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AZURCOM - Page 52

  • RENAULT : LE CHANTAGE A L'EMPLOI

     Les négociations entre la direction et les syndicats du constructeur automobile Renault ne doivent pas "s'apparenter à du chantage", a déclaré mardi l'entourage du ministre du Redressement productif, Arnaud Montebourg. "Les discussions qui sont en cours actuellement chez Renault doivent évidemment respecter le dialogue social et donc la méthode des négociations et, en aucun cas, ne s'apparenter à du chantage

     

    L’annonce par Renault de la suppression de 7500 emplois d’ici 2016 est un révélateur de l’arrogance et du sentiment d’impunité des grands groupes industriels à l’égard de leurs salariés et des pouvoirs publics.

    Quelques jours après la conclusion entre les représentants patronaux et trois organisations syndicales d’un accord sur la « sécurisation de l’emploi », le constructeur automobile en démontre toute la nocivité.

    C’est au cours de la négociation sur la compétitivité que la direction de la marque au losange a révélé un projet de restructuration qui conduit à une réduction de 15 % de ses effectifs sur le territoire. Il s’agit de 5 700 emplois non renouvelés et de 1 800 départs anticipés dont les deux tiers concernent directement le pôle de production de l’entreprise.

    Le groupe espère réaliser une économie de 400 millions d’euros sur ses coûts fixes et retrouver des marges financières dans un contexte de recul significatif de ses ventes dans les pays de l’Union Européenne. Pourtant avec 786 millions de profits déclarés au premier semestre 2012, les ressources de l’entreprise demeurent élevées et semblent moins affectées que celles de ses concurrents les plus proches.

    La simultanéité de cette déclaration de la direction de Renault avec la signature d’un « compromis » portant sur la réforme du marché du travail a de quoi inquiéter les salariés. Les dirigeants d’entreprises ont en effet obtenu des garanties décisives sur leur prédominance dans l’établissement des normes, la détermination et la définition de l’emploi. Il revient désormais aux travailleurs d’accepter les conditions fixées par l’entreprise, de s’adapter aux nouvelles recommandations et de se féliciter de ne pas perdre leur travail.

    À ce titre le cas de Renault est exemplaire. Les salariés doivent en plus de la diminution des emplois consentir à une augmentation de 6,5 % de leur temps de travail sans contrepartie de salaires, une mobilité obligatoire sous forme de détachement temporaire et une impossibilité de cumuler les congés non pris. Pour la direction l’accord des syndicats à ce plan de rigueur conditionne la pérennité de nombreux sites sur le territoire.

    Alors que près de 35 % des automobiles en circulation ont plus de 10 ans, que le marché de l’occasion reste dynamique et que la production de l’entreprise dans les pays tiers ne cesse d’augmenter, le groupe Renault semble vouloir privilégier la rentabilité à court terme au développement industriel.

    L’État actionnaire doit contraindre le groupe dirigeant à s’expliquer sur ses choix stratégiques, à maintenir l’activité dans ses diverses unités de production et à assurer des conditions décentes à ses salariés. Aucun nouveau modèle social n’émergera de l’humiliation des travailleurs, de l’abaissement du travail et de l’arbitraire managérial.

  • PROMESSE TENUE

    Il neige et il fait froid en hiver

    55 départements ont été placés en vigilance orange par Météo France alors que les accidents mortels se multiplient sur les routes en raison de la neige et du verglas.

     

    Et donc il neige. Les flocons bloquent sans surprise les transports de notre cinquième puissance économique du monde . 55 départements ont été placés en vigilance orange alors que les accidents se multiplient sur les routes en raison de la neige et du verglas.

  • PROMESSES TENUES

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    Le président  met en place son programme

     Depuis le 6 mai dernier, force est de constater que, malgré ce que l’on peut lire ça et là, le chef de l’Etat et son gouvernement appliquent presque à la lettre le programme pour lequel il a été élu. A presque huit mois de présidence et sur soixante propositions, les N° 1, 2, 3, 5, 6, 7, 9, 10, 11, 12, 15, 16, 17, 18, 22, 26, 31, 33, 34, 36, 37, 41, 47, 48, 55, 59, 60, sont désormais - et “déjà” - soit réalisées soit en cours.

     Les quatre dernières en cours de réalisation étant la N° 31 - “J’ouvrirais le droit au mariage et à l’adoption aux couples homosexuels” ; la 55 “ tout texte de loi concernant les partenaires sociaux devra être précédé d’une concertation avec eux” et, suite au conflit malien, la 60 “je maintiendrai une ambition nationale élevée dans notre outil de défense, et je serais très vigilant dans l’action contre le terrorisme...”

     Depuis hier, lancement de la proposition N° 48 “je ferais voter une loi sur le non cumul des mandats”, est en phase de présentation en conseil des ministres


     La commission Jospin de juillet dernier

     Le 14 juillet 2012, François Hollande a chargé une commission présidée par Lionel Jospin de plancher (notamment) sur le cumul des mandats - elle doit rendre ses conclusions début novembre. Le 5 octobre, il a indiqué que la loi sur le non cumul serait présentée au Parlement au printemps 2013. Le 9 novembre, la commission Jospin propose l'incompatibilité du mandat parlementaire avec tout mandat électif autre que le mandat local.

    Le chef de l'État a annoncé, mercredi, une loi visant à limiter le cumul des mandats ainsi qu'une révision de la Constitution.


     Le président de la République présentait ses vœux aux parlementaires. L'occasion de préciser sa position sur le cumul des mandats. Il a confirmé la proposition de la commission Jospin d'interdire tout cumul d'un mandat exécutif local avec un mandat parlementaire. Un sujet sensible qui suscite l'hostilité de nombreux élus, de droite comme de gauche, notamment parmi les sénateurs.

     François Hollande a annoncé que le projet de loi sur le non-cumul des mandats concernerait « tous les parlementaires », députés et sénateurs. Le texte s'appliquerait « quelle que soit la taille de la collectivité locale concernée. Cette réforme entrera en vigueur, si le Parlement en décide, durant le quinquennat ». Pour nombre de ses partisans, le texte devrait être vite mis en chantier pour être appliqué dès les élections municipales de 2014.

     Une réforme de la constitution, comme promise durant la campagne

     Le président de la République a aussi indiqué qu'une réforme constitutionnelle serait soumise au Parlement réuni en Congrès « d'ici à l'été ». Elle portera notamment sur le statut du chef de l'État, la suppression de la Cour de justice de la République et la réforme du Conseil supérieur de la magistrature. Avec l'objectif de « réviser notre Constitution dans le sens d'une plus grande indépendance de la justice et d'un approfondissement de notre démocratie ».


    Le président de la République a précisé que Jean-Marc Ayrault allait ouvrir « dans les semaines qui viennent des consultations des groupes politiques sur un avant-projet de loi » qui prévoira la « fin de la présence des anciens présidents au Conseil constitutionnel » ou l'introduction de « la démocratie sociale dans notre loi fondamentale ».

     

  • MARIAGE POUR TOUS

     Manifeste : au mariage pour tous, nous disons oui
    Je vous encourage à lire ce texte de Gularu publié chez Jegoun. Il s'agit d'un des plus beaux plaidoyers pour le mariage pour tous lu depuis longtemps.
     
    Ite missa est

  • GALETTE DES ROIS

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    Temps de préparation : 15 minutes
    Temps de cuisson : 40 minutes

    Ingrédients (pour 6 personnes) :- 2 pâtes feuilletées
    - 100 g de poudre d'amandes
    - 100 g de sucre
    - 2 oeufs
    - 120 g de beurre mou
    - quelques gouttes de  rhum , ou fleur d'oranger ou....... 
    - 1 jaune d'oeuf pour dorer
    - 1 fève !

    Préparation de la recette :

    Disposer une pâte dans un moule à tarte, la piquer avec 1 fourchette.
    Mélanger dans un saladier tous les ingrédients (poudre d'amande, sucre, oeuf, beurre mou, arome ).
    Etaler le contenu du saladier sur la pâte, y mettre la fève (sur un bord, pour minimiser les chances de tomber  dessus en coupant la galette!).
    Refermer la galette avec la 2ème pâte, et bien coller les bords.
    Dessiner au couteau dessus et dorer au jaune d'oeuf (dilué dans un peu d'eau). Percer le dessus de petits trous pour laisser l'air s'échapper, sinon elle risque de gonfler et de se dessécher.
    Enfourner à 200°C (th 6-7) pendant 15 min environ ensuite baisser le four à 180° pendant 30min

     

  • DROIT AU LOGEMENT

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    Un joli communiqué, qu’une fois n’est pas coutume, je reproduis tel quel. Plutôt que de faire une énième billet sur le logement, voici donc, in extenso, la réaction de JEUDI NOIR.

    Les journées de lundi 7 et mardi 8 janvier 2013 sont à marquer d’une pierre blanche pour les mal-logés. L’occupation victorieuse, par les associations DAL et Jeudi Noir, du 2 rue de Valenciennes à Paris, tout comme les réquisitions annoncées par le gouvernement, sont le fruit de la détermination du monde associatif, qui a fait évoluer la position du gouvernement sur ce sujet. Il y a 6 ans Jeudi Noir et le DAL réquisitionnaient un batiment vacant place de la Bourse, et créaient le Ministère de la crise du logement. Pendant plus de deux ans ce lieu de vie est devenu le symbole de la lutte pour le droit au logement. Les très nombreuses actions de l’époque avaient fait bouger les consciences. Restait à convaincre un gouvernement prêt à faire un pas en avant.

    Pour la première fois depuis 15 ans, lundi 7 janvier 2013, une ministre du Logement, Cécile Duflot, est venue soutenir les habitants d’un immeuble réquisitionné par leurs soins. Mardi 8 janvier, sur Canal Plus, le ministre de l’Intérieur Manuel Valls, à la question de Samia, habitante lui demandant si elle était hors-la-loi, a clairement répondu : « Non madame, vous n’êtes pas hors-la-loi. Puisque le logement c’est un droit. Cet immeuble ne sera pas évacué. » (source )

    En reconnaissant publiquement la légalité du droit au logement, Manuel Valls  ministre de l’intérieur reconnait qu’aucune loi n’a jamais interdit de s’abriter dans un batiment vide.

    Le droit au logement, au plus haut niveau du gouvernement, est ainsi reconnu comme une justification suffisante pour légitimer l’occupation d’un immeuble vide. Qualifié par le Conseil constitutionnel d’« objectif à valeur constitutionnel », le droit au logement avait été rendu opposable par une loi de 2007. Quant à l’occupation sans droit ni titre, ou squat, cela ne constitue pas une infraction, mais peut se régler devant la juridiction civile entre le propriétaire et les occupants.

     Des dizaines de milliers de ménages, déclarés « prioritaires DALO », sont toujours dans l’attente d’une solution digne et pérenne. Enfin, face au scandale de la vacance, il faut une loi forte pour taxer les bureaux vacants , ou encore pour arrêter de produire en masse des bureaux qui s’ajoutent aux millions de mètres carré déjà vides.

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    Plus globalement, les réquisitions doivent s’accompagner d’une vraie politique du logement :

    - encadrement et baisse des loyers,

    - lutte contre la rétention foncière,

    - interdiction des expulsions locatives,

    - construction massive de logements vraiment sociaux

    - captation de la rente foncière,

    - transformation de bureaux en logements,

    - taxe sur les bureaux vacants,
    La bulle immobilière, qui vacille sur ses bases, peut trembler !

    Administrateur d'une association qui a réalsé en 2012 6 logements PLAI à Antibes , je peux ,cette année financer 15 logements de ce type .

    Malheureusement je ne trouve pas de foncier ou immeuble à réhabiliter.

    Nous avons un conseiller régional à Antibes de la majorité , qui pourrait m'aider , lui qui demande la construction de logements sociaux pourquoi ne le fait-t-il pas ? 

     

     

  • SYRIE :LE DANGER S'AGGRAVE POUR LES CIVILS

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    Syrie : enfant blessé lors d’un bombardement © Amnesty International
    Syrie : enfant blessé lors d’un bombardement © Amnesty International

    [21/12/2012]

    Depuis le début des troubles en Syrie, qui sont apparus en mars 2011 et se sont à présent transformés en un conflit armé interne qui touche la quasi-totalité du pays, des dizaines de milliers de personnes ont été tuées. Alors que les affrontements semblent voués à se poursuivre et même à s’intensifier, les civils payent le plus lourd tribut au conflit.

     


    Les deux parties au conflit ont tué, torturé et maltraité des prisonniers. Le gouvernement syrien est responsable de bombardements aériens et de tirs d’artillerie indiscriminés sur des zones fortement peuplées, ainsi que de l’usage d’armes interdites par le droit international, telles que les bombes à fragmentation.

    Les forces d’opposition ont parfois employé des armes imprécises (telles que les mortiers) ou même des armes qui sont non discriminantes par nature (telles que des lance-roquettes artisanaux) dans des zones résidentielles très peuplées. L’opposition armée a récemment saisi, sur les positions des forces armées gouvernementales, une quantité importante d’armes lourdes. Si de telles armes sont utilisées de façon irresponsable, le risque que des civils soient blessés ou tués va s’accroître.

    Amnesty International appelle les deux camps à respecter les droits humains, à faire de la protection des civils une priorité et à se conformer strictement à leurs obligations vis-à-vis du droit humanitaire international.

    Agissez vous aussi dès maintenant EN SIGNANT LES DEUX PETITIONS !

     
     
    Message adressé au Représentant permanent de la République arabe syrienne auprès des Nations unies SIGNEZ
    Message adressé au Président de la Coalition nationale des forces de la révolution et de l’opposition syrienne SIGNEZ

     

     

     

     

     

     

  • CERCLE CONDORCET

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  • MARIAGE POUR TOUS :C'est oui

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    Ce sera la grande affaire du premier trimestre. Et "le Nouvel Observateur" entend être partie prenante de ce débat historique. La rentrée du président de la République sera largement occupée par la controverse autour du mariage pour tous.

    Une réforme que notre journal a décidé de soutenir, comme l'illustre la publication de notre manifeste "Pour nous, c'est oui !", d'ores et déjà signé par plusieurs dizaines de personnalités (intellectuels, artistes, comédiens, écrivains, psychanalystes…) homosexuelles ou hétérosexuelles. Pour signer le manifeste, envoyez votre nom et fonction à : manifestemariage@nouvelobs.com

  • L'EGLISE ET L'ETAT

    Dans une lettre aux chefs d’établissements des 8.300 établissements privés sous contrats avec l’État, Éric de Labarre, secrétaire général de l’enseignement catholique, a appelé ces derniers à prendre des initiatives "pédagogiques" contre le projet de loi sur le "mariage pour tous". Comme seule réponse à la mise en garde du ministre de l'Education Nationale Vincent Peillon, il a opposé une fin de non recevoir.

     

    Le ministre doit prendre acte de cette rupture unilatérale des contrats, qu'il l'a fasse constater par le juge et que l'État mette fin aux subventions des écoles privées qui suivraient les consignes politiciennes de Monsieur De Labarre.

     

    Liberté de conscience et séparation Église-État en danger

     Le lobby clérical va donc sans vergogne instrumentaliser les élèves qui lui sont confiés dans un débat qui ne le regarde pas ! Derrière la tartufferie des formules, il appelle en fait à soutenir matériellement une mobilisation politicienne contre le gouvernement, rêvant sans doute de rééditer l’opération de 1984 contre la loi Savary.

     L’UFAL tient à rappeler deux principes essentiels qui animent son combat laïque : la séparation des églises et de l’État, et la contestation du financement public de l’enseignement privé.

     La liberté de conscience et le principe de séparation interdisent à tout organisme cultuel d’intervenir dans la sphère publique.

     La loi de séparation du 9 décembre 1905, en proclamant que "la République ne reconnaît (…) aucun culte" a mis fin à la qualité d’établissements publics des cultes. Ni l’épiscopat, chargé de l’organisation du libre exercice du culte catholique, ni le secrétariat général de l’enseignement catholique, chargé d’organiser ledit enseignement dans le cadre de son "caractère propre" religieux, n’ont la moindre qualité à intervenir en la matière. Le débat concerne en effet, non le mariage religieux, mais le mariage civil, c’est-à-dire la "sphère publique", dont les organismes religieux sont par définition exclus.

     Bien évidemment, les catholiques, comme tous les autres citoyens, voire "l’Église", au sens de "la communauté des croyants", sont parfaitement libres de s’exprimer. Mais leurs points de vue sont forcément contradictoires et une grande partie d’entre eux n’est pas prête à soutenir l’opération politicienne de la droite. Nul organisme religieux ne peut prétendre "représenter" les citoyens. La liberté de conscience assurée par la République fait de chaque individu le seul détenteur de ses choix.

     

    Rupture unilatérale du contrat

     L’enseignement catholique viole ses obligations contractuelles : qu’il soit mis fin à son financement !

     Depuis la loi Debré de 1959, et la loi Guermeur de 1977, l’enseignement scolaire en France repose sur un système dual : d’un côté, l’école publique, gérée et financée par l’État, de l’autre, les écoles privées, dont la majorité se réclament d’un caractère confessionnel.

     Parmi ces écoles privées, une faible partie dépend des seuls financements privés. La plupart bénéficient de "contrats" (simples ou "d’association" au service public) leur permettant de faire rémunérer leurs enseignants par l’État et de bénéficier de subventions des collectivités locales.

     Certes, le Conseil constitutionnel a, en 1977, inventé le principe du "respect du caractère propre des établissements privés sous contrat". Mais les limites en ont été clairement énoncées : respect de la liberté de conscience et obligation aux maîtres d’observer un devoir de réserve.

     Aucune de ces obligations n’est respectée en l’espèce, par l’intrusion cléricale de l’enseignement catholique dans un débat qui ne concerne que les lois de la République, laquelle le finance pourtant, grâce à la complaisance de la droite, depuis 1959.

     Puisque l’enseignement catholique mord la mamelle qui le nourrit, l’UFAL appelle le ministre à prendre acte de cette rupture unilatérale des contrats et à la faire constater par le juge. Elle appelle les collectivités locales à mettre fin au subventionnement des écoles privées qui suivraient les consignes politiciennes de M. De Labarre.

     L’UFAL, héritière des engagements laïques du Serment de Vincennes de 1960 (contre la loi Debré), estime que la République a ainsi l’occasion de revenir sur les lois anti-laïques permettant le financement de l’enseignement confessionnel.