JOYEUX NOEL A TOUS
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JOYEUX NOEL A TOUS
Depuis le début des troubles en Syrie, qui sont apparus en mars 2011 et se sont à présent transformés en un conflit armé interne qui touche la quasi-totalité du pays, des dizaines de milliers de personnes ont été tuées. Alors que les affrontements semblent voués à se poursuivre et même à s’intensifier, les civils payent le plus lourd tribut au conflit.
Depuis le début des troubles en Syrie, qui sont apparus en mars 2011 et se sont à présent transformés en un conflit armé interne qui touche la quasi-totalité du pays, des dizaines de milliers de personnes ont été tuées. Alors que les affrontements semblent voués à se poursuivre et même à s’intensifier, les civils payent le plus lourd tribut au conflit.
Les deux parties au conflit ont tué, torturé et maltraité des prisonniers. Le gouvernement syrien est responsable de bombardements aériens et de tirs d’artillerie indiscriminés sur des zones fortement peuplées, ainsi que de l’usage d’armes interdites par le droit international, telles que les bombes à fragmentation.
Les forces d’opposition ont parfois employé des armes imprécises (telles que les mortiers) ou même des armes qui sont non discriminantes par nature (telles que des lance-roquettes artisanaux) dans des zones résidentielles très peuplées. L’opposition armée a récemment saisi, sur les positions des forces armées gouvernementales, une quantité importante d’armes lourdes. Si de telles armes sont utilisées de façon irresponsable, le risque que des civils soient blessés ou tués va s’accroître.
Amnesty International appelle les deux camps à respecter les droits humains, à faire de la protection des civils une priorité et à se conformer strictement à leurs obligations vis-à-vis du droit humanitaire international.
L’homme d’affaires a pu se payer un groupe de presse provençal avec la cagnotte de l’arbitrage rendu en sa faveur dans l’affaire du Crédit Lyonnais. Le fameux coup de pouce de Nicolas Sarkozy, le gros scandale d’une décision contre les experts de l’époque.
En avril 2011, nous nous demandions pourquoi Christine Lagarde, alors ministre des finances de Sarkofrance, n’irait pas en prison à cause de l’affaire.
Il y a peu de chance que la ministre de l’Economie soit évincée du gouvernement comme Eric Woerth, disqualifié par l’affaire Bettencourt puis évincé lors du remaniement gouvernemental. Pourtant, elle mérite largement une scrutation approfondie de son rôle dans l’étrange arbitrage qui conféra à Bernard Tapie, ancien leader du Parti Radical de Gauche rallié à Nicolas Sarkozy, plusieurs centaines de millions d’euros en règlement du litige qui l’opposait au Crédit Lyonnais depuis quinze ans. Jeudi 31 mars, le député socialiste et président de la Commission des finances Jérôme Cahuzac remettait un très instructif rapport sur cette affaire Tapie.
Et des députés socialistes veulent désormais que Mme Lagarde passe devant la Cour de Justice de la République.
On l'entendait moins Tapie, quand le cabinet de Lagarde "travaillait à mort" pour qu'il touche ses indemnités avec l'argent des contribuables.
Cet homme dévoile dans le JDD de ce 23 décembre qu’Arnaud Montebourg a voulu l’empêcher de mettre la main sur le groupe Hersant. « Le cabinet Montebourg a tout fait pour me bloquer » révèle-t-il. En cause, une prétendue intervention du cabinet pour susciter une offre concurrente.
J’espère que c’est vrai !
Cette nouvelle me réjouit. Montebourg va encore gagner quelque point sondagier.
Un vrai bonheur !
Le député du Nord a annoncé ce mercredi qu'il quittait le Parti de gauche qu'il avait fondé avec Jean-Luc Mélenchon et Martine Billard en 2008. En cause: "une dérive un peu gauchisante" qui ne lui convient pas. "L'objectif est d'ouvrir une alternative. Pas de créer une organisation condamnée à la minorité".
Jusqu'alors seul député du Parti de gauche, Marc Dolez explique dans Libération vouloir rester "un militant actif du Front de gauche, qui m'apparaît plus indispensable que jamais. (...) Je n'ai pas quitté le Parti socialiste pour y revenir." Son prochain combat politique sera "la campagne contre les politiques d'austérité annoncée pour janvier", qui "est une bonne initiative pour se relancer".
Pour expliquer sa décision, le membre du groupe parlementaire Gauche démocrate et républicaine met en exergue ses "divergences sur l'analyse de la situation politique mais aussi sur la stratégie".
Divergences politiques:
"Je ne crois pas à la thèse des deux gauches irréconciliables ni au mythe du recours. Je veux que la gauche réussisse. Je ne me résoudrai jamais à considérer que le gouvernement va échouer et que nous serons là à ramasser les morceaux. Si la social-démocratie devait s'effondrer, je crains que ce ne soit au profit de l'extrême-droite".
"Ne donnons pas le sentiment que l'adversaire du Front du gauche, c'est le PS", explique encore Marc Dolez, qui rappelle que "l'objectif doit rester de faire bouger les lignes à gauche, déplacer le centre de gravité et la mettre sur une orientation qui permette de sortir de la crise." L'élu du Nord pointe d'ailleurs: "Le Front de gauche stagne"
Divergences stratégiques:
Je partage cette analyse qui porte sur les divergences politiques des membres du Front de Gauche qui espèrent un échec du gouvernement , c'est exactement ce que je leur reproche et que j'écris et , qui me vaut une volée de haine et d'injures d'un militant FdG local qui vraissemblablement se trompe d'adversaire .
C'est un premier départ , il y en aura d'autres .
On apprend que le régime des retraites sera très très très déficitaire à l'horizon de 2020 puisque qu'on nous annonce entre 20 et 25 milliards de déficit.
Bref du sarkopipo dans toute sa splendeur, au royaume des bonimenteurs il est forcément le roi ! (le best of de ses mensonges est là)
La tuerie de l'école maternelle et primaire de la petite ville de Newtown aux USA est un fait divers tellement fort, tellement énorme qu'il a évidemment toute sa place en une de tous les journaux de tous les médias. Le problème vient de ce que tous ou presque traitent l'évènement de la même façon, c'est à dire quasi uniquement sous l'angle émotionnel et sensationnaliste. Tous les journaux télévisés ouvrent sur des témoignages d'enfants, sur des visages en pleurs, ou pire encore sur les larmes d'Obama. En quoi cela est-ce une information ? Parce que l'objectif de la presse est quand même en premier lieu d'informer, ou du moins de nous amener à réfléchir sur les évènements.
Et dans le cas présent, des questionnements il y en a pléthore. En tout premier lieu, pourquoi 12 ans après la fusillade Columbine y a-t-il toujours plus d'armes qui circulent librement aux Etats-Unis ? Qui fait pression pour que la loi ne change pas ? Pourquoi ? Mais comme l'avait si bien expliqué Michael Moore dons son excellent film "Bowling for Columbine", la libre circulation des armes ne peut-être la seule explication de tant de violence. D'autres pays ont aussi une législation laxiste dans ce domaine et ne connaissent pas les mêmes phénomènes de tueries de masse. Alors pourquoi la société américaine est-elle aussi violente ?
Voilà bien un certain nombre de questions qui mériteraient qu'on s'y attarde. Cela permettrait certainement à une partie de la population de dépasser le stade de l'émotion, dépassement nécessaire pour pouvoir se mobiliser et trouver des solutions adaptées. Seulement vous saurez tout sur le passé du tueur, son profil, son passé, tout ! Mais rien ne vous sera expliqué sur ce qui permettrait d'éviter de telles actions dans le futur.
Informer, comprendre, c'est pourtant la mission de base de la presse. Parce qu'elle ne fait pas son travail essentiel dans toute démocratie, parce qu'elle a renoncé à éduquer les populations, ce sont toutes les démocraties qui sont en danger. On ne peut comprendre l'arrivée au pouvoir de gens comme Berlusconi, Bush ou Sarkozy, la montée des populismes un peu partout en Europe, ou encore l'absence de réaction sociale face aux renoncements des sociaux démocrates, sans voir que la raison première vient de l'ineptie de la presse
Pétition et appel à la mobilisation citoyenne pour le droit de vote des étrangers aux élections locales dès 2014, initiés par plus de quarante organisations (associations, syndicats et partis politiques) .
Signez cette pétition en ligne.
Le suffrage universel a été une longue conquête dans l’histoire de la République.
Si, en 1793, lors de la Révolution, la première République en adopta le principe, il fut réellement mis en œuvre par la IIe République, après la Révolution de 1848. Mais le suffrage resta limité aux hommes jusqu’en 1944, lorsque fut enfin instauré, à la Libération, le droit de vote pour les femmes. Trente ans plus tard, en 1974, l’âge du droit de vote fut abaissé de 21 à 18 ans.
En 1998, les étranger(e)s citoyen(ne)s des pays de l’Union européenne résidant en France ont été admis(es) au vote et à l’éligibilité pour les élections municipales et au Parlement européen.
En mai 2000, l’Assemblée nationale vote une proposition de loi accordant le droit de vote et d’éligibilité aux élections municipales pour les étranger(e)s extracommunautaires, qui résident légalement sur le territoire depuis cinq ans au moins. Le Sénat, à son tour, le 8 décembre 2011, adopte cette même proposition. Il reste à mettre en œuvre la révision constitutionnelle nécessaire.
De nombreux(ses) responsables politiques de gauche, et aussi du centre et de droite, se sont exprimé(e)s en faveur de ce droit.
En 2012, lors des élections présidentielles et législatives, la nouvelle majorité a inscrit cette réforme dans son programme. Conformément à ses engagements dans sa déclaration de politique générale, le Premier ministre, en juillet puis en septembre, a promis qu’il y aurait un projet de loi en 2013.
Près de deux millions et demi d’étranger(e)s extracommunautaires vivent et travaillent dans des communes où elles/ils participent à la vie locale et paient des impôts. Nombre d’entre elles/eux sont responsables d’associations, délégué(e)s de parents d’élèves, délégué(e)s syndicaux(cales)...
La vie locale est un lieu essentiel de la vie démocratique et il n’existe aucune raison pour que toutes celles et tous ceux qui résident sur ces territoires n’y participent pas de façon égale. Il est temps de franchir une nouvelle étape pour l’élargissement du suffrage universel, la démocratie, la cohésion sociale et pour l’égalité des droits.
Les promesses électorales faites depuis plus de trente ans, approuvées par les électeurs(trices) à au moins quatre reprises, depuis 1981, doivent maintenant être tenues.
Nous appelons à la mobilisation citoyenne pour que cette réforme, essentielle pour une République ouverte et fraternelle, soit mise en œuvre dès les élections municipales de 2014.
Monsieur le président de la République,
Nous vous demandons d’engager le processus de révision constitutionnelle permettant d’instaurer le droit de vote et d’éligibilité pour nos concitoyen(ne)s résident(e)s étranger(e)s aux élections locales, dès les municipales de 2014.
Cet impératif d’égalité et de démocratie est urgent !
Il a du talent. Il avait du talent. Il fait ce qu’il veut de son argent et de ses revenus. Il s’est cassé dans la Belgique voisine, juste assez près de notre beau pays pour pouvoir revenir quand il veut.
Gérard Depardieu a profondément tort, pour lui et sur lui.
Sa fortune, il ne la doit pas qu'à son simple talent. La France est un pays qui permet une production cinématographique nationale grâce à un système assez particulier de subventions publiques directes ou indirectes en tous genres.
Le CNC abonde pour 400 millions d’euros par an, grâce à divers prélèvements; les chaînes de télévision sont contraintes de coproduire des films français en grande quantité (environ 400 millions par an). Les intermittents du cinéma peuvent travailler tout en étant indemnisés par un régime déficitaire. Des soficas et un généreux crédit d’impôt complètent enfin le dispositif pour permettre à quelque 200 films français de se produire chaque année.
Dans ce marché très particulier, quelques stars tirent leurs épingles du jeu. C’est leur « talent ». Qu’elles aillent ensuite le placer ailleurs, hors de frontières, c’est tout simplement indécent.
Que Depardieu soit choqué qu’on l’accuse, jusqu’au premier ministre lui-même, c’est tant mieux.
Casse-toi et ne reviens pas.
On ne peut pas dire que le combat contre la pauvreté dans notre pays ait été une des priorités majeures des gouvernants depuis de nombreuses années.