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  • LA COUR

    30092008

    Le prince Jean a été relaxé ce jour suite à la plainte qu'avait déposé un plaignant dont l'arrière de la BMW avait été emboutie par le scooter de son altesse... Là ou celà deviendrait presque risible si ce n'était pas déjà grave, c'est que le plaignant a été, lui, condamné pour procédure abusive et doit verser 2000 euros à sa seigneurie...  Il aurait sans doute été plus simple de laisser le plaignant repartir en n'ayant pas gain de cause... Mais, là, on nous adresse un message fort : Qu'il soit dit que la famille royale est intouchable et ne doit en aucun cas être importunée par le petit peuple, de même que leurs amis ...

  • SEGOLENE FAIT SON ZENITH

    Entourée d'artistes et sans l'aide du Parti socialiste, Ségolène Royal a réuni près de 4.000 personnes au Zénith de Paris pour un "rassemblement de la fraternité"

     

    Entourée d'artistes et sans l'aide du Parti socialiste(heureusement), Ségolène Royal a réuni près de 4.000 personnes au Zénith de Paris pour un "rassemblement de la fraternité"

    (c) Reuters

    En voyant cette photo je n'ai pu m'empecher de penser à Chantal Goya meme air et  meme parole.

    Bécassine, c'est ma cousine
    Bécassine, et la cousine
    Marie qui louche m'amuse beaucoup
    Ensemble on fait les quatre cents coups
    Bécassine, tu nous rends fous

     

  • SARKO L'ANTICAPITALISTE......

    Barrigue

    La voie étroite de Nicolas Sarkozy pour réformer le capitalisme» minaude le journal «Le monde» On se pince. Sarkozy anti capitaliste! Quelle farce! Et depuis, ses gesticulations tournent en boucle. Mais ce qu’il dit n’a pas de sens. La crise du capitalisme n’est pas une crise morale. Dans cette note je parle de cela du traité de Lisbonne et du congrès socialiste.

    La cause de la crise n’est pas dans la voracité des traders mais dans le système qui a non seulement permis mais encouragé leur activité. C’est d’ailleurs pourquoi l’idée de les punir est absurde. Ces gens n’ont pas agit contre la loi mais avec elle. D’ailleurs les lois ont été modifiées sans trêve pour leur convenir et faciliter leur travail. Tous les compartiments de l’activité économique ont été mis au diapason. Tous sans exception et chaque jour davantage. C’est ce qu’on appelle «la réforme» ou «la modernisation» depuis des années et des années. La financiarisation du capitalisme n’est pas un accident du capitalisme mais l’état naturel de son nouvel âge depuis bientôt au moins vingt ans. Déréglementation, dérégulation, flexibilité sont les maitres mots des politiques des programmes de droite et des sociaux libéraux pendant toute cette période. Et cela, Sarkozy ne propose pas de l’arrêter un instant. Ni une semaine, un jour, une seconde. A l’inverse. Il dit que la crise ne doit pas ralentir la réforme mais au contraire l’approfondir. Lui et les autres ont compris qu’il faut donner l’impression que tout va changer pour que tout dure comme avant. Vieille tactique des puissants lorsque leurs turpitudes sont devenues trop visibles ou qu’elles ont créé trop de dégâts. Comme il est triste de voir se réaliser nos pires prédictions. Voyez par exemple les fameuses retraites par capitalisation! Des millions de gens ont d’ors et déjà perdu des années de travail, d’économie et d’efforts. Ils seront pauvres jusqu’à leur dernier souffle.

    Ou sont les coupables? Tous ceux qui ont fait taire nos voix, brocardé nos porte paroles et déversé des millions en publicité et pot de vin pour obtenir des législations qui permettent l’installation de ces fonds partout dans le monde. Ce sont les hommes politiques de droite et de gauche, les journalistes de tous poils à la Charles Sylvestre qui ont des années durant  été les griots du système. Ils ne seront pas punis par Sarkozy. Ni par personne. Et voila le point qui compte. Combien de temps pour que la prise de conscience de cette impunité gagne du terrain ? Selon moi, après bien d’autres, tout ceci ne fait que commencer. Une nouvelle période s’ouvre, très dangereuse pour la paix et la démocratie si l’on se réfère à ce qu’a montré l’histoire dans des situations comparable. C’est ça aussi la nouveauté: plus le monde change plus il ressemble au passé… Mais il y a un absent de taille: un projet et un programme alternatif. Le communisme est rayé de la carte, le socialisme «démocratique» est domestiqué.

    Le monde du travail est donc sans voix politique. En France, les commentaires des portes parole du PS sont aussi creux qu’éloquents. Ils ne peuvent naturellement pas dénoncer le système: ils viennent juste d’annoncer partout avec leur déclaration de principe qu’ils y sont ralliés. Donc ils politicaillent: «Sarkozy peut pas dire que tout est de la faute de la crise parce que c’est aussi de sa faute!» Nannanère! Nannanère! Et au passage un peu de sauce social libérale: Michel Sapin reproche à Sarkozy le déficit excessif du budget de l’Etat et la perte de compétitivité des entreprises! Mais le plus «perché», comme on dit à Marseille, c’est encore une fois ce pauvre Rocard. Il déclare dans «le Parisien» de ce 26 septembre que Sarkozy est le représentant d’une droite «réformatrice et intelligente» jusqu’au point où si «des hommes politiques de droite se rendent compte qu’il ya une erreur d’aiguillage du capitalisme cela n’en fait pas des hommes de gauche pour autant mais cela rend des convergences possibles».

    Avec de tels ennemis, le capitalisme financier n’a pas besoin d’amis

     

    Largement inspiré de J.L Mélenchon

  • LA FRANCE EN RADE

    Pourquoi Nicolas Sarkozy a-t-il choisi Toulon pour son discours ? Evidemment, parce que la France est déjà en rade

    Nicolas Sarkozy a déclaré dans son discours de Toulon : « L’idée de la toute puissance du marché qui ne devait être contrariée par aucune règle, par aucune intervention politique, était une idée folle. »

    Qui sont donc ces fous qui baissent de 13 milliards les impôts des plus riches ?
    Qui sont donc ces fous qui privatisent la Poste  ?
    Qui sont donc ces fous qui libéralisent la santé ?
    Qui sont donc ces fous qui démantèlent le droit du travail ?
    Qui sont donc ces fous qui organisent dans tous les domaines les reculs de l’Etat (education, recherche, service public, santé) ?

    Nicolas Sarkozy veut dire la vérité aux Français. Sa vérité la voici : il veut faire croire que tous les malheurs d’aujourd’hui et de demain n’ont rien à voir avec sa politique mais sont dûs à la crise internationale.
    Nicolas Sarkozy vient de se livrer, dans un mélange d’approximations économiques et de bégaiements idéologiques à un réquisitoire en règle contre un système qu’il défend et promeut depuis le début de sa carrière politique

  • HUMOUR DU JOUR

    Conversation entendue lors de la dernière visite officielle du petit Nicolas au futur ex-roi du monde...

    - Dis-moi, George, comment fais-tu pour avoir une équipe aussi performante, alors que moi je suis entouré d'une bande de crétins ?
    - C'est simple, je teste mes ministres en permanence. S'ils répondent juste, ils restent. Sinon, je les vire. C'est la sélection naturelle, je suis sûr de ne garder que les meilleurs. Attends, tu vas voir. Et Bush appelle Dick  Cheney.
    - Dick, je vais te poser une question. Tu connais la règle, si tu te trompes, tu es viré, OK ? Alors voila : C'est l'enfant de ta mère, mais ce n'est ni ton frère, ni ta soeur, qui est-ce ? Dick Cheney réfléchit quelques secondes, puis dit :
    - Facile : c'est moi !
    - Parfait, dit Bush, je te garde.
    Le petit nicolas est très impressionné. A peine rentré à Paris, il convoque Fillon.
    - Fi'on (abréviation sarkozienne de Fillon...), je vais te poser une question. Si tu réponds juste, tu restes à Matignon. Sinon, tu es viré. Voilà : C'est l'enfant de ta mère, mais ce n'est ni ton frère, ni ta soeur, qui est-ce ?
    Fillon, qui connaît ses limites (nous aussi d'ailleurs), demande un délai de réflexion. Nicolas Ier lui donne 24 heures. L'autre fonce à Matignon, convoque son cabinet, et bientôt toute une bande d'énarques planchent sur la question. Les hypothèses fusent. A la fin, un type plus malin que les autres dit :
    - Il faut demander à Darcos ! Il a toujours raison (si, si, on l'a encore vu récemment ...), et il sait ce que le Président a derrière la tête.... Excellente idée ! et Fillon appelle aussitôt Darcos:
    - Allô Xavier?
    Voilà, c'est l'enfant de ta mère, mais ce n'est ni ton frère, ni ta soeur, qui est-ce ?
    Darcos ricane légèrement (ben ouais, pour une fois qu'il a la réponse à une question...), et répond :
    - Facile, c'est moi. Le lendemain, Fillon se précipite à l'Elysée :
    - Monsieur le Président, Monsieur le Président, je sais qui c'est
    - Bien, bien Fi'on! Alors, l'enfant de ta mère qui n'est ni ton frère ni ta soeur, qui est-ce ?
    - C'est Darcos , Monsieur le Président.
    Sarko ouvre des yeux ronds.
    - Fais tes bagages, Fi'on. La bonne réponse, c'est Dick Cheney

  • PARLEZ MOI DE LA PLUIE

     

    C'était mauvais temps j’ai vu ce lundi soir(lundi c'est Bacri) et j’en ai gardé une curieuse impression ; je ne peux pas dire que je me sois ennuyé, ça se laisse regarder sans déplaisir, les décors sont plaisants, les acteurs sont bien dans leurs rôles, Bacri impeccable dans son rôle d’éternel ronchon aigri et déprimé… mais c’est un film purement intello qui ne nous fait jamais entrer dans l’humanité de ces personnages que l’on regarde comme des insectes dans un bocal (tiens comme la scène avec la fourmi !), sans ressentir la moindre empathie pour eux ; alors que le cinéma, le vrai, le bon, c’est justement de nous rapprocher de personnages avec lesquels on n’a a priori aucun point commun, ce qui est exactement le cas ici… parfois cependant, une étincelle semble être sur le point de se produire (la scène la plus convaincante étant la colère de l’agriculteur contre Bruxelles), certains passages sont plus réussis, on sent que l’humanité va poindre, et puis non, tout retombe…

     A voir à la rigueur.

  • SIGNE SINE

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  • ANTIBES:VEHICULES MUNICIPAUX

    Véhicules municipaux :éviter les abus

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    Véhicules légers ou utilitaires, le parc des véhicules municipaux compte près de 600 véhicules. Chaque utilisateur devrait rendre des comptes : nombre de kilomètres,consommation de carburant et stationnement.

    Place Amiral-Barnaud, aux environs de 11 heures. Une Clio flanquée de l'emblème de la Ville d'Antibes s'arrête. Le conducteur en sort : direction la Maison de la presse. Pendant ce temps, le moteur tourne... Sous l'oeil effaré, ou narquois, c'est selon, de « spectateurs » attablés à la terrasse d'un café. « Bonjour les économies ! ».

     

    Une autre scène, qui interpellent les habitants.du boulevard Albert 1er comme ce lecteur qui a souhaité garder l'anonymat :

    « J'habite cette belle ville d'Antibes et je consacre une partie de mon temps à garer mon véhicule boulevard Albert 1er J'ai pu constater la présence d'un  véhicule de la mairie modèle Clio reconnaissable à son logo garé  le long des trottoirs de l’avenue du général Maizière., pendant les vacances annuelles de son  titulaire qui ne manquait pas d’humour (je l’ ai vu deux semaines sans bouger.le temps du stationnement momentané..)

    Antibes 13 juillet 2008 Stationnement 008.jpg

     

    Les responsables du « service véhicules » suivent-ils ces véhicules et si oui de quelle façon ? ».

    .

     

  • CELA SE PRECISE

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    La situation se décante au Parti socialiste

    La situation se décante au Parti socialiste. Après plusieurs semaines de tractations, ce vendredi a vu les alliances se dessiner au grand jour. A quatre jours de la date limite de dépôt des motions, quatre pôles se dessinent comme je le préssentais.

    Aubry va reconstruire
    Martine Aubry, d’abord, a officialisé ce qui n’était déjà plus un secret. La maire de Lille présentera ce samedi une motion pour le congrès de Reims dont elle sera «la première signataire». Elle a trouvé un accord avec tous les «reconstructeurs» du parti. Son texte rassemblera les fabusiens menés par Claude Bartolone, et une grosse partie des partisans de Dominique Strauss-Kahn, dont Jean-Christophe Cambadélis.

    Royal retrouve ses soutiens locaux
    L’autre grande avancée du jour est à mettre à l’actif de Ségolène Royal, qui a conclu un accord avec les signataires de la motion La ligne claire. Un texte porté par les «grands élus locaux», Jean-Noël Guérini, président du Conseil général des Bouches-du-Rhône, Gérard Collomb, le maire de Lyon, Vincent Feltesse, l’homme fort du PS girondin, ou encore Manuel Valls, le député-maire d’Evry. Et derrière eux, c’est un fort contingent de militants qui se rallie à l’égérie socialiste de 2007.

    Le texte de l'accord rappelle le souci des élus régionaux de «ne pas faire de Reims le congrès de désignation d'un présidentiable, mais bien le lieu où commencera la mise en forme d'un projet, indispensable à l'alternance tant attendue». Ségolène Royal avait fait le principal pour les rallier lundi ne fait plus de sa candidature un «préalable» à ses ambitions pour 2012.

    «C’est l’aboutissement logique d’une démarche convergente, confie le sénateur David Assouline, très proche de Royal. C’est une famille qui se regroupe.» Elle fera le 27 septembre son Zénith à Paris, et souhaite une équipe «renouvelée, jeune, des gens qu'on n'a pas l'habitude de voir en politique».

    Delanoë capitalise
    Bertrand Delanoë, lui, concentrera un troisième pôle très dense. Celui qui reste le favori des sympathisants socialistes dans les sondages avait officialisé mardi son rapprochement avec François Hollande. Delanoë continue d’engranger les soutiens avec Jean-Marc Ayrault.

    Le député-maire de Nantes, patron des députés PS à l’Assemblée nationale, juge dans un entretien à paraître samedi dans «Libération», que «le mieux à même de rénover le PS, c’est Bertrand Delanoë», Il a décidé de «franchir le Rubicon», car il estime que «le PS est en état d’urgence»: «Ce que nous demandent les militants et les électeurs, c’est de remettre le PS en ordre de marche, avec un projet, une stratégie et des alliances.»

    La gauche de la gauche sera là
    Tentée un temps par une alliance avec Martine Aubry, la gauche du parti a finalement décidé de présenter sa propre motion. Vendredi après-midi, Henri Emmanuelli, Benoît Hamon, Marie-Noëlle Lienemann et Gérard Filoche, tous membres de l'aile gauche du Parti socialiste, ont annoncé qu'ils déposaient une motion commune pour «une gauche décomplexée». Ils ont appelé à les rejoindre «tous ceux qui partagent leur analyse et leur volonté d'affirmer un avenir pour le PS à gauche». Jean-Luc Mélenchon n’a pas encore précisé s’il rejoindra cette motion.

    Moscovici, un ténor du parti en position de soliste
    La grande inconnue reste Pierre Moscovici, esseulé sur la scène interne après le ralliement de La ligne claire à Royal. En campagne depuis un an sur son nom avec un slogan simple, pas de «présidentiable» à la tête du PS, le député du Doubs a écrit ce vendredi midi sur son blog qu'il est «inquiet» et «perplexe» face aux derniers événements de la semaine. Après un week-end dans sa circonscription, il devrait annoncer son choix lundi ou mardi. Delanoë et Aubry l’attendent…

    Enfin, jeudi, Pierre Larrouturou a fait savoir sur Mediapart qu'il déposerait également sa propre motion.

    Pour qui vais-je voter?:Je rejette à priori deux motions mais attendons d'en prendre connaissance.J'ai trop souvent dit qu'il faut mieux perdre les élections que perdre son ame.Aujourd'hui je veux gagner les élections de 1er secrétaire de la section d'Antibes mais je ne pense pas perdre  pas mon ame pour autant,aors le soir du 23 novembre je dirai peut etre:je me retire de la vie politique.