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Vous l’avez forcément noté, on parle beaucoup des burqas ces derniers temps. Même le Canard Enchaîné, d’ordinaire peu prompt à donner dans l’insignifiant buzz médiatique, y consacre la plus grande partie de sa célèbre page 2.
M’étant jusqu’ici refusé à entrer dans cette polémique, je n’ai jamais évoqué le sujet sur ce blog. Mais les événements me poussent aujourd’hui à rompre le silence.
Car j’ai eu un choc en traversant Antibes hier : un groupe de femmes voilées se rendait à l’église. Elles sont parmi nous ! Elles sont partout !
Pire, certaines d’entre elles ont une voiture : il est pourtant indéniable que la tenue ample de ces femmes constitue une gêne à la conduite automobile. La cornette restreint le champ de vision, et la robe peut s’emmêler dans les pédales. Souvenez vous de De Funés dans "Les Gendarmes" c’est édifiant
Ces femmes vivent recluses, en communauté. Elles ne sont pas intégrées à la vie réelle, et ne contribuent pas à la Croissance. Ce sont des assistées, des parasites. Si on a pu être charitable avec elles dans les périodes fastes, dans la crise que nous vivons actuellement, c’est indécent.
Elles ont constellé le territoire de milliers de minarets, qu’elle appellent “clochers”, mais cela ne trompe personne : impossible en effet de contrôler les prêches enflammés de leurs imams (qu’elle appellent “prêtres”) contre la République qui y sont assénés quotidiennement. Ne négligeons pas le trouble à l’ordre public engendré par les cloches qui sonnent sept jours sur sept, jour et nuit, tous les quarts d’heures.
Bien sûr, lorsqu’elles sont confrontées à des citoyens ordinaires, elles donnent le change et parlent français. Mais ne doutez pas que sitôt revenues à l’abri de leurs hauts murs moussus, elles n’utilisent plus que leur langue maternelle : le latin. D’ailleurs, pourquoi se réfugieraient-elle derrière une enceinte aussi dissuasive si elles n’avaient rien à cacher ? Hein ? Tout le monde a entendu parler des exorcismes qui font partie de leur culture. Mais surtout, on frémit en imaginant les orgies saphiques qui s’y déroulent immanquablement.
Quant aux imams qui les endoctrinent dans les églises et les maintiennent au moyen-âge, nombre d’entre eux ont encore récemment été mêlés à de sombres affaires de pédophilie. Au vu de leur faible nombre comparé à celui des femmes de la communauté, il plane de surcroît un fort soupçon de polygamie. Avoir des maîtresses n’est certes pas répréhensible, mais là on dépasse clairement les bornes de la décence.
N’oublions pas que ce sont les mêmes qui ont caché pendant des décennies des criminels de guerre nazis à l’abri de leurs hauts murs. Et tout cela se passe en France, au XXIème siècle. Devons-nous le tolérer ? La tradition hospitalière de la France s’arrête lorsque son intégrité est en danger. C’est une véritable invasion, on ne peut pas accueillir toute la religion du monde !
Enfin, en cette période de crise, ne négligeons pas l’aspect financier ! Car ces gens nous coûtent cher, évidemment. Les bâtiments qui les hébergent, et surtout les lieux où ils pratiquent leur culte, sont en mauvais état. Et dès qu’il faut y faire des réparations, ils font appel aux fonds publics. C’est inadmissible. Pire, en Alsace et en Moselle, en contravention totale avec la loi de 1905, ils font carrément rémunérer leur imams par l’Etat, dont la faillite est pourtant notoire. A cause d’eux, les agences de notation risquent de dégrader notre dette, nous contraignant à emprunter à un taux plus élevé, et nous plaçant sous la menace d’une spéculation ourdie par Goldman Sachs. On voit clairement le lien avec les forces de l’Etranger.
Prosélytisme ostentatoire, insécurité routière, paysages défigurés, nuisances sonores, moeurs mystérieuses et dissolues, menace financière et géopolitique : la coupe est pleine ! Je propose d’exiger de nos ministres Hortefeux et Besson de prendre des mesures urgentes et draconniennes pour empêcher le développement de ce phénomène inquiétant : interdiction du port ostentatoire de leurs tenues, déchéance de la nationalité française, réquisition de leurs bâtiments pour les transformer en logements sociaux, assèchement de leurs finances par l’application stricte de la loi de 1905.
L’heure n’est plus à mégoter, nous ne pouvons plus faire l’économie de charters vers le Vatican.
La pérennité de la République est à ce prix.