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Actualité - Page 31

  • VU ET ENTENDU DANS LES MEDIAS

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    Il parait que madame est furieuse contre la presse qui a publié cette photo.

    Elle devrait plutot être furieuse contre le monsieur qui ne fait rien pour sauver cet enfant.

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    Entendu à la télé hier soir:"Le nombre de demandeurs d'emploi a augmenté en juin +1.3% : "mauvaise nouvelle pour Sarkozy" dit le journaliste. La mauvaise nouvelle est surtout pour la personne qui se retrouve au chomage .

  • NOUVELLE FAMINE EN AFRIQUE

    Corne de l'Afrique: 11 millions d'Africains sont menacés par la famine

     

    faim dans le monde

    Photo Agence-Presse

     

     Onze millions d'habitants de la Corne de l'Afrique sont menacés par la famine et des centaines de milliers d'entre eux risquent de mourir de faim si la communauté internationale ne se mobilise pas, préviennent les Nations unies.

    Les donateurs internationaux et l'Onu ont été très critiqués pour la lenteur de leur réponse à la sécheresse qui frappe la Somalie, l'Ethiopie, le Kenya et Djibouti, la pire que la région ait connue depuis une vingtaine d'années.

    Les Nations unies ont décrété cette semaine l'état de famine dans deux régions du sud de la Somalie. Mais le Programme alimentaire mondial (Pam) a prévenu qu'il n'était pas en mesure d'acheminer de l'aide aux plus de deux millions de personnes qui y vivent car ces zones, contrôlées par les milices islamistes d'Al Chabaab, leur sont interdites.

    «Pour le moment, nous ne parvenons pas à atteindre 2,2 millions d'habitants. Il s'agit de l'environnement le plus dangereux dans lequel nous ayons à travailler dans le monde. Mais des gens meurent en ce moment. Ce n'est pas une question politique, c'est une question de vies à sauver», a expliqué Josette Sheeran, directrice exécutive du Pam.

    L'organisation Al Chabaab, qui entretient des liens avec le réseau Al Qaïda, a interdit l'année dernière l'acheminement de l'aide alimentaire dans les régions sous son contrôle.

    En visite à Nairobi, le ministre australien des Affaires étrangères, Kevin Rudd, a estimé dimanche que la situation en Somalie nécessitait une réponse adaptée.

    «La situation sécuritaire sur le terrain n'est pas la même partout. Il faut autoriser l'Onu à sortir du cadre habituel», a déclaré Kevin Rudd.

    «Soit on regarde de loin, on reste les bras croisés et on ne fait rien en attendant que le monde devienne parfait, soit on y va et on se met au travail maintenant.»
    Reuters
  • COMMUNIQUE D'AMNESTY INTERNATIONAL

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    Pakistan.

    L'ordre de «tirer à vue» fait véritablement de Karachi une zone de guerre

    À l'annonce de l'envoi à Karachi, par les autorités pakistanaises, de 1 000
    soldats supplémentaires ayant reçu pour instruction de « tirer à vue » sur
    des hommes armés impliqués dans les récentes violences ethniques, le
    directeur du programme Asie-Pacifique d'Amnesty International, Sam Zarifi, a
    déclaré :

    À l'annonce de l'envoi à Karachi, par les autorités pakistanaises, de 1 000
    soldats supplémentaires ayant reçu pour instruction de « tirer à vue » sur
    des hommes armés impliqués dans les récentes violences ethniques, le
    directeur du programme Asie-Pacifique d'Amnesty International, Sam Zarifi, a
    déclaré :

    « En accordant aux forces de sécurité le pouvoir de tirer à vue, le
    gouvernement pakistanais fait véritablement de Karachi une zone de guerre. »


    « Étant donné le passé de l'armée pakistanaise en matière de violations des
    droits humains et d'impunité, une telle liberté accordée aux forces de
    sécurité dans cette situation explosive ne peut que conduire tout droit au
    désastre, en favorisant l'anarchie, une augmentation des violences et des
    homicides. »

    « En accordant de tels pouvoirs, les autorités vont à l'encontre des normes
    internationales en matière de droits humains et font passer le message que
    leurs forces de sécurité sont au-dessus des lois. »

    « Les violences à Karachi sont de plus en plus inquiétantes. Mais les
    autorités du Pakistan doivent s'employer à rétablir l'ordre public, la
    sécurité et la confiance à Karachi en faisant respecter les droits humains
    pour tous et en appliquant correctement la loi afin de garantir que toutes
    les victimes des violences ciblées obtiennent justice et que les
    responsables présumés soient tenus de rendre des comptes. La surenchère de
    violence n'est pas une solution », a déclaré Sam Zarifi.




    Soudan.


    Le commerce des armes alimente les violations dans le conflit au Soudan


    Les États membres de l'ONU doivent intervenir pour contrôler les livraisons
    d'armes dans les régions instables telles que l'État soudanais du Kordofan
    méridional, a déclaré Amnesty International vendredi 8 juillet, à l'approche
    d'une semaine de négociations relatives à un traité mondial sur le commerce
    des armes.

    Les États membres de l'ONU doivent intervenir pour contrôler les livraisons
    d'armes dans les régions instables telles que l'État soudanais du Kordofan
    méridional, a déclaré Amnesty International vendredi 8 juillet, à l'approche
    d'une semaine de négociations relatives à un traité mondial sur le commerce
    des armes.

    La Chine, la Russie et les États-Unis font partie des pays qui fournissent
    des armes ou dispensent des entraînements militaires aux forces armées
    soudanaises et à l'Armée populaire de libération du Soudan (APLS), l'armée
    officielle du Sud-Soudan, qui accède à l'indépendance le 9 juillet 2011.

    Une analyse effectuée par Amnesty International a permis d'établir un lien
    entre des avions russes et des raids aériens menés sans discernement ces
    derniers mois qui ont fait des morts et des blessés parmi les civils dans la
    capitale du Kordofan méridional, Kadugli, ainsi que dans d'autres régions de
    cet État.

    « Des civils sont tués et blessés au Kordofan méridional avec des armes
    fabriquées par des États étrangers qui n'évaluent pas rigoureusement les
    risques sur le plan humanitaire et pour les droits humains avant de faire
    des affaires avec les forces armées, a indiqué Erwin Van Der Borght,
    directeur du programme Afrique d'Amnesty International.




    Inde


    L'Inde doit faire appliquer la décision de la Cour suprême visant à
    interdire les milices antimaoïstes


    Les autorités de l'État du Chhattisgarh, en Inde, doivent immédiatement
    faire appliquer la décision de la Cour suprême indienne de démanteler et
    désarmer les milices civiles antimaoïstes, financées par l'État, a déclaré
    Amnesty International jeudi 7 juillet.

    Les autorités de l'État du Chhattisgarh, en Inde, doivent immédiatement
    faire appliquer la décision de la Cour suprême indienne de démanteler et
    désarmer les milices civiles antimaoïstes, financées par l'État, a déclaré
    Amnesty International jeudi 7 juillet.

    Depuis 2005, des milices civiles connues sous le nom de commandos koyas
    auraient perpétré de graves violations des droits humains, en bénéficiant de
    l'appui des forces de sécurité gouvernementales du Chhattisgarh.

    Plus de 3 000 personnes, dont des civils, des insurgés maoïstes et des
    membres des milices civiles, ont été tuées au cours de l'insurrection qui
    dure depuis six ans dans cet État. Toutes les forces armées opérant dans la
    région, y compris celles du gouvernement et les maoïstes, se sont rendues
    responsables de graves atteintes aux droits humains.

    « La décision de la Cour suprême d'interdire les milices civiles est une
    mesure phare dans la protection des peuples indigènes, les adivasis, et
    d'autres communautés locales contre les violations des droits fondamentaux
    dont ils sont victimes, a souligné Sam Zarifi, directeur du programme
    Asie-Pacifique d'Amnesty International.







    Pakistan.


    Amnesty International exhorte le Pakistan à agir pour juguler l'escalade de
    la violence


    Les autorités pakistanaises doivent mettre un terme à la multiplication des
    homicides ciblés à travers le pays, en rendant justice aux victimes et en
    amenant les auteurs présumés à rendre des comptes, a déclaré Amnesty
    International jeudi 7 juillet alors que circulent des informations faisant
    état de plus de 30 nouvelles morts survenues à Karachi au cours des deux
    derniers jours seulement.

    Les autorités pakistanaises doivent mettre un terme à la multiplication des
    homicides ciblés à travers le pays, en rendant justice aux victimes et en
    amenant les auteurs présumés à rendre des comptes, a déclaré Amnesty
    International jeudi 7 juillet alors que circulent des informations faisant
    état de plus de 30 nouvelles morts survenues à Karachi au cours des deux
    derniers jours seulement.

    Mardi 5 juillet, la Commission des droits humains du Pakistan a déclaré
    avoir recensé plus de 1 100 décès violents à Karachi pour la première moitié
    de l'année 2011. Quelque 490 d'entre eux sont le résultat d'homicides ciblés
    à caractère politique, ethnique ou religieux.

    Ces chiffres n'incluent pas les 42 personnes tuées au cours de la première
    semaine du mois de juillet, l'une des périodes les plus violentes observées
    à Karachi cette année.

    « L'augmentation alarmante du nombre d'homicides ciblés et la montée de
    l'insécurité au Pakistan ces deux dernières années sont le signe d'une grave
    crise du maintien de l'ordre dans le pays », a déclaré Sam Zarifi, directeur
    du programme Asie-Pacifique d'Amnesty International.






    Tadjikistan


    Le Tadjikistan doit libérer un journaliste, d'autant que selon certaines
    informations il aurait été torturé


    Les autorités tadjikes doivent immédiatement libérer un journaliste de la
    BBC, détenu semble-t-il uniquement en raison de ses articles et qui aurait
    été torturé ou maltraité en détention, a déclaré Amnesty International.

    Les autorités tadjikes doivent immédiatement libérer un journaliste de la
    BBC, détenu semble-t-il uniquement en raison de ses articles et qui aurait
    été torturé ou maltraité en détention, a déclaré Amnesty International.

    Arrêté le 13 juin, Ourinboï Ousmonov a été inculpé de participation au
    mouvement islamique interdit Hizb-ut-Tahrir (Parti de la libération).

    Des représentants de la Sûreté de l'État ont assuré mercredi 6 juillet que,
    malgré de précédentes déclarations du ministère de l'Intérieur, Ourinboï
    Ousmonov n'a pas été accusé d'être membre du Parti de la libération, mais
    qu'ils poursuivaient leurs investigations sur son implication au sein du
    mouvement.

    Il a été placé en détention provisoire à Khujand, ville du nord du pays.

    Selon ses proches, Ourinboï Ousmonov aurait été torturé ou maltraité au
    cours de sa détention. Un collègue de la BBC, qui a reçu l'autorisation de
    lui rendre visite, a déclaré qu'il semblait « fragile mentalement et
    psychologiquement ».

    « Amnesty International considère que les charges retenues contre Ourinboï
    Ousmonov ont été forgées de toutes pièces, dans le but de sanctionner son
    travail de journaliste et parce qu'il a exercé de manière pacifique son
    droit à la liberté d'expression, a indiqué John Dalhuisen, directeur adjoint
    du programme Europe et Asie centrale d'Amnesty International.




    Commerce des armes.


    Traité sur le commerce des armes... les ONG demandent garanties et
    transparence


    [06/07/2011]

    Le 11 juillet s'ouvrira, au siège des Nations unies à New-York, la dernière
    semaine de discussions préparatoires en vue de l'adoption d'un Traité sur le
    commerce des armes classiques (TCA). A cette occasion, la plate-forme d'ONG
    françaises "Contrôlez les Armes" exhorte la France à plaider en vue d'un
    traité qui établisse clairement les responsabilités des futurs Etats
    parties. Ce traité doit organiser un régime de transparence suffisamment
    détaillé et contraignant, toute violation du TCA devant par ailleurs faire
    l'objet de mesures de correction appropriées. Ces nouvelles discussions
    intervenant alors que la France vient de reconnaître avoir livré des armes
    aux forces d'opposition libyennes, les ONG attendent de la France qu'elle
    affirme explicitement son engagement en faveur d'un traité robuste et
    efficace.

    Au cours de cette semaine de négociations, les Etats vont essentiellement
    débattre des dispositions de mise en oeuvre du TCA. L'un des aspects
    fondamentaux pour en garantir le respect sera l'obligation pour les Etats
    parties de rendre compte en toute transparence des autorisations qu'ils
    auront délivrées concernant leurs importations, exportations et autres
    transferts internationaux d'armes et de munitions classiques, ainsi que les
    refus qu'ils auront notifiés. Ce n'est qu'en fournissant publiquement des
    informations précises, exhaustives et récentes que les Etats pourront
    garantir le bon respect des dispositions du traité à leurs pairs, aux
    représentations nationales élues et à la société civile.

    « Pour que le traité ait une réelle influence sur le comportement des États
    et représente autre chose qu'une simple liste d'obligations, la présentation
    de rapports publics est primordiale. L'existence de rapports totalement
    transparents instaurera la confiance entre les États, leur permettant de
    démontrer qu'ils appliquent bien le traité, et offrira aux organisations
    internationales, aux États et à la société civile la possibilité d'évaluer
    comment le TCA est appliqué », selon Didier Destremau, du Secours Catholique
    - Caritas France.




    Macédoine.


    Le gouvernement macédonien doit arrêter de museler les médias qui le
    critiquent


    Les autorités macédoniennes doivent cesser d'essayer d'anéantir la liberté
    d'expression, a déclaré Amnesty International mardi 5 juillet après que
    trois journaux nationaux eurent été forcés à suspendre leurs activités.

    Les autorités macédoniennes doivent cesser d'essayer d'anéantir la liberté
    d'expression, a déclaré Amnesty International mardi 5 juillet après que
    trois journaux nationaux eurent été forcés à suspendre leurs activités.

    Les publications Shpic, Vreme et Koha e re, qui appartiennent à Velija
    Ramkovski, magnat des médias, ont dû mettre la clé sous la porte au cours du
    weekend des 2 et 3 juillet ; la raison officielle de cette mesure est le
    non-paiement de taxes exigées par le gouvernement.

    « Ces fermetures, les montants demandés et les conditions de paiement
    semblent motivés par des considérations politiques », a déclaré Nicola
    Duckworth, directrice du programme Europe et Asie centrale d'Amnesty
    International.




    Pays Bas.


    Un tribunal déclare les Pays-Bas responsables de la mort de trois personnes
    à Srebrenica


    Les Pays-Bas sont responsables de la mort de trois Musulmans de Bosnie tués
    au cours du génocide perpétré en 1995 à Srebrenica, en Bosnie-Herzégovine, a
    statué mardi 5 juillet une cour d'appel néerlandaise à La Haye.

    Au travers de cette affaire, c'est la première fois qu'un gouvernement est
    tenu pour responsable de la conduite de ses troupes de maintien de la paix
    exécutant un mandat des Nations unies.

    La cour a statué que le 10 juillet 1995, les troupes néerlandaises déployées
    en tant que forces de maintien de la paix de l'ONU à Srebrenica avaient
    autorisé les trois hommes à quitter une « zone de sécurité », ce qui
    revenait à les livrer aux forces serbes de Bosnie, qui ont tué quelque 8 000
    hommes et adolescents musulmans de Bosnie durant le génocide.

    « Jusqu'à présent, les États se sont comportés comme si leurs soldats de
    maintien de la paix agissaient en toute impunité. Cette décision établit
    qu'aucun Casque bleu ne peut se soustraire à sa responsabilité pour les
    crimes relevant du droit international », a indiqué Michael Bochenek,
    directeur chargé du droit et de la stratégie politique à Amnesty
    International.




    Syrie


    Un rapport révèle les crimes contre l'humanité commis dans une ville
    syrienne


    Il est possible que les méthodes brutales employées dans le cadre d'une
    opération de sécurité dévastatrice lancée par les autorités syriennes dans
    la ville de Tell Kalakh (ouest du pays) aient constitué des crimes contre
    l'humanité, a déclaré Amnesty International mercredi 6 juillet dans un
    nouveau rapport.

    Ce document, intitulé
    <http://www.amnesty.org/en/library/asset/MDE24/029/2011/en/9eec5cc2-4712-411
    b-b24e-32852cb7bad7/mde240292011en.pdf> Crackdown in Syria: Terror in Tell
    Kalakh, fait état de morts en détention, d'actes de torture et de détentions
    arbitraires qui auraient eu lieu en mai lorsque l'armée et les forces de
    sécurité syriennes ont mené une opération de sécurité de grande ampleur
    pendant moins d'une semaine contre les résidents de cette ville située près
    de la frontière libanaise.

    « Les informations dont nous ont fait part des témoins des événements à Tell
    Kalakh brossent un tableau alarmant fait d'abus systématiques et ciblés
    visant à étouffer la contestation », a déclaré Philip Luther,

    « La plupart des crimes décrits dans ce rapport relèveraient de la
    compétence de la Cour pénale internationale. Toutefois, le Conseil de
    sécurité des Nations unies doit dans un premier temps saisir le procureur de
    la CPI de la situation syrienne. »

    Les conclusions livrées dans le rapport se fondent sur des entretiens
    recueillis au Liban et par téléphone auprès de plus de 50 personnes en mai
    et juin. Amnesty International n'est pas autorisée à se rendre en Syrie.






    Philippines.


    Peu d'avancées en termes de droits humains depuis l'entrée en fonction du
    président Benigno Aquino


    Le président doit mettre sur pied une commission présidentielle chargée de
    veiller à l'obligation de rendre des comptes pour les assassinats
    politiques, les disparitions forcées et les actes de torture, a déclaré
    Amnesty International jeudi 30 juin.

    Le président doit mettre sur pied une commission présidentielle chargée de
    veiller à l'obligation de rendre des comptes pour les assassinats
    politiques, les disparitions forcées et les actes de torture, a déclaré
    Amnesty International jeudi 30 juin.

    Près d'un an après l'entrée en fonction du président Benigno "Noynoy" Aquino
    III aux Philippines, son gouvernement n'a guère remédié aux graves problèmes
    relatifs aux droits humains que connaissent les Philippins.

    Amnesty International a publié jeudi 30 juin un document intitulé
    <http://www.amnesty.org/en/library/info/ASA35/002/2011/en?refresh=9470178987
    > Progress, Stagnation, Regression? The State of Human Rights in the
    Philippines under Aquino. Cette synthèse de 18 pages passe en revue les
    progrès réalisés par le gouvernement Aquino sur 26 recommandations clés en
    matière de droits fondamentaux, que l'organisation avait soumises aux
    candidats à l'élection présidentielle en février 2010 et de nouveau au
    président nouvellement élu en juin 2010.


    « Benigno Aquino témoigne de ce que les droits humains ne sont toujours pas
    une priorité pour son gouvernement, a indiqué Aurora Parong, directrice de
    la section philippine d'Amnesty International. Depuis un an, il fait valoir
    qu'il a hérité ces problèmes de son prédécesseur. Cependant, après une année
    au pouvoir, il est temps qu'il assume ses responsabilités et protège les
    droits fondamentaux des Philippins. »




    Biélorussie.


    Gaz lacrymogène et sites Internet bloqués : les manifestants pris pour cible
    au Bélarus


    Les autorités bélarussiennes doivent s'abstenir de recourir à une force
    excessive contre les manifestants, a déclaré Amnesty International lundi 4
    juillet après que la police eut utilisé du gaz lacrymogène et arrêté plus de
    300 manifestants dimanche 3 juillet.

    Les autorités bélarussiennes doivent s'abstenir de recourir à une force
    excessive contre les manifestants, a déclaré Amnesty International lundi 4
    juillet après que la police eut utilisé du gaz lacrymogène et arrêté plus de
    300 manifestants dimanche 3 juillet.

    Les sites de réseaux sociaux Facebook et Twitter auraient par ailleurs été
    bloqués alors que des milliers de militants se rassemblaient dans la
    capitale, Minsk, et dans d'autres villes afin d'exprimer leur désaccord avec
    la politique économique du président Alexandre Loukachenko en tapant des
    mains à l'unisson.

    Du gaz lacrymogène a été utilisé contre un groupe de manifestants sur la
    place de la gare à Minsk, et des manifestants se trouvant dans d'autres
    quartiers de la ville ont été frappés par des policiers. Les arrestations
    ont été effectuées par des agents de la sûreté de l'État vêtus en civil
    n'ayant produit aucune forme d'identification, ni précisé les motifs de ces
    interpellations.

    « Le Bélarus continue à faire fi des droits humains, mais ces récentes
    arrestations de masse et utilisation de gaz lacrymogène contre des
    manifestants pacifiques semblent indiquer une intensification des atteintes
    à la liberté d'expression », a déclaré John Dalhuisen, directeur adjoint du
    programme Europe et Asie centrale d'Amnesty International.






    Arabie saoudite


    L'Arabie saoudite maintient des manifestantes en détention


    Deux femmes sont maintenues en détention après avoir été interpellées à
    Riyadh dimanche 3 juillet lors d'une manifestation pour réclamer que leurs
    proches soient jugés dans le cadre de procès équitables, ont indiqué des
    sources à Amnesty International.

    Une quinzaine de femmes et cinq enfants ont été arrêtés dimanche 3 juillet
    devant le ministère de l'Intérieur. Elles réclamaient des procès équitables
    pour leurs proches qui sont détenus sans inculpation - et ce parfois depuis
    10 ans.

    Toutes les femmes en question, sauf deux, ont été relâchées après avoir
    semble-t-il signé des déclarations dans lesquelles elles s'engageaient à ne
    plus manifester.

    « Si ces femmes ont été arrêtées uniquement pour avoir manifesté de manière
    pacifique en public, nous les considérerons comme des prisonnières d'opinion
    et demanderons leur libération immédiate et sans condition, a fait savoir
    Philip Luther, directeur adjoint du programme Afrique du Nord et
    Moyen-Orient d'Amnesty International.




    Chine.


    Les autorités vont de plus en plus loin dans la répression contre les
    Ouïghours


    meutes et arrestations de masse qu'a connues la région autonome ouïghoure du
    Xinjiang (Chine), Amnesty International signale que les autorités chinoises
    continuent à contraindre au silence ceux qui dénoncent les abus commis
    durant et après ces troubles.

    Des centaines de personnes ont été arrêtées et poursuivies à la suite des
    émeutes ; plusieurs dizaines ont été condamnées à mort ou exécutées, et des
    centaines d'autres ont été condamnées à des peines de prison, dont beaucoup
    à la réclusion à perpétuité.

    Les responsables de sites Internet ouïghours bien connus et des journalistes
    ont été emprisonnés pour leur rôle dans la publication de messages annonçant
    des manifestations ou pour avoir parlé à des médias étrangers.

    Ershidin Israil, demandeur d'asile ouïghour, a récemment été renvoyé de
    force par le Kazakhstan vers la Chine, après que les autorités chinoises
    eurent semble-t-il exercé des pressions en ce sens. Il avait récemment
    accordé un entretien à Radio Free Asia au sujet d'un jeune homme ouïghour
    qui aurait été torturé et tué en détention à la suite des manifestations.

    « Non seulement le gouvernement continue à museler les personnes qui
    s'expriment sur ce qui s'est passé en juillet 2009, mais il use en outre de
    son influence au-delà des frontières chinoises pour les faire taire », a
    déclaré Sam Zarifi, directeur du programme Asie-Pacifique d'Amnesty
    International.




    Thaïlande.


    Les partis politiques doivent s'engager à respecter les droits humains au
    lendemain des élections


    Les partis politiques thaïlandais doivent s'engager publiquement à respecter
    les droits humains, a déclaré Amnesty International vendredi 1er juillet, à
    la veille des premières élections nationales dans le pays depuis plus de
    trois ans.

    Les partis politiques thaïlandais doivent s'engager publiquement à respecter
    les droits humains, a déclaré Amnesty International vendredi 1er juillet, à
    la veille des premières élections nationales dans le pays depuis plus de
    trois ans.

    En Thaïlande, l'élection générale aura lieu le 3 juillet et opposera le
    parti Pheu Thai, dirigé par l'ancien Premier ministre Thaksin Shinawatra, en
    exil volontaire, au Parti démocrate (DP) au pouvoir, soutenu par l'armée et
    certaines élites politiques. Thaksin Shinawatra a été renversé à la faveur
    d'un coup d'État militaire en septembre 2006.

    « Ces élections sont l'occasion pour tous les camps, et pas seulement pour
    le vainqueur, d'endiguer la grave détérioration du bilan de la Thaïlande en
    termes de droits humains, a estimé Benjamin Zawacki, chercheur sur la
    Thaïlande d'Amnesty International.




    Égypte.


    L'armée s'engage à cesser d'effectuer des « tests de virginité » forcés


    Le chef des services de renseignement militaire égyptiens a promis à Amnesty
    International que l'armée n'effectuera plus de « tests de virginité »
    forcés, après avoir défendu leur utilisation lors d'une rencontre avec
    l'organisation au Caire dimanche 26 juin.

    Le général de division Abdel Fattah al Sisi, du Conseil suprême des forces
    armées, a évoqué la question avec Salil Shetty, le secrétaire général
    d'Amnesty International, plusieurs mois après que l'organisation eut relayé
    des allégations concernant ces « tests » forcés.

    Le général de division al Sisi a déclaré que des « tests de virginité »
    avaient été effectués sur des détenues en mars afin de « protéger » l'armée
    contre de possibles allégations de viol, mais que ces pratiques n'auraient
    désormais plus lieu. Il a également ajouté que l'armée évitera à l'avenir
    d'arrêter des femmes.

    « Les déclarations du général de division doivent être traduites en
    instructions claires à l'adresse du personnel militaire, selon lesquelles il
    ne faudra plus jamais infliger ce traitement à des femmes en Égypte », a
    ajouté Amnesty International.
    « Soumettre des femmes à des procédures aussi dégradantes dans le but de
    montrer qu'elles n'ont pas été violées en détention est absurde, et
    constitue ni plus ni moins un acte de torture. Le gouvernement doit
    désormais accorder des réparations aux victimes, notamment un soutien
    médical et psychologique, et leur présenter des excuses pour ce qu'elles ont
    subi. »

  • VENT DE LA COLERE EN PICARDIE

    Vent de colère contre 1000 éoliennes picardes

     
     
    « C'est une utopie sur plusieurs plans, énergétique, environnemental, social. Cela ne diminue nullement les émissions de gaz à effets de serre », juge un opposant.

    « C'est une utopie sur plusieurs plans, énergétique, environnemental, social. Cela ne diminue nullement les émissions de gaz à effets de serre », juge un opposant.

    Aisne. La Picardie devrait accueillir en 2020 plus d'un millier d'éoliennes. Plusieurs associations combattent avec énergie ce projet.

    Selon  plusieurs associations, la Picardie est la première région française en nombre d'éoliennes. Le chiffre communiqué hier par Marc Lefranc, vice-président de l'association L'Oise dans le vent, regroupant une dizaine de structures, est de trois cent soixante-sept machines en se basant sur les données de la direction régionale de l'environnement et de l'aménagement.
    La colère des opposants ne devrait pas faiblir. Mille cent éoliennes sont prévues en Picardie pour 2020. « C'est une utopie sur plusieurs plans, énergétique, environnemental, social. Cela ne diminue nullement les émissions de gaz à effets de serre », juge Marc Lefranc qui lance depuis le début du mois une pétition.
    Celle-ci a réuni plus de cent trente signatures.
    A Longpont, Benoît Verdun, représentant l'Association pour la protection et la promotion du paysage du canton d'Oulchy-le-Château et Villers-Cotterêts, a le triomphe modeste. Il a pourtant réussi une performance en s'opposant avec succès à six projets, dont un permis de construire accordé à Billy-sur-Ourcq et Chouy.


    Victoire près de Crécy-sur-Serre


    L'incertitude demeure encore pour une septième tentative sur le secteur de Vierzy-Parcy-et-Tigny. C'est le tribunal admistratif qui va statuer. Evidemment, les plans du schéma régional éolien causent des inquiétudes. Benoît Verdun le confirme : « Nous croyions que nous étions à l'abri, mais cela n'est pas impossible que les éoliennes reviennent mais nous sommes confiants en misant sur l'intelligence des habitants concernés. »
    Marc Lefranc se prépare avec énergie à la future bataille : « Les éoliennes vont assassiner l'identité culturelle de la Picardie. »
    Près de Crécy-sur-Serre, les opposants fêtent une victoire. L'association A Contre Vent vient d'obtenir l'annulation d'une zone de développement éolien dans les Pays de la Serre (lire par ailleurs).
    Mais la guerre continue. Virginie Micberth, trésorière, pointe du doigt la présence prévue de deux cent vingt éoliennes sur le secteur de Guise-Montcornet.
    Elle affiche ainsi sa détermination : « C'est grotesque, monstrueux, cela ne sert à rien. C'est laid et cela ennuye les gens en créant des discordes dans les villages. Ces machines représentent un investissement pour des sociétés étrangères. »

    Thierry de LESTANG PARADE de L-Union 

  • REPONSE A SHERLOCK HOLMES

    En réponse à un lecteur d'AZURCOM concernant la mort de Coluche le19 juin 1986 j'ai retrouvé un article de Nice-Matin relatif à cet accident 

    « Lorsqu'on voit les fans devant la stèle au rond-point du Piol, qui cherchent à deviner d'où venait la moto, on sourit. Nous, on sait bien que ce n'est pas là que l'accident s'est produit… »
    Laurence hausse les épaules. Et se plonge dans ses souvenirs. Ce 19 juin 1986, la jeune Opidienne a 16 ans. « Mon frère est venu me chercher à Grasse où j'étais en stage. Notre père venait de le prévenir de l'accident. Il était sur son tracteur, à quelques dizaines de mètres. Il a été l'un des premiers sur les lieux. »
    Ce jour-là, vers 16 h 40, Coluche et deux amis - Didier Lavergne et Ludovic Paris - quittent Cannes après un déjeuner à la Plage sportive. Ils remontent vers Châteauneuf-de-Grasse où, depuis un mois, l'amuseur et ses potes sont installés au domaine Saint-Jaume. Le père du Schmilblick y prépare son retour sur scène prévu pour octobre au Zénith.

    « C'était notre idole ! »

    À 16 h 55, les trois motards passent devant le Garage Delpy, sur la départementale 3 à Opio. Coluche, en bermuda et tee-shirt rose, est en deuxième position. L'enquête démontrera que les gros cubes roulaient à faible allure. Et qu'aucun des pilotes ne portait de casque.
    Une minute plus tard, Coluche vient de doubler et se tourne vers ses copains. Un instant. Un instant de trop. Lorsqu'il regarde de nouveau devant lui, un semi-remorque de 38 tonnes lui coupe la route en manœuvrant devant la Jardinerie Nova.
    L'acteur ne freine pas. Il couche sa Honda 1100, sans doute pour tenter de passer sous la remorque. Et il réussit presque ! Il ne lui manque qu'un mètre… et un peu de chance. Sa tête heurte le phare droit du camion. Le choc lui fracture une jambe et lui brise les cervicales.
    « Lorsque je suis arrivée, la police était encore sur place, se souvient Laurence. La moto de Coluche était posée contre un frêne sur le bord de la route. Presque intacte ! »

    Des messages sur les cailloux

    Philippe Sébastien, qui avait 18 ans et habitait alors « à moins d'un kilomètre de là », apprend la nouvelle à la radio. « Je suis descendu en courant, raconte-t-il. J'ai croisé les deux potes de Coluche, dont l'un qui hurlait et réclamait un hélicoptère ! Je me souviens surtout de l'émotion de mes amis. Coluche, c'était notre idole. On le voyait souvent au village. Il conduisait sa Cadillac rose, vêtu d'un peignoir rose avec écrit "Colucci" derrière ! C'était difficile de ne pas le remarquer… » Aujourd'hui, l'allée de frênes a été coupée. Un trottoir a été construit. Deux ronds-points encadrent le tronçon de route où l'accident s'est produit. Sur l'un d'eux, un mémorial dédié à l'ami public numéro 1 accueille des bouquets de fleurs fraîches et des messages écrits sur des cailloux. « Un de ces jours, on va le débaptiser et l'appeler par son nom officieux : rond-point Coluche », pronostique Philippe. Qui ne se remet pas de la disparition de l'humoriste. « Quand on voit ce que les politiques sont capables de dire, on aurait besoin d'un gars comme lui pour les remettre à leur place ! »

     
     
     
  • J'Y ETAIS

     

     

     

     

    L’hommage à Coluche avait lieu ce dimanche dans le moyen pays cannois. L’humoriste y avait trouvé la mort au guidon de sa moto, le 19 juin 1986.

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    Près de trois mille moteurs dont celui de mon Aprilia 125 ont vrombi ce dimanche à Opio, près de Grasse. L’hommage des motards à l’un des leurs, Coluche, mort brutalement sur cette route il y a 25 ans exactement.

    C’est, selon les organisateurs, le nombre de motards qui ont manifesté samedi à Nice contre la politique de sécurité routière du gouvernement. La fédération des motards en colère refuse le port obligatoire du gilet jaune, des plaques d’immatriculation XXL et le retrait des panneaux avertisseurs de radars. A ce sujet, le préfet  a précisé ce lundi ce qu’il en sera dans les Alpes-Maritimes.

     Plusieurs dizaines de bikers du club ont été mobilisés pour bloquer les intersections et encadrer le convoi parti à 10h15 de Villeneuve-Loubet, où avait lieu la manifestation « Moto en fête ».

    Seize kilomètres plus tard, la long colonne de gros cubes a mis pied a terre au rond point du Piol, devant la stèle érigée en souvenir de Coluche. A l’ombre des arbres, des messages griffonnés sur des galets, quelques photos, des fleurs coupées. Et comme chaque années, ces motards bardés de cuir, le casque sous le bras, une fleur à la main.

    « Vingt-cinq ans c’est énorme », glisse Didier, du club Moto Liberté de Toulon. Il était l’un des premiers à faire ce pèlerinage, en 1996. « A la toute première balade on était soixante-cinq, maintenant il y a des potes qui viennent de toute la France ».

    C’est le cas d’André, descendu de Bourgogne avec sa femme et un couple d’amis. Plus de six-cent kilomètre sur sa « futuriste » et ultra sportive Tornado. A la fois un périple et un pèlerinage. Coluche aurait 66 ans.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

  • LES 80 ANS DU STADE DE REIMS

     

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    CHAMPIONNATS DE FRANCE :
    - 6 titres de champion de France de Division 1 : 1949, 1953, 1955, 1958, 1960, 1962
    ( le titre obtenu en 1942, championnat de « guerre », Zone occupée, n’est pas comptabilisé dans les titres nationaux)
    - 1 titre de champion de France de Division 2 : 1966
    - 1 titre de champion de National : 2004
    - 3 titres de champion de France Amateurs : 1935, 1939* et 1948*
    (* titres gagnés en tant que réserve « pro »)

     

    COUPE DE FRANCE :
    - 2 Coupes de France remportées : 1950 et 1958,
    - Finaliste : 1977

     

    COUPE DRAGO :
    - Vainqueur : 1954

     

    COUPE GAMBARDELLA :
    - Vainqueur : 1964
    - Finaliste : 1956, 1968 et 1977

     

    COUPE DE LA LIGUE :
    - Coupe de la Ligue remportée : 1991**
    (** coupe de la ligue ancienne formule, ou Coupe d’été. Seuls les clubs de Division 2 y participaient)

     

    COUPE LATINE :
    - Vainqueur : 1953

     

    COUPE D’EUROPE :
    - 2 finales de la coupe d’Europe des Clubs Champions : 1956 et 1959

     

  • N'OUBLIEZ PAS LA FETE DES PERES

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  • HOMMAGE A COLUCHE

    Ils sont nombreux ceux de ma génération à avoir encore en tête ce 19 juin 1986, la stupeur au moment de l' annonce de la mort de Coluche dans un terrible et stupide accident de la route... L'association La Moto en Fête  organise chaque année "OPEN BIKE MEMORY" en souvenir de Coluche , cet enfoiré est toujours aussi vivant dans la mémoire collective.

    memorial coluche opio,la moto en fete,run coluche 2011

    Les jeunes connaissent ses sketches par coeur parce que son humour contre la bêtise du monde politique (entre autres) est toujours d'actualité (à revoir ICI). Les restos du coeur sont devenus une institution et de son idée généreuse est née une Loi de finances qui porte son nom (officiellement l'article 238 bis du code général des impôts).

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    Photo issue du site http://www.restosducoeur.org/

    Tous ses amis motards ont bien raison de lui rendre cet hommage, lui qui était aussi un fou de moto, recordman mondial en 750cc à 252,087 Km/h. Pour la 15ème année consécutive, l'association La Moto en Fête organise une manifestation commémorative les 18 et 19 juin 2011 à Villeneuve Loubet, une grande réunion festive avec défilé des motards, concert, animations bikers, bal, etc...

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    Et surtout ce RUN impressionnant de milliers de motards qui partiront le dimanche à 9h du village de Villeneuve Loubet, via Marina Baie des Anges, Biot, Valbonne pour arriver jusqu'à la stéle d'Opio, à quelques mètres de l'endroit où Coluche trouva la mort. Gros moments d'émotions...

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    Carrefour du Piol, RD3, Opio 06650

    Cette petite stèle en bord de route, à côté de la fresque où sourit Coluche, est entretenue bénévolement toute l'année par des personnes habitant dans les environs. Toute l'année aussi, beaucoup d'anonymes s'arrêtent pour se recueillir, mettre quelques petits papiers dans la boite à souvenirs ou graver quelques mots sur une pierre... Tout simplement, continuer de raconter l'histoire d'un Mec bien... qui nous manque.

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  • APPEL DU 18 JUIN

     

     

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    APPEL DU 18 JUIN
    JOURNEE NATIONALE DE MOBILISATION
    GAZ DE SCHISTE
    NI EN PACA NI AILLEURS

    ce n'est pas fini
    le sénat à voté la loi de synthèse sans connaître les risques
    l'assemblée nationale risque de voter la loi autorisant la fracturation hydraulique à des fins scientifiques !
    les premiers forages sont prévus dès octobre !!!!!!!!
    GRANDE MANIFESTATION A CANNES
    SAMEDI 18 JUIN
    RENDEZ-VOUS à 10H au monument aux morts devant la mairie

    prévoir un pic-nic à partager
    pas d'affichage politique conformément à notre charte
    mais chacun-e est libre de faire des pancartes
    contacts : nadegebonfils@gmail.com mimuratore@wanadoo.fr - 06.19.21.74.36.
    http://gazdeschistes-collectif-06.over-blog.com/