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Actualité - Page 9

  • MENARD ROBINET MEME COMBAT

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    Ca n'a pas trainé , aprés Béziers voici Reims la Gauche et la Droite ce n'est vraiment  pas pareil   . Opposées à l’arrêté « anti-mendicité » du nouveau maire de Reims Arnaud Robinet,  des personnes ont manifesté samedi après-midi place d’Erlon. L’arrêté proscrit la « station assise ». Les manifestants ont donc décidé d’exprimer leur mécontentement par un sit-in autour de la fontaine de la solidarité. Ils dénoncent une mesure discriminante envers les pauvres, « alors que la véritable urgence est de s’attaquer aux causes de la pauvreté ». Une « initiative citoyenne » relayée sur les réseaux sociaux est à l’origine de cette action.

  • INTERESSANT

    La déroute vient de loin. Inutile de remonter le fil jusqu’à la genèse de la dérive, foin du rappel des étapes successives du renoncement, les critiques annonciatrices de cette infâmie électorale sont nombreuses et trouvent leur source partout à gauche, dans tous les groupes parlementaires, dans tous les partis. Bref, nous avions prévenu.

    L’exécutif persévère dans des recettes pourtant à bout de souffle. Et s’engage seul, de plus en plus seul, vers l’abîme du social-libéralisme, qui n’est en fat qu’un libéralisme light. Pire, la musique qui s’installe, en guise de « réponse » au « malaise-des-français-qu’il-faut-entendre-parce-que-l’abstention-montre-une-défiance-bla-bla » serait d’aller plus vite encore.

    Certains vont encore nous proposer, toute honte bue, que la demande de la société française est une demande de plus à droite. Ceux-là se trompent : il n’y a pas plus d’électeurs en faveur du Front national. Ils en perdent même deux millions. Mais la gauche socialiste, elle, en perd 7 millions. Autrement dit, nos électeurs ont fait grève.

    Quelles sont les tâches des uns et des autres ?

    Bien que sceptique sur son envie d’écoute à l’heure où je rédige ces lignes, je dois quand même dire qu’il revient à François Hollande de marquer les esprits au Sommet de Bruxelles ce mercredi 28 mai. Cette Europe là ne marche pas, les peuples n’en veulent pas et la première suggestion qu’il doit faire est le renoncement – utile, celui-là – à l’absurde règle d’or et d’austérité des 3%. Elle bride, elle affaiblit et, parce qu’elle empêche les politiques publiques ambitieuses elle conduit à l’impuissance. Et ainsi monte l’abstention (à quoi bon voter ?) et donne de la force au discours volontariste des néofascites du Front National.

    Le deuxième impératif est qu’au Parlement, les socialistes ayant initié l’appel des 100 doivent s’élargir : de nombreux députés socialistes veulent désormais que cela change et sont prêts pour cela à se regrouper autour d ‘une plate-forme de propositions et d’actions législatives qui fasse d’investissement public et de la justice sociale et fiscale la priorité.

    La troisième exigence est l’unité de la gauche : de ce point de vue, je ne doute pas que les nombreuses initiatives d’ores et déjà prévues d’ici la fin août seront fécondes. Quel agenda pour cette deuxième partie du quinquennat ? La tâche théorique est immense, mais possible et nécessaire : passer de la simple addition (et parfois soustraction) des forces à leur synthèse véritable, à leur projection commune. Autrement dit : nous devons mettre nos intelligences au service de la synthèse du socialisme, de la démocratie et de l’écologie.

    Peut-on remettre en perspective un horizon commun ? Car tout ne peut se résumer à un échange d’argumentaires économistes, a fortiori pour sortir du coma clinique un modèle totalement épuisé…et même dangereux. Le productivisme axé sur l’obsession d’une croissance qui ne reviendra pas est tout simplement criminel. Il tue au lieu d’épanouir. Il dévore au lieu de partager. Pour ma part, je suis certain qu’il faut remettre en friche l’imaginaire national totalement en panne : la République métissée qui est une réussite mais qu’on ne montre jamais ; la souveraineté des peuples confisquée aujourd’hui par la technocratie et les marchés ; un projet européen centré sur la coopération et l’intégration entre les pays qui ont choisi monnaie commune et avec la duplicité de certains de ses membres ; la coopération internationale pour le partage des connaissances et des inventions humaines …

    Le fil de cette reconquête, j’en suis convaincu, c’est la démocratie. Le pouvoir de décider s’est déplacé du peuple vers des puissances illégitimes, cupides et sans objet humain. Il faut reprendre le pouvoir. Mais il faut le réinventer aussi : la délégation ne suffit plus : le contrôle des pouvoirs autant que la confiance dûe aux citoyens doit guider la refondation démocratique devenue indispensable. Les parlementaires initiateurs de l’appel des cent ont mis cette question démocratique au cœur : 5ème République ou pas, il revient de mettre chaque pouvoir à sa place. Le nôtre est de faire la Loi et non de se la faire dicter. Cette approche, qui est une révolution culturelle française ne fait que commencer. Elle portera, elle aussi, une dynamique féconde. Au service de l’intérêt général, fondé sur l’égalité. Celle-là même qui s’efface du tableau de l’Histoire de France…

    Pouria Amirshahi

     

  • CE SOIR A NICE

    Article Nice Matin 30.05.2014

  • C'ETAIT LE TEMPS D'AVANT

  • AUJOURD'HUI ON VOTE

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  • A NE PLUS RIEN Y COMPRENDRE

     

    Un petit parti bourgeois sans ambitions." Lutte Ouvrière se paye le Parti de Gauche dans son bimestriel Lutte de Classe, publié le 8 mai 2014 sur le site de la formation politique.

    En six pages, la revue trotskyste égratigne en long et en large le parti cofondé par Jean-Luc Mélenchon, raillant sa volonté d'incarner "l'opposition de gauche." Pour les auteurs du texte, le parti serait plutôt à rapprocher du... PS:

    Les chats ne font pas des chiens, et le PG est bien un petit parti bourgeois qui, à coups d’alliances et de coalitions avec d’autres courants bourgeois, cherche à se frayer une voie vers le pouvoir gouvernemental. Un parti de même nature sociale que le PS, mais qui compte sur le discrédit accéléré du PS, ainsi que sur son positionnement qu’il veut plus à gauche, pour y parvenir à son tour.

    Mais c'est surtout la campagne du parti de Gauche pour les élections européennes qui cristallise les critiques de Lutte Ouvrière. Le parti qui a fait de la lutte contre l'austérité en Europe une de ses priorités se voit accuser d'entretenir une rhétorique anti-allemande:

    En adoptant un ton nettement anti-allemand, le PG a choisi d’entonner les trompettes nationalistes parce qu’il pense que c’est électoralement porteur. Il se met de fait sur le même terrain que le FN (...) En faisant cela, ces politiciens, qui se disent de gauche, cautionnent auprès des travailleurs et des militants ouvriers et syndicalistes, des idées nauséabondes qui portent la division et les orientent vers des impasses.

    Et de poursuivre:

    Le PG a donc choisi de développer sa propre argumentation xénophobe et nationaliste.

    En tant que leader du parti, Jean-Luc Mélenchon n'est évidemment pas épargné:

    Au sein du PS, il fut surtout un soutien des autres : après Mitterrand, ce furent Dray, Emmanuelli, et finalement Fabius. La place qu’il occupait dans le parti était en fait marginale et ne devait pas le satisfaire.
  • TOUT EST DIT

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  • 10 MAI 1981

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     François Mitterrand est élu 21e président de la République française face à Valéry Giscard d'Estaing,  avec 51,76 % des suffrages exprimés. Il est le premier socialiste à occuper la présidence de la République sous la Ve République.

     

  • 7 MAI CAPITULATION DE L'ALLEMAGNE

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    Bien que la France se fût officiellement retirée de la guerre avec l'armistice du 22 juin 1940, le gouvernement du général de Gaulle est représenté à Berlin par le chef de la 1ère armée française, le général Jean de Lattre de Tassigny.

    Négligeant de commémorer la capitulation du 7 mai, à Reims, à laquelle ils n'ont eu aucune part, les Français ont choisi par la suite de commémorer exclusivement le 8 mai 1945.

    La Victoire a pourtant été entérinée le 7 mai 1945 à 2 h 41 du matin, dans la « war room », la salle des opérations du Shaef, le grand quartier général d’Eisenhower » , indique le conservateur en chef du patrimoine à la Ville de Reims. Marc Bouxin, qui dirige le Musée de la Reddition rue Franklin-Roosevelt, dans l’ancien collège moderne et technique, se bat depuis plusieurs années pour mieux faire connaître cette date historique du 7 mai, jour où les forces alliées ont obtenu à Reims la capitulation sans condition des armées du Troisième Reich.

    En 1975, le président Giscard d'Estaing a souhaité mettre un terme à cette commémoration par souci de réconciliation avec les Allemands... mais au grand scandale des associations d'anciens combattants.

    En 1981, le président Mitterrand ne s'est pas contenté de refaire du 8 mai un jour férié. Il en a aussi fait un jour chômé... sans rencontrer beaucoup d'objections.

    À noter que ni les Anglais, ni les Américains ne chôment le 8 mai bien qu'ils aient les meilleures raisons du monde de commémorer cet anniversaire. Quant aux Russes, c'est le 9 mai qu'ils célèbrent la capitulation de l'Allemagne nazie, la cessation des combats ayant été enregistrée ce jour-là à Moscou en raison du décalage horaire...

     

  • ON IRA VENDRE LA SOUPE A MARTIN SCHULZ

    Choisir notre Europe

     
     

    Prendre une baffe aux municipales : c'est fait.

    Changer de gouvernement : c'est  fait.

    Prononcer un discours de politique générale : c'est  fait.

    S’exprimer sur BFM : c'est  fait.

    Et si on passait aux Européennes ?

    Nous les militants socialistes  , on ira essayé de vendre la soupe à Martin  Schulz (Sur l'air de : On ira pendre notre linge sur la ligne Siegfried ) ,  mais ça c'est pas fait .
     
    La seule certitude est que la gauche devrait prendre une grosse claque en France et probablement au niveau Européen, d’ailleurs  je trouve le Parti Socialiste complètement mou  dans cette campagne, et  je ne suis pas loin de penser que les militants le sont aussi.

    Avez vous vu le nom des listes ? Elles ont souvent des noms grotesques .

    Pour le Modem et l’UDI : « Les Européens ».

    L’UMP : « Pour la France, agir en Europe ».

    Pour le FN : « Non à Bruxelles, Oui à la France ! ».

    Nous socialistes  nous ne  sommes pas en reste  : « Choisir notre Europe ».

    Seuls les écolos et le Front de Gauche s’en sortent bien : leurs listes ont le nom de leur parti !

    Les copains lecteurs qui veulent voter socialiste dans le sud est ! N’oubliez pas de noter le nom de la liste : CHOISIR NOTRE EUROPE. Notez aussi le nom du chef pour vérifier le bulletin : Vincent Peillon.