibles pour ouvrir cette nouvelle perspective.
Le comportement de Thomas Thévenoud est unanimement jugé inadmissible, à gauche et à droite. Personne ne prend sa défense. Et pourtant, cet homme persiste à vouloir rester député. Pour ne pas risquer de sanction de la part de son parti, il le quitte et le tour est joué ! C'est consternant. Que dit-il pour se justifier ? Qu'on ne peut pas lui reprocher de la "fraude", mais seulement de la "négligence". Comme si la négligence était excusable de la part d'un parlementaire de la République, à ce titre responsable de l'impôt et de la loi.
Sa réaction pitoyable prouve un abaissement de la conscience civique de certains élus, qui prennent à la légère leur comportement, en diminuent la gravité. L'explication de Thévenoud vaut condamnation, et il ne s'en rend même pas compte. Il y a de l'indécence, de la morgue, du je-m'en-foutisme dans cette attitude. Il n'empêche que cet homme a été estimé suffisamment digne pour devenir secrétaire d'Etat, alors qu'il ne l'était pas. Ce qui pose aussi le problème du recrutement de la classe politique.
Thomas Thévenoud prétend que seuls les électeurs peuvent décider de son sort de législateur, qu'il n'a donc pas à démissionner de son poste de député, que son mandat doit être mené à son terme. Non, quand on contrevient si radicalement à la règle de la République, on ne peut pas se maintenir. Je suis pour le respect des mandats, à condition que leurs titulaires respectent la République, dans son esprit et sa lettre.
Je crains que le comportement de ce député ne soit le signe d'un relâchement qui affecte bien d'autres élus, quelle que soit leur sensibilité politique. Autrefois, ces manquements seraient sans doute passés inaperçus, parce que la vie privée avait beaucoup moins d'importance que les enjeux idéologiques. Aujourd'hui, l'idéologie a perdu de son importance, mais la moralité et l'exemplarité des élus sont observées à la loupe. Les moeurs publiques ont changé. On demande à un élu, quel que soit l'importance de son mandat, de la transparence et de la rectitude. Avant, on était moins regardant.
Si la classe politique veut retrouver un certain lustre et l'estime des Français, il faut qu'elle se mette au diapason de l'époque, qu'elle sacrifie aux nouvelles exigences. Un élu qui ne retient plus que la dimension honorifique de sa tâche et l'indemnité qui va avec, ce n'est plus tenable ni acceptable. Un élu qui ne siège pas ou peu, qui ne rend aucun compte de son travail, qui ne se rend pas disponible, qui ne fait rien ou pas grand chose, nos concitoyens ne supportent plus et ont raison.
Le poisson pourrit par la tête ; la République aussi. Et la tête de la République, du plus petit niveau au plus élevé, du conseiller municipal au député, ce sont les élus. Si nous étions dans une période faste, leurs faiblesses humaines n'auraient pas grande importance. Mais la République est aux abois, avec l'extrême droite à ses basques (voir le billet d'hier . La reconquête se fera par des élus démontrant leur dévouement, leur honnêteté, leur désintéressement : pour beaucoup d'entre eux, c'est déjà le cas. Mais les brebis galeuses doivent être chassées.
Historiquement, la République a été renversée soit par la guerre, soit par la corruption. Ce dernier mot est sans doute trop fort, appliqué à la situation actuelle. Mais le rapport à l'argent et aux avantages matériels des élus et responsables politiques ne souffre plus aucun laxisme, sauf à profiter à l'extrême droite, qui pourtant n'a aucune leçon à donner en matière de pureté morale. Quand la tête du poisson est pourrie, il faut lui couper la tête.
Aprés l'intervention de Rebsamen , aprés le livre de qui l'on sait aprés la brillante déclaration de Thévenoud , aprés ce sondage ahurissant, affolant, quasi-surréaliste qui donne l'actuel président de la République battu par le chef de l'extrême droite aux prochaines présidentielles je pense que tout à été dit , j'attends , les mots me manquent . Merci pour ces moments