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  • LE ROI

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  • VIVE LE ROI

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  • SI J'ETAIS DE DROITE......

    SI J'ÉTAIS DE DROITE, JE VOTERAIS À GAUCHE…"

    medium_images.jpeg Ce paradoxe commence a devenir sensé.
    Au train où vont les choses, si Nicolas Sarkozy passe…


    …, la société va donc se durcir. Dérégulation, délocalisation, concurrence partout, les riches plus riches, les pauvres plus pauvres. La société ira de plus en plus vers la règle des 80/20, c’est-à-dire, 20% qui prennent et 80% qui payent. Sinon pire. Ce qui aura deux conséquences : provoquer des tensions, des mouvements sociaux ou créer des problèmes de société coûteux car il faudra bien en fin de compte, s’occuper de ceux qui sont en bas de toute façon. On va proposer aux gens de travailler plus, pendant que… d’autres seront plus au chômage. Ce déséquilibre a un coût global… qui sera toujours plus cher que lorsque les choses sont équilibrées.
    Les tensions les événements ne favorisent jamais le commerce. Et casse la prospérité.
    Beaucoup d’électeurs de droite qui tablent sur leur prospérité améliorée avec la droite dure en pâtiront parce que leurs affaires marcheront moins bien, car ils ont toute chance de se retrouver dans les exclus. Couleront-il leur boite ?
    Alors lorsqu’on est de droite, il vaut d'être raisonnable en affaire, jouer sur plusieurs tableaux, avoir une bonne petite politique capitaliste pas trop ultra, sinon les affaires vont marcher moins bien.
    Aujourd’hui, qui représente cette droite modérée :Le nain de Beauvau,François Bayrou de plus en plus.
    En tout cas, mais si j'étais de droite et que j'ai moins de 10 ou 100 millions d'euros de fortune, je ne voterai pas Nicolas Sarkozy. Car ce ne serait pas notre intérêt. Soyons rationnel.
  • AGENDA

    J'ai rendez-vous avec vousmedium_Photo_323singe.JPG!

  • DECHETS

     

    EMBALLEZ CE N’EST PAS PESE
    Les emballages représentent à eux seuls un tiers du poids de nos poubelles et la moitié de leur volume. Depuis les années 90, les pouvoirs publics incitent les industriels à réduire la quantité d’emballage autour de leurs produits. Si le poids global des emballages s’est stabilisé (4,7 millions de tonnes en 2000), le nombre de produits emballés continue malgré tout de progresser (+ 11 % en six ans). C’est la conséquence de l’évolution des modes de vie : les produits en doses individuelles (biscuits, plats cuisinés, café) ont le vent en poupe, et de nouvelles habitudes de consommation apparaissent, comme l’utilisation des lingettes nettoyantes, le plus souvent non-recyclables, qui viennent encombrer les poubelles.
    Le constat est implacable : quand un produit diminue son impact, un nouveau vient annihiler cet effort au nom de la concurrence effrénée que se font les grands groupes industriels. Dans les rayons des grandes surfaces comme sur celles de multiples autres lieux rares sont les consommateurs qui jaugent les conséquences pour la planète de leurs achats. Il n’y a aucun réflexe dans ce domaine comme dans beaucoup d’autres en raison d’une faible préhension de la catastrophe différée que représentent chaque acte cumulé.
    Pour résoudre le problème des déchets ménagers, il est impératif de jouer sur plusieurs tableaux : réduire leur production à la source (notamment en diminuant la quantité d’emballages), développer le tri sélectif et le recyclage, mais aussi construire de nouveaux sites de traitement des déchets ultimes (ceux qui ne peuvent pas être valorisés). Problème : les projets de décharge ou d’incinérateur se heurtent systématiquement à l’opposition des populations, et le coût de la collecte et du traitement des déchets explose (il est passé de 75 à 150 € la tonne en dix ans). Un vrai casse-tête pour les collectivités, chargées de la gestion des ordures ménagères. Elles subissent les augmentations décidées par des groupes heureux de posséder un quasi monopole sur un secteur extrêmement rentable. Plus les citoyens s’opposent à des solutions fiables, raisonnées, maîtrisées de traitement des déchets non réutilisables et plus ils se pénalisent. Une sorte de qui perd gagne dont nous ne sommes pas prêts de sortir.

  • ELECTIONS ET NET

    La présidentielle vue du Net par les étudiants du CFJ

    Les élèves du Centre de Formation des Journalistes de Paris (CFJ), viennent d’ouvrir un blog d’actualité grace auquel ils “poseront leur regard sur la campagne présidentielle via les écrans high tech en tous genres”.

    “Un décryptage original de cette « netcampagne » inédite, riche en rebondissements, coups bas et coups d’éclat, jusqu’à la ligne d’arrivée, le 6 mai 2007.”

    http://www.ecrans-de-campagne.fr/

  • BUGNES LYONNAISES


     

    En ce jour de Mardi-Gras on fait des bugnes.Voiçi la recette                                                                            boulanger lyonnais 


    650 gr de farine
    150 gr de beurre
    2 oeufs complets + 2 jaunes d'oeufs
    20 gr de levure de boulanger à diluer dans une petite tasse

     d'eau chaude
    1 pincée de sel
    De la fleur d'oranger.

    on mélange tout ensemble, et on pétri, pétri, et pétri encore.
    Au moins 15 minute de travail.

    quand c'est fini, on fait une croix sur la boule avec un couteau                                                                              on couvre d'un linge humide

      On laisse reposer 2 h près d'un radiateur.

    Dans une sauteuse on fait bouillir, à fond les watts, 2 litres d'huiles.

    On étale la pate le plus fin possible (plus c'est fin, mieux c'est).
    on coupe des lanières pour faire des bugnes de 12 cm x 5 cm avant cuisson.

    Si on juge la bugne coupée trop épaisse, ne pas hésiter à lui remettre

     un coup de rouleau (tant pis si elle devient énorme)

    On jette dans l'huille bouillante.
    Ca doit gonfler instantanément, et les bugnes ne restent pas plus

     de 20 secondes dans l'huile si elle est bien chaude.

    On les poses sur un sopalin.

    Quand elles sont un peu refroidit, on les roules dans du sucre glace,

     et hop, dans un panier en osier.

    Il y en a suffisement pour distibuer à votre famille

    Noubliez pas d'aérer après

  • SEGOLENE A TF1(Chez Sarko)

    medium_10639301_p.jpgSégolène sur tf1 : avec les félicitations dela presse !

    Ségolène a passé son grand oral hier sur TF1. J'aime pas beaucoup ce terme,la politique n'est pas un jeu de trivial pursuite! Cependant, la puissance des médias télévisuel est telle que l'on peut voir l'importance capitale d'une telle émission.

    8,7 millions de téléspectateurs ont regardé hier Ségolène Royal(Sarko 8 millions)! C'était donc un très grand débat participatif...

    Ci-dessous la revue de presse faite par le Nouvel obs... On peut observer une chose, les éditorialistes, que l'on dit ségosceptique sont très enthousiastes sur la belle prestation de la candidate.

     

     J'espère qu'elle aura sû vous convaincre!

     

    Ségolène Royal sur TF1

    NOUVELOBS.COM | 20.02.2007 | 10:04

     

    De nombreux éditorialistes reviennent, mardi 20 février, sur la prestation de la candidate socialiste lors de l'émission "A vous de juger".
    LIBERATION
    Renaud Dely
    "Elle a remis sa veste blanche. En quête de la recette qui avait assuré son succès à l'automne, Ségolène Royal a ressorti sur TF1 l'uniforme qui avait accompagné cette période de félicité dans les sondages. Les participants, ces "vraies gens" dont elle prétend se préoccuper au premier chef, les thèmes, relevant du cas particulier voire de l'intime, le décor, cette agora télévisée censée copier ses forums "participatifs", tout montrait que la candidate socialiste jouait hier soir à domicile. L'émission n'était pas le "traquenard" redouté par certains de ses proches, mais plutôt une consultation au fil de laquelle la candidate a distillé avis et recommandations, érigeant la politique en médecine du quotidien. Ségolène Royal a parfaitement exécuté sa partition. Pas sûr pour autant qu'un show télé bien balisé suffise à renouer un lien fragilisé avec les Français."
    L'UNION
    Hervé Chabaud
    "La solution à tous nos problèmes est à puiser dans les recettes politiques des pays d'Europe du Nord ! Hier soir, Ségolène Royal est passée plus vite qu'à son tour par la case scandinave pour justifier sa certitude de remettre la France debout et dire son enthousiasme fondé sur la valeur ajoutée sociale. (...) Royal a déroulé son pacte présidentiel en prenant soin de rebondir sur chaque question posée pour en élargir l'assise et rappeler le maximum des propositions énumérées à Villepinte. (...) Mais se rend-t-elle compte que le ton qu'elle emploie pour répondre à certaines questions posées provoque une déperdition du fond de ses réponses ? Bien sûr, elle paraît à l'aise dans cette ambiance café du commerce et va même porter assistance avec un certain embarras à un handicapé en larmes. Bien sûr, elle est à l'écoute des personnes choisies pour l'interroger. (...) Mais son visage se durcit lorsque ses interlocuteurs prennent plaisir à la malmener et elle est alors hésitante. Preuve qu'il lui faut se blinder encore. Il lui reste deux mois pour retourner la situation."
    LA REPUBLIQUE DES PYRENEES
    Jean-Marcel Bouguereau
    "L'enjeu était énorme hier soir pour Ségolène Royal. (...) La forme de l'émission privilégiant les expériences personnelles l'a transformée dans un premier temps en une sorte d'assistante sociale. C'était Ségolène, mère de tous les Français et des plus démunis, avec ce qu'il faut de compassion et d'écoute. Une écoute dont elle a fait l'alpha et l'oméga de sa campagne. (...) L'examen a été passé avec succès. Reste à savoir s'il aura fait changer l'opinion des Français qui, dans 26 sondages consécutifs, la disent battue par Nicolas Sarkozy."
    LA REPUBLIQUE DU CENTRE
    Jacques Camus
    "Plus que jamais, hier soir, Ségolène Royal s'est comportée en "femme debout". Pendant plus de deux heures, sur le plateau de TF1, elle a gardé la posture. (...) Oui, à l'heure du "réajustement", Ségolène Royal a tenu à renouer avec ses "fondamentaux ". (...) A chaque question qui lui était posée, Ségolène Royal a commencé par remercier et répondre qu'elle était d'accord. Quitte, dans cet acquiescement consensuel, à flirter avec la démagogie poujadiste, comme en toute fin d'émission où a été dénoncé le "train de vie" des politiques. A peine interpellée sur le chiffrage de son pacte présidentiel, Ségolène Royal a plutôt bénéficié d'une bienveillante solidarité féminine. Et elle a pu, tout à loisir, insister sur les valeurs fondamentales que constituent pour elle la famille, l'éducation et la formation. En ramenant, à chaque fois qu'il était possible, le débat sur ce terrain très affectif, Ségolène Royal est redevenue la "candidate nounou" qui veut aider la France à sortir de ses souffrances. (...) Ségolène Royal a recouru hier soir à un usage immodéré du "je". Comme au temps où les sondages la poussaient à ne croire qu'en elle!"
    LES DERNIERES NOUVELLES D'ALSACE
    Olivier Picard
    "Qui, il y a seulement deux mois, aurait imaginé Ségolène Royal dans une telle situation ? Contrainte à l'exploit dans une émission de télévision pour tenter d'inverser le pronostic qui donne Nicolas Sarkozy largement gagnant contre elle au second tour, avec 10 points d'avance ? Le verdict pour hier soir? Elle a été bonne. Très bonne. Tout comme Nicolas Sarkozy quinze jours avant elle. Elle jouait sur son terrain - le débat participatif, elle connaît ça par coeur - et elle a maîtrisé l'exercice sans trac apparent, en dépit de l'énorme pression qui pesait sur ses épaules. Oui, elle a dominé l'émission avec cette espèce de naturel qui lui a permis de pouvoir concourir à la présidence de la République. Oui, avec le même talent que son rival de droite, elle a su utiliser le concept de "J'ai une question à vous poser" pour faire brillamment l'autopromotion de son programme, et d'elle même."
    suivra Imprimée par webcot AFP le 20/02/2007 à 04:16 
    L'INDEPENDANT DU MIDI
    Bernard Revel
    "Alors, Ségolène, elle a été bonne? Elle s'en est sortie? Elle a été à la hauteur? Elle n'a pas fait de gaffes? Les mauvais sondages ne l'ont pas déstabilisée? C'est curieux les questions qui se posent dès lors qu'il s'agit d'une femme. Remarquez, elle a l'habitude. "Un homme ne voit pas ses compétences mises en cause en permanence", a-t-elle dit hier soir. Une femme, oui. Elle peut en témoigner. Et c'est pourquoi, constate-t-elle, "c'est beaucoup plus dur pour une femme." On se moque d'elle. On prétend qu'elle n'a rien à dire. Mais cela ne fait que la renforcer dans sa détermination. Elle est prête, affirme-t-elle. Elle met en avant son expérience, son identité de femme, son idée moderne de la politique, son "regard nouveau". Elle a fait passer l'émotion. Elle a développé ses idées avec pragmatisme. Elle a refusé toute "polémique politicienne", hormis quelques allusions au "candidat de droite". Elle croit en elle. Alors oui, elle a été bonne."
    LIBERATION CHAMPAGNE
    Jorge d'Hulst
    "Ségolène Royal a, comme à Villepinte, laissé parler son coeur. C'est dans ces moments là qu'elle est la meilleure. Elle a retracé son itinéraire, rappelé qu'elle a été élève de l'ENA, travaillé pendant sept ans aux côtés de François Mitterrand, préparé les sommets internationaux pour lui, été trois fois ministre, a ravi le conseil régional de Poitou-Charentes à un Premier ministre. (...) Il y a assurément de la solidité dans cette femme. Au lieu de donner une inflexion dans sa campagne, elle a revendiqué sa façon de faire de la politique autrement. (...) Ségolène Royal considère qu'il faut tout simplement revenir aux fondamentaux. A commencer sur le plan économique. L'électorat de gauche a été sans aucun doute sensible à tous les gages qu'elle lui a donnés lors de cette émission. (...) Hier soir, Ségolène Royal a été fidèle à sa stratégie du départ: être concrète, proche des problèmes quotidiens des Français. Et cela lui a réussi dans la mesure où les questions ont surtout porté sur ces sujets là. De ce fait, elle n'a pratiquement jamais été en difficulté. Cette autre façon de faire de la politique qui passait jusque-là chez elle pour une faiblesse s'est transformée hier soir en force."
    LA MONTAGNE
    Alexandre Morel
    "Son " pacte présidentiel " au poing, Ségolène Royal est entrée dans une " nouvelle phase " de sa campagne plus offensive plus resserrée sur quelques idées force, comme elle s'est employée à le faire, hier soir, sur TF1 (...). Servie, dès le départ, par une formule tenant du " débat participatif " qui lui est cher (...) la candidate socialiste s'est voulue proche des gens (...). Leur évocation lui permet d'esquisser un socialisme compassionnel qui réconcilierait la protection des plus faibles et la relance de l'économie, avec pour inspiration maintes fois répétée les social-démocraties du nord de l'Europe. (...) Elle a ainsi articulé un discours qui se veut cohérent et innovant en faisant des subventions, aides et autres allégements de charges de l'État, une politique de discrimination positive pour les entreprises qui investissent, créent de l'emploi ou sont exposés à la conquête des marchés extérieurs. Une sorte de " gagnant-gagnant " qu'elle applique aussi à l'avenir politique en suggérant une ouverture d'entre deux tours (...)".
    L'EST REPUBLICAIN
    Pierre Taribo
    "La démocratie directe fonctionne de telle manière qu'une émission de télévision style " polity-show " peut vous tuer ou vous maintenir à flots. Alors on dira que Ségolène Royal, plutôt à l'aise dans cet exercice, n'a pas mal digéré ce mille-feuilles de questions. Mais sa performance sera-t-elle suffisante pour relancer la machine ? Réponse aux prochains sondages. En attendant on aura retenu l'habituelle brassée de " je et de moi " -peut-être une manière d'affirmer " je veux, donc je peux ? "-, le mélange d'engagements et d'imprécisions sur les moyens qui caractérise sa philosophie de l'action, les annonces, formules, proclamations qui n'ont jamais crée un seul emploi, les incantations sur le thème de l'ordre juste, le moment d'émotion géré avec tact et sensibilité, lorsque la situation des handicapés a été abordée."
  • LA GAUCHE EST TROP BAS

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    Au regarde les sondages on doit admettre que l’on trouve un écho à ce que l’on observe autours de nous au niveau extrêmement bas des votes de gauche qui y sont pronostiqués.Que vaut ces sondages puisqu’il s’agit toujours des mêmes « échantillons » de 800 personnes ? Mais ils placent à moins de quarante pour cent au premier tour toute la gauche. C’est sans précédent depuis plusieurs décennies dans cette sorte de sondage et dans ce que nous avons constaté dans les urnes. Notre étiage, vraiment bas était 42 ou 43 points.

    Il n'y a pas d'automatisme entre haut niveau de révolte contre la situation  que nous constatons tous autour de nous et conscience de gauche.

     La candidate socialiste recueille la grande majorité des suffrages de gauche en tous cas plus de la moitié. Ce qui la rend majoritaire à gauche et devrait faire réfléchir ceux qui s’obstinent à bâtir leur campagne alternative sur la dénonciation des socialistes l’autre gauche est explosée en miettes et le moteur de la conscience de gauche est plus que poussif dans la société. Il ne s’agit pas ici des qualités individuelles des personnes concernées Il s’agit de leur vision de l’action politique à gauche et de leur façon de s’adresser au pays. Tous gèrent des patrimoines électoraux et se disputent les mêmes votes acquis ou supposés tels.

    Maintenant c’est le temps de l’action. Tous ceux qui ont méprisé le rôle des idées et de la construction des champs idéologiques peuvent se mordre les doigts quand ils voient la place qu’occupe dans le débat la question si spécieuse du « chiffrage » de ce que la meute médiatique nomme les « promesses ». La question elle-même est la réponse. Réfléchissez y. La question est la réponse. Elle suppose que le coût est net, sans contrepartie de rentrées qui y soit liées de quelques façons que ce soit. Par exemple un perroquet couine que « la mesure de gratuité des soins des jeunes de moins de 16 ans devait être rapidement chiffrée ». Ce serait un gouffre. Le même perroquet ne se demande pas ce qu’il en coûte qu’un jeune ne soit pas soigné. Normal Ce n’est pas son gosse. Le même perroquet ne se demande pas quelles sommes seront épargnées du fait que la prévention rapporte gros. Très gros comme le montre l’allongement actuel de la durée de vie (un bienfait ou un coût ?) et l’éradication de certaines maladie (un bienfait ou un manque à gagner ?) ..

    J’y pensais en entendant le montant du bénéfice de Total. Le bénéfice peut-être regardé comme un impôt privé. Ici le montant acquis par Total ridiculise les petites phrases d’un Christian Blanc « la gauche n’a toujours pas compris qu’on ne peut pas distribuer davantage de richesses qu’on en produit ».

    Précisément tout le débat concerne la répartition des richesses produites ! Ce travail d’éducation des consciences à « regarder autrement » est presque au point mort. Comment après cela, quand on est une brave personne qui court après la fin du mois pour boucler des comptes à revenus faibles et fixes, pouvoir comprendre que l’exercice du chiffrage relève d’un autre ordre de contrainte et de choix que celui d’un Etat et que précisément c’est pour cela qu’on est plus fort quand on mutualise les coûts et les recettes.

    C’est un ouvrier métallurgiste syndiqué CGT à la SNCF qui me l’a appris dans les années 60. C’est lui qui organisait les formations de jeunes ignorants dans mon genre qui étudiaient en fac mais qui ne savaient pas grand-chose à propos de la lutte de classes. Où sont les maîtres des actuels nigauds ? Ils sont très occupés. Ils se torturent pour savoir comment répondre au piège de la droite à propos du chiffrage des promesses, sans doute.

     

     

  • PAPON EST MORT

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