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  • ENCORE 198 JOURS A TENIR

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  • SIGNER

     

     

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     A l'occasion de la Journée mondiale du refus de la misère, le 17 octobre, et en prévision du sommet du G20, les 3 et 4 novembre prochain, Amnesty International France lance une campagne pour faire pression sur Nicolas Sarkozy afin de renforcer les outils permettant de lutter efficacement contre la pauvreté.

     


    Amnesty International participe, depuis plusieurs années, à une mobilisation mondiale pour que les «droits de deuxième génération», les droits économiques, sociaux et culturels, deviennent tout aussi justiciables que les droits civils et politiques. Le premier résultat a été, en 2008, l’adoption par les Nations Unies du Protocole facultatif au PIDESC (Protocole international relatif aux droits économiques, sociaux et culturels).
    Reste qu'aujourd’hui ce mécanisme est inopérant, car aucun chef d'Etat du G20, la France en tête, ne l'a ratifié.

     



    Mobilisez-vous sur www.faiteslesigner.fr

     

     

     

    L'équipe de coordination de la campagne (((Exigeons la dignité !)))

     

    www.amnesty.fr/dignite

  • GAZ DE SCHISTE:L'ETAT NOUS MENT

    CHATEAU-THIERRY (Aisne). Le collectif Carmen prépare une grosse manifestation le 23 octobre à La Ferté- sous-Jouarre pour exiger l'abrogation du permis de Château-Thierry.

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    APRÈS la vigilance, l'action ! Le collectif Carmen a attendu en vain l'abrogation du permis de recherche des gaz de schiste sur le sud de l'Aisne. Après la déception, le collectif organise la résistance contre le groupe pétrolier Toréador, détenteur du permis. Le dimanche 23 octobre, il appelle à un grand rassemblement sur la place de la mairie de La Ferté-sous-Jouarre à 14 heures. Tout le monde est concerné et invité : « les citoyens, leurs représentants élus et les associations qui défendent leur environnement, leur qualité de vie, l'eau, leur agriculture, leurs paysages », insiste le collectif.
    La manifestation est délocalisée en Seine-et-Marne, épicentre de la prospection pétrolifère. Carmen y rejoindra le collectif « Stop pétrole de schistes 77 » et quatre autres associations anti-gaz et huiles de schiste pour un mouvement commun et d'envergure. Sur la place de l'hôtel de ville de La Ferté-sous-Jouarre, sont prévues diverses animations : informations, débats, assemblées et musique.
    L'unique demande mais non la moindre de ce regroupement anti-pétrole est l'abrogation des 61 permis restant valides sur le territoire français. Pour rappel, le ministère de l'Écologie annonçait le 4 octobre dernier l'abrogation de troispermis sur la recherche de gaz et huiles de schiste dans le sud de la France. Il avait jusqu'au 12 octobre pour allonger cette liste, ce qui n'a pas été le cas au grand dam des associations environnementales.
    Concernant le permis de Château-Thierry toujours valide, le collectif Carmen estime la situation intolérable surtout à la lecture du rapport commandé par la commission de l'environnement du Parlement européen. « Il conclut à la nature inévitable des impacts environnementaux liés à l'extraction des hydrocarbures de schiste et il pointe également les impacts potentiels importants sur la pollution de l'air et de l'eau. »

    Ambiguïté linguistique

    Les contradicteurs du projet de Toréador affirment que le permis relève de la même catégorie que celui de Montélimar abrogé le 4 octobre dernier, ils s'interrogent sur la différence de traitement sur les deux permis.
    « Le pétrolier met en avant le recours à des forages conventionnels en masquant que leur objectif est à l'évidence la fracturation de la roche mère pour en extraire le pétrole éventuellement recelé », affirme le collectif. « C'est au nom d'une telle ambiguïté (déjà) relevée par le ministre de l'Écologie que le permis de Montélimar a été annulé. C'est une raison suffisante pour obtenir l'abrogation du permis de Château-Thierry. »

    Isabel DA SILVA L'UNION

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  • ENCORE 200 JOURS A TENIR

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  • ON A GAGNE

    LA FRANCE EN FINALE

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    Levons d'abord toute ambiguïté : si dimanche prochain la France remporte la coupe, il n'y aura pas de lézard, la joie sera totale, la bière fraîche et la fête gargantuesque. Pourtant, il n'empêche, le XV de France est en finale, a une vraie chance de gagner cette coupe qui le fuit depuis si longtemps, et il y a comme un malaise.

    Peut-être vient-il du fait qu'à l'évidence, l'équipe nationale ne joue pas bien, ne fait pas plaisir à voir sur un terrain, bref ne mérite pas complètement sa place. Après un premier tour plus que poussif, où elle aurait dû être sortie par les canadiens si un calendrier scandaleux n'avait pas obligé ces derniers à jouer deux fois dans la semaine, les Français ont réussi "l'exploit" de sortir des Anglais qui ne sont que l'ombre de ce qu'ils étaient en 2003 ou 2007. Et en demie, ils s'en sortent miraculeusement, en jouant mal, sans rien proposer face à des Gallois valeureux, au jeu flamboyant mais poursuivis par la malchance.

    Comparé aux 6 coupes précédentes, le XV gaulois est peut-être le plus faible que nous n'ayons jamais eu. Pourtant, en finale, il pourrait sortir un de ces matchs incroyables qui sont la spécialité locale. Et gagner. Qu'à cela ne tienne, si tel était le cas, pour la première fois depuis la création de cette épreuve, le sentiment que la meilleure n'a pas gagné serait dominant.

    La faute n'en incombe pas aux joueurs, ni à personne précisément. Mais peut-être convient-il de se souvenir de ce qu'était le rugby il y a une trentaine d'années à peine. Un sport d'engagement total, sans calculs, sans fioritures, où le vainqueur à la fin du match, dans 99 cas sur 100, était forcément le meilleur. Peu à peu, avec l'arrivée du professionnalisme, les choses ont changé. Aux enjeux sportifs sont venus s'ajouter des enjeux économiques. Du coup, la nature même du jeu s'en trouve modifiée, à l'instar de ce qui se passe dans le football. Désormais, c'est le résultat qui compte, peu importe la manière.

    Alors, c'est d'accord, on est heureux que la France soit en finale, on le sera encore plus si elle la gagne, mais la joie ne pourra pas être totale, parce que l'on aura l'impression que le rugby a changé d'âme, qu'il n'est plus ce sport d'hommes de caractère, qu'il a été un peu perverti par des valeurs qui jusque là lui étaient étrangère. C'est peut-être l'époque qui veut ça, l'évolution normale des choses. On peut quand même le regretter. De même que l'on peut regretter que la meilleure équipe de France de tous les temps, celle de 1987, n'ait jamais gagné la coupe du monde. Mais c'était à une époque où un exploit ne suffisait pas à battre les blacks. Il fallait être meilleur qu'eux.

  • LE PIRE CHOIX POSSIBLE

    Alors c’est du creux Montebourg ! Il veut juste que la gauche gagne ? il s’en fout de quelle gauche . Peu importe les alliances, les compromissions (les compromis sont autre chose). La gauche du parti socialiste, Emmanuelli, Filoche, Benoit Hamon ont choisi Aubry. Lui, Montebourg qui se donnait pour le plus à gauche possible se rallie au plus sondagement bien placé du système .

    C’est creux Montebourg. C’est ce que je ressens de lui depuis 2005. C’est durant un meeting pour le non en 2005 que j’ai vu que le bonhomme ne voulait que se faire de la propagande personnellement, c’est pas du vrai. Il est devenu un politicard, comme les autres.

    Rappelez-vous de Hollande à la tête du Parti Socialiste : le temps des éléphants. Si vous voulez un Chirac de gauche, soit un immobilisme assuré, vous choisissez Hollande. Mais est-ce bien le temps à l’immobilisme ?

    Pourquoi je préfère Aubry  parce qu’elle a été aux affaires, qu’elle a su mettre en œuvre la CMU, les 35 heures par exemple et réorganiser la Parti Socialiste.

     Montebourg et Royal, font des choix en fonction des sondages. Je ne veux pas d’une sociale-libérale au pouvoir. La sociale-démocratie c'est Sarkozy avec la médecine gratuite . C’est l’assurance de faire grimper le FN.

    Le camp de ceux qui veulent que la gauche se retrouve, ne peut, en l’état, que choisir Martine Aubry. C’est elle qui donne des garanties de rassemblement de toute la gauche. C’est elle que soutient la gauche socialiste et qui discute avec les Verts et le Front de gauche.

     

  • ENCORE 203 JOURS A TENIR

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  • REPONSE DE BENOIT HAMON A MONTEBOURG

    Les personnalités du courant socialiste « Un monde d’avance », l’aile gauche du parti emmenée par Benoît Hamon et Henri Emmanuelli, lancent un appel aux électeurs de toute la gauche, en faveur de la candidature à la primaire de la première secrétaire sortante du PS.

    Avec les primaires citoyennes, les socialistes et les radicaux ont mis entre les mains du peuple de gauche –c’est-à-dire de tous les Français qui se reconnaissent dans les valeurs de la gauche et de la République– la désignation de leur candidat en 2012. Les 9 et 16 octobre prochain se joue non seulement le choix d’une personnalité, mais aussi et surtout une stratégie et un projet politiques.

    La future majorité présidentielle n’aura ni le même périmètre ni le même contenu selon que telle ou tel sera élu(e) le 16 octobre.

    Notre appel s’adresse donc aussi aux électeurs de gauche qui ne votent habituellement pas socialiste au premier tour des élections. Vous êtes sympathisant écologiste, communiste, front de gauche, républicain… Vous êtes syndicaliste et impliqué dans les luttes et les mouvements sociaux dans votre entreprise, à l’hôpital, à la Poste, à l’Education nationale, à Pôle emploi ou dans toute autre administration ou service public. Vous êtes militant associatif, altermondialiste, humanitaire, engagé dans le combat pour les droits de l’homme et la lutte contre le recul des libertés fondamentales. Vous n’êtes pas forcément socialiste mais de gauche. Vous pouvez décider du choix du candidat qui pourrait figurer au second tour de l’élection présidentielle face à Nicolas Sarkozy.

    Les primaires vous offrent le choix de plusieurs candidats, plusieurs tempéraments, plusieurs identités politiques.

    Nous connaissons ce qui fait débat entre les partis de gauche. Nous identifions des convergences : la démocratisation des institutions, le soutien aux services publics, la nécessité d’augmenter le pouvoir d’achat, la réforme fiscale et l’augmentation des prélèvements sur le capital. Nous connaissons aussi les sujets qui font toujours débat, les priorités sociales, le nucléaire et la transition écologique, la politique salariale, certains aspects de la construction européenne.

    Voilà des années que nous sommes engagés, souvent au côté des autres forces de gauche et écologistes, mais aussi en soutien et en solidarité avec les mouvements sociaux, pour faire obstacle aux politiques de la droite, au démantèlement de notre modèle républicain, à la remise en cause des droits sociaux et des avancées issues du Conseil national de la Résistance.

    Au sein de notre parti, nous avons défendu ces exigences, proposé une voie alternative au néolibéralisme, soutenu des idées qui hier semblaient minoritaires et apparaissent aujourd’hui indispensables face à la crise : ainsi du retour assumé de l’intervention publique, de la taxation des mouvements financiers, de la hausse des salaires qui ne sont pas l’ennemi de l’emploi, de la nécessaire transition énergétique…

    Ces sujets qui font débat à gauche, font aussi débat entre les candidats à la primaire. Les priorités ne sont pas les mêmes, sur la rigueur budgétaire, les restrictions au libre échange, la lutte contre les délocalisations et les licenciements boursiers ou le non cumul des mandats.

    Nous avons participé activement à l’élaboration du projet socialiste et avons pu observer la capacité et la volonté de Martine Aubry de prendre en compte notre point de vue dans une synthèse nouvelle entre la responsabilité de gouverner et l’ambition de transformation sociale : création d’une banque publique d’investissement, sortie progressive et définitive du nucléaire civil, réduction des écarts de salaire, juste échange contre le dumping social et environnemental, réorientation radicale du projet européen, revalorisation des salaires.

    Au-delà de ses qualités de dirigeante qui fédère, ses aptitudes de femme d’Etat qui n’oublie pas qu’elle est socialiste avant d’être gestionnaire, c’est à l’aune de sa détermination à engager le pays vers un nouveau modèle de développement que nous avons décidé de lui apporter notre soutien.

    Avec nous, avec les socialistes et les radicaux, votez le 9 octobre pour Martine Aubry.

    Les premiers signataires, dirigeants nationaux du Parti Socialiste

    Benoît Hamon, Yvelines
    Henri Emmanuelli, Député des Landes
    Marie-Noëlle Lienneman, Sénatrice de Paris


    Pouria Amirshahi, Charente
    Guillaume Ballas, Paris
    Charlotte Brun, Val d’Oise
    Françoise Castex, Eurodéputée
    Jean-Jacques Chavigné, Somme
    Pascal Cherki, Maire du XIVème arrondissement de Paris
    Stéphane Delpeyrat, Landes
    Olivier Dussopt, porte-parole de Martine Aubry
    Gérard Filoche, Paris
    Jérôme Guedj, Président du CG de l’Essonne
    Razzy Hammadi, Montreuil
    Régis Juanico, Député de la Loire
    Bruno Julliard, Paris
    Georges Labazée, Président du CG des Pyrénées Atlantiques
    Renaud Lagrave, Landes
    Claire Le Flecher, Aisne
    Marianne Louis, Essonne
    Emmanuel Maurel, Val d’Oise

    Delphine Mayrargue, Paris

    Jean Michel, député du Puys de Dôme

    Germinal Peiro, Député de la Dordogne

    Nadia Pellefigue, Haute-Garonne
    Paul Quilès, ancien ministre
    Liem Hoang-Ngoc, Eurodéputé
    Roberto Romero, Bagneux
    Isabelle Thomas, Ille et Vilaine
    Eric Thouzeau, Loire Atlantique
    Michel Vergnier, Député de la Creuse

  • PENSEE D'APRES DEBAT

    Violente ou pacifique, la révolution c'est d'abord une rupture. Celui qui n'accepte pas la rupture - la méthode, cela passe ensuite -, celui qui ne consent pas à la rupture avec l'ordre établi, politique, cela va de soi, c'est secondaire..., avec la société capitaliste, celui-là, je le dis, il ne peut pas être adhérent du Parti socialiste.

    François Mitterrand Epinay 1971

  • 17 OCTOBRE 1961

     

    Le 17 octobre 1961 : une tache noire dans l'histoire commune de la France et de l'Algérie

    180PX-~1.JPGLe 17 octobre 1961 est une date qui restera dramatiquement gravée dans la mémoire commune des peuples algériens et français.

    En 1961, la guerre d’Algérie était dans sa 7e année, et l’indépendance de l’Algérie était éminente.

    Alors que tous les progressistes s’attendaient à une issue positive du conflit, les antirépublicains, les colonialistes actifs et les tenants de l’Algérie Française organisés dans l’OAS pratiquaient une politique de terreur.

    Soucieux de ces contraintes, le FLN sollicite l’aide des républicains et des démocrates pour concrétiser cette issue positive débouchant sur la fin pacifique de cet violence et l’indépendance du peuple algérien.

    En octobre, à l’appel du FLN (Front de libération nationale), des milliers de Français et d’algériens de la « métropole » participaient à une manifestation pacifique contre le couvre-feu raciste, décrété quelques jours plus tôt par le préfet de police « le célèbre Papon ». A travers cette manifestation qui était surtout un appel pour la paix en Algérie, les algériens voulu défendre leur dignité d’être humain, l’égalité citoyenne et leur liberté.

    Ce 17 octobre 1961 il pleuvait. Tous ces hommes, ces femmes et ces enfants, qui vivaient dans des bidonvilles autour de la capitale ou entassé dans une pièce à quatre ou cinq, sans aucun droit à la citoyenneté, étaient nombreux à manifester. Ils avaient mis leurs plus beaux habits, car leurs intentions étaient pacifiques.

    La répression policière fut terrible et brutale….

    Il y eu de nombreux morts. Combien ? On ne le saura jamais exactement…plusieurs centaines sans aucun doute. Certains furent précipités et noyés dans la Seine, d’autres jamais identifiés, disparus jamais retrouvés.

    Des milliers furent parqués, entassés au palais des sports, la plupart blessés et ensanglantés. Le Gouvernement, la préfecture cachent la vérité et signalent seulement deux morts. Les faits dramatiques sitôt connus, la CGT, mais également des partis politiques, et d’autres mouvements comme le Secours populaire organisent la riposte et la solidarité. La lutte pour la paix en Algérie et pour la démocratie va alors connaître un nouveau développement. L’OAS (organisation armée secrète) organise des attentats meurtriers à Paris et dans les grandes villes. Le gouvernement interdit les manifestations anti-fascistes. Le 7 février 1962 la police toujours dirigée par Papon frappe au métro Charonne, 9 manifestant seront tués

    50 ans après, il est encore temps d’effacer cette tache noire de notre histoire, en valorisant la reconnaissance de cette commémoration citoyenne et républicaine

    A lire :

    http://fr.wikipedia.org/wiki/Massacre_du_17_octobre_1961

    http://www.rue89.com/2011/09/27/17-octobre-1961-lalgerie-la-revolution-arabe-qui-ne-passe-pas-pour-sarkozy-223999