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  • BINGO

    IL FALLAIT Y PENSER...

    A peine annoncé et déjà retiré... L'amendement Marini, du nom du sénateur UMP à son origine, n'aura pas fait long feu...

    Cet amendement avait pourtant pour ambition de permettre aux particuliers victimes de la chute de la bourse de déduire de leur revenu imposable 2009 leurs pertes dans la limite de 10 700 euros...

    Dommage, c'était un bon départ...

    On aurait pu ensuite envisager le remboursement des pertes dûes au loto, tiercé, loteries d'état ou encore jouer au casino, tout perdre et se faire rembourser sa mise à la sortie... Vraiment trop bête ce retrait...

  • LE STADE DE REIMS:ET DEMAIN

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    Christine Michel, Maire-adjointe en charge des sports,s'est dit avant la rencontre Reims-Lens,  très préoccupée par la situation sportive du Stade de Reims. De toute évidence, il apparaît que la municipalité sera très attentive aux décisions prises par la direction du club en janvier, afin que "Reims n'ait pas le plus beau stade en National 1" .
    Pour ce qui concerne le partenariat entre le club et la Ville, la responsable des sports insiste sur les aspects "sport pour les jeunes rémois et centre de formation" qui seraient mis en grand péril en cas de descente en National.
    Désormais, Jean-Pierre Caillot n'a plus les coudées franches. Les supporters ne sont plus les seuls à lui demander des comptes

  • MAIL D'UN ASSUREUR

    Objet : TR: Ce qu'il va falloir faire, à partir du 01/01/2009, lors d'un

     accrochage avec son véhicule

     

    MAIL D'UN ASSUREUR

     

     

    Comme vous le savez je travaille dans la gestion des sinistres en assurance, nous avons appris hier qu'à partir du 1 janvier 2009 lorsque vous aurez un accident avec votre voiture, votre assureur missionnera un expert pour chiffrer les réparations (jusque là rien d'anormal), sauf;

    que l'expert devra, en plus, vérifier 21 points de contrôle du véhicule (même si cela ne concerne pas le choc initial), bref si l'un de ces 21 points n'est pas conforme ou en état de fonctionner, votre carte grise sera gelée en préfecture (conséquence: impossible de vendre votre voiture), et vous aurez alors 3 jours pour accepter de réparer le ou les points non conforme(s), à défaut, votre voiture sera immobilisée au garage.

    Et comme une bonne nouvelle n'arrive jamais seule, si vous réparez et que les points non conformes n'étaient pas liés au sinistre, l'expert devra revenir pour valider les travaux, et ce, à votre charge bien sûr!

     

    Ceci certainement pour relancer les ventes de voitures récentes ou neuves.

     

    Je vous fais cette info car le gouvernement refuse de communiquer là dessus, ce sont encore les assureurs qui

     passeront pour des voleurs, et bien non! ce sera la loi tout simplement.

     

    Alors faites attention sur la route!

  • MISS FRANCE

    Tropicalboy

  • HALLUCINANT

     Les quotidiens  relatent une descente de gendarmerie qui s’est déroulée le 19 novembre dernier au collège de Marciac dans le Gers. Selon les journaux 4 gendarmes accompagnés d’un maître-chien auraient fait irruption en pleine salle de classe. Les gendarmes auraient alors promené le chien d’élèves en élèves à la recherche de stupéfiants. Cette intervention traumatisante pour les élèves aurait été précédée d’une autre descente intervenue deux jours plus tôt dans un autre établissement scolaire du Gers à Pavie. La FCPE aurait comptabilisé 23 interventions de la sorte dans ce département depuis le début de l’année 2008. Il s’agit d’une dérive inquiétante des forces de l’ordre. Espérons qu’elle ne soit que le fait d’un encadrement départemental de gendarmerie trop zélé qui doit faire l’objet d’un sévère rappel à l’ordre de sa hiérarchie. Si, au contraire, il s’avérait que ce type d’interventions a eu lieu dans d’autres départements il conviendrait alors de s’inquiéter sérieusement de ce qui n’apparaîtrait plus comme un dérapage mais comme une stratégie coordonnée des pouvoirs publics.

    Loin de moi l’idée de minimiser le fait que constitue la généralisation de la consommation de cannabis chez les jeunes. On estime que 10% des jeunes sont des consommateurs réguliers d’herbe ou de shit et un jeune sur deux déclare avoir au moins une fois dans sa vie fumé un joint. Et, c’est justement parce que ce phénomène a pris cette ampleur qu’il ne peut pas être traité par des seuls moyens policiers. Ceux-ci doivent être réservés à la lutte contre le trafic. Pour les consommateurs, une autre logique doit prévaloir, une logique de prévention et de responsabilisation.

     Bien évidemment cette question doit nous préoccuper quand il s’agit de mineurs et, à fortiori, de collégiens. Pour autant la stratégie policière est inadaptée. Elle témoigne seulement de la crispation des pouvoirs publics qui tendent à criminaliser systématiquement toute pratique jugée déviante. A l’heure où de très nombreux pays ont dépénalisé la consommation du cannabis et ont adopté une stratégie de médicalisation du phénomène, les événements du Gers sont là pour nous rappeler le retard pris par notre pays pour aborder différemment certaines questions épineuses de société. A tout le moins on aimerait que nos pandores se contentent de procéder à leurs investigations à la porte des établissements scolaires et qu’on évite les descentes musclées au sein des établissements scolaires. Ou, qu’à tout le moins on les réserve pour des cas de violence.

    A défaut de ne pas graduer la riposte on court le risque de déconsidérer, en la relativisant, l’intervention policière et de risquer de contribuer ainsi à accroître le fossé entre les jeunes et la police avec à la clé une regrettable augmentation des tensions et des affrontements.

     Mais, peut-être, est-ce malheureusement le but recherché…

     

     

     

     

     

     .

     

  • 6 SDF MORTS EN 1 MOIS

    33194985.jpegVendredi matin, un sans-abri a été retrouvé mort dans le IVe arrondissement de Paris. C’est le sixième décès d’un SDF en un mois en région parisienne. Pour répondre à l’émotion suscitée par ces drames, la ministre du Logement Christine Boutin a cru bon, jeudi dernier, de proposer l’hébergement « obligatoire » des sans-abri par grand froid. Une proposition qui, soit dit en passant, ne fait que reprendre le souhait exprimé par Nicolas Sarkozy lors du dernier conseil des ministres...

    Seulement voilà, la polémique est montée en flèche du côté des associations qui ont tôt fait de pointer le retour en arrière que constituerait une telle politique. En effet, avant 1994, le vagabondage était un délit, permettant de fait à la police d’embarquer de force les SDF. Voyant le masque sombre de la désapprobation pointer son nez, Nicolas Sarkozy a donc désamorcé la polémique en préconisant, ce vendredi, de mettre les SDF
    « en situation de décider » s’ils devaient ou pas accepter une assistance. Et tant pis si la crédibilité de Madame Boutin en prend un coup au passage.

    Un cafouillage qui prêterait à rire s’il ne portait sur la question des sans-abri. Une question chère à Patrick  Declerck. Philosophe et sociologue, il a consacré 15 ans de sa vie à suivre et à aider les clochards en région parisienne. En 1986,
    il ouvrait la première consultation d’écoute destinée aux SDF en France, dans le cadre de Médecins du Monde. Interviewé par Marianne2, il juge aujourd'hui très sévèrement la politique du gouvernement, caractérisée par « un principe populiste », et au fond toujours mûe par le même leitmotiv, « mettre tout le monde au travail », coûte que coûte.

  • DROIT AU LOGEMENT

    Le droit au logement opposable reste lettre morte

     

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    L’année 2008 est celle de la mise en application du Droit Applicable au Logement Opposable.
    Le deuxième rapport annuel du comité de suivi du droit opposable au logement est sorti le 1er octobre sous le titre volontariste "Assumer l’obligation de résultat du droit au logement sur l’ensemble du territoire "
    La situation est jugée " critique " pour les Alpes-Maritimes.

    Le détail de la mise en œuvre de la loi au 31 octobre 2008 est particulièrement édifiant :
    • Sur les 722 dossiers reçus, seulement 465 ont été examinés par la commission. 257 n’étaient pas complets ou remplis correctement.
    • Sur les 106 demandeurs retenus comme " prioritaires ", 43 se sont vu proposer un logement par les bailleurs. Au final seulement, 24 ont été relogés.

    A partir du 1er décembre, les 63 autres demandeurs " prioritaires " désignés par la commission de médiation qui n’auront pas reçu d’offre adaptée à leur situation, dans les 6 mois, pourront faire un recours devant le tribunal administratif. Le juge disposera de 2 mois pour se prononcer. Il pourra ordonner le relogement de la personne par l’Etat et assortir son injonction d’une astreinte.

    Tous les acteurs locaux doivent prendre conscience de la gravité de la situation et rassembler leurs énergies pour consentir un effort historique de construction de logements sociaux dans notre département afin que la Loi DALO ne reste pas lettre morte.

  • LA FRANCE:UN ETAT POLICIER

    RACHIDA DATI CONFIRME : LA FRANCE EST UN ETAT POLICIER !

    Habituée aux discours et aux actes disons surprenants, Rachida Dati vient cette fois-ci d’atteindre les plus hautes sphères de la bêtise !

     

    Hier matin, au Sénat, commentant le mandat d’amener de Vittorio de Filippis, elle a tout bonnement osé déclarer que cette interpellation était « tout à fait régulière » !

     

    Finalement elle a raison, dans un Etat-policier comme la France, cela n'a rien d’anormal. Faisons le point :

     

    Edvige – Peines planchers – Tests ADN – Hadopi – Criminalisation des malades mentaux - augmentation de 40% des gardes à vue en 6 ans et surpopulation carcérale record alors que la délinquance est stable – Incarcération des mineurs dès 12 ans – Affaire Filippis – Protection des sources remise en cause – Médias sous tutelle –  Impunité du Président et retour du crime contre lèse-majesté – Rétention de sûreté - Promesses de l'Etat non tenues (Cesare Battisti, etc.) - Violences policières non punies (Zied et Bouna) - manipulation par la peur (des gauchistes illuminés traités comme de dangereux terroristes)...

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    LA JUSTICE NE RESPECTE PAS LA CONSTITUTION

     Sachant que par une loi organique le principe de proportionnalité des peines et des actions de police est constitutionnel, je me suis plongé dans le code de procédure pénale... on y apprend des choses :

    Article préliminaire : Les mesures de contraintes dont cette personne peut faire l'objet sont prises sur décision ou sous le contrôle effectif de l'autorité judiciaire. Elles doivent être strictement limitées aux nécessités de la procédure, proportionnées à la gravité de l'infraction reprochée et ne pas porter atteinte à la dignité de la personne.

    Article 803 : Nul ne peut être soumis au port des menottes ou des entraves que s'il est considéré soit comme dangereux pour autrui ou pour lui-même, soit comme susceptible de tenter de prendre la fuite.

    Pour une plainte en diffamation je ne suis pas certain que l'interpellation telle qu'elle s'est déroulée soit proportionnelle à l'infraction supposée...

     

  • STADE DE REIMS :TOUJOURS PAREIL

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    TOUS coupables, et certains un peu plus que d'autres. Forcément. Il y a eu certes la parenthèse décontractée et exotique de la Coupe de France à Villeneuve-Saint-Germain. Le temps d'oublier provisoirement ses soucis domestiques. Et c'est déjà la rechute. Au Stade de Reims, les mêmes causes produisent les mêmes effets. Ce club au riche passé n'a plus de mémoire. L'étourderie est devenue la qualité principale de ses joueurs. Ces derniers l'exploitent avec régularité et talent et c'est toute une institution qui en pâtit. Vendredi soir à Troyes, Didier Tholot semblait las.

    Le responsable technique rémois a délivré son discours habituel. Il aurait pu l'enregistrer deux mois plus tôt et distribuer la bande aux poseurs de questions qui lui faisent face. « Encore un but sur coup de pied arrêté. On a beau insister, travailler sur cet aspect du jeu… Un manque de concentration, de méchanceté et d'expérience nous coûte encore le match. » Expliquer, répéter, argumenter, provoquer même. Tholot a tout essayé. La volonté et l'envie ne manquent pas à ses joueurs, mais c'est encore très insuffisant pour s'extirper du bourbier dans lequel ils ont précipité le club. Douze points en seize matches, c'est consternant mais justifié.

     Entre les paroles et les actes il y a parfois plus d'un océan de contradictions. On pourrait avancer que sur la pelouse du stade de l'Aube, l'enjeu a paralysé le jeu. Que l'Estac, moins à l'aise dans ses crampons depuis quelques semaines, avait la tête près du bonnet, facilitant l'expression de son voisin. Ce dernier, sans génie, tenta de mieux faire circuler le ballon, et s'en est arrêté là. « On a connu des derbies plus pétillants », expliquait un avisé observateur. « Nous avons été trop timides pour aller de l'avant, on s'est arrêtés en cours de route », confirmait un Didier Tholot à la colère contenue. Liébus : « Il va falloir cravacher » Pour autant, ce pâle Reims aurait pu, avec un brin de jugeotte, repartir avec le minimum syndical, ce point qui lui tendait les bras. Mais manifestement, il avait décidé d'aider son adversaire à reconquérir son public.

    Pourtant, après des heures de travail spécifique et de vidéo, les défenseurs stadistes n'auraient pas dû se laisser surprendre sur ce corner de Faussurier, qui suivait un très beau coup franc de Kébé, claqué par Liébus. « Eh oui, encore un coup de pied arrêté. C'est toujours pareil, je suis dégoûté, regrettait Yann Kermorgant. On sait qu'il faut faire preuve de plus de rigueur, ça commence à faire beaucoup. » « C'est comme d'habitude, renchérissait Johan Liébus. Ce but nous a tué le match, alors qu'on avait su être sérieux et appliqué. C'est compliqué parce que c'est comme ça depuis le début. Sur le corner, on a mis trop de temps à se mettre en place et on était un peu loin au marquage. » Le portier stadiste, très présent vendredi, a toujours l'analyse juste. Sa mise en garde est d'autant plus intéressante : « Il va falloir cravacher car on est au fond du trou. Plus les matches avancent et moins il y a de points à prendre. » Une évidence qui échappe encore à certais membres de sa « famille ».